DES COUPABLES VITE TROUVÉS

- Qui sont les auteurs des attentats ? -



Les vrais coupables


BEN LADEN & AL-QAIDA

Le 11 septembre 2001, quelques heures après l'attentat de New York, le gouvernement américain fait savoir qu'il soupçonne Oussama Ben Laden et son organisation terroriste Al-Qaïda d'être à l'origine des atrocités commises. Ce soupçon se transforme très vite en "certitude", mais aucune preuve concrète n'est fournie.

Peu après, sont publiés les noms et les photos des exécutants présumés, tous morts dans le crash des avions détournés :


Satam Suqami, Waleed Alshehri, Wail Alshehri, Abdulaziz Alomari, Mohamed Atta
Majed Moqed, Khalid Almihdhar, Nawaf Alhazmi, Salem Alhazmi, Hani Hanjour
Saeed Alghamdi, Ahmed Al Haznawi, Ahmed Alnami, Ziad Samir Jarrah
Marwan Al-Shehhi, Ahmed Alghamdi, Banihammad, Hamza Alghamdi, Mohand Alshehri

Dans les jours qui suivent, toutefois, il s'avère que plusieurs des hommes en question sont encore en vie (par exemple: Alomari - le 4ème du vol AA 11 - est pilote des Saudi Airlines et vit à Djeddah; Alghamdi - 1er du vol UA 93 - travaille pour Tunis Air; Waleed Alshehri - 2ème du vol AA 11 - est au Maroc, etc... Lire les détails.)

Même en admettant que les autres "suspects" aient un rapport avec les événements du 11 septembre, on peut évidemment se poser quelques questions:

  • Ces prétendus terroristes sont-ils montés à bord des avions sans dissimuler leur véritable identité ?

  • Si oui, pourquoi n'ont-ils pas été repérés par les services de sécurité qui les recherchaient ?

  • Dans le cas contraire, comment sait-on qu'il s'agit bien de ces gens-là ?

La presse a annoncé qu'on avait retrouvé près du World Trade Center le passeport intact d'un des "auteurs" de l'attentat (Mohammed Atta - 5ème du vol AA 11). Un véritable miracle après l'explosion de 80.000 litres de kérosène et l'effondrement de 110 étages de bureaux... Les boîtes noires des avions, elles, n'ont pas été recupérées (quoique certains investigateurs indépendants, comme Dave Lindorff, pensent qu'elles l'ont été, mais que leur contenu est tenu secret par le FBI).

Autre incohérence de taille: la liste des passagers et des membres d'équipage se trouvant à bord des quatre avions a été rendue publique dès le 11 septembre, mais on n'y trouve que 231 noms, alors qu'il est question de 266 victimes. Il manque donc 35 noms. Pourquoi ?... Parmi les 231 noms publiés ne figure d'ailleurs aucun des "suspects" ci-dessus. Plus encore, la liste ne contient aucun nom arabe (voir les détails sur le site de CNN).

Mais le plus étrange, c'est que la liste des passagers mentionne des détails biographiques confidentiels normalement inconnus des compagnies aériennes. Par exemple, comment American Airlines et CNN ont-ils pu apprendre que Carolyn Beug (48 ans, domiciliée à Los Angeles) voyageait en compagnie de sa mère Mary Wahlstrom (75 ans, domiciliée à Kaysville, Utah) et que toutes deux rentraient de Boston où elles avaient accompagné des personnes de leur famille qui se rendaient dans une université de la région ?  Ou encore, comment United Airlines et CNN savent-ils que Wolfgang Menzel (un Allemand de 60 ans) travaillait depuis 2000 pour la société BCT Technology en tant que directeur du département des ressources humaines et qu'il comptait prendre sa retraite six mois plus tard ?  Ce genre d'information n'est pas communiqué au moment de l'achat du billet. Veut-on nous faire croire que les compagnies ou les journalistes ont téléphoné à plus de 200 familles de victimes pour recueillir tous ces détails en l'espace de quelques heures ?  De qui se moque-t-on ?...

Pour en revenir aux prétendus kamikazes, on sait que les écoles de pilotage où ces gens ont pris des leçons ont toutes déclaré qu'ils étaient de bien piètres élèves, incapables de voler seuls sur un Cessna - en particulier Hani Hanjour (5ème du vol AA 77), Marwan Al-Shehhi (1er du vol UA 175), Khalid Almihdhar (2ème du vol AA 77) et Nawaf Alhazmi (3ème du vol AA 77). Et on vient nous raconter que ces amateurs ont été en mesure de diriger des Boeing...

L'opinion d'Andreas von Bülow, ancien ministre allemand. L'auteur pense que les activités conspiratives de certains des "coupables" ci-dessus ont été orchestrées pour le compte de la CIA, c'est-à-dire manipulées et exagérées à dessein dans le seul but de détourner l'attention des véritables terroristes.


Et Ben Laden ?

Dans une interview accordée le 12 septembre au journal pakistanais Ausaf, il nie être l'auteur de ces attentats. Bien sûr, il ne condamne pas la destruction du World Trade Center; au contraire, il l'approuve et la justifie. Mais il dit qu'il n'a rien à voir avec cet acte.   Lire les détails

Le 28 septembre, OBL confirme sa première déclaration dans une nouvelle interview accordée à Unmat, un autre journal pakistanais : Al-Qa'idah Group had Nothing to Do with the 11 September Attacks (rapporté par le journaliste anglais Robert Fisk).  Texte français de la déclaration du 28.9.2001.

C'est à prendre ou à laisser. Mais a priori, on ne voit pas pourquoi le chef de l'organisation que les Américains nomment Al-Qaïda aurait monté une opération de cette envergure, pour renoncer ensuite à en récolter les "fruits" (gain de prestige aux yeux de ses partisans).

Bien entendu, ce que nous connaissons - ou pensons connaître - de Ben Laden et de son organisation émane presque exclusivement de sources occidentales ou pro-occidentales (pakistanaises, par exemple). Dans ces conditions, il y a de fortes chances pour que beaucoup de scoops soient fabriqués de toutes pièces par les services américains. De temps à autre, cependant, des journalistes indépendants connus et dignes de confiance (comme Robert Fisk, Peter Arnett et quelques autres) parviennent à interviewer celui que les USA considèrent comme l'ennemi public numéro un. Malheureusement, les propos de Ben Laden sont parfois assez équivoques, car l'homme ne revendique jamais ouvertement la paternité d'une action. En revanche, il est beaucoup plus clair lorsqu'il en rejette la responsabilité.

Ainsi, dans une interview accordée en janvier 1999 au journaliste pakistanais Rahimullah Yusufzai et parue dans Time Asia, OBL avalise implicitement - à sa façon - les attentats antiaméricains du Kénya et de Tanzanie en août 1998. Même chose pour les actions menées contre les occupants US en Somalie en 1993, et en Arabie Saoudite en 1996 - voir l'interview recueillie par Peter Arnett.

Par contre, Ben Laden nie toute participation à l'attaque contre le World Trade Center de New York en 1993 (interview de Peter Arnett) et contre un navire de guerre américain au Yémen en octobre 2000 (interview à un journal koweïtien).


A propos des "preuves" de la culpabilité de Ben Laden dans les attentats du 11 septembre, lire l'article du journaliste québécois Laurent Laplante.

Voir aussi le document présenté début octobre par Tony Blair pour "justifier" la guerre contre l'Afghanistan. Les auteurs de ce texte, sachant pertinemment qu'ils n'apportent aucune preuve valable de la responsabilité de Ben Laden dans l'attentat du 11 septembre, écrivent en préambule: "Ce document ne prétend pas constituer un acte d'accusation utilisable dans un procès contre Oussama Ben Laden. Il arrive fréquemment que des informations fournies par les services de renseignement ne puissent être présentées comme preuves devant un tribunal, d'une part à cause des règles de recevabilité très strictes imposées par la loi, d'autre part du fait qu'il est nécessaire de protéger la sécurité des sources. Mais compte tenu de toutes les informations disponibles, le Gouvernement de Sa Majesté accorde toute confiance aux conclusions exprimées dans ce document."

Dans une étude très détaillée, le Center for Cooperative Research - CCR - démontre l'absurdité de la "piste Ben Laden" : Criticisms of US official explanation of 9 / 11.



Source: Le Couac, Montréal


Plusieurs mois après les attentats, comme il fallait s'y attendre, les bricoleurs du Pentagone présentent des "documents" écrits et audio-visuels contenant les "aveux" de Ben Laden.


Le plus étrange dans toute cette affaire : si Ben Laden figure bien parmi les Ten Most Wanted que le FBI présente sur son site Internet, en revanche la police fédérale ne lui reproche même pas le crime du 11 septembre. L'avis de recherche correspondant a pourtant été mis à jour en novembre 2001, deux mois après les attentats - et il est toujours affiché en juillet 2004. De toute évidence, le FBI sait à quoi s'en tenir...



LES VRAIS COUPABLES

Même si des éléments islamistes manipulés de l'extérieur ont pu se trouver mêlés aux attentats, ce n'est certainement pas du côté de Ben Laden qu'il faut chercher les vrais coupables (instigateurs, organisateurs, profiteurs), mais plutôt dans les cercles dirigeants américains. Les innombrables incohérences de la version officielle des faits rappellent étrangement les mystères de l'affaire Kennedy. Faudra-t-il attendre trente ans avant que les doutes dominent au sein de l'opinion publique ? Où sont l'Oliver Stone et le Kevin Costner qui oseront nous présenter un WTC aussi fouillé, aussi logique et aussi convaincant que le fameux JFK ?

Lire ici le point de vue du sociologue Serge Thion : 11 septembre: quelques suppositions.

Un an après le monstrueux crime de New York, le cartel de la désinformation se contente de réchauffer les mensonges de l'après-11 septembre et nous les sert tels quels, accompagnés de la même sauce insipide. Il nous met en garde contre les risques de nouveaux attentats - et voilà qu'ils se produisent. Les tueurs de Washington ont-ils récidivé à Bali ? Il leur faut une nouvelle guerre, contre l'Irak cette fois, et pour convaincre les indécis, ce qui a si merveilleusement fonctionné en 2001 devrait marcher également en 2002.


Cheney, Bush père, Bush fils, Ashcroft

Si l'Amérique était libre et démocratique,
ces ignobles individus - et quelques autres encore - seraient jugés et condamnés
pour haute trahison, terrorisme de masse et crimes de guerre

Liste des principaux criminels



Mettons-lui un sac sur la tête et n'en parlons plus...


2020 - Procès de La Haye contre les principaux criminels de la junte Bush
(Source : iraqwar.mirror-world.ru)

Conformément aux principes juridiques et aux valeurs culturelles de la civilisation américaine, les juges auront à choisir entre la chaise électrique, la chambre à gaz et l'injection létale (avec torture et sodomisation préalables, comme à Abou-Ghraïb).


Seul Bush aura droit à la corde :

(Source : quibla.net)




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