DONALD TRUMP PRÉSIDENT

I (2016-18)



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Les présidents américains depuis 1945





Clinton vs. Trump

8.11.2016 : Victoire de Donald Trump    Avant / Après    Contre le président élu tous les moyens sont bons

Transition : de la victoire à l'investiture    20.1.2017 : Enfin à la Maison Blanche    L'homme à abattre

12.2.2017 : Début de basculement ?    5.4.2017 : Si on te laisse pas gouverner, fais la guerre

29.4.2017 : Bilan des 100 premiers jours    30.5.2017 : Direction destitution ?    Un an après l'élection    FBI-gate

Tenir le plus longtemps possible    6.11.2018 : Elections de mi-mandat

De « Trump le Grand »  à  « Repose en paix, présidence  »    L'espoir renaît en Europe

Les hommes du président    Le programme présidentiel    Positif / négatif






CLINTON VS. TRUMP : UN AN DE CAMPAGNE ÉLECTORALE


Dès novembre 2015, on sait que le lobby innommable choisira
le prochain président parmi les deux candidats suivants :

Les frères jumelles
HILLARY & DONALD CLINTRUMP

MAZEL TOV !
(On ne le dira jamais assez...)

Un "troisième homme", Bernie Sanders, concurrent "malheureux" de Hillary Clinton aux primaires démocrates, semblait à première vue encore plus qualifié que ces deux-là, vu qu'il est juif et qu'un "élu" authentique est en principe plus méritant qu'un goy sioniste, aussi zélé que soit ce dernier. Mais la raison d'Etat de l'Etat profond en a décidé autrement*. En 2008, pour des raisons idéologiques, le critère retenu était la couleur de peau ; en 2016, c'est le sexe. Et la prochaine fois, ce sera probablement l'oriente-à-sion enculturelle...

* Pour le remercier de se rallier à Hillary après sa "défaite" truquée aux primaires démocrates, on a dédommagé financièrement Bernie, le Mélenchon américain, ce qui lui a permis de s'offrir sans attendre une nouvelle résidence secondaire. Prix d'un sénateur "de gauche" en 2016 : 600.000 dollars.

Le spectacle de la campagne électorale américaine 2016 aura été un des plus intéressants et des plus originaux depuis longtemps, tablant sur le contraste extrême entre les deux candidats, du moins pour ce qui est de la forme. Car pour le fond,* il suffit de regarder la photo ci-dessus. D'ailleurs, il n'y a pas si longtemps, les deux familles s'entendaient très bien, pour ne pas dire plus, et le milliardaire new-yorkais Trump finançait généreusement sa chère Hillary quand elle faisait campagne pour le Sénat - voir ici.

* Pour être juste, il faut avouer que beaucoup d'électeurs américains, pour qui la dépendance vis-à-vis d'Israël ne compte pas, font confiance à Donald Trump pour d'aures raisons - voir plus bas.


A quelques semaines de l'élection du 8 novembre 2016, et surtout après les trois débats télévisés, on a la nette impression que, sauf événement grave, Hillary Clinton sera déclarée gagnante, réduisant ainsi à néant le rêve de Donald Trump.


Election truquée

Le milliardaire n'a cessé de répéter que l'élection serait frauduleuse ou truquée (rigged), et il a parfaitement raison, car elle l'est à plusieurs niveaux :

■  Les merdias américains sont systématiquement et violemment anti-Trump*. Ils colportent tous les mensonges de sa concurrente et font le black-out sur ses scandales, sa corruption et ses crimes. On en veut à Trump d'être indépendant (il n'éprouve pas le besoin de se laisser acheter comme c'est la règle dans toute élection). On lui reproche de ne pas être politicien mais homme d'affaires, et d'avoir réussi à conquérir la base des Républicains contre la volonté et les intrigues de l'establishment du parti. Une bonne partie de ces dirigeants a rejoint le camp adverse, montrant un peu plus l'inanité du concept droite-gauche.

* Le 20 octobre, au cours d'un dîner de "bienfaisance" auquel il participe avec sa meilleure ennemie, Donald Trump déclare : "J'apprécie beaucoup cette opportunité qui m'est donnée de saluer les membres de l'équipe de campagne de Hillary, qui travaillent d'arrache-pied et font des heures supplémentaires pour la faire élire. Ils sont tous là, au grand complet... les patrons de NBC, CNN, ABC, CBS, Washington Post et New York Times..." (vidéo)

■  Les listes électorales sont manipulées à grande échelle. On fait voter des morts et des immigrés illégaux par millions.

■  L'électro-nique électorale est pire que jamais.

■  Le président américain n'est pas élu directement par le peuple, mais par un "collège" de grands électeurs (Wikipédia) qui ne sont pas tenus de respecter la volonté de ceux qui les ont mandatés (voir cet autre article de Wikipédia sur les grands électeurs infidèles). Un "dissident" républicain soudoyé par les clintoniens ("Republican Against Trump" ou "RAT") se gardera bien de voter pour Donald.*

* En principe, 29 Etats sur 50 "obligent" les grands électeurs à respecter le choix populaire (voir ici) mais celui qui ne se plie pas à cette "obligation" risque tout au plus une amende de 1000 dollars. Dans les 21 autres Etats, les grands électeurs sont totalement libres d'inverser le vote.

■  La proclamation des "résultats" est l'affaire des médias (National Election Pool - NEP, anciennement Voter News Service, voir également cet article : Fakery - Major Media Preparing to Steal Election-night Outcome). Le "vainqueur" est désigné par eux de la même façon qu'ils décrètent que tel sondage bidon a donné la candidate Clinton "gagnante" à 58 % ou qu'elle a "dominé" un débat télévisé à 72 %.  CNN (Clinton News Network*) est particulièrement actif en la matière**. Depuis que les élections sont systématiquement truquées (2000 - George W. Bush), l'objectif numéro un est d'obtenir la capitulation du "perdant" avant que le processus de dépouillement soit achevé (voire commencé). L'idéal, c'est d'avoir un "loser" qui accepte secrètement sa "défaite" bien avant l'élection.

* Le premier "N" pouvant aussi signifier "Nasty" ou "Nauseating" (nauséabond). La version édulcorée "Clinton News Network" a été employée en direct... sur CNN, par la journaliste britannique Katie Hopkins du Daily Mail face à la pressetituée Hala Gorani - la vidéo est un régal. L'entretien ayant été réalisé en direct, CNN n'a pu empêcher sa diffusion ; mais contrairement à l'usage, il n'a été passé qu'une seule fois. On comprend pourquoi en voyant Gorani faire des pieds et des mains pour nier la plus criante évidence.

** CNN rigs its own poll again to claim Clinton won the debate. Pour parvenir au résultat désiré après le premier débat télévisé, CNN avait sélectionné un échantillon de personnes interrogées comprenant 41 % de supporters démocrates pour seulement 26 % de républicains, le reste étant composé d'indépendants. Pour le sondage du deuxième débat, les tricheurs de CNN sont allés encore plus loin et ont pris 58 % de démocrates, le reste (42 %) comprenant à la fois des républicains et des indépendants. Inutile d'ajouter que les "sondeurs" des autres "networks" et de la presse écrite font exactement la même chose.


Aux reproches de fraude et de trucage, les merdias, comme toujours lorsque quelqu'un leur met le nez dans leur caca, répondent en criant au "conspirationnisme". Un pressetitué de CNN évoque même à ce sujet les "complotistes" qui prétendent que l'homme n'a jamais marché sur la Lune. Excellente comparaison, en effet : One small step for me - one big hoax for you...



"Donald Trump est un adepte des théories du complot..."


L'Etat voyou juif "über alles"

La présidentielle 2016 est un pur spectacle hollywoodien où les vrais vainqueurs sont simultanément dans les deux camps : Trump est soutenu par le milliardaire juif Sheldon Adelson (mafia de Las Vegas), le "souteneur" de Clinton étant le sinistre George $✡R✡$.  Et les deux candidats ont vendu leur âme à leur maître Satanyahou :


Dans son programme pour les 100 premiers jours de sa présidence, Trump promet de "bannir à vie les officiels de la Maison Blanche qui font du lobbying pour un gouvernement étranger" (point n° 5) et "les lobbyistes étrangers qui collectent de l'argent pour les élections américaines" (n° 6). Et comme il l'a fréquemment répété, le milliardaire veut faire passer à la caisse les pays étrangers qui bénéficient de la "protection" militaire américaine.  Est-ce que cela vaut également pour Israël ?... Bien sûr que non, bande d'antisémites...

Le énième serment d'allégeance de Donald Trump à Israël (article de la Jewish Press et vidéo) : "J'aime Israël... Ma fille et son mari juif élèvent leurs enfants dans la foi juive*... Mon administration sera aux côtés du peuple juif et des dirigeants israéliens... Ensemble nous ferons face aux ennemis d'Israël qui, comme l'Iran, veulent détruire l'Etat juif et son peuple..."

* Cette phrase pourrait être de Hillary Clinton dont la fille est elle aussi mariée à un Juif.

Donald Trump veut annuler l'accord signé en 2013-2015 avec l'Iran. Cet accord n'a jamais été appliqué par les USA mais il offre au moins l'avantage de bloquer le déclenchement d'une guerre prévue par les sionistes depuis plus de dix ans. La position du candidat milliardaire vis-à-vis de Téhéran est très agressive et repose uniquement sur la version mensongère que Tel Aviv donne de la situation. (Si Trump gagne, on ne pourra d'ailleurs plus dire "Tel Aviv" car il considère que la capitale d'Israël est Jérusalem et ne cache pas son intention d'y transférer l'ambassade américaine.)

On voit qu'avec Trump à la Maison Blanche, la prochaine guerre par procura-sion est programmée d'avance. En revanche, vis-à-vis de Moscou, le milliardaire est plus conciliant que sa concurrente. C'est peut-être parce qu'il connaît mieux qu'elle les priorités stratégiques de Tel Aviv : d'abord en finir avec Assad, puis éliminer le Hezbollah libanais et le régime de Téhéran en se servant pour cela du levier russe. Le tour de Moscou viendra plus tard : chaque chose en son temps...


Comme il se doit, Trump a une page Facebook en hébreu :

Il a toujours été partisan de la solution à deux Etats -
deux Etats juifs, évidemment : Israël et USA.


Les casseroles de Clinton

Si beaucoup de présidents américains ont été criminels (Truman, Johnson, Nixon, Bush fils, Obama, pour ne citer que les pires depuis 1945), la plupart d'entre eux ne le sont devenus qu'une fois installés à la Maison Blanche. Hillary Clinton, elle, serait la première personne déjà criminelle avant d'accéder à la fonction suprême. En fait, dans un pays veritablement démocratique, les "casseroles" que traîne derrière elle la candidate démocrate auraient dû suffire pour l'écarter, dès les primaires, de la course à la présidence.

■  L'affaire de Benghazi : le 11 septembre 2012, alors qu'elle était ministre des Affaires étrangères d'Obama, elle a refusé de porter secours au personnel "diplomatique" américain stationné dans cette ville, ce qui a conduit à la mort de quatre fonctionnaires, dont "l'ambassadeur". Bien sûr, le rôle de Clinton dans l'agression de 2011 contre la Libye (massacre de dizaines de milliers de civils) est infiniment plus grave, mais cela ne compte pas (tuer des Arabes, c'est OK). Quoi qu'il en soit, pour les 4 Américains morts, Killary aurait dû être écartée de son poste et inculpée.

■  L'affaire des 35.000 courriels classés "secrets d'Etat" que Clinton avait placés sur un serveur personnel, puis fait effacer après avoir reçu du Congrès l'injonction officielle de les produire (la fameuse "subpoena" dont Trump a souvent parlé). C'est un crime aux yeux de la loi américaine, mais alors que beaucoup de gens ont déjà été jetés en prison pour beaucoup moins, le FBI complice (ou du moins son directeur James Comey) a étouffé l'affaire et blanchi la candidate criminelle.

■  L'affaire des 650.000 courriels, dont un certain nombre également secrets, transférés par Clinton sur l'ordinateur privé de Huma Abedin, sa "secrétaire" islamiste saoudienne et petite amie lesbienne de trente ans plus jeune, précédemment mariée à l'exhibitionniste juif Anthony Weiner. Ces 650.000 courriels ont été découverts par les zantisémites du FBI dans le cadre d'une enquête contre Weiner pour textopornographie ("sexting") avec une jeune fille de 15 ans. Une semaine après avoir dévoilé ce nouveau scandale, le FBI (James Comey) blanchit de nouveau Hillary Cinton.

■  Le scandale de la Fondation Clinton, une machine à remplir les poches de la candidate. Quand elle était aux Affaires étrangères (et même après), Crooked Hillary faisait payer quiconque voulait lui parler. De cette manière, elle a amassé plus de cent millions de dollars en toute impunité. Dans les affaires de corruption, aux USA, on condamne les gens pour cent dollars...

■  La Fondation Clinton a également facilité l'acquisition par l'entreprise russe d'Etat Rosatom de la compagnie minière canadienne Uranium One moyennant un pot-de-vin d'au moins 2,35 millions de dollars. D'autre part, comme l'indique l'article des Echos, "Bill Clinton a prononcé, à Moscou, un discours payé 500.000 dollars, l'un de ses plus rémunérateurs. Le chèque est signé par Renaissance Capital, une banque d'investissement russe très proche du Kremlin."  Et c'est Hillary Clinton qui accusera plus tard son rival républicain de "collusion avec les Russes".

Donald Trump, s'il devenait président, demanderait à son ministre de la Justice de faire toute la lumière sur ces affaires étouffées. Un de ses slogans de campagne souvent repris en chœur par ses partisans est "Lock her up !..." (Enfermez-la).



Halloween 2016


D'où vient la popularité de Trump ?

Pour la plupart des partisans de Donald Trump, son slogan électoral "Make America great again" ne signifie nullement que l'Amérique devrait s'émanciper de la tutelle sioniste ; cette tutelle est tellement omniprésente qu'ils n'ont même pas conscience qu'elle existe. Si Donald Trump est si populaire, cela n'a rien à voir avec Israël ni avec les guerres présentes et futures que les USA font ou feront pour le bien de cet Etat voyou.

■  On fait confiance à Trump parce qu'il a promis de faire cesser la délocalisation massive des emplois vers les pays étrangers, qu'il dit comment il va le faire (taxe de 35 % sur les importations de marchandises produites dans le cadre de cette délocalisation), et qu'il est crédible.

■  On lui fait confiance parce qu'il a promis de mettre fin à l'immigration illégale illimitée, qu'il explique comment il va s'y prendre (bouclage de la frontière sud, application des lois existantes), et qu'il est crédible.

■  On lui fait confiance parce que, contrairement à Clinton qui n'est que langue de bois, phrases toutes faites, clichés "politiquement corrects" et hypocrisie détectable à l'œil nu, Trump est naturel, spontané, authentique, même dans les circonstances que ses adversaires utilisent contre lui (ses fameuses conversations de vestiaire entre hommes).

■  On lui fait confiance parce que tout le monde peut voir qu'il est traité de façon infâme par les merdias, et que ce n'est pas lui qui donne 1.500 dollars à des voyous pour qu'ils aillent foutre la merde dans les meetings électoraux de son adversaire, mais bien Crooked Hillary qui fait cela (avec l'argent fourni par Soros).

■  On lui fait confiance parce qu'il n'a pas un passé de politicien corrompu (pléonasme) et qu'on pense qu'il fera tout pour rester honnête en s'appuyant sur ses électeurs. C'est pour cela que l'establishment le traite de "populiste" (un mot au contenu positif transformé en insulte).

■  On lui fait confiance parce que sa concurrente démocrate est à vomir, qu'elle ment comme elle respire et qu'elle représente tout ce qui dégoûte les gens depuis des décennies. Sans trucage électoral et sans les merdias, elle ne pourrait même pas se faire élire au poste de responsable de la fourrière, comme dit Donald Trump - vidéo (entre-temps censurée) - autre vidéo (voir à partir de 0:55).


"Révélations"

Pour joindre l'utile à l'agréable, on s'est permis de réactiver le projet Wikileaks. Les nouvelles "révélations" d'Assange sont, comme toujours, connues depuis longtemps ou parfaitement inoffensives (Hillary a dit ceci, son chef de campagne a dit cela). Leur intérêt réside dans le fait qu'on peut accuser la Russie de Poutine d'avoir piraté les serveurs* du Parti Démocrate pour le compte de Trump, ce qui constitue un gravissime cybercrime, pour ne pas dire un casus belli.

* Ce n'est pas la NSA qui ferait une chose pareille...



Oui, mais attention :  010 = 0  (voir Exit le Brexit ?)




Encore confidentiel quatre jours avant l'élection :

L'avion de la "nouvelle présidente" est déjà prêt.
Nom de code : Broomstick One.





POPULARITÉ :

Pendant toute sa campagne, Trump attire des dizaines de milliers de partisans partout où il passe. Non seulement il remplit les plus grandes arènes, mais on doit refuser du monde pour des raisons de sécurité. Crooked Hillary, au contraire, est aussi "populaire" que Flanby en France. Elle a toutes les peines du monde à rassembler 2 ou 300 personnes, et plusieurs de ses meetings ont été transformés en concerts pour leur enlever l'impression de vide. Soit dit en passant, tandis que la sorcière fustige Donald Trump pour sa "vulgarité" verbale, le rappeur Jay Z, qu'elle a invité, est cent fois plus ordurier avec ses "niggers", ses "fuck you" et ses "motherfuckers".




8 NOVEMBRE 2016 - LA VICTOIRE DE DONALD TRUMP

Le soir de l'élection, vers 23 heures (heure de la côte est), la victoire de Trump commence à se dessiner. Le lendemain, on apprend que 306 grands électeurs sur 538 (270 seraient suffisants) devraient se reporter sur son nom. Vu que la fraude électorale n'a pas disparu comme par miracle, il est clair qu'un vote honnête aurait conduit à un résultat encore plus tranché - voir plus bas.



Une vague rouge submerge les Etats-Unis, mais elle n'a rien à voir avec le "socialisme" :
Les 50 Etats + DC - codes et noms

Les chiffres correspondent au nombre de grands électeurs de chaque Etat. Le candidat qui remporte la majorité des votes populaires dans un Etat se voit attribuer la totalité des grands électeurs de cet Etat (à condition qu'il n'y ait pas d'infidèles - voir plus haut - dans le Maine et le Nebraska, la procédure est légèrement différente). En principe, le résultat global est le suivant : Trump 306 grands électeurs (= 56,9 %) - Clinton 232 (= 43,1 %). En nombre de suffrages populaires : Trump : 59,7 millions de voix (= 47,5 %) - Clinton : 59,9 millions (= 47,7 %). Taux de participation : 55,6 %. Tout cela, bien entendu, sans tenir compte de la fraude - voir plus bas.

A la Chambre des Représentants, les Républicains disposent maintenant d'une majorité de 240 sièges sur 435 ; au Sénat ils ont 52 sièges sur 100 (plus la voix du vice-président Mike Pence qui préside d'office le Sénat). Toutefois, ces élus ne soutiennent pas tous Donald Trump.


Fraude massive après l'élection

Après le 9 novembre (date de proclamation des résultats ci-dessus), "le total des suffrages s'est accru au fil des jours en raison du temps nécessaire pour dépouiller des millions de votes par correspondance dans les grandes métropoles" (Wikipédia). Alors que le nombre de grands électeurs pour chaque candidat n'a pas varié (toujours 306 : 232), le nombre de voix serait passé le 17 novembre à 61,5 millions pour Trump (+ 1,8 million) et à 62,8 millions pour Clinton (+ 2,9 millions). Autrement dit, sur les 4,7 millions de bulletins découverts et décomptés dans les huit jours qui ont suivi l'élection (comme dans une vulgaire république bananière), 62 % reviennent à Clinton, et seulement 38 % à Trump : on prend vraiment les gens pour des imbéciles...  Source : Wikipédia en français et Wikipédia en anglais (les chiffres diffèrent d'une page à l'autre et ne sont toujours pas définitifs en date du 17 novembre).

Pour la petite histoire : alors que le nombre de suffrages décomptés augmente de jour en jour, le taux de participation, lui, est en baisse, passant de 55,6 % à 55,4 % (Wiki francophone) voire à 53,6 % (Wiki anglophone) - également en date du 17 novembre.  (Taux de participation définitif, le 17 décembre : 55,3 %.)

Le 21 novembre (13 jours après l'élection), le dépouillement n'est toujours pas terminé. Entre le 17 et le 21, on aurait décompté 1,3 million de bulletins supplémentaires (0,5 pour Trump, 0,8 pour Clinton). De cette manière, Crooked Hillary "devance" son adversaire de 1,6 million de voix.

Le 24 novembre (16 jours après l'élection), "l'avance" de Crooked Hillary est passée à 2,1 millions de voix (64,4 millions pour Clinton, 62,3 millions pour Trump). Sur les 7,1 millions de voix décomptées après le dépouillement initial du 9 novembre, 4,5 millions reviennent à Clinton (63,4 %), 2,6 millions à Trump (36,6 %).

Le 17 décembre (un mois et neuf jours après l'élection), "l'avance" de la perdante est de 2,86 millions de voix (en tout 65,84 millions pour Clinton, 62,98 millions pour Trump). Au cours de ces 39 jours, entre le 8/11 er le 17/12, on a décompté 9,22 millions de suffrages supplémentaires, dont 5,94 millions pour Clinton (64,43 %) et 3,28 millions pour Trump (35,57 %), soit un avantage de 2,66 millions pour la tricheuse démocrate. Avec les 200.000 voix de plus qu'on lui avait déjà attribuées lors du décompte initial (voir un peu plus haut), on obtient ladite différence de 2,86 millions. Il semblerait que ces chiffres soient définitifs, mais on ne peut jurer de rien. Dans n'importe quel pays civilisé et un tant soit peu démocratique, les résultats complets d'une élection nationale sont proclamés au plus tard au bout de deux ou trois jours. Aux Etats-Unis, il faut près de six semaines...

Le résultat surréaliste de ce bourrage d'urnes post-électoral en continu sert de prétexte pour contester l'élection de Donald Trump. La fraude ouvre la porte à encore plus de fraude...


Recomptage des voix

Le 25 novembre, on apprend que Jill Stein, candidate du Parti Vert (1 % des suffrages), demande un recomptage dans trois Etats (Wisconsin, Michigan, Pennsylvanie) où l'écart entre Trump et Clinton est assez faible. Ensemble, ces Etats "rouges" que l'on veut voler à Trump disposent de 46 grands électeurs, ce qui est amplement suffisant pour faire pencher la balance en faveur de Crooked Hillary. Bien entendu, Jill Stein n'agit pas pour elle-même, ce qui n'aurait aucun sens, mais uniquement dans le cadre de la guerre anti-Trump. La campagne de contestation des résultats est organisée et financée par Soros, mais la candidate verte fait comme si elle avait elle-même levé les fonds auprès de ses supporters : Jill Stein's Recount Is Funded By George Soros


Le roi de la subversion et sa marionnette verte :

Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que Jill Stein roule pour son coreligionnaire Soros.
En 2011, on la voyait souvent avec les gens d'Occupy Wall Street,
un autre des nombreux projets du milliardaire juif.

Hillary Clinton, en faveur de qui tout ce cirque a lieu, fait d'abord semblant de ne pas être au courant. Deux jours plus tard, oubliant qu'elle a déjà concédé sa défaite, elle se joint à la nouvelle tentative d'escroquerie.


Résultat du recomptage :  dans le Wisconsin, 131 voix de plus pour Trump ; dans le Michigan et en Pennsylvanie, recomptage stoppé par les tribunaux (selon Wikipédia).


Deux tweets de Donald Trump du 27 novembre :

■  "Grave fraude électorale en Virginie, dans le New Hampshire et en Californie [trois Etats attribués à Hillary Clinton].  Pourquoi les médias ne donnent-ils pas d'informations là-dessus ?  Grave parti pris, gros problème..."

■  "En plus d'une victoire écrasante au niveau des grands électeurs, j'ai aussi gagné le vote populaire si vous déduisez les millions de gens qui ont voté illégalement..."

Trump a raison : des millions d'illégaux ont voté.  En Californie et dans d'autres Etats, les gauchistes ont même ouvertement encouragé les illégaux à le faire.

Former Immigration Officer : Many Illegals Can Vote with Fake Documents - Un ancien fonctionnaire des services d'immigration explique comment les illégaux votent avec de faux papiers. En Virginie, le gouverneur démocrate a fait inscrire 60.000 immigrés illégaux sur les listes électorales.

Voir également plus bas : 24.1.2017


Sauve qui peut !

Le 9 novembre 2016, c'est la gueule de bois dans le camp clintonien. Le 5, c'est-à-dire trois jours avant le scrutin, Newsweek célébrait la "victoire" de "Madam President".  C'est râpé...


Première réaction de Crooked Hillary
(à confirmer) :

"C'est la faute à Diebold et aux autres fabricants de machines à voter.
Ces cons-là sont incapables de tricher comme il faut. Ils m'avaient pourtant promis...
C'est emmerdant, je vais être obligée d'émigrer au Canada...
"




"A moins que..."





Commentaires de Bill Clinton :

1 :  "Je n'ai absolument aucun rapport avec cette femme."
2 :  "Comme tous les gens sensés, j'ai voté Donald Trump."




Le chœur des Hillares
sur l'air de La Carmagnole :

♫ ♫

"Monsieur Soros avait promis, Monsieur Soros avait promis
De faire gagner Dame Hillary, de faire gagner Dame Hillary
Mais le coup a foiré et Donald est passé...
Bon débarras la folle, vive l'élection, vive l'élection
Bon débarras la folle, vive l'élection, nom de nom !...

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira
Crooked Hillary, il faut qu'on t'enferme
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira
Crooked Hillary, on t'enfermera
"


Ce qui est drôle, après la victoire de Donald Trump, c'est la gêne croissante des politicards européens qui, il y a une semaine encore, ne manquaient pas une occasion de l'insulter, et qui doivent maintenant "faire avec". C'est ainsi que notre Flanby antinational (Monsieur 4 %) dénonçait les excès de Donald Trump qui donnent un haut-le-cœur. Il a bonne mine aujourd'hui, cet idiot qui croit ses propres mensonges... De son côté, le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, traitait Trump de prêcheur de haine et se montrait "très inquiet de voir le monstre du nationalisme s'étendre dans le monde". Pour l'homme de Néandertal Steinzeitmeier, "nationalisme" est un gros mot... N'empêche que son plus grand souci, à présent, est de rencontrer le nouveau président avant Jean-Marc Ayrault, "inquiet" lui aussi.*

* Au fil des semaines, ce "problème" disparaît. Fin janvier 2017, Steinmeier n'est plus aux Affaires étrangères, le parlement l'a élu président (une fonction purement honorifique). Son successeur Sigmar Gabriel et son homologue français ne se bousculent plus pour rencontrer le nouveau locataire de la Maison Blanche. Comme tout le monde, ils pensaient que l'hostilité anti-Trump se calmerait après l'investiture du 20 janvier. Il n'en est rien, au contraire. Entre-temps, quelqu'un a dû leur expliquer que le milliardaire américain n'en avait plus pour longtemps, et qu'il ne fallait rien faire pour prolonger sa survie.

La déclaration suivante de Donald Trump pendant sa campagne électorale donne une idée de ce que le nouveau président pense vraiment des dirigeants politiques allemands : "Hillary veut devenir l'Angela Merkel de l'Amérique... Et vous savez quel désastre cette immigration massive représente pour l'Allemagne et le peuple allemand, avec une vague de crimes impensable jusqu'à présent. Nous avons assez de problèmes, inutile d'en ajouter un nouveau..." (source)

Briefing de la CIA :  Trump va-t-il pouvoir réaliser son programme ?





AVANT / APRÈS  -  OU COMMENT NE PAS AIMER LA POLITIQUE ET LES POLITICIENS                Source 1    Source 2

Obama sur Trump pendant la campagne électorale :

■  "Il n'a pas les capacités requises pour devenir président."

■  "Ce qui est effrayant dans son cas, c'est qu'il ne maîtrise pas les dossiers et ne semble avoir aucune intention d'apprendre ce qu'il ne connaît pas."

■  "Il n'a que des slogans à offrir, et il exploite les craintes des gens. Je me sentirais profondément frustré si je devais le recevoir à la Maison Blanche, pas pour ce qu'il a dit de moi mais par peur pour l'avenir de notre pays."


Obama sur Trump après l'élection :

■  "Avant tout, je voudrais souligner, Monsieur le Président élu, que nous ferons tout notre possible pour vous aider à réussir, car si vous réussissez, c'est le pays qui réussit."

■  "J'ai eu une excellente conversation avec le Président élu Trump à Maison Blanche. Ma priorité numéro un dans les deux prochains mois, sera de m'efforcer de faciliter une transition qui lui permette de réussir..."


Trump sur Obama pendant la campagne électorale :

"Obama est le pire des présidents de toute l'histoire de notre pays. Il a été désastreux, faible, inefficace..."


Trump sur Obama après l'élection :

■  "Je vous remercie beaucoup, Monsieur le Président. Nous n'avons encore jamais eu l'occasion de nous rencontrer. J'éprouve pour vous un grand respect. J'espère qu'à l'avenir, j'aurais la possibilité de vous revoir et de profiter de vos conseils."

■  "Monsieur le Président, cela a été un grand honneur pour moi d'être reçu par vous, et j'espère que nous aurons beaucoup d'autres occasions de rencontres."


Trump sur Clinton pendant la campagne électorale :

Il faudrait un livre entier pour énumérer toutes les "gracieusetés" de Donald sur sa chère "Crooked Hillary" (malhonnête, menteuse, corrompue, criminelle, etc...)  Citons seulement son fameux :  "Moi président, vous seriez en prison..."


Trump sur Clinton après l'élection :

"Je félicite Hillary et sa famille pour cette campagne qu'elle a menée de façon très pugnace... Nous lui devons énormément de gratitude pour les services qu'elle a rendus à notre pays. Et je le pense très sincèrement."


Clinton sur Trump pendant la campagne électorale :

Là aussi il faudrait un livre entier... Selon Clinton, Trump est raciste, misogyne, dangereux pour le pays, et il roule pour Poutine.


Clinton sur Trump après l'élection :

"J'ai félicité Donald Trump et lui ai offert de travailler avec lui dans l'intérêt de notre pays. J'espère que sa présidence sera une réussite pour tous les Américains."

Allez, Donald, sois pas salaud, redonne-lui son ancien poste de ministre des Affaires étangères...



"Let's make America great and stronger together again..."



Et comme par hasard, l'Etat terroriste juif, par l'intermédiaire de DebkaFile,
vient se rappeler au bon souvenir du nouveau président :

"La première action militaire de Trump au Moyen-Orient pourrait cibler l'Iran.
Il pourrait frapper les installations nucléaires ou les sites de missiles iraniens pour
bien montrer que personne n'a le droit de jouer au petit malin avec l'Amérique.
"

(Voir également plus haut : Israel über alles)





EN PRIME :

"Mister President-elect, vous connaissez mon prix..."  ( voir plus haut )






CONTRE LE PRÉSIDENT ÉLU TOUS LES MOYENS SONT BONS


La fraude électorale

Après avoir pris leur raclée le 8 novembre, les clintoniens, quand ils ne continuent pas de dénoncer le "conspirationnisme" de leurs adversaires, prétendent qu'ils ont eux-mêmes été victimes de la fraude. Ce qui est stupide, car les partisans de l'outsider Trump n'ont jamais eu le pouvoir de falsifier l'élection à grande échelle. Pour cela il faut être au cœur même du dispositif. Depuis l'élection volée de novembre 2000 (George Bush fils), l'expérience a montré que les organisateurs de la fraude ne sont pas liés à un parti déterminé mais au candidat, tantôt républicain tantôt démocrate, sélectionné par l'establishment pour telle ou telle raison. En 2016, c'est Hillary Clinton qui avait été choisie.

On peut se demander pourquoi la fraude n'a pas globalement fonctionné cette fois-ci. C'est une question à laquelle il est difficile de répondre pour le moment... On peut se demander aussi quel pourcentage de suffrages populaires Clinton a véritablement recueilli. Certainement pas 47,7 % (0,2 % de plus que Trump). Il est probable que la répartition des voix entre Trump et Clinton est plus proche de ce que l'on observe pour les grands électeurs (Trump 56,9 % - Clinton 43,1 %) - voir plus haut.

Trump's Victory Should Not Obfuscate Election Fraud - La victoire de Trump ne doit pas nous cacher la fraude électorale : "Par bonheur, les pertes subies par Hillary Clinton ont été si considérables, que les fraudes massives des responsables du Parti Démocrate dans différentes villes n'ont pu compenser ce déficit..."

Election fraud by voting machine on Election Day - Pennsylvania, Nov 8, 2016 - vidéo (entre-temps censurée - autre lien).

Mais la fraude ne s'arrête pas le soir de l'élection : sur les manipulations post-électorales et le recomptage voir plus haut.


Le trumpisme ne passera pas

Après le succès de Donald Trump, quelques centaines de mauvais perdants "démocrates" organisent des "manifestations de masse" et autres "protestations pacifiques" dans les bastions clintoniens :

 
Vu à Seattle (Etat de Washington) et à Oakland (Californie)
© Soros - Révolution colorée de la côte ouest



Il existe même un mouvement sécessionniste : Calexit (vidéo)

Espérons que ce n'est qu'un début


Ils espèrent encore pouvoir voler la présidence

Se basant sur les résultats (falsifiés) du vote populaire, les perdants appellent les grands électeurs républicains à soutenir Clinton lors du vote formel prévu pour le 19 décembre. On sait qu'un certain nombre de RATs (Republicans Against Trump) ont été élus le 8 novembre et qu'ils n'attendent que cette occasion pour trahir. Une inversion du résultat (306 : 232) nécessiterait 38 transfuges - voir plus haut. Hillary Clinton a reconnu sa défaite, mais sait-on jamais ?...

Donald Trump ne sera vraiment sûr d'être le nouveau président qu'après le 19 décembre, voire même seulement après la proclamation officielle du résultat le 6 janvier 2017 - pour ne pas dire seulement après son investiture officielle à la Maison Blanche, le 20 janvier (voir plus bas).

En Californie, à New York et ailleurs, Soros et les merdias continuent d'entretenir l'agitation et les violences anti-Trump (nombreuses photos).


 
Les fans de Clinton exhibent le drapeau mexicain et brûlent le drapeau américain


  
Certains aimeraient "destituer" Trump avant même qu'il ne soit à la Maison Blanche. D'autres veulent carrément le tuer.




LA "UNE" QUE LE NEW YORK TIMES AURAIT PU PUBLIER
POUR DÉNONCER LE "RACISTE" DONALD TRUMP :

« TRUMP EXPULSE UNE FAMILLE NOIRE DE SON DOMICILE »





LE MONDE À LA DÉRIVE :

Le jour de l'élection, Trump est foutu...



Le lendemain, il est élu...
et peut se consacrer aux vrais problèmes qui préoccupent Le Monde.


"Révolution colorée", pressions sur le président élu, campagnes médiatiques

The Clintons And Soros Launch America's Purple Revolution  par Wayne Madsen : violence urbaine et tentatives d'infléchir la politique de Trump en lui imposant des "conseillers" et autres "experts" proches de l'ancienne administration.

La "révolution pourpre" de Soros, qui avait commencé en douceur le 9 novembre voir plus haut, atteint trois jours plus tard un niveau inattendu. "Elle est coordonnée par les organisations 'Moveon.org' et 'Black Lives Matter' que finance Soros. Elle touche New York, Los Angeles, Chicago, Oakland, Nashville, Cleveland, Washington, Austin, Seattle, Philadelphia, Richmond, St-Paul, Kansas City, Omaha, San Francisco et quelque 200 autres villes à travers les Etats-Unis..."

Les agitateurs payés entraînent avec eux toute une foule de gauchistes bobos déçus par la défaite de Clinton. En fait, beaucoup d'entre eux étaient des partisans de Bernie Sanders, le Mélenchon américain dont la nomination a été volée par Clinton lors des primaires démocrates ; ils tiennent Trump pour responsable de leur frustration. En Californie, on trouve aussi parmi ces gens des illégaux mexicains qui considèrent que la violation systématique des lois sur l'immigration est "un droit". A tout cela il faut ajouter les habituels casseurs et voyous et, comme en Europe, la racaille fasciste "antifa" dont les seules "valeurs de gauche" sont la promotion de la pédérastie et la "lutte" contre le "réchauffement" que Trump dénonce à juste titre comme une supercherie.

Pour les grands merdias (CNN en tête), la campagne électorale est loin d'être terminée. Au contraire, elle a repris de plus belle avec ses tsunamis de haine et de mensonges.

Jusqu'à présent, on pouvait se fier à la fameuse blague sud-américaine qui demande pourquoi les Etats-Unis n'ont jamais connu de putsch au cours de leur histoire, et qui explique que c'est dû à l'absence d'une ambassade américaine sur le territoire des USA. Désormais, avec Soros, cette boutade risque de perdre son sens.

Dans son article, Wayne Madsen écrit également : "Dans un de ses messages électoraux diffusé juste avant l'élection, Trump a souligné que George Soros, Janet Yellen (présidente de la Fed) et Lloyd Blankfein (PDG de Goldman Sachs) font tous les trois partie d'une « structure globale de pouvoir qui est responsable des décisions économiques qui ont détroussé la classe laborieuse, volé les richesses de notre pays et mis tout cet argent dans les poches d'une poignée de grandes entreprises et entités politiques ». Soros et ses créatures ont immédiatement attaqué et ridiculisé ce message, l'accusant d'être « antisémite ». Le Président Trump devrait se méfier de ces gens et de leurs semblables. Le fils de George Soros, Alexander Soros, a appelé la fille de Trump, Ivanka, et son mari Jared Kushner, à désavouer publiquement Donald Trump. La tactique de Soros ne consiste pas seulement à diviser les nations, elle divise aussi les familles. Trump doit rester sur ses gardes face aux machinations présentes et futures de George Soros, y compris sa « révolution pourpre »..."

[Soros, Yellen, Blankfein et Kushner sont juifs et sionistes. Et quand on sait que le nouveau Président est totalement soumis au lobby innommable (voir plus haut), le pire est à craindre...]


Anarchie organisée : flash mobs anti-Trump, Hollywood et le trésor de guerre de Wall Street  par Shawn Helton.


En attendant le 19 décembre 2016, date à laquelle les grands électeurs se réunissent dans chacun des 50 Etats pour désigner officiellement le président, les campagnes orchestrées par le camp Clinton-Soros et relayées par les grands merdias se succèdent à un rythme effréné :

■  En coulisse, on essaie de pousser le plus grand nombre possible de grands électeurs républicains à "voter selon leur conscience", c'est-à-dire à reporter leurs voix sur la candidate perdante (voir plus haut). Pour cela, on utilise un peu la carotte et beaucoup le bâton, ce qui est d'autant plus aisé que bon nombre de Républicains connus (le clan Bush, John McCain, Colin Powell...) se sont déjà prononcés contre Trump.

■  Depuis le 8 novembre, on ne cesse de répéter que Hillary Clinton a recueilli plus de suffrages populaires que Donald Trump. C'est faux si l'on examine les résultats de plus près (voir plus haut), mais le fait que les merdias le rabâchent continuellement, a fini par convaincre beaucoup de gens, y compris des partisans de Trump. La campagne autour du recomptage vient se greffer là-dessus.

■  Il y a aussi le matraquage autour des « fake news » qui consiste, pour les propagateurs permanents de mensonges et de fausses nouvelles, à accuser les sites indépendants et certains utilisateurs des réseaux sociaux de se rendre coupables de désinformation (voir plus bas). Le merdia Washington (Fake) Post appelle ouvertement à la censure de 200 sites qui lui déplaisent (détails).

■  Révélation du siècle (répétée en boucle depuis le 8 novembre) : Poutine est derrière les fake news, et c'est lui qui a provoqué la défaite de Clinton en lançant des cyberattaques contre les USA.  En résumé : ces salauds de Russkoffs ont falsifié les résultats de l'élection présidentielle, mais comme ils sont trop cons pour faire ça correctement, ils ont donné 2,86 millions de voix de trop à Hillary... En tout cas, c'est eux qui manipulent l'Internet américain, et Trump est leur complice...

C'est la CIA avec son patron John Brennan (nommé par Obama et bien entendu clintonien), qui anime la campagne russophobe. La dernière trouvaille de celui qui sera bientôt remplacé par Mike Pompeo (voir plus bas) : mener une "enquête" destinée à "prouver" ce qu'il sait déjà, à savoir la culpabilité du Kremlin. Mieux encore : les merdias reprochent au nouveau président de ne pas se soumettre aux briefings de la CIA... qui ont pour but de lui expliquer qu'il n'a été élu que grâce à la "fraude russe". Donald Trump n'attend rien de bon de "ces gens qui prétendaient que Saddam Hussein avait des armes de destruction massive" (source). Et comme il est poli, il se contente de leur dire :


"Imaginez ce qui se serait passé si le résultat de l'élection avait été l'inverse,
et si nous avions nous-mêmes essayé de jouer la carte Russie/CIA.
On aurait parlé de théorie du complot !...
"




Réponse d'Obama quelques jours plus tard :




"Je suis encore le président, et je vais punir Poutine..."



Killary se sent revivre : si ça continue comme ça,
elle l'aura sa guerre contre la Russie...

Après avoir échoué le 19 décembre 2016 (voir plus bas) et à l'approche du 6 janvier, dernière occasion de voler "légalement" la présidence, les ennemis de Donald Trump accentuent leurs efforts et multiplient les manigances. Obama ben Soros met sa menace à exécution et expulse 35 diplomates russes (dont le cuisinier du consulat de San Francisco, coupable de pirater les élections américaines à tous les repas). Poutine s'abstient de prendre des contre-mesures ; au contraire, il invite les enfants des diplomates US à venir fêter le Nouvel An au Kremlin. Trump remercie son homologue russe pour ce geste "smart", ce que les clintocards considèrent aussitôt comme une nouvelle "trahison".

Le 3 janvier 2017, le nouveau Congrès se réunit pour la première fois, et il devient clair que les perdants démocrates renforcés par quelques traîtres républicains, comme les sénateurs John McCain (Arizona) et Lindsey Graham (Caroline du Sud) ainsi que le caméléon Paul Ryan (élu du Wisconsin et président de la Chambre des Représentants), vont tout faire pour empêcher Trump de réaliser son programme, spécialement lorsqu'une majorité de 60 % est requise pour adopter un texte.

Deux jours plus tard, le 5, les patrons de la CIA, de la NSA et de quelques autres agences de renseignement viennent "témoigner" devant le Sénat et confirment sans la moindre preuve leurs accusations débiles contre la Russie. McCain alias McDégueu et son acolyte Graham mènent la danse, ils sont encore plus anti-Trump que les démocrates... Entre-temps, le "briefing" (en l'occurrence : lavage de cerveau) auquel Trump doit se soumettre, est reporté au 6 janvier. Le président élu ironise sur Twitter : "Ils n'ont pas eu le temps de fabriquer leur dossier..."



Le "dossier" bidon que le président élu se voit présenter le lendemain se résume en fait à une compilation d'âneries antirusses. Pire encore : le contenu a été communiqué par avance aux merdias et à Obama... mais pas à Trump. Un des "meilleurs arguments" des fins limiers américains : la NSA a intercepté des conversations de responsables russes se réjouissant de la victoire de Trump !...  Tu parles, Charles... évidemment que les Russes se réjouissent. Qui ne se réjouit pas ?...

Non seulement les services de renseignement (ou plutôt leurs chefs) ne témoignent aucun respect au nouveau président et à sa fonction, mais ils attendent de lui qu'il leur confirme : oui, les gars, vous avez raison, vous m'avez convaincu que sans Poutine, je n'aurais jamais remporté l'élection...  Bref, ils le prennent carrément pour un imbécile, pour un moron à la George W. Bush...  Un grand coup de balai serait nécessaire de ce côté-là si Trump veut vraiment gouverner.



PЯEUVE IЯЯÉFUTДBLE
que Poutine a piraté l'élection présidentielle américaine :

Dans un recoin de la Trump Tower, le clintonien Alec Baldwin a découvert
une version russe de la casquette « Make America Great Again »




Et sur le Hollywood Boulevard, Moscou a fait transformer l'étoile de Donald Trump

... en étoile rouge comme il y en a en haut des tours du Kremlin



TRANSITION : DE LA VICTOIRE À L'INVESTITURE

Avant d'entrer à la Maison Blanche, Donald Trump doit surmonter dix semaines d'interrègne. Contrairement à la plupart des passations de pouvoir précédentes, les risques sont ici assez considérables. Au pire, le président élu peut être assassiné : les menaces de mort proférées à son encontre ne relèvent pas toutes de la plaisanterie. La "révolution colorée" (voir plus haut) que Soros met en scène ces jours-ci avec des moyens financiers et "humains" presque illimités, ne doit pas non plus être négligée. Il est probable que quelque chose de massif est en cours de préparation pour le 20 janvier. Si Trump mobilise ses partisans pour y faire face, il y aura certainement des affrontements violents et peut-être même sanglants. Clinton et Obama pourraient, en quelques phrases, calmer les esprits, mais ce n'est évidemment pas le but de la manœuvre. Jusqu'à présent, on laisse faire Soros quand on ne nie pas tout simplement qu'il soit actif (on crie au "conspirationnisme"). Toujours est-il qu'une provocation est toujours possible, pour voler l'élection a posteriori et enterrer les espoirs de changement. Le coup de force peut aussi se produire au niveau des grands électeurs (voir plus haut).

Autre risque : l'équipe dont va s'entourer Trump pour gouverner (conseillers, experts, ministres), peut être composée de gens qui ne tarderont pas à retourner leur veste ou, au minimum, pousseront le président à expurger son programme de tout ce qui déplaît à ses adversaires. Qu'il le veuille ou non, Trump doit puiser, au moins en partie, dans le réservoir de politiciens professionnels qui existe à Washington. Il est plus facile de dominer un débat aux primaires républicaines, contre des adversaires tous plus nuls les uns que les autres, que de mettre sur pied une administration digne de confiance.


(L'éléphant symbolise le Parti Républicain)


Les professionnels de la politique, comme par exemple les 240 députés républicains à la Chambre des Représentants, sont beaucoup plus exposés et plus sensibles aux pressions anti-Trump de l'establishment. Elus pour deux ans, ils auront très vite une seule chose en tête : leur réélection. Au plus tard au bout d'un an, leur engagement en faveur de l'agenda présidentiel risque de devenir aléatoire, en supposant qu'il ne le soit pas dès le départ. S'il veut réaliser son programme ne serait-ce qu'en partie, Trump doit donc agir très vite. Et il est pratiquement seul face à la caste politique et médiatique traditionnelle, sans autre soutien que ses électeurs... qui le lâcheront s'il viole (trop) ses promesses.

Quoi qu'il arrive, le milliardaire a déjà fait sauter l'artificiel clivage gauche-droite ou ce qu'il en restait. Il est dans certains domaines (grands travaux, relance de l'emploi et de la consommation) plus "progressiste" que les idiots démocrates qui s'affublent de ce qualificatif, mais se contentent en réalité de réciter bêtement les slogans dictés par Soros et Cie. Ils traitent le nouveau président de "fasciste" mais c'est eux qui le sont.

Un autre mérite de Donald Trump : il est la preuve vivante que le fait d'être riche et ultra-sioniste ne suffit plus pour que les maîtres du monde vous respectent en tant que président. Dans un monde où chacun doit ramper devant Israël, l'ultra-sionisme va de soi, et un milliardaire isolé n'est ni l'oligarchie ni le pouvoir, même et surtout s'il aspire à l'une et à l'autre. - voir plus bas ce qu'en dit Paul Craig Roberts. Ce que l'on exige des candidats en 2016, c'est l'ultra-sionisme plus la dépendance financière. Se faufiler entre les mailles du filet grâce à ses milliards n'est plus un avantage mais un handicap et une circonstance aggravante.


Les trois obstacles que le président élu doit affronter avant d'entrer à la Maison Blanche

■  19 décembre 2016 - les grands électeurs se réunissent dans chacun des 50 Etats et votent pour l'un ou l'autre des candidats, en principe conformément à la volonté des citoyens (voir plus haut). Le problème, c'est que les citoyens ont voté soit pour Trump/Pence, soit pour Clinton/Kaine (noms figurant sur le bulletin ou "ticket"), et pas pour un grand électeur plus ou moins anonyme* désigné par son parti. qui va voter "selon sa conscience" six semaines plus tard et prétendre qu'il respecte la volonté des citoyens, sous prétexte que la perdante aurait recueilli un plus grand nombre de voix - ce qui est faux de toute façon (voir plus haut). D'ailleurs, même en laissant de côté la question de la fraude, si le critère décisif pour remporter l'élection était le nombre de suffrages populaires, à quoi serviraient les grands électeurs ?  Faut-il changer les règles électorales en cours de route quand on n'apprécie par le résultat ?  C'est exactement ce que veulent faire les clintoniens.

* Le site Politico a publié une liste complète des 538 noms. Les "infidèles" potentiels susceptibles de voler la présidence à Donald Trump sont parmi les 306 Républicains (GOP) des 30 Etats rouges plus le Maine (le seul Etat où les deux partis ont des grands électeurs : 3 Dem, 1 Rep). Avant le vote du 19/12, seul le numéro 478 (Stephen Suprun, Texas) a dit clairement qu'il votera contre Trump.

[ Le jour venu, le président élu surmonte cet obstacle, recueillant 304 votes contre 227 pour Crooked Hillary (au lieu de 306 : 232). Deux grands électeurs seulement ont lâché Trump, deux Texans : Suprun (n° 478 de la liste Politico) et Greene (n° 482). Mais ces deux hommes n'ont pas pour autant choisi Clinton ; leurs votes sont allés à deux Républicains qui ne se présentaient pas (John Kasich, candidat battu aux primaires, et Ron Paul, conservateur à l'ancienne et pour ainsi dire précurseur de Trump). Ce résultat tient presque du miracle quand on pense aux incroyables pressions subies par les grands électeurs républicains. On leur a promis argent et aide juridique gratuite s'ils changeaient de camp, on les a harcelés pendant des semaines, les inondant de courriels et d'appels téléphoniques, de jour comme de nuit, on a envoyé des manifestants payés beugler des slogans hostiles sous leurs fenêtres, beaucoup ont dû engager des gardes du corps ou faire appel à la police...

Mais la véritable surprise est ailleurs : huit grands électeurs démocrates ont fait à Hillary Clinton ce que son parti recommandait de faire à Donald Trump (dont cinq avec succès). Dans l'Etat de Washington, ils sont quatre à avoir tourné le dos à la tricheuse (trois ont choisi Colin Powell, un Républicain partisan de Clinton, le quatrième a voté pour Faith Spotted Eagle, une militante sioux qui a organisé les récentes protestations contre l'oléoduc du Dakota).  A Hawaii, un cinquième grand électeur démocrate a voté pour Bernie Sanders (adversaire "malchanceux" de Clinton aux primaires). Les trois tentatives infructueuses : dans le Minnesota, un grand électeur démocrate a voté pour Sanders... avant d'être exclu au profit de son suppléant. Même chose dans le Colorado, et aussi dans le Maine, mais là on a fait pression sur le dissident pour l'obliger à voter Hillary. ]

■  6 janvier 2017 - les deux chambres du Congrès (Chambre des Représentants et Sénat) se réunissent à Washington DC, comptent les voix transmises par les grands électeurs et proclament le résultat. Comme le putsch électoral n'a pas réussi le 19 décembre, la clique trumpophobe peut se rattraper maintenant, avec la possibilité de "mettre en suspens" la présidence Trump. La procédure est compliquée, mais le danger bien réel. Comme l'explique "Moon of Alabama", il suffit qu'un représentant et un sénateur (ils peuvent être democrates) fassent objection au vote du 19 décembre, pour que les deux chambres soient dans l'obligation de se saisir de l'affaire. On peut en principe invoquer n'importe quel prétexte pour barrer la route au président démocratiquement élu, par exemple sa "collusion" avec Poutine qui l'a "fait élire" grâce à des "cyberattaques contre les Etats-Unis". Ce n'est certainement pas pour rien que les merdias mènent une campagne hystérique à ce sujet (voir plus haut). Dans ce cas de figure, Mike Pence pourrait devenir président... et mettre au rebut le programme de Donald Trump avec l'aide des clintoniens, ce qui est tout à fait plausible quand on considère son profil politique (voir plus bas).

The "Elite" Coup of 2016  par "Moon of Alabama".

Détails de la procédure électorale sur le site des Archives nationales américaines. Ce site donne également les résultats de toutes les élections présidentielles américaines depuis celle de 1789 remportée par George Washington. A l'époque, tous les candidats étaient du même parti, le Parti Fédéraliste. Le candidat arrivé en tête devenait président ; le deuxième, vice-président.

[  Finalement, au cours d'une cérémonie très 18ème siècle, la victoire de Donald Trump par 304 votes contre 227 (voir quelques lignes plus haut - 19 décembre) est reconnue par le Congrès que préside le vice-président sortant. Et ce, malgré l'objection d'une "gente dame" du Texas, représentante démocrate de cet Etat, dont la justification évoquant "les Russes" est malheureusement interrompue par les coups de maillet de Biden, car le protocole ne permet à ce stade que les objections sans argumentation. Même chose pour le vote des grands électeurs de six autres Etats, supposément inversé du bleu au rouge par les soins de l'abominable Poutine. Mais comme ces objections émanent toutes de représentants sans être soutenues par aucun sénateur, elles ne seront ni retenues ni discutées - détails.  De toute évidence, les clintoniens privilégient pour le moment la guerre d'usure contre le nouveau président à la confrontation directe... ]

■  20 janvier 2017 - Si le coup d'Etat "soft" ne réussit ni le 19 décembre ni le 6 janvier, il reste toujours la possibilité d'empêcher l'investiture du 20 janvier en faisant intervenir "la rue" encadrée par des insurgés professionnels. A partir de là, tout est possible quand on sait que plusieurs généraux figurent parmi les "hommes du président" (voir plus bas), que les partisans de Trump sont armés et que beaucoup de patriotes au sein du dispositif militaro-sécuritaire n'attendent qu'un signe pour agir si jamais des putschistes s'avisaient de voler la présidence. Dans un tel cas extrême, tout dépendrait de la volonté de résistance du président légitime, de son courage et de sa capacité à communiquer. Il ne dispose d'aucun grand média, et un seul clic suffirait pour lui interdire - à lui et ses partisans - l'usage de Twitter et de YouTube. Les premiers pas dans cette direction s'annoncent déjà (voir plus haut).

En attendant, à une dizaine de jours de l'investiture, l'hystérie anti-Trump est à son comble, conduite comme il se doit par CNN - Clinton (Fake) News Network. Dernière trouvaille des losers clintoniens : Trump est à la merci des Russes depuis qu'il a participé, dans un hôtel de Moscou, à des partouzes perverses avec une bande de pisseuses - détails. C'est garanti 100 % authentique (comme l'acte de naissance d'Obama) et confirmé par les pédocriminels du Pizzagate. S'ils n'ont pas trouvé mieux, ce n'est pas de leur faute : niveau caniveau oblige...

Dans un registre plus sérieux, des groupes "de gauche" (financés par Soros) s'apprêtent à intervenir violemment le 20 janvier. Michael Moore est également de la partie. Il avait en son temps protesté contre la fraude électorale de novembre 2000, mais depuis le 11.9.2001, il n'a strictement rien compris (voir ici : Fahrenheit 911). Aujourd'hui, Moore soutient les fascistes clintoniens au nom de "l'antifascisme". Il n'a pas saisi que les tricheurs d'il y a seize ans ont fait bien pire à la dernière élection, et que tout cela n'a rien à voir avec tel ou tel parti politique - voir également plus bas 17.2.2017.

The Neocons' Declaration of War Against Trump (The Saker)  -  Traduction française : La déclaration de guerre des néocons contre Trump



COMMENT LES GLOBALISTES VOIENT LA "MENACE" SOUVERAINISTE :

Le Pen, Poutine, Trump et Farage donnent le signal de la nouvelle "révolution"
(The Economist - couverture du 19.11.2016)

"Avec son appel « L'Amérique d'abord » Donald Trump est la dernière recrue d'un dangereux nationalisme..."



ENFIN À LA MAISON BLANCHE

Le 20 janvier 2017 à midi, Donald Trump prête serment et devient ainsi officiellement le président en exercice. On ne pourra plus lui voler "légalement" l'élection ; pour se débarrasser de lui, il faudra soit le destituer (impeachment - les clintoniens sont en train de constituer un dossier) soit lui faire subir le sort de John Kennedy.

Le discours d'investiture de Trump, très combatif, s'apparente à ses discours de campagne, les attaques contre Crooked Hillary en moins - texte intégral - traduction française. Les merdias américains sont déçus, ils espéraient que le nouveau président, comme ses prédécesseurs, se contenterait de banalités aussi ennuyeuses qu'interchangeables. Contraints et forcés (par les lois du marché) de montrer dans toute leur longueur la cérémonie d'investiture et les réjouissances de la journée, les chaînes trumpophobes les garnissent de commentaires désobligeants : un fait unique dans toute l'histoire des Etats-Unis. A partir de là, on sait que cette hostilité systématique et maladive durera aussi longtemps que le président sera là.

En l'espace de quelques heures, deux gros mensonges de CNN (Clinton Fake News Network) :

■  des propos imaginaires attribués à Nancy Sinatra

■  une photo bidon du Mall vu depuis l'obélisque du Washington Monument, pour "prouver qu'il n'y avait pas foule" au pied du Capitole pour écouter Trump :





Cette photo a été prise dans le courant de la matinée



Situation réelle à midi : le Mall est noir de monde jusqu'au Washington Monument, à deux kilomètres de là.

Au cours de cette première journée de l'ère Trump, "la rue" entre en action comme prévu, mais les casseurs professionnels et autres fascistes "antifa" ne sont que quelques centaines et les dégâts restent limités. Ce n'est qu'un début, comme dirait l'autre...

Première mesure symbolique du nouveau président : il fait retirer la page "Réchauffement climatique" du site Internet de la Maison Blanche - détails.


21 janvier 2017 : les maîtres du monde décrètent "la résistance" contre le président démocratiquement élu et mobilisent leurs troupes... au nom de la démocratie. Et ce, non seulement à Washington mais dans le monde entier - logique...

Jusqu'à présent, seuls deux ministres ont reçu l'approbation du Sénat : James Mattis (Défense) et John Kelly (Homeland Security). Pour tous les autres, en particulier Rex Tillerson (Affaires étrangères) et Mike Pompeo (CIA), les ennemis du président (clintoniens démocrates et RATs* républicains) font de l'obstruction pour empêcher l'alternance dans ces deux domaines importants.

* Republicans Against Trump

Tillerson sera donc absent de la conférence sur la Syrie, qui s'ouvre le 23 à Astana (Kazakhstan). Quant à la CIA, et c'est encore plus grave, elle est toujours aux mains de "l'ancien régime". John Brennan, le prédécesseur de Pompeo, a démissionné au profit d'un bureaucrate subalterne qui se conforme aux ordres donnés avant la démission. Le nouveau chef de la CIA n'a aucun pouvoir. Conscient du danger, Donald Trump se rend à Langley (Virginie) afin de sonder le terrain, et peut constater que beaucoup de fonctionnaires de l'Agence le soutiennent. Reste à savoir quelle influence ils ont.

Le président en profite pour dénoncer la malhonnêteté des médias et leur falsification de la présence populaire à l'investiture de la veille - détails. Trump estime qu'il y avait entre un million et un million et demi de personnes, alors que la télé montrait des "pelouses" quasiment vides. (Le gazon est protégé jusqu'au printemps par des panneaux blancs que l'on voit sur les photos ci-dessus - détails.)

Un peu plus tard, dans une conférence de presse, le porte-parole de la Maison Blanche, Sean Spicer, fustige à son tour les médias mensongers et promet qu'ils auront des comptes à rendre. Spicer quitte la salle sans répondre aux questions des "journalistes".


22 janvier 2017 : le Secret Service, chargé de protéger le président, enquête suite aux propos de Madonna comme quoi elle avait songé à faire sauter la Maison Blanche - détails. Cette menace de la chanteuse, de son vrai nom Louise Ciccone (prononcez : si conne), n'est peut-être pas à prendre au sérieux. Elle promet souvent sans tenir parole. En octobre 2016, par exemple, elle avait annoncé : Si vous votez pour Hillary Clinton, je vous taillerai une pipe. Depuis deux mois et demi, trente millions de clintoniens frustrés attendent qu'elle passe aux actes. On voit ce que valent certaines promesses électorales... Sans aller aussi loin que Madonna, des dizaines de stars du showbiz avaient promis d'émigrer si Trump était élu : hélas, elles sont toujours là...

Madonna défend la "dignité des femmes"... dans un discours plein de grossièretés - CNN coupe l'antenne.  Rien de nouveau chez les supporters de Crooked Hillary - voir plus haut.

Un peu plus tard, si l'on en croit les merdias, "Madonna revient sur ses propos chocs concernant la Maison Blanche" :


"On a déformé mes paroles. J'ai pas dit que je voulais faire sauter la Maison Blanche,
j'ai dit que je voulais ME FAIRE SAUTER par Trump devant la Maison Blanche.
C'est quand même pas pareil, fuck ! fuck ! fuck !...
"

Les protestations anti-Trump, déclarées "marches des femmes", ont rassemblé paraît-il des millions de participantes dans l'ensemble des USA : 4.621.085 pour être précis. C'est en tout cas ce que prétendent ici les organisatrices (payées par Soros). Ce chiffre est susceptible d'augmenter de jour en jour, exactement comme les voix "recueillies" par Hillary Clinton jusqu'à six semaines après le vote du 8 novembre - voir plus haut.

A cet égard, il faut rendre hommage aux quinze meufs de la manif de Lafayette (Colorado), mentionnées tout en bas de la liste. Evidemment, les sexistes misogynes haineux qui soutiennent Trump vont dire que 15 personnes sur les 24.453 que compte cette ville (selon Wikipédia), ce n'est pas terrible. Ne les écoutez pas...  Quoi qu'il en soit, si les 4.621.085 manifestantes acceptaient d'aider Madonna, la "material girl" pourrait facilement matérialiser sa promesse électorale (voir quelques lignes plus haut). A raison de sept clintoniens par clintonienne, ça ne devrait pas poser de problème...


23 janvier 2017 : le Sénat confirme la nomination de Pompeo comme chef de la CIA. Par contre, le sort de Tillerson (Affaires étrangères) est toujours en suspens, de même que celui de beaucoup d'autres futurs ministres - voir ici.  Les ennemis de Donald Trump font tout pour retarder la mise en place de son gouvernement. Simultanément, ils reprochent au nouveau président de ne pas être prêt, d'être incapable de remplir ses fonctions, etc...  Même s'il le veut, Trump ne peut pas tout faire lui-même. Quoique parfois...


24 janvier 2017 : confirmation par le Sénat de Nikki Haley (ambassadrice à l'ONU) et de Ben Carson (ministre du Logement et du Développement urbain). En attendant d'avoir son gouvernement et des ministères en état de fonctionner selon les nouvelles règles, Trump annule quelques décrets de dernière minute pris par Obama pour lui mettre des bâtons dans les roues, et en signe de nouveaux. Par exemple, pour débloquer la construction de l'oléoduc Keystone et privilégier les entreprises américaines dans ce domaine. Ou encore pour geler les contrats et subventions publiques abusives de l'Agence pour l'Environnement EPA dans le cadre de la supercherie climatique. D'autres décrets sont en préparation pour contrôler l'immigration sauvage, lancer la construction prochaine du fameux mur frontalier et supprimer l'aide financière aux "villes sanctuaires" (démocrates) qui violent la loi fédérale en accueillant massivement des migrants illégaux (et en fournissant à ces étrangers des documents qui leur permettent de voter par millions). Trump signe également un texte ordonnant le retrait des Etats-Unis du traité transpacifique TTP. Le nouveau président semble avoir la ferme intention de réaliser comme prévu son programme pour les 100 premiers jours.

Revenant sur le thème de la fraude électorale, Donald Trump écrit sur Twitter : "Je vais demander une investigation majeure sur la FRAUDE ÉLECTORALE, y compris sur les gens inscrits dans deux Etats, sur les illégaux qui votent et sur les personnes figurant encore sur les listes bien que décédées (depuis longtemps pour beaucoup d'entre elles). En fonction des résultats de l'investigation, nous renforcerons les procédures électorales."

Quand Obama encourageait le vote illégal (article et vidéo). Le 6 novembre 2016, deux jours avant l'élection présidentielle, répondant à une question sur la chaîne Fox News, Obama rassurait les illégaux en leur disant qu'ils ne risquaient rien s'ils allaient voter :  "Les listes électorales ne sont communiquées à aucune autre administration, personne ne peut se mettre à enquêter [pour savoir si vous résidez légalement aux USA ou pas]. Le vote est sacré et strictement confidentiel... Si vous votez, cela fait de vous un citoyen..."  Une déclaration totalement aberrante : 1) ce qui est secret dans une élection, c'est pour qui vous votez, pas si vous avez le droit légal de voter - 2) ce n'est pas le fait de voter qui fait le citoyen, mais au contraire le fait d'être citoyen qui permet de voter.  Mais on sait que la légalité, Obama s'en fiche comme de son premier acte de naissance...

Sur le vote des illégaux, voir également plus haut.


25 janvier 2017 : Trump demande au State Department et au Pentagone de lui soumettre dans les 90 jours un plan détaillé pour la mise en place de "zones de sécurité" en Syrie - détails.


26 janvier 2017 : tandis que la guerre permanente des merdias contre Donald Trump atteint chaque jour de nouveaux sommets, le chef stratège de la Maison Blanche, Steve Bannon, rembarre les pressetitués, en particulier Michael Grynbaum du New York Times : "Vous n'avez aucun pouvoir... Vos médias élitaires n'ont aucune autorité pour dire ce que le peuple américain attend du nouveau président... Vous avez été incapables d'anticiper le résultat de cette élection, vous vous êtes plantés à 100 %. Vous avez subi une défaite humiliante dont vous ne pourrez jamais vous laver ; elle sera toujours là... Alors, vous devriez vous sentir gênés, vous devriez la fermer, rester tranquilles un moment et écouter...  Les médias sont maintenant le camp de l'opposition. Ils ne comprennent rien à ce qui se passe dans ce pays et n'ont toujours pas réalisé pourquoi Donald Trump est le président..."  (source)



L'HOMME À ABATTRE

27 janvier 2017 : le président signe un décret interdisant temporairement (pour une durée de 120 jours) l'entrée de "réfugiés" aux USA, quel que soit leur pays d'origine. Cette période de 120 jours permettra au State Department et à la Homeland Security de revoir en profondeur les procédures de contrôle. Les "réfugiés syriens" sont bannis jusqu'à nouvel ordre. Le contingent total de "réfugiés" pour l'année fiscale 2017 (FY 2017 - du 1er octobre 2016 au 30 septembre 2017) est fixé à 50.000. Dans ce chiffre sont inclus les 32.000 "réfugiés" déjà admis durant les trois mois et 27 jours écoulés. Lors de la période précédente (FY 2016), Obama a laissé entrer 85.000 "réfugiés" (chiffre officiel probablement très inférieur à la réalité). Le décret permet des exceptions (minimales) pour les minorités religieuses persécutées.  Autre mesure décrétée : suspension temporaire (pour 90 jours) de l'octroi de visas aux immigrants et non-immigrants venant de certains pays : Syrie, Somalie, Soudan, Libye, Yémen, Iran et Irak.  (source)

Bonne nouvelle au rayon de la lutte contre le réchauffage climatesque : Trump va réduire d'au moins 50 % l'empreinte carbone de l'EPA (Environmental Protection Agency) en virant plus de la moitié des 15.000 parasites qui y "travaillent".  (source)


28 janvier 2017 : le décret présidentiel de la veille sur l'immigration illégale sert de prétexte à la nébuleuse Soros pour relancer la "révolution de couleur" de novembre (voir plus haut) et organiser des manifestations "spontanées" dûment coordonnées avec les merdias. A New York, plusieurs centaines de protestataires (dont beaucoup payés 50 $ de l'heure) bloquent l'aéroport JFK sans être inquiétés le moins du monde. Apparemment, une partie de la police et de la Homeland Security couvre les apprentis putschistes.


Les mêmes signes de ralliement qu'en Europe...


avec la participation des mêmes fachos "antifa"
(© Soros)


George Soros-Financed Groups Scheme to Stop Trump's Temporary Refugee Halt Order

A New York, une juge fédérale nommée en 2014 par Obama fait comme si le décret présidentiel n'existait pas et accorde le droit de séjour à plusieurs passagers étrangers en situation irrégulière et de ce fait en instance d'expulsion. Même chose à Washington et à Boston : c'est une action concertée...  Un coup de force judiciaire est en cours pour contrecarrer les mesures prises par la nouvelle administration. Si Trump ne réagit pas vite et fort, il risque de subir son Waterloo avant la fin des cent jours.

En attendant, le président signe trois autres décrets : sur la réorganisation du Conseil de Sécurité Nationale de la Maison Blanche, sur le lobbying (les sionistes n'ont rien à craindre), et sur la stratégie à suivre pour en finir avec Daesh. Trump passe aussi quelques coups de fil : avec Poutine (rien de concret) ainsi qu'avec Hollande et Merkel ("Puisque vous plaidez pour l'accueil des réfugiés, je vais vous en envoyer trois millions fraîchement débarqués de Syrie via le Mexique. On m'a dit qu'il y avait encore de la place à Barbès et sur le parvis de la cathédrale de Cologne...")

Le décret sur l'immigration et celui sur Daesh sont liés et montrent les limites du programme présidentiel en la matière. La liste des pays visés (Syrie, Somalie, Soudan, Libye, Yémen, Iran et Irak) porte la griffe d'Israël. Les bons élèves de Tel Aviv, à commencer par l'Arabie Saoudite et les Etats du Golfe, n'y figurent évidemment pas. Gageons qu'ils ne seront pas non plus pris en considération dans le futur plan d'éradication de Daesh. Même avec beaucoup d'imagination, on ne voit pas Donald Trump dévoiler les vraies causes du terrorisme : qui l'a créé ? qui l'arme ? qui le finance ? qui le soutient ? qui l'utilise ?... Pour cela il faudrait 1) qu'il en prenne lui-même conscience et 2) qu'il chamboule tout, qu'il remette en question la politique américaine des vingt dernières années, qu'il fasse la lumière sur les auto-attentats du 11 septembre, qu'il mette en cause l'Etat voyou juif et sa toute-puissante mafia sioniste, qu'il ait le courage de sévir contre les ennemis de l'intérieur (l'Etat profond et ses créatures)...  Absolument impensable, il serait assassiné avant d'avoir pu réaliser ne serait-ce qu'un pour cent de cet utopique agenda...

Mais en fin de compte, on ne peut juger le président qu'en fonction de ses promesses, pas en fonction de ce qu'il pourrait faire s'il était conséquent. Et jusqu'à présent, "Donald Trump fait ce qu'il dit et dit ce qu'il fait" - Immigration : Donald Trump tient ses promesses (Gabriel Robin - Boulevard Voltaire)

Marrant : Shia LeBeauf et sa secte de zombies clintoniens (article et vidéo)

Sérieux : A "color revolution" is underway in the United States (The Saker)


30 janvier 2017 : Donald Trump limoge la ministre de la Justice par intérim, Sally Yates, qui avait appelé à transgresser le décret présidentiel sur l'immigration. Yates, une fonctionnaire de "l'ancien régime" se trouvait provisoirement à la tête du ministère en attendant la confirmation par le Sénat du nouveau ministre Jeff Sessions - détails.

En empêchant la mise en place du nouveau gouvernement, les clintoniens démocrates et leurs alliés républicains (RATs) encouragent la sédition menée par Soros. Tant que Trump ne parviendra pas à acquérir un minimum de contrôle sur l'appareil sécuritaire, ses chances de succès resteront nulles.

Jusqu'à présent, il n'a rien tenté pour mobiliser ses nombreux partisans, peut-être par crainte d'attiser les affrontements. C'est une tactique qui risque de s'avérer fatale, tout comme celle qui consiste à ménager ses ennemis. Au niveau de la communication, Trump se contente de Twitter et de déclarations isolées face aux merdias, dont il sait pourtant qu'elles seront systématiquement tronquées et déformées. Il est incompréhensible que le milliardaire, avec les relations dont il dispose dans les milieux communautaristes qui gèrent l'information, n'ait jamais songé à se doter d'une chaîne de télévision à lui pour contrer les mensonges et la propagande des merdias globalistes.

Dans les rares cas où les nouveaux ministres désignés par Trump ont été confirmés par le Sénat, la nécessaire reprise en mains peut commencer. Ainsi par exemple, le patron du Service de l'Immigration et des Douanes (ICE) dépendant de la Homeland Security, un homme peu enclin semble-t-il à appliquer les lois et règles existantes, est congédié et remplacé par un fonctionnaire plus fiable. Mais changer une personne au sommet ne suffira pas dans un secteur aussi sensible. Pour redonner au pays la maîtrise de ses frontières, comme le veut le programme présidentiel, Trump devra aller plus loin.

Senate Democrats Obstruct President Trump's Nominees (sur le site officiel de la Maison Blanche). Onze jours après l'investiture, sur 21 ministres ou directeurs d'agences fédérales nommés par Donald Trump, 17 sont encore victimes de l'obstruction politique des sénateurs démocrates [et éventuellement des RATs républicains comme John McCain et Lindsey Graham]. A la même date, en 2009, seulement sept ministres ou directeurs désignés par Obama étaient en attente de confirmation, et en 2001, seulement quatre désignés par Bush fils.

Trump's Climate Plans Just Made the Media's Heads Explode par James Delingpole (Breitbart). Une conférence de presse donnée à Londres par Myron Ebell, responsable de la protection de l'environnement dans l'équipe de transition du candidat Donald Trump, a fait exploser comme des pastèques mûres les têtes des climatoqués de la Global Warming Policy Foundation. Lire aussi, du même auteur : Trump Is Definitely Going to Pull the U.S. out of the UN Paris Climate Agreement.


31 janvier 2017 : le président nomme le juge Neil Gorsuch à la Cour Suprême, pour occuper le siège du juge Scalia décédé il y a un an - détails. La nomination ne sera valable qu'après avoir été confirmée par le Sénat.

Les neuf juges de la Cour Suprême sont nommés à vie et décident en dernière instance (souvent avec une voix d'écart) dans des domaines susceptibles d'infléchir de façon décisive la vie politique ou les fondements moraux de la société : peine de mort, immigration illimitée, droit de s'armer, avortement, "mariage" homosexuel, adoption d'enfants par les "couples" pédérastes, et qui sait quoi encore à l'avenir... La nomination d'une juge comme Elena Kagan par exemple (nommée par Obama) n'a rien d'anodin et répond aux exigences d'une idéologie bien précise, vu qu'elle est juive et lesbienne. Sa collègue Ruth Ginsburg (nommée par Bill Clinton) est également juive mais pas homosexuelle (ce n'était pas encore la mode à l'époque). Elle proclame que Donald Trump est un "imposteur", ce qui donne une idée de la manière dont elle respecte la "neutralité" et "l'obligation de réserve" exigées par la fonction qu'elle occupe.

Bien que le conservateur Neil Gorsuch soit cent fois plus neutre et réservé dans ses idées et ses propos, les légionnaires de $✡R✡$ feront tout pour empêcher sa confirmation. Ils trouvent que la Cour Suprême, qui ne compte que trois juges juifs sur neuf (le troisième étant Stephen Breyer, nommé par Bill Clinton), devrait en accueillir davantage, à commencer par leur chouchou Merrick Garland que Barack Obama avait choisi mais que le Sénat (républicain) n'avait pas confirmé. Bref, les démocrates (et autres trumpophobes) vont faire à Gorsuch ce que les républicains (sans Trump) avaient fait à Garland.

Trump's Supreme Court pick polarizes religious US Jewry (The Jerusalem Post).

On apprend dans cet article qu'un rabbin Jonah Dov Pesner veut sonder les positions de Neil Gorsuch sur des sujets importants comme 1) la séparation de l'Eglise et de l'Etat (pas la séparation de la Synagogue et de l'Etat, évidemment, sinon Rabbi Jonah se concentrerait sur son Talmud au lieu de se mêler de politique) et 2) l'égalité des LGBTQ (en français : SBLC - on remarquera avec intérêt que l'ancien "LGBT" est devenu entre-temps "LGBTQ" - à juste titre, puisque le Q est la base de tout).

Le Sénat confirme la nomination d'Elaine Chao à la tête du ministère des Transports, mais continue de bloquer, entre autres, Jeff Sessions (Justice), Steven Mnuchin (Finances), Tom Price (Santé) et Rex Tillerson (State Department). Une pétition circule justement aux Affaires Etrangères, signée paraît-il par 900 fonctionnaires opposés au décret sur l'immigration - ça doit être vrai puisque c'est CNN (Clinton Fake News Network) qui l'affirme. D'une certaine façon, c'est pratique : comme ça Trump n'aura pas à chercher longtemps pour savoir qui virer parmi les 18.000 personnes qu'emploie ce ministère.  Les acteurs de la "révolution colorée" et autres obstructeurs parlementaires reprochent au nouveau président (ils n'osent pas encore dire "dictateur") de gouverner à coup de décrets. A qui la faute ?...

En attendant, Donald Trump rencontre les dirigeants de l'industrie pharmaceutique et leur demande de baisser le prix des médicaments. Que va faire Big Pharma ?...


1er février 2017 : le Sénat finit par confirmer la nomination de Rex Tillerson aux Affaires Etrangères.

Depuis qu'ils ont déclaré la guerre au président légal et légitime, les clintoniens semblent avoir perdu toute inhibition. A Austin (Texas - un Etat républicain), la juge Sarah Eckhardt du Travis County - ô combien impartiale - arbore au tribunal le "pussy hat" rose de la "révolution colorée", celui que portaient et portent encore les 4.621.085 louseuses (voir plus haut). "Her Honor" (ou plutôt "Horror") s'était déjà fait remarquer précédemment : en juin 2016, lors d'une cérémonie de naturalisation d'immigrés, elle recommandait aux nouveaux citoyens de vite se faire inscrire sur les listes électorales pour pouvoir voter contre Trump. En octobre 2015, Sarah Fuck-the-Law Eckhardt rencontrait des partisans de l'immigration illégale illimitée pour discuter avec eux de la meilleure manière de faire échouer la plainte déposée par l'Etat du Texas contre le décret d'amnistie d'Obama "légalisant" la présence aux Etats-Unis de cinq millions d'étrangers illégaux - détails.


Objection, votre Horreur !

Pussy Judge Sarah Fuck-the-Law Eckhardt



A quoi reconnaît-on que Poutine intervient en Amérique ?
  
Il leur a envoyé toutes les Pussy Riots qui polluaient son pays

2 février 2017 : tandis que Soros et ses "révolutionnaires colorés" s'efforcent d'empêcher la réalisation du programme de politique intérieure de Donald Trump (celui qui a sans doute le plus de chances de réussir : emploi, immigration), les néocons que le président a fait entrer dans son équipe, sciemment ou inconsciemment, font tout pour saboter le changement espéré en politique étrangère (rapports avec la Russie - voir plus bas) et pour accélérer les mesures négatives prévues dès le départ (Iran, Corée du Nord - également plus bas).

Trump Presidency - first SNAFUs already  (The Saker) :  Yémen, Iran, Russie - ça commence déjà à être le bordel... "Mais il n'est pas trop tard pour changer de cap et revenir à une politique étrangère en phase avec la réalité..."  -  Traduction française


3 février 2017 : un juge fédéral de Seattle (Etat de Washington) bloque, sur tout le territoire des Etats-Unis, le décret présidentiel sur l'immigration. Un bras de fer s'engage entre la Maison Blanche et les auteurs de ce putsch judiciaire - détails.

Parallèlement, les clintoniens qui noyautent l'administration sabotent activement la politique présidentielle :  Many of the 2.7 million bureaucrats employed by the federal government oppose President Donald Trump's policies and are actively attempting to sabotage his agenda.

A la demande des financiers milliardaires juifs qui siègent dans son Business Advisory Panel (voir plus bas), Trump signe un décret prévoyant la suppression d'une bonne partie de la loi Dodd-Frank qu'Obama avait fait passer en juillet 2010 sur le conseil de ses financiers milliardaires juifs à lui, peut-être les mêmes - voir  Crise financière - 25.7.2010. La loi Dodd-Frank, un texte de plus de 2.300 pages, est un monstre de bureaucratie soi-disant conçu pour "protéger le public", mais en réalité totalement inefficace : de la poudre aux yeux. De toute façon, avec ou sans loi, les banquiers font ce qu'ils veulent. Ce qui n'empêche pas certains gauchistes (comme ceux du site trotskiste wsws) de critiquer la suppression partielle de cette loi tout comme ils avaient critiqué sa mise en place.


HYSTÉRIE MERDIATIQUE :

Dernière trouvaille orwellienne des pressetitués allemands
partisans de l'immigration incontrôlée des coupeurs de tête

Trump contre les globalistes


5 février 2017 : football américain, élection présidentielle - même combat : l'équipe des New England Patriots remporte la finale du Super Bowl par 34-28 contre les Atlanta Falcons en prolongation, après avoir été menée de 25 points (détails).

Plus que symbolique, cette victoire :

■  Comme le 8 novembre 2016, les Patriotes ont battu les Faucons (ceux de l'élection, bien que belliqueux, n'étaient peut-être pas si "faux" que ça).

■  Les Patriotes ont vaincu en dépit des pronostics des "experts" qui donnaient à leurs adversaires 91,6 % (voire 99,3 %) de chances de l'emporter - comme à la présidentielle.

■  Le quarterback des Patriotes, Tom Brady, et l'entraîneur en chef, Bill Belichick, sont des patriotes américains qui soutiennent Donald Trump.

■  L'équipe battue est basée à Atlanta, comme CNN.

Que vont faire les perdants et tous ceux qui avaient parié sur eux ?  Vont-ils se plaindre auprès de George Soros ?  Vont-ils mobiliser les Pussy Hats ?  Vont-ils demander à un juge complaisant et complice d'annuler le résultat ?... 

Dès le lendemain, la résistance démocrado-clintono-cnno-sorosiste s'organise.
Après leur fameux #PasMonPrésident, voici le hashtag #PasMonChampionDuSuperBowl :

Le professeur Jaimal a raison : les Faucons devraient être déclarés champions
vu que, comme Crooked Hillary (voir plus haut), ils ont remporté le vote populaire.
Ça leur fait 2.860.000 touchdowns de plus, je vous dis pas le nombre de points...
Il faut #DestituerBrady et rendre obligatoire la #LogiqueDémocrate...

7 février 2017 : le Sénat confirme de justesse la nomination de Betsy DeVos à l'Education (voir plus bas). Bien que les Républicains aient une majorité de 52 sièges sur 100, 50 sénateurs seulement approuvent la nomination. Mais avec la voix du vice-président Mike Pence, qui préside d'office le Sénat, on arrive à un résultat de 51-50. Les deux voix manquantes sont celles de Susan Collins (sénatrice du Maine) et de Lisa Murkowski (Alaska). Les deux RATs habituels que sont John McCain (Arizona) et Lindsey Graham (Caroline du Sud) se sont cette fois abstenus de trahir, on ne sait trop pourquoi. Quoi qu'il en soit, ce vote montre que quatre traîtres au minimum remettent en question la majorité sénatoriale du président. Ils sont probablement encore plus nombreux, et avec l'aide "désintéressée" du "philanthrope" Soros, les autres ne tarderont pas à se manifester.

Si ledit "philanthrope" a échoué dans le cas de Betsy DeVos, ce n'est pas faute d'avoir essayé. Mais parfois, même la mobilisation des dernières réserves ne suffit pas :


"Je m'oppose formellement à la nomination de cette candidate qui
ne dispose en aucun cas de l'expertise nécessaire pour assumer
cette fonction requérant un haut niveau de responsabilté...
"

Bien sûr, les compétences et surtout le programme de Betsy DeVos sont une catastrophe. Mais ce n'est pas pour cette raison que les sénateurs clintoniens voulaient la dégommer. Leurs enfants ou petits-enfants, qui fréquentent tous des établissements privés, ne risquent pas de faire les frais de la réforme projetée par la nouvelle ministre. Au contraire, même ceux qui ont voté contre elle vont profiter de ses "school vouchers".

Avec DeVos, deux semaines et demie après l'investiture, ce sont seulement six postes de ministres ou directeurs d'agences (sur 21) qui ont été approuvés par le Sénat. La nomination de Jeff Sessions à la Justice (voir plus bas) fait l'objet d'une lutte acharnée. Les trumpophobes, surreprésentés au sein de la magistrature, craignent que le nouveau ministre ne les oblige à respecter les lois existantes, notamment en matière d'immigration. Comme il se doit, ils l'accusent de "racisme".



POURQUOI PAS...  L'APPEL AU MEURTRE :

Couverture d'un merdia irlandais




L'AVENIR EST AUX FEMMES :

"C'est pour ça que je veux changer de sexe..."

8 février 2017 : le Sénat finit par approuver la nomination de Jeff Sessions à la tête du ministère de la Justice.

Republican Insiders Push for a Carbon Tax at White House Meeting. L'establishment du Parti Républicain, qui n'a jamais vraiment accepté la victoire de Trump, soutient le lobby climato-réchauffiste et essaie d'imposer une "taxe carbone" pour contrer la politique présidentielle. Ici comme dans bien d'autres domaines (politique extérieure, immigration, justice, merdias...) les attaques frontales s'accompagnent d'un travail de sape mené de l'intérieur.

Il n'est pas rare que des responsables politiques qui doivent leur poste au nouveau président, le contredisent ouvertement face aux merdias. Dernier exemple en date : Kellyanne Conway, conseillère à la Maison Blanche, donne une interview à CNN - ce qui est déjà en soi une aberration - et déclare en réponse à une question, qu'elle ne considère pas la chaîne comme un vecteur de fake news - voir ici.  Et Donald Trump lui-même scie la branche sur laquelle il est assis quand il accepte de se faire humilier par Bill O'Reilly, un arrogant imbécile de Fox News - voir ici. (Fox n'est pourtant pas 100 % fake news. On y trouve encore un ou deux journalistes honnêtes comme Sean Hannity. On se demande donc pourquoi Trump s'abaisse à aller chez O'Reilly.)


9 février 2017 : suite au "gel" du décret présidentiel sur l'immigration par un juge fédéral de Seattle le 3 février (voir plus haut), la Maison Blanche est intervenue devant la Cour d'appel fédérale de San Francisco (United States Court of Appeals for the Ninth Circuit) qui est compétente régionalement pour quinze Etats de l'Ouest des USA. Les trois juges clintoniens de San Francisco ont bien entendu confirmé, à l'unanimité, le jugement de Seattle. Pour se convaincre du "professionnalisme" et de la "probité" de ces juges, il suffisait de les écouter poser leurs questions biaisées, le 7 février, pendant le "hearing" téléphonique au cours duquel les deux parties exposaient leurs arguments. Le tout étant diffusé en direct par CNN sous le label "Washington contre Donald J. Trump", suggérant qu'il s'agissait non pas d'un litige entre l'Etat de Washington (un parmi 50) et la Présidence des Etats-Unis, mais d'une affaire opposant la Capitale de la Nation (DC) à l'homme ("l'imposteur") Donald Trump.

Le président ne pouvait rien attendre de bon de la part de ces "soi-disant juges" (c'est ainsi qu'il avait qualifié celui de Seattle). Si la plainte initiale a été déposée dans cette ville, c'est bien sûr parce qu'on voulait que l'appel soit porté devant la cour de San Francisco, une ville intolérante s'il en est, où quiconque s'oppose à l'idéologie dominante (immigration illégale illimitée, pédérastie, sionisme et "libertarisme" démocrate) court le risque d'être lynché. Et cela peut même arriver à quelqu'un qui remplit un ou plusieurs de ces critères. Ces derniers jours, par exemple, des émeutes fascistes "de gauche" ont ravagé Berkeley (près de San Francisco) sous prétexte que Milo Yiannopoulos, un éditorialiste de Breitbart News (voir plus bas) voulait y donner une conférence.

La Maison Blanche doit maintenant saisir la Cour Suprême, et cela fait également partie du scénario puisque le rapport de forces pour le président y est de quatre contre quatre, et que la confirmation du neuvième juge qu'il a nommé le 31 janvier (voir plus haut) reste bloquée par les sénateurs démocrates et leurs alliés RATs républicains. Les prochains jours (ou semaines) devraient montrer si la nomination de Jeff Sessions au ministère de la Justice a été un bon choix pour le président.

En attendant, l'invasion migratoire va bon train, encouragée en coulisse par les "ONG" de Soros. Maintenant que les juges clintoniens s'arrogent le "droit" d'accorder des visas d'immigration contre la volonté du gouvernement, tout est possible. Des dizaines de millions d'étrangers ont déjà "fait leurs valises", avec parmi eux plus de six millions de Mexicains.

Ninth Circuit Claims Unprecedented Power, Affirms Ban on Immigration Executive Order

Judges Declare Judges Can Grant Immigration Visas, Even When Elected President Disagrees


Pour "reprendre de la hauteur" : Ironie de l'Histoire - Un milliardaire s'oppose au capitalisme nihiliste et guerrier le plus outrancier  par Patrick Visconti


10 février 2017 : le Sénat confirme la nomination de Tom Price comme ministre de la Santé (voir plus bas).

Le Service de l'Immigration et des Douanes ICE, repris en mains par le président, expulse plusieurs centaines d'immigrés clandestins, en se concentrant sur les criminels parmi eux. C'est peu et ce n'est qu'un début, car on estime que onze millions d'illégaux se trouvent aux Etats-Unis. Ce ne sont pas des "sans-papiers", étant donné que les villes "sanctuaires" démocrates leur fournissent des documents qui "légalisent" leur présence et leur permettent de voter (voir plus haut 24.1.17). Ces "sanctuaires" sabotent le travail des agents fédéraux de l'ICE en protégeant les illégaux. Toutefois, depuis que les villes récalcitrantes sont menacées de perdre leurs subventions fédérales si elles n'appliquent pas la loi, certaines d'entre elles, comme Miami, Dayton (Ohio) et d'autres plus petites, abandonnent leurs pratiques illégales. Mais les zones de non-droit en milieu démocrate restent très nombreuses, et les clintoniens n'ont pas dit leur dernier mot.


HUMPTY TRUMPTY ET HILLARYCE AU PAYS DES MERVEILLES :
( l'original )

Elle a un plan B en quatre étapes :
1) Trumpty tombe du haut de son mur mexicain  -  2) Elle l'achève à coups de maillet  - 
3) Un juge de Californie la nomme présidente  -  4) Elle abolit les contrôles aux frontières




QUI FAIT QUOI À LA MAISON BLANCHE ?

Division du travail et répartition des tâches
selon le principe : T'en as un qui bosse (le boss) et douze qui regardent...


11 février 2017 : CNN Cuts Off Bernie Sanders After He Calls them 'Fake News' (vidéo)

Après que le faux adversaire d'Hillary Clinton aux primaires démocrates ait fait, en direct sur CNN, une plaisanterie sur le thème "CNN Fake News" (plaisanterie que la chaîne n'a pas du tout appréciée), un "incident technique" réduit l'homme au silence. En réalité, bien sûr, le sénateur-loser ne pense pas un instant que CNN soit synonyme de "Fake News"... Et comme tous les imbéciles clintoniens, il prétend que "la Russie s'est immiscée dans l'élection américaine" et que "Trump fait copain-copain avec un voyou et assassin qui dirige la Russie"...  Qui ne dirait pas la même chose pour 600.000 $ ?  (voir plus haut)

A court d'idées pour dénigrer Trump ?  Dites simplement qu'il est fou  (vidéo RT)

Comme il se doit, CNN - Crazy Nuts Network - est très actif dans cette campagne.



DÉBUT DE BASCULEMENT ?

12 février 2017 - En plus de l'hostilité générale et systématique des clintoniens à son égard, il semblerait que le président soit confronté à deux problèmes majeurs à l'intérieur de sa propre équipe :

■  Mike Pompeo, le nouveau patron de la CIA (voir plus bas), ne contrôle pas ses gens. Tandis qu'il voyage en Turquie et en Arabie Saoudite pour mettre en œuvre l'agenda de Tel Aviv*, les cadres de Langley lui échappent ; la visite de Trump au siège de l'Agence, le 21 janvier (voir plus haut) n'a pas servi à grand-chose, semble-t-il. Des affrontements internes opposent les hommes forts de la "communauté du renseignement" au général Flynn, le nouveau chef du Conseil de Sécurité Nationale de la Maison Blanche (voir plus bas). A ce sujet, voir cet article de Thierry Meyssan : Donald Trump dissout l'organisation de l'impérialisme états-unien (titre pour le moins exagéré mais contenu intéressant) et cet autre non signé du Réseau Voltaire : La CIA refuse l'accès au CNS de l'adjoint du général Flynn.

* Le 10 février, Pompeo remet au prince héritier d'Arabie Saoudite une médaille pour ses efforts contre le terrorisme (sic)

■  Au niveau de la communication de masse, la politique du nouveau président est encore à des années-lumière de ce qu'elle devrait être. Trump n'a pas grand-chose à opposer aux merdias. Avec Twitter* et Breitbart, il n'ira pas loin ; il lui faudrait une puissante chaîne de télé animée par de vrais journalistes. Or, il ne peut même pas compter sur le journal qui appartient à son gendre Jared Kushner (The New York Observer), qui publie des attaques contre le président. The Spy Revolt Against Trump Begins, par exemple, fait de l'agitation pour le limogeage du général Flynn, prétendument coupable de relations honteuses avec la Russie.

* Bertrand Rivière écrit ici : "A noter que Twitter, à l'aide de ses algorithmes, censure allègrement les réponses aux tweets de Donald Trump qui lui sont favorables. Quand vous regardez les commentaires, vous ne voyez apparaître en premier que ceux qui le contredisent et ce n'est pas un hasard. Ce fait n'est d'ailleurs pas surprenant quand on sait que plusieurs utilisateurs favorables à Trump, comme le célèbre polémiste de Breitbart News Milo Yiannopoulos, ont vu leurs comptes fermés durant la campagne sous des prétextes fallacieux, alors que des terroristes de Daesh et autres émeutiers antifas publient toujours sur Twitter sans être inquiétés."

Le nouveau président ne fait rien non plus pour mobiliser ses partisans, abandonnant la rue aux casseurs gauchistes, manifestants professionnels et autres Pussy Hats. Ce n'est pas du Parti Républicain que peut venir l'initiative d'occuper l'espace public comme pendant la campagne électorale. Le site de la Maison Blanche annonce que "le mouvement continue". Mais où est-il ce mouvement ?...




13 février 2017 - Le Sénat confirme la nomination de Steven Mnuchin au Trésor (voir plus bas) et de David Shulkin au ministère des Anciens combattants (également plus bas).

Première grande victoire de l'Etat profond et des néocons : le général Flynn (voir plus bas) démissionne de son poste de chef du Conseil de Sécurité Nationale de la Maison Blanche. La dissolution de l'organisation de l'impérialisme entrevue par Meyssan est reportée à une date indéterminée - voir plus haut 12 février....  L'impardonnable crime de Michael Flynn : avant l'investiture, il aurait eu une conversation téléphonique avec l'ambassadeur russe à Washington, au cours de laquelle il aurait laissé entendre que les "sanctions" prises par Obama seraient annulées par le nouveau président, ce qui expliquerait que Poutine n'ait pas réagi par des contre-sanctions - voir plus haut.

[Victoires suivantes à partir du 5.4.17]

Une brèche est ouverte, désormais les trumpophobes savent qu'ils peuvent tout obtenir - et c'en est fait du dégel des relations américano-russes...

The Neocons and the "deep state" have neutered the Trump Presidency, it's over folks  par The Saker - traduction française.

L'auteur pense que tout est fini pour le président, maintenant que la "pierre angulaire" de sa politique de sécurité nationale est tombée. Il estime que Trump aurait dû avoir le courage de refuser la démission de celui qui avait osé affronter la communauté du renseignement pour la subordonner à la Maison Blanche...  Au lieu de répliquer coup pour coup aux attaques menées contre lui par l'Etat profond, les néocons et leurs merdias sionisés, le Congrès, les "stars" d'Hollywood et les politiciens européens, le président, depuis qu'il est investi, s'est contenté d'encaisser sans réagir. Le Saker compare Trump à l'ancien président ukrainien Ianoukovitch, élu par la majorité du peuple mais manquant de détermination face à la "révolution colorée" déclenchée contre lui (par Soros et ses putschistes du Maïdan). Si Trump est Ianoukovitch, les USA deviendront-ils la prochaine Ukraine ?...


14 février 2017 - Si Donald Trump n'a pas refusé la démission de Flynn (voir quelques lignes plus haut), c'est tout simplement parce qu'il l'avait lui-même exigée.


Extraits de la conférence de presse du 14.2.17 de Sean Spicer (porte-parole de la Maison Blanche) :

Le président a décidé de demander la démission du général Flynn, et il l'a obtenue.
L'ironie de toute la situation réside dans le fait que le président à été incroyablement
ferme au sujet de la Russie. Il a très clairement fait savoir qu'il attendait du gouvernement
russe une réduction de la violence en Ukraine et la restitution de la Crimée.

La "trahison extraordinairement stupide et auto-destructrice" évoquée par The Saker dans l'article cité quelques lignes plus haut, se confirme entièrement. "Maintenant Trump sera seul, complètement seul, confronté à des personnages comme Mattis et Pence - des enragés de la Guerre froide, des idéologues infectés jusqu'à la moelle, des gens qui veulent la guerre et ne se préoccupent tout simplement pas de la réalité..."



Condensé de l'affaire Flynn d'après Donald Trump :
" J'ai réclamé sa démission et je l'ai obtenue... [car] le général Flynn est un homme merveilleux que les
médias fake news ont traité de manière très très injuste. C'est triste qu'ils l'aient traité comme ça... 
"

Nouvel article du Saker :  The anti-Flynn 'deep state' coup  -  Traduction française

Bien sûr, Flynn n'était pas seulement partisan de la détente avec Moscou. Il avait aussi un côté franchement iranophobe (voir plus bas). Après avoir "collé un avertissement" à Téhéran, voilà qu'il se fait virer sans préavis ; les ayatollahs doivent bien rigoler...


15 février 2017 - Andrew Puzder, que Trump avait nommé ministre du Travail (voir plus bas), retire sa candidature avant d'être auditionné par le Sénat. Les multimillionnaires et milliardaires démocrates, tous plus "progressistes" les uns que les autres, trouvent son profil trop antisocial. Il emploie pourtant des milliers d'illégaux dans ses fast-food, ce qui ne devrait pas leur déplaire. Oui mais voilà, Puzder soutient Trump... Insolubles contradictions...

Satanyahou est en visite à Washington, pas pour récupérer l'âme de Donald Trump (pas encore), mais pour rappeler à ce fidèle vassal les fondamentaux de la politique moyenne-orientale américano-israélienne, que l'on pourrait résumer ainsi :  "La grande guerre par procura-sion, bordel !...  Tout de suite !..."

Les relais de l'Etat profond au sein de la CIA, qui n'ont jamais obéi à leur nouveau chef Pompeo, cachent à leur président et commandant en chef Donald Trump des informations confidentielles, à tel point que même le Wall Street Journal en fait état. Ce merdia clintonien, que la CIA tient soigneusement au courant, nous raconte évidemment que c'est "pour la bonne cause" : Trump risquerait de faire suivre ces secrets d'Etat à l'abominable Poutine. Bien sûr, les "infos" de la CIA, qu'elle les transmette à la Maison Blanche ou pas, sont la plupart du temps sans valeur. Les hommes de Langley ne font pas "du renseignement" mais du ragot et de la propagande de bas étage. Les seuls domaines où la CIA "brille", c'est la promotion du terrorisme (Al-Qaqaïda, Daesh et Cie), l'organisation d'attentats (11 septembre), l'assassinat de dirigeants étrangers hostiles à l'Empire et d'hommes politiques américains gênants (même au plus haut niveau - voir Kennedy), la préparation de nouvelles guerres, la fabrication de faux dossiers et la mise en place de provocations. C'est bien pour cela d'ailleurs que le général Flynn devait réformer le Renseignement pour le compte du président...  Finalement, Trump ne perd pas grand-chose en n'étant pas informé par la CIA, si ce n'est qu'il apprend trop tard ce qui se trame contre lui. Mais comme l'Agence est au cœur du complot pour l'abattre, c'est parfaitement logique.

Un autre aspect de ce complot des services de l'Etat profond, est la mise sur écoute du président et de son équipe, par la NSA et le FBI notamment. En outre, des mouchards sont actifs dans son administration, à un niveau suffisamment élevé pour savoir ce qui s'y passe d'important et en informer les merdias - voir ici.

Pendant ce temps, incroyable mais vrai, le journal de Jared Kushner, gendre et conseiller de Trump, continue de déverser sa haine et ses mensonges contre le président comme le ferait un vulgaire merdia fakestream. L'article en question parle de "KremlinGate" pour décrire le (faux) "scandale" qui "agite" la Maison Blanche, et qui est conçu pour renverser Donald Trump comme le Watergate (un vrai scandale) avait renversé Richard Nixon en 1974. C'est peu de dire que Trump n'est pas à la hauteur...


16 février 2017 - Le Sénat approuve Mick Mulvaney (voir plus bas) comme Directeur de l'Office du Budget.

Après le retrait d'Andrew Puzder la veille, Trump nomme Alexander Acosta à la tête du ministère du Travail (voir plus bas). Acosta prône une politique migratoire totalement opposée à celle du président.

Conférence de presse de Donald Trump - texte complet  (sur le site de la Maison Blanche).  Quelques citations :

"La presse est tellement malhonnête, que si nous n'en parlons pas, nous rendons un bien mauvais service au peuple americain... Il faut en parler car le niveau de malhonnêteté de la presse est hors de contrôle... Une partie des médias est honnête et fantastique, mais c'est une petite partie seulement qui ne déforme pas la réalité... Quand j'allume la télé ou que j'ouvre les journaux, il n'est question que de chaos dans mon administration. Et pourtant, c'est exactement le contraire : cette administration fonctionne comme un mécanisme bien huilé, en dépit du fait que je ne peux toujours pas obtenir la confirmation de mon gouvernement. Il y a encore des nominations en suspens, comme celle de Dan Coats. [voir plus bas] Bien qu'il soit lui-même un des membres les plus respectés du Sénat, il ne parvient pas à obtenir leur confirmation."

Pas de chaos dans son administration ? Voire... En tout cas, le chaos domine dans les explications qu'il donne sur la démission du général Flynn :


Question : Avez-vous congédié Mike Flynn ?

LE PRÉSIDENT : Mike Flynn est une personne très bien, et je lui ai demandé de démissionner, ce qu'il a fait respectueusement. C'est un homme qui... il y avait une certaine information donnée au vice-président Pence, qui est avec nous aujourd'hui. Et je n'ai pas été content de la manière dont cette information a été donnée. [????]

Il n'avait pas à le faire parce que ce qu'il a fait n'avait rien de répréhensible, ce qu'il a fait concernant l'information qu'il a vue... [????]  Ce qui est mauvais, c'est la façon dont d'autres personnes, y compris vous-mêmes ici dans la salle, ont obtenu cette information, parce qu'il s'agissait d'une information classifiée transmise illégalement. C'est ça le vrai problème. Et vous pouvez parler de la Russie autant que vous voulez, ce ne sont que des fake news fabriquées pour essayer de maquiller l'échec des Démocrates, et la presse joue à fond ce jeu-là. En fait, j'ai vu quelques personnes prétendument impliquées dans tout cela, et elles n'étaient au courant de rien. Elles n'ont pas été en Russie, elles n'ont jamais téléphoné en Russie, elles n'ont jamais reçu d'appel téléphonique de Russie. Ce ne sont que des fake news. Que des fake news.


Ce qui gêne dans cette réponse et dans le reste de ses prises de position, c'est que Trump tourne autour du pot, cachant les véritables raisons du limogeage de Flynn et ne faisant rien pour confirmer sa volonté initiale d'améliorer les relations avec la Russie. Il se place sur le terrain de ses ennemis russophobes qui lui reprochent, à lui ou à son équipe, d'avoir "parlé avec les Russes" avant l'investiture - comme si c'était interdit... Au lieu d'envoyer promener ses détracteurs, Trump se perd en "justifications". Au lieu de se comporter en président digne de ce nom, il s'abaisse au niveau des merdias, même s'il les égratigne un peu. Au lieu de boycotter Jim Acosta de CNN comme il l'avait fait le 11 janvier (voir plus bas), il laisse ce troll polluer la conférence de presse.  "Not good !..."



MICHAEL MOORE MORON À DONALD TRUMP :

Qu'est-ce que tu ne comprends pas dans la formule "Dégage traître russe" ?
On peut choisir la manière douce (tu démissionnes)
ou la manière dure (destitution).

Flint (Michigan, près de Détroit), où vit soi-disant le multimillionnaire Michel Moore (il ne doit pas y être souvent), est une ville sinistrée depuis que General Motors est parti au Mexique. En 2016-17, il n'y a même plus d'eau potable à Flint : c'est aussi grâce à la politique d'Obama, que Moore admire tant. Donald Trump, au moins, a l'intention de redonner vie à la Rust Belt en y faisant revenir l'industrie.

Alors moron, qu'est-ce que tu ne comprends pas dans la formule "Make America - and Flint - Great Again" ?...

Voir également plus haut


17 février 2017 - Le Sénat confirme la nomination de Scott Pruitt à la tête de l'Agence de protection de l'environnement - EPA  (voir plus bas).

Un bon résumé de la situation actuelle par Paul Craig Roberts : Repose en paix, présidence (plus bas). Les deux priorités de l'Etat profond : préparer le dossier de destitution de Donald Trump et faire grimper l'hystérie antirusse pour rendre définitivement impossible tout rapprochement politique avec Moscou.


18 février 2017 - Trump, comme en campagne, acclamé par ses partisans à l'aéroport de Melbourne (centre-est de la Floride).

Breitbart : Trump Replays Campaign Promises, Slams 'Dishonest Media' at Florida Rally

C'est le premier rassemblement de ce genre depuis son entrée à la Maison Blanche. Modeste (à peine 10.000 personnes) et n'apportant rien de véritablement nouveau, ce meeting ne devrait pas permettre de redresser la situation. Sans mobilisation de masse et sans médias à lui pour se faire entendre 24/24, Trump ne pourra pas contrer l'Etat profond et sa "Lügenpresse", ni prendre de mesures efficaces pour "assécher le marais" comme il l'avait promis. En fait, après un mois de présidence, Trump se débat dans le marais et s'en remet totalement aux alligators qu'il a fait entrer dans son équipe.


20 février 2017 - Le président nomme le général H. R. McMaster à la tête du Conseil de Sécurité Nationale de la Maison Blanche pour remplacer le général Flynn - voir plus bas.

En plus du lancement de l'enquête parlementaire en vue de la destitution de Donald Trump pour "trahison" au profit de la Russie, ses ennemis démocrates et RATs républicains veulent aussi invoquer le 25ème amendement constitutionnel qui prévoit la marche à suivre lorsque le président est incapable d'exercer ses pouvoirs. Les malades mentaux qui ont eu cette idée, estiment que c'est le cas vu que "Trump donne des signes de maladie mentale" - détails. Parallèlement, on envisage de faire comparaître "l'agent russe" Flynn devant le Congrès où l'on est sûr de pouvoir le coincer sur ses "liaisons dangereuses" avec le Kremlin.

Le dispositif anti-Trump se met en place sans rencontrer aucune résistance, ni de la part du gouvernement ni de celle des électeurs républicains. Le vice-président Pence voyage en Europe pour "rassurer" les alliés de l'UE et de l'OTAN. Il ne se prononce pas encore ouvertement contre son patron, mais il sait que le jour J, c'est lui qui prendra sa place. Le général Mattis, quelques jours plus tôt, encourageait lui aussi l'OTAN (que Trump disait "obsolète") : L'OTAN non "obsolète" se prépare avec Mattis à d'autres guerres (par Manlio Dinucci).

Pour bloquer tout dégel dans les relations américano-russes, démocrates et RATs républicains présentent à la Chambre des Représentants un projet de loi visant à "empêcher le président de réduire ou lever unilatéralement les sanctions" contre Moscou. Le RAT Lindsey Graham (sénateur républicain de Caroline du Sud) déclare que "2017 est l'année où le Congrès va botter les fesses de la Russie".

Au bout d'un mois, la politique étrangère de Donald Trump ne se distingue plus de celle qu'aurait pratiquée Hillary Clinton si elle avait été élue.


The President Needs to Purge And Start Fresh : White House Staff Has Been Infiltrated and Infested

Selon cet article, Reince Priebus (chef de cabinet - voir plus bas) serait un de ceux, dans l'équipe de la Maison Blanche, qui informent ou alimentent en ragots les merdias trumpophobes, à commencer par le Washington Fake Post. Priebus aurait joué un rôle important dans le limogeage du général Flynn. Ses prochaines cibles seraient Stephen Miller (plus bas), Steve Bannon (plus bas) et Kellyanne Conway (plus bas).


21 février 2017 - Nouvel "argument" utilisé contre le président le plus judéolâtre de toute l'histoire des Etats-Unis (qui sont depuis longtemps le pays le moins antisémite du monde) : Trump ne fait rien (ou trop peu) contre les menaces croissantes auxquelles seraient confrontés les centres juifs américains. Au cœur de la campagne : la profanation du cimetière juif de Saint-Louis (bonjour Carpentras). Quand tout le reste ne fonctionne pas (ou pas assez bien), essayez l'antisystémitisme : succès garanti...

Après une pause de quelques jours, la Homeland Security reprend les expulsions d'immigrés illégaux criminels, ce qui choque terriblement les clintocards et leurs merdias. Comment Donald Trump peut-il oser appliquer la loi ? Comment peut-il oser tenir une de ses promesses de campagne ?... Du jamais-vu !... Rien que pour cela, il mérite la destitution ... Aussitôt, les rassemblements "spontanés" de manifestants payés se multiplient. Ils protestent contre tout et n'importe quoi : c'est compris dans le forfait...


Tweet de Donald Trump complété par un de ses partisans :

Trump :
Les soi-disant foules en colère dans certaines circonscriptions républicaines sont en fait, dans de nombreux cas, des actions planifiées par les gauchistes. C'est triste de voir une chose pareille !

Rehage :
OUI ! Ces actions sont PLANIFIÉES et PAYÉES par SOROS, ce milliardaire complètement DÉPHASÉ par rapport au MONDE DU TRAVAIL !


22 février 2017 - L'efficacité du ministère de la Homeland Security en matière de lutte contre l'immigration illégale est sabotée par la présence dans cette administration, de bureaucrates haut placés nommés par Obama pour y faire la politique de qui vous savez ("Open Borders", c'est-à-dire journée portes ouvertes du 1er janvier au 31 décembre). Une de ces taupes, une certaine Lori Scialabba, directrice par intérim du service Citoyenneté et Immigration du ministère, demandait dans une note de service à ses subordonnés de ne pas appliquer le décret présidentiel sur l'immigration, et elle n'est pas la seule - détails. Un cas similaire avait été signalé le 30 janvier au ministère de la Justice. Tant que ces saboteurs n'auront pas été écartés, Trump ne pourra pas vraiment mettre en application ce point essentiel de son programme.

Faux SOS anti-russe de l'armée US (Réseau Voltaire) : un "incident" fabriqué de toutes pièces par l'Etat profond pour faire pression sur Donald Trump. Le commandant en chef des armées ne commande pas grand-chose. L'homme "le plus puissant de la planète" est bien faible face à ses ennemis de l'intérieur. Le jour où ils décideront de déclencher la Troisième Guerre mondiale, Trump n'aura plus qu'à les suivre (s'il est encore à la Maison Blanche). Sa présidence a le mérite de mettre à nu les véritables rapports de force dans la sphère du pouvoir. Probable que lui-même ne le soupçonnait pas...

24 février 2017 - A National Harbor (Maryland), tout près de Washington DC, le président prononce un discours au CPAC, le rassemblement annuel des conservateurs américains, devant plusieurs milliers de supporters. Discours très combatif rappelant celui de Floride le 18 février. Les merdias fakestream en prennent pour leur grade, à commencer par CNN que Trump qualifie ouvertement de "Clinton News Network". Le tout étant retransmis en direct par la chaîne. Les menteurs #1 de la Lügenpresse américaine ne peuvent pas (pas encore) se permettre de boycotter les allocutions présidentielles. Ils ne peuvent pas non plus les censurer lors de la première diffusion. Pour cela, il faudrait qu'ils les transmettent en léger différé de quelques secondes. Ils y viendront peut-être - si Trump n'est pas renversé avant.

Le président avait déclaré quelques jours plus tôt que "les fake médias sont les ennemis du peuple américain". Reprenant cette phrase, Trump reproche à CNN de l'avoir déformée pour faire croire aux téléspectateurs que tous les médias étaient visés, et pas seulement les fake médias. Que fait le Clinton News Network juste après avoir diffusé le discours contenant ce reproche ?  Il organise un "débat" bidon entre quatre abrutis trumpophobes qui s'empressent de confirmer que... "le président vient de nouveau d'attaquer les médias" - les médias, et pas les fake medias. On pourrait en rire, si ce genre de manipulation mensongère ne se reproduisait des dizaines de fois chaque jour, attisant toujours plus l'hystérie anti-Trump. CNN a le droit de mentir en permanence au nom de la liberté d'expression ; Trump n'a pas le droit de dire qu'ils sont malhonnêtes, car cela viole paraît-il cette même liberté...

Quelques heures après le discours de National Harbor, CNN, le New York Times et quelques autres merdias anti-Trump dont la BBC (British Bullshit Connection) se voient refuser l'accès à un point de presse du porte-parole de la Maison-Blanche. Les pressetitués de CNN sont furieux et dénoncent "une intolérable atteinte à la liberté de la presse" (voir paragraphe précédent). Excellente mesure, espérons qu'elle sera définitive...  (Sur la question des fake news, voir également plus bas.)

Un nouveau tweet du président montre l'ampleur des problèmes au sein de l'appareil sécuritaire : "Le FBI est totalement incapable d'arrêter les 'fuiteurs' qui ont infiltré notre gouvernement depuis longtemps. Il ne peut même pas trouver les auteurs des fuites à l'interne. Des informations classifiées sont distribuées aux médias et ça pourrait avoir un effet dévastateur sur les Etats-Unis. TROUVEZ-LES MAINTENANT." (source)

Personne n'a eté limogé au FBI, et surtout pas son directeur James Comey, dont le rôle pendant la campagne électorale a été plus que louche. Sans en avoir l'air, il a empêché toute enquête en rapport avec les "casseroles" de Clinton (voir plus haut). Mais dans ce domaine, Trump ne peut s'en prendre qu'à lui-même. Il n'avait qu'à virer Comey et ne pas renoncer à poursuivre Crooked Hillary (voir plus bas 22.11.2016), ce qui a été une grave erreur stratégique. Entre-temps, on sait que le FBI espionne lui-même la Maison Blanche avec la complicité de la NSA (voir 15 février). Il est évident qu'au lieu d'arrêter les "fuiteurs", le FBI les encourage et les protège...  Que fait le ministère de la Justice dont dépend le FBI ? Jeff Sessions, le ministre, serait-il de mèche avec les ennemis du président ?...

Soros et le 'Deep State' orchestrent une révolution de couleur contre la présidence des Etats-Unis  (Solidarité et Progrès) :  "On se trouve dans une situation dangereuse, où les gens se disant 'de gauche' encouragent des activités illicites des services du renseignement ou encore les propos cinglés d'un sénateur, John McCain, qui rêve de faire la guerre partout dans le monde."

25 février 2017 - Donald Trump annonce qu'il ne participera pas, le 29 avril, au dîner annuel de l'Association des correspondants de la Maison Blanche. Qu'irait-il faire à ce dîner de cons des merdias ?...

Anti-Trump Democrats' Best Allies Are Senate Republicans. Les sénateurs démocrates, minoritaires avec 48 sièges sur 100, n'ont rien à craindre de la majorité. En effet, bon nombre des 52 sénateurs républicains sont les meilleurs alliés des ennemis de Trump. On connaissait déjà John McCain, Lindsey Graham, Susan Collins et Lisa Murkowski (voir plus haut 7 février). Il faut y ajouter Mitch McConnell, sénateur du Kentucky et chef du groupe républicain au Sénat (et marié à Elaine Chao, la ministre des Transports - plus bas).

Plus de cinq semaines après l'investiture, seulement 14 nominations de ministres ou directeurs d'agences fédérales (sur 21) ont été ratifiées par le Sénat. Outre les sept postes en suspens, il reste aussi plus de 540 hauts fonctionnaires fédéraux à confirmer, sans lesquels l'administration est paralysée. Les sénateurs démocrates et leurs complices les RATs prennent tout leur temps. Même en supposant que l'ensemble des candidats soit accepté, la procédure d'obstruction risque de durer aussi longtemps que le mandat présidentiel... Ce qui était censé être un gouvernement actif et réformateur n'est qu'un organe impuissant dirigé par des bureaucrates et des gens mis en place par Obama, plus quelques personnes nommées par Trump à titre intérimaire. Si rien ne change, le président peut enterrer son programme. C'est ainsi que fonctionne la démocrasserie américaine...

26 février 2017 - Draining the Swamp, Mr Trump ?  par Mathew Maavak (Sputnik News) : "De toute évidence. Trump s'est mépris sur l'ampleur et la nature de la plus grande menace existentielle en Amérique. Au lieu d'assécher le marais, la Maison Blanche patauge dans un marigot toxique de services de renseignement privatisés... Selon une enquête du Washington Post de 2010, il y avait alors 1.271 organisations gouvernementales et 1.931 compagnies privées travaillant pour le contre-terrorisme, la sécurité interieure et le renseignement, localisées en 10.000 endroits différents des Etats-Unis. 854.000 personnes, soit une fois et demie la population de Washington DC, bénéficiaient de l'habilitation de sécurité 'top secret', dont près de 500.000 membres de services de sécurité privés. Pour ce qui est des habilitations de sécurité toutes catégories, 5,1 millions d'individus en étaient titulaires en 2013, ce qui représente une industrie de 5,9 milliards de dollars rien que pour les contrôles individuels de ce personnel... Toujours en 2013, selon le New York Times, 70 % du budget du renseignement américain - 56 milliards annuels - allaient au secteur privé..."  Il est parfaitement clair que tous ces gens ne sont pas là pour servir le président Trump. Au contraire, si on leur ordonne d'agir contre lui, ils le font sans hésiter, ils sont payés pour cela.

L'enjeu pour Trump et nous tous  par Paul Craig Roberts :  "Le canular de la 'guerre au terrorisme' a permis de transformer les services du renseignement, dont font partie la NSA et la CIA, et les organismes chargés des enquêtes criminelles, comme le FBI, en services de police secrète de type Gestapo*. Trump est aujourd'hui menacé par ces services... Aucun président ne peut survivre à des services de la police secrète déterminés à le détruire. Si les conseillers de Trump ne le savent pas, Trump a un urgent besoin de se trouver d'autres conseillers..."

* A cette différence près que la Gestapo - Geheime Staatspolizei ou Police secrète d'Etat - de l'époque nazie ne travaillait pas contre le chef de l'Etat.


Tu fais comme je te dis... ou sinon !

Le gouvernement de l'ombre aura-t-il la peau de l'Oncle Donald ?...

La Homeland Security lance un appel d'offres pour la construction du mur à la frontière mexicaine - détails.

27 février 2017 - Le dispositif Clinton pour discréditer Donald Trump  par Thierry Meyssan :  "Un vaste système d'agitation et de propagande a été mis en place pour détruire la réputation et l'autorité du président Donald Trump dès qu'il arriverait à la Maison Blanche. C'est la première fois qu'une telle campagne est scientifiquement organisée contre un président des Etats-Unis et avec de tels moyens... Après la marche des femmes du 22 janvier, une marche pour la science devrait se tenir non seulement aux Etats-Unis, mais dans l'ensemble du monde occidental, le 22 avril. Il s'agit de montrer que Donald Trump n'est pas seulement misogyne, mais aussi obscurantiste [parce qu'il rejette la mystification réchauffiste]...  La campagne actuelle est organisée en sous-main par quatre associations [mais ne pourrait être efficace sans la mobilisation permanente de l'ensemble des merdias]...  Jamais ce type de technique de manipulation de masse n'avait été utilisé contre le chef de file du camp occidental. Pour le moment, ce plan fonctionne : aucun leader politique dans le monde n'a osé se féliciter de l'élection de Donald Trump, à l'exception de Vladimir Poutine et de Mahmoud Ahmadinejad..."

La mafia globaliste anti-Trump contrôle aussi l'Allemagne : Carnaval à Cologne et Düsseldorf.

Par 72 voix contre 27, le Sénat confirme la nomination de Wilbur Ross à la tête du ministère du Commerce. Apparemment, le CV du nouveau ministre plaît beaucoup aux sénateurs des deux camps (voir plus bas).

Scandal of the day : il vient de Kellyanne Conway (plus bas).

28 février 2017 - Discours de Donald Trump devant les deux chambres réunies du Congrès ("sur l'état de l'Union" - texte intégral et vidéo - voir à partir de 13:00).

Pour ce qui est du contenu, rien de nouveau...  L'Histoire - avec un grand H - retiendra la protestation silencieuse des femmes démocrates. Elles sont au nombre de 66 sur 243 élus de ce parti (195 représentants et 48 sénateurs) soit 27 % seulement pour 73 % d'hommes. A quand la parité, et que font-elles pour l'imposer ?...  En attendant, toutes de blanc vêtues, ces ladies refusent d'applaudir Trump et de se lever pour lui. Mais certaines d'entre elles n'hésitent pas à s'agenouiller. Hillary a dû leur promettre que Bill viendrait les consoler :


(Attention : la deuxième à gauche, au dernier rang, est une espionne russe)

1er mars 2017 - Les démocrates et les RATs républicains attaquent massivement Jeff Sessions, qu'ils accusent d'avoir eu des contacts avec l'ambassadeur de Russie. Le but de la manœuvre est d'empêcher le ministre de la Justice de superviser (influencer) l'action du FBI, ce qui fait partie de ses fonctions (voir plus haut 24.2.17). Les trumpophobes veulent en effet que la police fédérale "enquête" sur la "trahison" du président. Pour cela, il faut que Sessions laisse faire ou, mieux encore, qu'il démissionne.

Si Trump avait dès le départ défendu ouvertement sa politique de détente avec la Russie au lieu de céder face à ses ennemis, il n'en serait pas là aujourd'hui. Il est clair à présent que les dominos vont tomber les uns après les autres. Les beaux discours présidentiels, toujours plus ou moins identiques, ne suffisent plus...

Le Sénat confirme la nomination de Ryan Zinke à la tête du ministère de l'Intérieur (voir plus bas).

2 mars 2017 - Le Sénat confirme la nomination de Rick Perry comme ministre de l'Energie et de Ben Carson comme ministre du Logement et du Développement urbain (voir plus bas).

Jeff Sessions, après les accusations de la veille, accepte que "l'enquête" se fasse sans lui, mais le camp anti-Trump continue de réclamer sa tête. Entre-temps, l'hystérie orchestrée par l'Etat profond a atteint un tel niveau, que l'ambassadeur de Russie est qualifié d'espion en chef de Poutine - ce qui implique que toute l'équipe du président est potentiellement coupable de haute trahison. La Maison Blanche, paralysée, réagit à peine, et seulement de manière défensive.

4 mars 2017 - Depuis un manoir situé à quelques kilomètres de la Maison Blanche, une équipe dirigée par Valerie Jarett, la confidente des époux Obama, a pour mission d'organiser la destitution du président Donald Trump  -  Le coup d'Etat silencieux contre Trump

Donald Trump met en cause le 'malade' Barack Obama pour l'avoir mis sur écoute pendant sa campagne

Ce que Donald Trump ne dit pas, du moins pas à haute voix : derrière la marionnette, il y a le marionnettiste.

5 mars 2017 - A point nommé pour faire oublier la modeste contre-attaque présidentielle sur les écoutes téléphoniques, des voyous saccagent une demi-douzaine de cimetières juifs, un peu comme le 21 février mais en mieux organisé. Aussitôt, l'Amérique et le reste du monde dénoncent l'antisémitique recrudescence. N'allez surtout pas croire que les hommes de main de $✡R✡$ sont derrière cette provocation. Non, non, détrumpez-vous : tout cela est de la faute du "prêcheur de haine" de la Maison Blanche...

Des rassemblements de soutien au président ont lieu dans différentes villes des USA, mais avec très peu de participants - détails. Ce n'est pas ça qui le sauvera...

6 mars 2017 - Trump signe un nouveau décret sur l'immigration, remplaçant celui du 27 janvier bloqué par une cour de Californie le 9 février. Le texte a été modifié (détails) dans l'espoir qu'il ne sera pas rejeté par les juges clintoniens. Mais il ne faut pas trop y compter : ce qui importe aux yeux de ces magistrats ripoux, c'est moins le fait que tel ou tel pays ne soit plus mentionné dans la liste, que la volonté de nuire au président et de l'empêcher de réaliser son programme, pour pouvoir dire ensuite à ses électeurs qu'il les a "trahis".

8 mars 2017 - Wikileaks : Le programme de surveillance généralisée de la CIA qui ne semble gêner personne.  Ces "révélations", comme pendant la campagne électorale (voir plus haut), n'ont rien de très nouveau. Dans l'ensemble, tout cela était connu, si ce n'est que l'espionnage électronique émane maintenant, paraît-il, de la CIA et non de la NSA - tiens, pourquoi donc ?... Tout le monde sait que les appareils connectés (téléphones, ordinateurs, télés, GPS, compteurs électriques, frigos, montres et autres gadgets "intelligents") ne sont pas là pour nous faciliter l'existence mais pour nous surveiller jour et nuit. Et peut-être même, dans le cas des voitures autonomes, pour "accidenter" ou "suicider" discrètement les adversaires les plus gênants du système...

Comme toujours avec Wikileaks, il faut s'intéresser à ce que ne dit pas le sieur Assange, qui lui-même fait partie dudit système. Nous révèle-t-il que l'Etat profond a placé Donald Trump sur écoute - comme c'est le cas pour tout le monde et n'importe qui ?  Ou encore que les failles dans les logiciels ne sont pas dues au hasard ou à de mystérieux "bogues", mais intégrées dès le départ dans ces logiciels avec la complicité des géants de l'informatique ?...

Ce que les merdias vont retenir de ce scandale, ce ne sont pas les écoutes proprement dites, entre-temps parfaitement "normales", mais les fuites de Wikileaks (bien entendu "commanditées par le Kremlin").

10 mars 2017 - Le ministre de la Justice, Jeff Sessions, limoge 46 procureurs fédéraux qui avaient été nommés par Obama. Pour ce qui est des juges, en grande majorité clintoniens, il sera plus difficile pour la nouvelle administration de s'opposer à leur guérilla politico-judiciaire. Plusieurs Etats "bleus" (voir plus haut) vont attaquer le nouveau décret sur l'immigration (6 mars) comme ils ont attaqué l'ancien. Parmi eux : l'Etat de Washington (qui avait déclenché le mouvement), l'Oregon, le Minnesota et Hawaii.  Si Trump pouvait briser le pouvoir de l'Etat profond comme Erdoğan l'a fait en Turquie, tout serait plus simple. Le problème du président américain, c'est qu'il respecte bien gentiment les règles démocratiques que ses ennemis foulent aux pieds.

On sait que Donald Trump a promis de supprimer le catastrophique programme "Obamacare" et de le remplacer par une assurance santé moins chère, moins contraignante et plus efficace (voir plus bas). Apparemment rien de concret n'était prévu avant l'élection, sinon on en aurait entendu parler. Un nouveau plan, concocté par le député républicain Paul Ryan (président de la Chambre des Représentants et tantôt pour Trump, tantôt contre lui) vient d'être présenté mais il n'augure rien de bon - détails.

Si le projet de loi passe, il risque de pénaliser les Américains modestes (la base électorale de Donald Trump) tout en avantageant les étrangers illégaux (un comble). Aux prochaines élections de novembre 2018, un certain nombre de républicains sont assurés de perdre leur siège, ce qui redonnera la Chambre au parti démocrate. A croire que le RAT Ryan (deuxième à droite sur la photo) le fait exprès pour nuire à "son" président. Quoi qu'il en soit, ce "Trumpcare" (ou plutôt "Ryancare") foireux fera l'affaire des compagnies d'assurance. Si Trump lui donne son aval, il peut aussi bien se flinguer tout de suite.  [voir également plus bas 24.3.17]



15 mars 2017 - Comme on pouvait s'y attendre (6 mars), un juge fédéral de Hawaii nommé par Obama bloque le nouveau décret sur l'immigration - détails.  Trump annonce son intention d'aller jusqu'à la Cour Suprême s'il le faut, mais la procédure risque d'être longue - et aléatoire par-dessus le marché, puisque le neuvième juge désigné par le président (31 janvier) attend toujours l'approbation du Sénat.

16 mars 2017 - Budget Trump : la défense passe avant le climat et la diplomatie (La Croix) :  "Ce budget n'a que très peu de chance d'être adopté en l'état par le Congrès mais décline en chiffres le programme du nouveau président des Etats-Unis qui se résume en un slogan : 'l'Amérique d'abord'. La hausse de 54 milliards de dollars prévue pour la défense (près de 10 %) et les dépenses allouées à la sécurisation de la frontière avec le Mexique s'accompagneront d'une baisse marquée des ressources de la plupart des autres ministères et agences fédérales. Le budget prévoit une baisse de 28 % des ressources du département d'Etat, en charge de la diplomatie de la première puissance mondiale. Il table aussi sur une réduction spectaculaire de 31 % des fonds alloués à l'Agence de protection de l'environnement (EPA)... [dont le rôle jusqu'à présent n'était pas de protéger l'environnement mais d'entretenir le mythe du "changement climatique" - les climato-fétichistes, particulièrement frileux, n'osent plus parler de "réchauffement"]  Trump propose d'amputer le budget de cette agence de 2,6 milliards de dollars, en particulier en supprimant quelque 3.200 postes... Il suggère par ailleurs de mettre fin à la participation américaine au Fonds vert de l'ONU pour le climat (Green Climate Fund)."

17 mars 2017 - Donald Trump reçoit Angela Merkel à la Maison Blanche. Conférence de presse commune "dans une ambiance glaciale et sans poignée de main" - source. Pas très étonnant en fait, quand on sait ce que Trump pense de la Clinton allemande (voir plus haut). Cependant tout espoir n'est pas perdu. En effet, comme le constate le président américain :  "On a un point commun : notre mise sur écoute par Obama..."  Rires de quelques journalistes, Merkel ne réagit pas...



Elle le regarde d'un air ahuri, comme si elle ne savait pas
que la CIA-NSA l'espionne systématiquement depuis des années.

De quoi lui a-t-elle parlé en "tête-à-tête" (avec deux interprètes) ?...  Des méchants hackeurs russes qui ont volé l'élection américaine et s'apprêtent à voler l'élection allemande ?... De la nécessité de lutter ensemble contre l'invasion du CO2 et pour l'invasion migratoire ?...  On comprend que Merkel soit déçue de voir que le président américain n'est pas disposé à suivre ses conseils. C'est qu'elle a toujours aimé donner des conseils à tout le monde, depuis ses débuts dans les années 1970, quand elle était secrétaire des Jeunesses communistes FDJ pour l'agitation et la propagande à l'Université de Leipzig. Et plus tard, après la chute du mur de Berlin, quand elle expliquait aux Allemands (y compris à ceux de l'Ouest) les règles élémentaires du capitalisme, et quand elle trahissait son mentor Helmut Kohl pour le remercier de l'avoir hissée aux sommets de la politique. Et plus tard encore, dans les années 2010, quand elle faisait et fait encore la morale à tous les pays de l'UE et de la zone euro. Pour le moment, outre Donald Trump, elle s'efforce de rééduquer Erdoğan et Poutine. Pas sûr qu'elle y arrive, surtout si elle perd les élections de septembre... La biographie d'Angela Merkel, même expurgée par Wikipédia, a toujours présenté des aspects louches. Il est fort probable qu'elle a "travaillé" pour la Stasi est-allemande, tout comme son papa d'ailleurs, ce pasteur protestant qui avait émigré d'Allemagne de l'Ouest (Hambourg, où est née Angela en 1954) vers l'Allemagne de l'Est communiste, à une époque où des millions de gens faisaient exactement le contraire.



"Mais qu'est-ce qu'elle me veut, cette conne ?..."

20 mars 2017 - La Commission parlementaire sur le renseignement (House Intelligence Committee) interroge James Comey (directeur du FBI) et Michael Rogers (directeur de la NSA) sur la prétendue "ingérence russe" dans la campagne électorale américaine et la "collusion avec Moscou" de l'équipe de Donald Trump - voir ici.

Les "questions" posées par les membres de la commission (démocrates et RATs républicains) sont en fait une suite d'accusations et de slogans plus débiles les uns que les autres. Elles ont pour seul but d'arracher à l'un ou l'autre de ces deux hommes telle ou telle petite phrase que l'on pourra utiliser contre le président dans une procédure de destitution. Bien que jouant le jeu russophobe, Comey et Rogers (deux hommes de l'ancien régime que Trump aurait dû virer depuis longtemps*) esquivent plus ou moins les pièges, mais bien entendu, il en restera quelque chose. Des partisans de Trump à la tête de la NSA et surtout du FBI auraient remis à leur place tous ces crétins d'inquisiteurs. On mesure aujourd'hui à quel point le président est isolé...

* Le patron du FBI confirme que la police fédérale enquête sur "l'ingérence" russe et les "complicités" du camp présidentiel, mais prétend en revanche - sans aucune enquête - que l'accusation formulée par Trump concernant sa mise sur écoute par Obama (voir plus haut 4.3.17) ne serait "étayée par aucune preuve". Ce n'est pas la première fois que Comey démontre ses talents "sélectifs" (voir plus haut l'affaire des courriels de Crooked Hillary). Il est incompréhensible que ce trumpophobe au service du clan Clinton-Obama-Soros n'ait pas été renvoyé depuis longtemps. Un président qui congédie ceux qui le soutiennent (général Flynn - 13.2.17) et garde au contraire ceux qui sabotent sa politique, a pratiquement perdu d'avance.

Le 22 mars, le président de la Commission parlementaire sur le renseignement, le député républicain de Californie Devin Nunes, confirme que Donald Trump a bien été victime d'écoutes - voir cet article de Breitbart et cet autre du Réseau Voltaire.  Raison de plus pour virer Comey sans attendre...


The Conspiracy Against President Trump  par Paul Craig Roberts.

Une femme comptant parmi les millions d'étrangers illégaux inscrits sur les listes électorales (voir plus haut) a été jugée au Texas et condamnée à huit ans de prison suivis d'expulsion - détails. Ses avocats, relayés par le New York Times, dénoncent le camp trumpiste qui se servirait de cette fraude bien réelle (assimilée par la loi à un crime) pour justifier ce qu'ils appellent une "revendication infondée de fraude électorale". Elle est bien bonne, celle-là...  D'autre part, ils estiment - comme beaucoup de juges fédéraux - qu'il s'agit là d'un cas flagrant de "discrimination" à l'égard de non-Américains. Ils disent "latinos" car la condamnée fait partie de cette catégorie , dans d'autres cas, ils parleraient de "musulmans". Pour eux, accuser un étranger criminel équivaut automatiquement à de la discrimination. C'est un peu comme ces avocats qui réclament un non-lieu pour leur client qui vient d'assassiner père et mère, sous prétexte qu'il serait ignoble de condamner un pauvre orphelin.

22 mars 2017 - The FBI is now investigating the alternative media for exposing Hillary Clinton

Le FBI enquête sur les sites Breitbart et InfoWars

Alors qu'il devient de plus en plus évident que le FBI (et les autres services dits "sécuritaires") travaillent contre lui au quotidien, Donald Trump laisse faire. De temps à autre, comme ici à Louisville (Kentucky), il va se revigorer auprès de ses partisans, mais sans vraiment les mobiliser pour briser les attaques dont il est l'objet. Il se contente de banalités et de promesses, exactement les mêmes qu'il y a six mois : nous allons faire ceci, nous allons faire cela... Petit à petit, on approche du moment où la dynamique qui l'a porté à la Maison Blanche va tout simplement s'enrayer, s'effondrer... Comme il aime à le dire : "Very sad !..."

24 mars 2017 - Echec retentissant de la réforme de santé promise par Trump (voir plus haut 10 mars). Le président, qui n'avait aucun plan précis, a eu la mauvaise idée de faire confiance à Paul Ryan et à son catastophique "Ryancare". Malgré quelques correctifs apportés au texte, beaucoup de députés républicains ne voulaient pas se suicider politiquement en acceptant ce projet de loi. Pour éviter un désastre parlementaire deux mois après son investiture (il lui aurait manqué environ 25 voix), Trump a préféré tout stopper avant le vote, déclarant qu'il n'y aurait pas de nouvelle tentative et qu'on passerait sans attendre au point suivant de son programme : la réforme fiscale.

Alors que pour la première fois depuis son élection, il subit un revers dont il est lui-même responsable, et non ses adversaires, le président s'en prend aux lâcheurs de son parti (sans se demander pourquoi ils l'ont lâché) et... aux démocrates qui n'ont pas soutenu sa réforme - pourquoi l'auraient-ils soutenue ?...

En attendant des jours meilleurs, "Obamacare", dont Trump prédit l'explosion prochaine, restera en vigueur.

Wikipédia : Ryancare (AHCA) comparé à Obamacare (ACA) - avec des détails très "techniques" largement incompréhensibles pour la plupart des Européens.

[Voir également plus bas 4 mai 2017]

25 mars 2017 - Après les événements de la veille, les clintoniens et leurs merdias se régalent - pour une fois que Trump fait tout le "travail" à leur place...

27 mars 2017 - Le président s'apprête à signer un décret censé abroger la politique climatiste d'Obama pour la remplacer par une politique d'indépendance énergétique - détails. Pas sûr toutefois que la chose fonctionne. En effet, selon cet article, le directeur de l'Agence de protection de l'environnement EPA, Scott Pruitt (voir plus bas) s'efforce d'enlever tout son mordant au texte présidentiel, ce qui risque de produire l'effet contraire d'une abrogation. Le saboteur Pruitt, un opportuniste qui songe déjà à sa carrière post-Trump, semble être à l'environnement ce que Ryan est aux soins de santé. Entouré de traîtres comme il l'est, Trump n'a plus guère de chances de mettre son programme en application. Reste à savoir s'il en a conscience.

L'auteur de l'article, James Delingpole, signale d'ailleurs que la fille du président (Ivanka Trump) et son gendre (Jared Kushner) sont des défenseurs du mythe réchauffiste, de même que le ministre des Affaires étrangères, Rex Tillerson.

28 mars 2017 - Trump signe le décret sur l'EPA - voir ici. Comme le redoutait Delingpole la veille, la déclaration de 2009 de l'Agence environnementale relative à la "dangerosité du CO2" ("endangerment finding") n'a pas été révoquée. Rien n'est dit non plus sur la sortie des USA du carcan climato-fétichiste fixé par la COP21 de novembre 2015. La pratique dira ce que vaut ce décret - si jamais on laisse à Trump le temps de pratiquer quoi que ce soit.

Tout cela n'empêche pas Michael Moore Moron, qui s'était déjà fait remarquer précédemment, d'en remettre une couche : cette fois il ne craint pas d'affirmer que le 28 mars marque le point de départ de l'extinction de la race humaine !...

Ironie du sort, Ford vient justement d'annoncer des investissements (donc la création d'emplois) dans trois usines du Michigan - détails. Si Michael Moron n'était pas totalement amputé du cerveau, il se réjouirait de la relance industrielle dans cet Etat ravagé par la crise (son Etat). Au lieu de cela, Moore est la preuve vivante que la connerie humaine n'est pas en voie d'extinction.

Des mineurs dont le gagne-pain sera sauvé par le décret assistent à la cérémonie de signature. "La guerre contre le charbon est terminée", proclame le président. Il sait qu'il ne faut pas confondre catastrophisme climatique et pollution. Et avec les technologies appropriées, elles aussi créatrices d'emplois, le charbon n'est pas plus polluant que d'autres sources d'énergie, comme le nucléaire (c'est l'évidence même) ou l'éolien (dont on nie systématiquement les nuisances).

Dans la région de Kayenta (territoire administré par les Navajos dans le nord-est de l'Arizona), la nouvelle politique énergétique sauve plusieurs milliers d'emplois qu'Obama voulait supprimer (mine et centrale au charbon) - détails.



Trump demande une enquête
sur les liens des Clinton avec la Russie

On comprend que Donald Trump veuille rendre la monnaie de leur pièce à ses ennemis. Mais en faisant cela, il joue leur jeu et accrédite l'idée qu'il serait répréhensible d'entretenir des relations normales avec Moscou.* Le président aurait mieux fait de réaffirmer sa politique de détente exprimée pour la dernière fois le 7 janvier (voir plus bas) et d'engager des poursuites contre Crooked Hillary comme il l'avait promis pendant la campagne (plus haut). Rien ne sert d'être magnanime avec des voyous : ils considèrent cela comme un signe de faiblesse. Entre-temps, il n'est plus possible de redresser la barre. "Very bad !..."

* C'est peut-être à prendre au second degré, mais ça ne peut pas fonctionner parce que 99 % des Américains (y compris les partisans de Trump) ne le comprendront pas.



TRUMP RÉUSSIRA-T-IL À DRAINER LE MARÉCAGE DE WASHINGTON DC ?

Les douze travaux d'Hercule, en comparaison, sont un jeu d'enfant...

Qui est qui dans le marécage ? (format .doc)

1er avril 2017 - Grâce aux clintoniens, nous savons que Donald Trump est en contact permanent avec les Russes. Aujourd'hui, quand il les a appelés, il a eu la surprise d'entendre le message vocal suivant :


(Source : Sputnik News)



SI ON TE LAISSE PAS GOUVERNER, FAIS LA GUERRE

Après la victoire n° 1 du 13.2.17...

5 avril 2017 - Victoire n° 2 pour les néocons et l'Etat profond : Steve Bannon (voir plus bas) perd son poste de chef stratège de la Maison Blanche* qui lui permettait de siéger au Conseil de Sécurité Nationale (CSN). Moins de deux mois après l'éviction du général Flynn (qui présidait le CSN - voir plus haut 13 février), Trump n'a pratiquement plus personne sur qui s'appuyer pour mettre en œuvre les changements politiques qu'il projetait. Petit à petit, il s'est entouré (ou s'est laissé entourer) de partisans de l'ancien régime, néocons et autres tireurs de ficelles de l'Etat profond. Désormais, tout devient possible, plus rien ne devrait nous surprendre...

* C'est Jared Kushner, le gendre du président (voir plus bas), qui a obtenu le renvoi de Steve Bannon.

Trump s'est rendu, Poutine sera-t-il le prochain à se rendre  ?  par Paul Craig Roberts :  "L'establishment de Washington a repris le contrôle. D'abord Flynn et maintenant Bannon. Tout ce qui reste dans l'administration Trump sont les sionistes et les généraux fous qui veulent la guerre avec la Russie, la Chine, l'Iran, la Syrie et la Corée du Nord. Il n'y a plus personne à la Maison-Blanche pour les arrêter..."

Victoire n° 3 : toujours le 5 avril, le président "change d'avis" au sujet de la Syrie - voir ici. Alors que jusqu'à présent, il affichait une position neutre vis-à-vis du gouvernement de Damas, la propagande anti-Assad l'a convaincu que les Etats-Unis devaient "faire quelque chose" contre "le dictateur", même seuls le cas échéant. Quelques jours plus tôt, Trump avait dit à peu près la même chose à propos de la Corée du Nord, déclarant en substance que si la Chine ne mettait pas fin aux "provocations" de Pyongyang, les USA s'en chargeraient eux-mêmes - sur la Corée, voir également plus bas. Il semblerait que le président américain veuille compenser son impuissance politique dans les affaires intérieures par une suractivité sur la scène étrangère.

Corée du Nord, Syrie : Le monde est au bord de la guerre (wsws).  Il y a tout juste six mois, on redoutait une guerre mondiale en cas de victoire de Hillary Clinton, tandis que Donald Trump passait pour le candidat de la détente. Et aujourd'hui ?...

6 avril 2017 - Démission forcée de Devin Nunes, président républicain de la Commission parlementaire sur le renseignement, qui avait aidé Donald Trump le 22 mars en confirmant les écoutes dont ce dernier avait été victime (voir plus haut). Il sera maintenant plus facile à la commission de "prouver" la prétendue collusion du président avec la Russie.

Victoire n° 4 : dans la soirée du 6 avril, les USA lancent une attaque de missiles contre une base militaire syrienne - voir ici. Donald Trump, à présent totalement aux mains des néocons, entame sa première guerre pour Israël. Et si on lui en laisse le temps, ce ne sera pas la dernière : chose promise, chose due - voir plus haut.

Victoire suivante : voir 25.7.17


Comment Donald Trump "justifie" sa guerre :

Les « beaux bébés » ont été rajoutés dans le discours à la demande d'Ivanka Trump.
Jared Kushner a d'abord hésité, objectant que les bébés en question ne pouvaient pas être beaux
puisqu'ils n'étaient pas juifs. Finalement il a accepté pour ne pas mettre en péril la reconversion de son beau-père.

L'agression américaine contre la Syrie s'effectue pratiquement sous les yeux du président chinois Xi Jinping, en visite à Mar-a-Lago, une propriété de Trump à Palm Beach en Floride. La veille, à l'ONU, la Chine s'était opposée à une condamnation de la Syrie pour sa prétendue "attaque chimique". C'est un avertissement à peine déguisé à l'adresse des Chinois et une façon de leur dire (peut-être Trump l'a-t-il dit ouvertement) : Ce que je fais là, je le ferai aussi en Corée du Nord, et vous me laisserez faire, tout comme Poutine me laisse faire en Syrie...

7 avril 2017 - Nigel Farage (voir plus bas) critique l'attaque contre la Syrie, qui lui rappelle le précédent douteux de la guerre de Libye. Il estime que beaucoup d'électeurs de Donald Trump sont du même avis et se demandent où tout cela va mener. Les néocons du parti républicain (John McCain et Lindsey Graham en tête) félicitent le président mais l'exhortent à ne pas s'arrêter en si bon chemin : "Il faut neutraliser l'armée d'Assad, établir des zones d'exclusion et soutenir à fond les rebelles..."  Comme si les Américains ne soutenaient pas depuis le début leurs égorgeurs "modérés".

Trump : un homme de paille, une girouette sans substance qui vient de devenir la risée du monde  par John Laughland (historien britannique) :  "Le revirement de 180 degrés du président Trump sur la Syrie met fin à toute illusion sur sa présidence... La fameuse révolution trumpienne, qui devait clore de longues décennies d'ingérence américaine, vient de s'évaporer comme la rosée matinale... Au lieu de renforcer sa position, Trump se ridiculise par cette capitulation devant les exigences de ses ennemis... La politique étrangère américaine : une cacophonie tout simplement absurde..."

Après plus de deux mois de palabres et d'obstruction parlementaire, le Sénat confirme la nomination du juge Gorsuch à la Cour Suprême (voir plus haut 31.1.17). Mais dans le contexte actuel, cela a-t-il encore une importance ?...

8 avril 2017 - L'Académie des Sciences homologue une nouvelle unité de mesure, le « trmp », qui correspond au temps minimum nécessaire pour opérer un virage à 180 degrés sans se décoiffer, tout en régurgitant un tombereau de fake news made in Israhell.


C'EST BIEN LOIN, 2013...





"Mon gendre m'a tout expliqué : pour que les néocons me lâchent un peu les baskets, il faut que je sois encore pire qu'eux.
Jared m'a donné une liste des choses à faire d'urgence : Syrie, Liban, Iran, Crimée, Donbass, Corée du Nord...
Pour que l'Amérique retrouve enfin sa grandeur...
"

"P.S. : Ivanka me conseille de porter un pussy hat, mais j'hésite encore..."
(voir plus haut)



CASAQUO ?

Et s'il avait juste retourné sa veste ?...

11 avril 2017 - Jared Kushner, président des USA  par Ariane Walter.  Kushner, "ce perdreau de l'année, ce Macron", n'est en fait que l'exécutant de l'Etat profond et de Nétanyahou - pour qui il est "un petit con"...


12-13 avril 2017 - Enfin compris : Le monde est à nouveau au bord de la guerre par Thierry Meyssan.

Réseau Voltaire : Donald Trump relance l'OTAN (plus du tout obsolète) et reçoit son secrétaire général à la Maison Blanche.

Déjà impliqué dans trois guerres commencées par ses prédécesseurs (Yémen, Irak, Syrie), le président US en ravive une quatrième en faisant larguer sur l'Afghanistan une bombe géante de 10 tonnes, la plus puissante bombe non-nucléaire de tous les temps. But de l'attaque : "détruire Daesh". Car l'organisation terroriste interna-sion-ale est maintenant partout, soit parce que ses fondateurs estiment opportun d'affubler de ce label un de leurs groupes d'auxiliaires locaux, soit parce que le nom désigne à partir de maintenant tous les adversaires de l'Empire. Y compris la Corée du Nord, où Trump, comme il le dit lui-même, "envoie une armada" pour leur apprendre à résister. Il s'apprête ainsi à déclencher sa guerre n° 5. Et il en est fier, déclarant lui-même : "J'en ai fait plus en huit jours que Barack Obama en huit ans". (Bien entendu la "mère de toutes les bombes" est une menace directe à l'adresse de Pyongyang.)

Nuclear Option: America at War, D.C. Establishment Delights par Charles Hurt (Breitbart).  Avec la guerre mondiale en vue, l'establishment de Washington se régale et jubile. Celui qu'ils jugeaient trop instable pour lui confier les codes nucléaires est devenu leur héros. Le seul léger reproche qu'ils peuvent lui faire, c'est qu'il ne va pas encore assez loin. Patience, les gars...

Pourquoi ils aiment brusquement Donald Trump :



Mais l'âne bleu du parti démocrate sait cacher sa joie :

"Entre nous, mais ne le répétez pas, il est génial ce mec,
il fait tout le boulot à notre place. On aurait dû le choisir
comme candidat au lieu de cette louseuse d'Hillary...
"


Trump se dit prêt à bombarder jusqu'à ce qu'on lui attribue le Prix Nobel de la Paix

Il écoute toujours Ivanka

Mais elle n'est pas la seule à l'influencer



INFAILLIBLE
pour gagner en popularité (ne demandez pas auprès de qui) :

Trump proclame la semaine du souvenir de l'Holocauste®
(ce n'est que la 18ème depuis le début de l'année)



BILAN DES CENT PREMIERS JOURS

Avant même d'avoir atteint la date "magique" du 29 avril 2017, on savait que le bilan de la présidence de Donald Trump serait décevant. On le craignait après le 12 février ; on ne se fait plus d'illusions depuis le 5 avril. Que peut-on attendre d'un président qui largue ses plus fidèles soutiens sur l'ordre de ses pires ennemis ? Que peut-on attendre d'un président qui fait entrer dans son équipe des gens (comme Tillerson, Haley ou McMaster) qui, à peine en place, sabotent les bases de son programme électoral ? Etrange manière de "drainer le marécage"...

■  Politique étrangère : la détente avec la Russie, dont on espérait qu'elle compenserait les éléments négatifs attendus dès le départ (pro-israélisme hallucinant), ne s'est pas produite et ne se produira pas. On se trouve au contraire dans une situation aussi explosive que si Hillary Clinton avait été élue - et peut-être même pire car celle-ci ne prévoyait pas de se lancer dans une nouvelle guerre de Corée. D'un autre côté, la tension avec la Chine semble s'atténuer, mais c'est simplement parce que Trump a besoin - provisoirement - de Pékin afin de paralyser Pyongyang avant l'attaque. Comme l'enseignent les sionistes, un bon ennemi est un ennemi qui ne se défend pas.

Question guerres, le président américain n'a rien à envier à ses prédécesseurs. Comme eux, lui qui n'a jamais été soldat engage ses troupes un peu partout dans le monde. Mais la seule guerre qu'il ne fait pas, et pour cause, est celle qui devait éradiquer Daesh...  Curieusement, Trump n'a encore entrepris aucun voyage à l'étranger, préférant déléguer cette tâche (ou corvée) à son vice-président (Extrême-Orient), à son gendre (Irak) ou même à sa fille (Allemagne). Il redoute apparemment les manifestations d'hostilité ou... les risques de putsch s'il s'éloigne de son pays.

■  Politique intérieure : après avoir déçu ses supporters étrangers, Trump a-t-il au moins tenu parole sur le front intérieur ?... L'annulation-remplacement d'Obamacare est reportée aux calendes grecques, la lutte contre l'immigration illégale de masse est sabotée par les tribunaux et les villes sanctuaires démocrates, la construction du mur à la frontière mexicaine est bloquée faute de financement, les promesses de réduction d'impôts "pour tout le monde" restent des promesses (sauf probablement pour les plus riches), la création massive d'emplois est en panne, la reconstruction des infrastuctures délabrées se fait attendre, l'abandon de la politique climato-réchauffiste ne va pas au-delà des mots, etc. etc... Dans tous ces domaines où les électeurs américains veulent voir du concret, ils devront sans doute patienter jusqu'en 2020 dans l'espoir de se faire raser gratis.

Qui sait d'ailleurs si Trump sera encore à la Maison Blanche en 2020... Après une relative accalmie due à son revirement sur la Syrie, les attaques des néo-cons et de leurs merdias reprennent petit à petit. Le mythe de la "trahison" au profit de la Russie est toujours vivace. On accuse maintenant le général Flynn (viré le 13 février) d'avoir été "payé par Moscou".


Rappel : Les 28 choses que Donald Trump avait promis de faire dans les 100 premiers jours

Dix de ces promesses (19 à 28) dépendent de l'accord du Congrès. D'autres, réalisables en théorie sur simple décret, sont bloquées par les tribunaux (17, 18 - immigration). D'autres encore, jugées trop "controversées" (16 - suppression des subventions aux villes "sanctuaires" récalcitrantes), restent en suspens. Une promesse au moins a été tenue : la nomination du 9ème juge à la Cour Suprême (15). D'autres ont fait l'objet d'une annonce dont on attend les effets ou le manque d'effet (1 à 8, 10 à 14). La promesse n° 9 (dénoncer la Chine comme manipulatrice de sa monnaie) a été retirée, d'une part parce que Trump a besoin de Pékin pour "discipliner" la Corée du Nord, d'autre part parce que l'accusation est abusive.


Mirage du jour : Vers un accord entre Trump et l'Etat profond US  (Réseau Voltaire)


29 avril 2017 - Tandis que l'Association des correspondants de la Maison Blanche organise son banquet annuel à Washington, le président, comme il l'avait annoncé le 25 février (voir plus haut), boycotte ce dîner de cons, préférant fêter ses cent jours à Harrisburg (Pennsylvanie) en compagnie de ses supporters locaux. Apparemment, il en a encore suffisamment pour remplir (en partie ?) une salle de 7.000 places. Trump dresse bien sûr un bilan largement positif de son activité - détails.  Selon lui, l'immigration clandestine à la frontière mexicaine aurait baissé de 73 % en trois mois. Peut-être, mais c'est invérifiable. Et la plupart de ses autres succès n'existent que sous forme de décrets.

Quoi qu'il en soit, sur au moins deux points, le président reste fidèle à lui-même : 1) il garde plus ou moins le contact avec ses électeurs - 2) il n'a pas encore capitulé face aux merdias fake news qui ont repris leur campagne de harcèlement. Dans ce domaine, Soros est toujours actif lui aussi : il se consacre en ce moment à la lutte de "la science" contre "l'obscurantisme" en matière de climat. Des milliers de "scientifiques" ou supposés tels descendent dans la rue pour protester "contre le CO2". Il est évident qu'ils craignent de perdre leurs subventions et leurs jobs.

4 mai 2017 - Donald Trump parvient à faire voter par la Chambre des Représentants (par 217 voix contre 213) la loi réformant l'assurance maladie. Depuis son échec du 24 mars (voir plus haut), le président a fait personnellement pression sur les députés républicains récalcitrants, réussissant (grâce à quelles promesses ?) à faire passer leur nombre de 25 à 20.  Le projet de loi amendé a été voté sans que le texte exact soit connu, ce qui promet un certain nombre d'ennuis ultérieurs, d'autant plus que le Sénat (où le rapport de forces est de 52-48 pour les républicains) doit encore donner son accord.

L'ambition de Trump dans cette affaire n'est pas d'offrir aux Américains une couverture maladie digne de ce nom, mais de montrer qu'il a annulé et remplacé Obamacare comme il l'avait promis. Remplacé par quoi ? On n'en sait trop rien... En tout cas, rien de comparable avec ce qui existe dans beaucoup de pays du monde. Avec Trumpcare, on pourra en principe choisir les risques à assurer et l'étendue de l'assurance. On pourra aussi, si on le veut, ne pas s'assurer du tout sans risquer une amende comme sous Obama. Malgré les conditions très différentes en fonction de l'endroit où l'on vit et de la situation particulière de chacun (âge, antécédents médicaux, etc.) le principe restera : mieux vaut être jeune, riche et en bonne santé, que vieux, pauvre et malade...

9 mai 2017 - Trump limoge enfin James Comey. Le chef du FBI, ce résidu de l'ancien régime (voir plus haut 24.2.17) aurait dû être viré dès le 20 janvier. Si le président l'a gardé, c'est parce que l'Etat profond l'exigeait. Après avoir tenté une première fois d'utiliser Comey comme un levier anti-Trump (sans grand succès - voir 20.3.17), les candidats putschistes ont récidivé ces derniers temps - voir ici. L'ébauche d'accord passée récemment par Trump avec John McCain et Lindsey Graham (plus haut) est donc bien un mirage. En tout cas, elle ne signifie nullement que les ennemis du président ont l'intention de le laisser en paix.

Pour Donald Trump, la situation était devenue intenable : non seulement la police fédérale l'a placé sur écoute mais, comme le reconnaît Comey, elle "enquête" sur ses "liens" avec la Russie. Aucun président qui se respecte ne peut à la longue tolérer une telle chose sans réagir. Entre la soumission et le suicide pur et simple, il y a tout de même une petite différence.

Evidemment, les clintoniens poussent des cris d'orfraie. Ils veulent que le vice-ministre de la Justice, Rod Rosenstein, nomme un procureur spécial pour pousuivre "l'enquête" anti-Trump et la mener à son terme : l'éviction du président - détails. Le ministre lui-même, Jeff Sessions, a été neutralisé et n'a plus rien à dire sur le thème Trump-Russie - voir plus haut 2.3.17.

Mais dans le cas présent, il ne s'agit pas de "l'enquête sur la Russie" - voir la documentation (au format .pdf) : lettre de licenciement* de Trump à Comey, demande préalable de Sessions à Trump, mémo de Rosenstein justifiant le limogeage de Comey. Le patron du FBI a été viré pour avoir outrepassé ses compétences en classant sans suite l'investigation criminelle engagée contre Hillary Clinton (ce qui était du ressort du ministre de la Justice et du Parquet fédéral) et pour avoir communiqué ses conclusions personnelles dans une conférence de presse, sans l'autorisation du ministère.

* Pour une fois, ce n'est pas l'habituel  « You are fired ! »  mais  « You are terminated ! »

Le Terminator de la Maison Blanche devrait maintenant, comme il l'avait promis, ordonner au ministre de la Justice de nommer un procureur spécial pour enquêter sur les crimes de Crooked Hillary. Mais il ne faut pas trop se faire d'illusions à ce sujet...  Les merdias fakestream se déchaînent contre le président. CNN fait constamment le rapprochement Trump-Nixon et Comey-Watergate. On n'a pas fini d'entendre parler de cette affaire.

Pour couronner le tout, Trump s'apprête à recevoir à la Maison Blanche le ministre russe (!!) des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov. Et il n'a demandé la permission à personne : ni à CNN, ni à Clinton, ni à McCain, ni à Schumer, ni même à Michael Moore !...

12 mai 2017 - Shut Down the 'Russia-gate' Farce. It's bogus, it's boring, and it's hurting the country  by Justin Raimondo :  "Arrêtez la farce du 'Russiagate'. C'est du chiqué, c'est ennuyeux et ça nuit au pays... Cette théorie du complot n'a aucun sens. Le président devrait y mettre fin une fois pour toutes et se consacrer au travail pour lequel il a été élu..."

Malheureusement, Trump fait tout le contraire. Il continue de donner des interviews aux merdias, comme s'il n'avait rien compris. Pas plus tard qu'hier, il s'est soumis à l'interrogatoire de Lester Holt de NBC News. Ce crétin de pressetitué s'est permis d'interrompre grossièrement le président à neuf reprises en moins de trois minutes. A comparer avec ce qui était courant sous Obama ou encore avec ce qui se fait dans d'autres pays, en France par exemple...



IL FAUT ABOLIR LES PRIVILÈGES ET DESTITUER TRUMP AU PLUS VITE :

Au dessert, il prend deux boules de glace à la vanille avec sa tarte au chocolat,
alors que tous les autres convives n'ont droit qu'à une seule boule.



RÉSUMÉ DU CONTENU DE TIME, CNN ET AUTRES MERDIAS FAKESTREAM
(quand ils ne font pas le scoop sur les "2 scoops") :

17 mai 2017 - La guerre anti-Trump prend des allures de plus en plus surréalistes. Tous les jours, sinon plusieurs fois par jour, on invente de nouveaux prétextes pour taper sur le président. Dernière trouvaille en date : Comey, l'ex-chef du FBI (chassé le 9 mai), aurait pondu un mémo dans lequel il "dévoile" que Trump a fait pression sur lui pour qu'il cesse "d'enquêter" sur le général Flynn (chassé le 13 février). D'un point de vue strictement politique, c'est à peu près aussi important que la couleur de la robe de Melania. Mais dans une république bananière comme celle de Washington DC, cela peut conduire à une procédure de destitution, d'autant plus que le "paria" de la Maison Blanche est attaqué de toute part (y compris par McCain) sans opposer de résistance notable.

Et il ne s'est toujours pas résolu à boycotter les merdias fake news. Pourtant, s'il le voulait, il pourrait s'adresser exclusivement aux journalistes honnêtes - il y en a encore un ou deux, par exemple Sean Hannity de Fox News. Il devrait aussi assigner systématiquement en justice tous les pressetitués qui mentent à son propos et l'insultent à longueur de journée. Il est vrai que les juges ne lui sont pas favorables, mais il doit bien avoir, dans son carnet d'adresses, quelques avocats juifs de haut vol capables d'obtenir les résultats voulus.

Tout cela est décidément bien lamentable et risque de très mal se terminer...

18 mai 2017 - Autre lacune de Donald Trump : l'homme qui se débarrasse de ses plus fidèles alliés (Flynn, Bannon) pour amadouer ses ennemis, conserve au sein de son National Security Council plus de 60 % de traîtres et de saboteurs nommés par Obama - détails. Ces salopards sont à l'origine de fuites continuelles en direction de la presse. Au lieu de les virer et de les poursuivre pénalement, le président le plus attaqué de toute l'histoire des Etats-Unis laisse faire.

Et au lieu de faire nommer par le ministère de la Justice un procureur spécial pour enquêter sur les crimes de Clinton, Trump en nomme un (ou accepte qu'il le soit) avec pour mission de "faire la lumière" sur l'inexistante "collusion" avec la Russie. C'est peu de dire qu'il se tire - encore une fois - une balle dans le pied. Le procureur en question, Robert Mueller, a été lui-même chef du FBI de 2001 à 2013. Il serait plus que naïf d'attendre de lui qu'il dise : Arrêtez les dégâts, la "collusion" est un mythe, un mensonge de propagande inventé pour "expliquer" et masquer la défaite de la louseuse Hillary en novembre 2016.

Mais même si, contre toute attente, Mueller s'avérait être honnête, rien ne serait gagné pour autant, vu que la "commission d'enquête" du Congrès (= inquisition mccarthyste) continuerait son travail de sape.



Trump réalise parfaitement qu'il est victime de la pire chasse aux sorcières ayant jamais frappé un homme politique américain. Mais d'un autre côté, il ne dispose d'aucune stratégie de contre-attaque. C'est pourquoi toute mesure positive isolée, comme par exemple le renvoi de Comey, survient trop tard et reste sans effet - quand elle n'est pas contredite le lendemain. Dans ces conditions, on voit mal comment le président pourrait s'en sortir...

Trump, c'est fini ? par André Archimbaud.  Après avoir "embourbé Trump dans de faux scandales à répétition et terrorisé les élus de la courageuse droite républicaine, toujours prête à détaler en cas de crise", Soros et l'Etat profond vont "passer de la théorie du 'complot russe' (impossible à prouver) à celle d'entrave à la justice, qui 'nixonise' Trump. Après 10 mois d'instruction, les parlementaires impliqués dans les enquêtes sur la Russie ont, en effet, admis à plusieurs reprises qu'il n'y avait aucune collusion entre la campagne de Trump et Poutine..."  [Et pour cause...]



Ouf ! Le gang des hackeuses russes ne menace plus l'Amérique...



"Entrave à la justice ?...
Alors là, croyez-moi, j'entrave que dalle !...
"

20 mai 2017 - Heureux de pouvoir se soustraire pour quelques jours à ses inquisiteurs, Donald Trump entame son premier voyage présidentiel à l'étranger. Il visite d'abord l'Arabie Saoudite, où il annonce la signature d'un contrat de 380 milliards de dollars sur 10 ans, dont 110 milliards immédiatement pour la fourniture d'armement - un "deal" comme il les aime et qui représente pour lui un grand succès en termes d'emplois. Pour Riyad, ces livraisons d'armes permettront l'extension de la guerre au Yémen et en Syrie, où les Saoudiens sont avec les USA les principaux sponsors de Daesh - contre qui ils "luttent", bien entendu. Tout cela étant coordonné par l'Etat voyou d'Israël qui contrôle à la fois les Etats-Unis et l'Arabie (comme l'atteste le nouveau drapeau saoudien).  Bref, contrairement aux créatures du marécage de DC, les despotes de Riyad peuvent être satisfaits de Trump, même si son prédécesseur était plus conciliant dans d'autres domaines.

21 mai 2017 - A Riyad, devant les dirigeants d'une cinquantaine de pays musulmans, dont beaucoup de tyrans, dictateurs et commanditaires de la barbarie djihadiste, Donald Trump prononce un discours rédigé par ses maîtres de Tel Aviv, dans lequel il appelle à écraser le terrorisme. Pas le leur, évidemment, mais celui qu'il attribue à l'Iran, à la Syrie d'Assad et au Hezbollah libanais, c'est-à-dire aux principaux combattants de ce fléau dans la région. Rien de nouveau, donc, tout cela était prévu depuis la première heure...

22 mai 2017 - Trump est en visite chez son "ami" Nétanyahou qui en profite pour le rappeler à ses obligations :

   - Dis donc, Donald, on me dit que tes affaires ont bien marché à Riyad...
   - Ouais, pas mal.
   - Faudra penser à ma petite rétrocommission.
   - Combien ?
   - Mon minimum c'est 50 %.
   - Quoi ?... T'es fou, c'est du vol !...
   - Comment ça ?... Espèce de sale antisémite judéophobe haineux !...
   - Bon, d'accord, te fâche pas Bibite, disons 60 %.
   - 70...
   - OK, 80, mais c'est mon dernier mot.
   - C'est bien parce que c'est toi, Donald...


On fait de bons deals avec les Israéliens...
Et puis, ils m'ont même pas fait payer la kippa.
Vraiment sympas, les mecs... Je vais leur demander de me
vendre un mur comme ça pour mettre à la frontière mexicaine.

Et demain, Trump va en pèlerinage au Temple de l'Holococo. Ensuite, il visite le zombie de Ramallah pour lui expliquer 1) que le mieux c'est la solution à deux Etats (voir plus haut)  et 2)  que Donald est bien meilleur qu'Hillary en matière de pisse process.

24 mai 2017 - Après le wahhabite de Riyad et le pharisien de Tel Aviv, Trump va voir le jésuite du Vatican : rien n'a été laissé au hasard pour ce premier voyage du président. Ensuite, c'est le sommet de l'OTAN (où il exige de "ses partenaires" qu'ils versent leur juste quote-part) puis l'inutile G7 de Taormina (Sicile).


Dialogue entre alliés :

Trump à Trudeau la tapette :
"Va jouer avec Macrotte dans la cour des petits,
mais avant, dis à Merkel de se calmer...
"

(Elle a toujours autant de mal à se faire prendre au sérieux - voir 17 mars)



DIRECTION DESTITUTION ?

30 mai 2017 - De retour à la Maison Blanche, Trump doit constater que la situation, loin de se calmer, n'a fait qu'empirer pendant son absence. La chasse aux sorcières des nouveaux mccarthystes touche de plus en plus son entourage immédiat : convocation de son gendre Jared Kushner, "demande" à son conseiller et avocat personnel Michael Cohen (voir plus bas) de produire tous les papiers et documents en sa possession concernant "la Russie", démarche similaire vis-à-vis de Boris Epshteyn (également plus bas). En d'autres circonstances, le lobby innommable aurait crié à l'antisémitisme. Mais là, aucun danger, Soros s'en porte garant... Comme dans les années 1950, on veut intimider les personnes visées et les pousser à produire, sciemment ou pas, le "témoignage infaillible" qui permettra enfin d'ouvrir la procédure de destitution.

Signe que les trumpophobes sont passés à la vitesse supérieure : n'importe quel minable de seconde ou troisième zone, qui aurait autrefois sollicité l'accord de ses patrons avant de formuler la moindre petite critique, a maintenant carte blanche pour se défouler violemment contre le président américain. Le magazine allemand Der Spiegel, jadis un modèle de bon journalisme, explique aujourd'hui sous la plume d'un ignoble pressetitué (avec une insulte par ligne) comment nous débarrasser de Trump, tandis qu'aux Etats-Unis, Kathy Griffin, une "comique" de sitcom habituée aux rires enregistrés, propose une solution plus radicale encore :



"Non seulement je lui ai coupé la tête, mais en plus je lui ai
barbouillé la gueule de sang. Vous trouvez pas ça rigolo ?... 
Alors, quand est-ce que vous allez me le donner ce putain d'Oscar
que vous me promettez depuis vingt ans ?... Et me dites pas
que je vous fais penser à vos djihadistes modérés...
"


Fin mai-début juin 2017, la destitution de Donald Trump reste la priorité, mais son assassinat pur et simple est de moins en moins exclu.

1er juin 2017 - Bonne nouvelle, attendue depuis longtemps (voir plus haut 30.1.17) : Trump annonce le retrait des Etats-Unis de l'accord climatique de Paris. Pour la forme, il propose aux autres signataires de "renégocier" le texte afin d'en éliminer les effets unilatéralement négatifs pour les USA. L'UE, représentée par Angela Merkel et son Gauleiter élyséen Macrotte, répond aussitôt : Nein !  Tant mieux...

Grâce à ce retrait, les Etats-Unis vont économiser trois milliards de dollars de contribution au Fonds vert de l'ONU, un pactole destiné à financer, entre autre, le prétendu "consensus" de la "communauté internationale". Pour voir arriver les billets verts, il suffit de tendre la main en disant à haute voix que "le climat se réchauffe". Pas étonnant que tout le monde soit "d'accord", du Paraguay au Laos et de l'Estonie au Swaziland... Tout cela devrait maintenant changer, à moins qu'un petit juge de province n'annule la décision présidentielle.

La planète écolo-mondialiste pleurniche après le niet de Trump sur le climat (Egalité et Réconciliation)

Notre page sur la supercherie climato-réchauffiste

Version courte : Trump a raison  par François Gex (Boulevard Voltaire).

12 juin 2017 - La guerre anti-Trump continue de plus belle : interminables interrogatoires au Sénat pour Comey (ancien chef du FBI limogé le 9 mai), Sessions (ministre de la Justice sur la touche depuis le premier jour) et même Mueller (procureur spécial depuis le 18 mai). Tous ces gens ont déjà trahi ou sont sur le point de le faire, même s'il est en fait difficile de parler de "trahison", car ces larves ont toutes été plus ou moins choisies (directement ou indirectement) par l'Etat profond et jouent son jeu, par conviction ou par lâcheté. Pour compléter cet écœurant spectacle politique, on ressort aussi le "business" de Donald Trump, qu'il n'aurait paraît-il nullement séparé de sa fonction comme il l'avait promis. Exemples fréquemment cités : les hôtels Trump, notamment celui de l'ancienne Poste de Washington DC, et la propriété de Mar-a-Lago en Floride.

Tandis que ceux qui œuvrent à sa destitution l'attaquent de toutes parts à la fois et au même moment, le président se défend mollement au coup par coup, toujours sans plan d'ensemble, sans stratégie, sans volonté ni possibilité de reprendre les choses en mains. Seule inconnue à ce stade : combien de temps ce cirque va-t-il encore durer ?

14 juin 2017 - Le Journal Officiel de la République Bananière de DC (anciennement : Washington Post) annonce que "le procureur indépendant (sic) Robert Mueller enquête sur Donald Trump pour déterminer dans quelle mesure il a fait obstruction à la justice dans l'affaire russe".  Le torchon favori de l'Etat profond précise que "le fait d'élargir ainsi le champ de l'enquête représente un tournant majeur" et ajoute que "les enquêteurs sont à la recherche de potentiels délits financiers chez les collaborateurs du milliardaire républicain".

Simultanément, un trumpophobe fanatisé (on ne dit pas "terroriste" car il n'est pas musulman) ouvre le feu sur un terrain de baseball et blesse grièvement plusieurs personnes, dont le député républicain de Louisiane Steve Scalise, un ami du président. Même si Trump n'était pas présent sur les lieux comme on l'avait d'abord cru, c'est un peu lui qui était visé. Comme toujours en pareil cas, le tueur est liquidé avant d'avoir pu parler.

16 juin 2017 - Nouveau tweet présidentiel :


Celui qui enquête sur moi pour avoir congédié le directeur du FBI
est l'homme qui m'a demandé de congédier le directeur du FBI !
Chasse aux sorcières.


Si l'on s'en tient à la réalité documentée plus haut (9.5.17), et non aux élucubrations merdiatiques, le vice-ministre de la Justice, Rod Rosenstein, a bien demandé à son chef Jeff Sessions le renvoi de James Comey (alors chef du FBI), Sessions ayant approuvé la demande avant de la faire suivre au président. Neuf jours plus tard (18.5.17), ce même Rosenstein a nommé Robert Mueller procureur spécial pour enquêter sur Trump.

Le président, qui est en même temps chef de l'Etat et chef du gouvernement, devrait avoir le courage de virer immédiatement Rosenstein et Mueller (et éventuellement Sessions). Rien ne peut l'obliger à garder des traîtres dans son cabinet. Mais pour se doter d'un gouvernement appliquant sa politique (et non celle des comploteurs), il lui faudrait trouver des gens à la fois dignes de confiance et approuvés par le Sénat. Ça ne s'est pas produit depuis l'élection (il y a plus de sept mois), ça ne se produira plus.

Malheureusement, le système en vigueur aux Etats-Unis paralyse totalement la Maison Blanche dans le cas où les objectifs de celle-ci sont contraires aux volontés de l'Etat profond. A défaut d'un contrepoids, qui ne pourrait que résulter d'une mobilisation massive des partisans de Donald Trump, rien ne changera - du moins pas comme on l'espère.

Toujours le 16 juin, le président essaie une fois de plus d'échapper à ses harceleurs en faisant preuve de "fermeté" là où il ne le faut pas. Cette fois c'est dans "l'affaire cubaine" : rétablissement de l'embargo partiellement levé, avec pour effet de se mettre à dos les entreprises américaines qui investissent dans le tourisme à Cuba.  (Pour ce qui est de la politique cubaine des Etats-Unis, voir également plus bas.)

Deux jours plus tard, Trump joue la carte de l'escalade militaire en Syrie (un avion syrien abattu) et en Afghanistan (envoi de 5.000 hommes supplémentaires). Et le 19, il relance la rhétorique anti-Pyongyang, sous prétexte qu'un "touriste" américain qui avait été condamné en Corée du Nord pour avoir arraché une affiche politique, est mort dans des conditions mystérieuses à son retour aux Etats-Unis.  Entre-temps, avec l'accord tacite de la Maison Blanche, le Sénat a approuvé une proposition de loi prévoyant le durcissement des "sanctions" visant la Russie et l'Iran. Ce qui porte à six le nombre de conflits militaires, existants ou potentiels, endossés par la nouvelle administration en l'espace de trois jours.

Tout cela répond évidemment aux attentes des néocons, mais ne mettra certainement pas fin aux persécutions dont Donald Trump fait l'objet. Rien ne sert de faire la guerre à l'étranger pour avoir la paix chez soi...

20 juin 2017 - En Géorgie, le parti républicain remporte une élection législative partielle pour le siège de Tom Price devenu ministre de la Santé. Les adversaires du président avaient qualifié ce vote de "référendum" anti-Trump, ne négligeant aucun effort ni aucun dollar pour gagner - en vain... C'est la quatrième défaite de ce genre qu'essuient les clintoniens depuis l'investiture du 20 janvier, après celles du Kansas, du Montana et de la Caroline du Sud. Inutile de préciser que, là aussi, c'est la faute aux hackers russes...

23 juin 2017 - Comme il l'avait déjà fait le 28 mars (voir plus haut) Trump retourne contre Obama, Clinton et Cie l'arme de la "collusion" avec la Russie et de "l'ingérence" de ce pays dans l'élection américaine. Cela a-t-il encore un sens ?...



Bien avant le 8 novembre, l'administration Obama était au courant de
l'ingérence russe dans l'élection. Elle n'a rien fait contre. POURQUOI ? 
"


Verrons-nous prochainement un tweet de Donald Trump réclamant des sanctions internationales contre les Russes pour les punir de leur ingérence à son profit ?...

26 juin 2017 - La Cour Suprême, saisie par la Maison Blanche, annule partiellement et provisoirement les décisions de plusieurs juges régionaux interdisant la mise en application du décret présidentiel sur les "réfugiés" (voir plus haut 27.1.17). Le jugement définitif est attendu pour le mois d'octobre.

30 juin 2017 - Campagne de mensonges de CNN (Réseau Voltaire - article et vidéos) : à propos d'une "obsession de la chaîne, abordée plus de 1.500 fois au cours des deux derniers mois".

4 juillet 2017 - Donald Trump face au « 4ème Pouvoir »  par Thierry Meyssan (article et vidéos).

Un moyen efficace, que Trump n'a malheureusement jamais tenté d'utiliser, consisterait à boycotter totalement CNN et ses pressetitués en leur retirant leur accréditation, non seulement lorsque le président s'adresse lui-même à la presse, mais aussi lors des briefings quotidiens donnés par le porte-parole de la Maison Blanche Sean Spicer ou son adjointe Sarah Huckabee Sanders. Le problème de Donald Trump, c'est que malgré l'apparente "brutalité" de ses réactions (tweets spontanés, séances de catch avec le "Fraud News Network"), il ne va jamais au fond des choses.



Casser la gueule à CNN dans un clip humoristique (voir lien précédent)
a beau être drôle mais risque quand même de manquer d'efficacité.
Le président passera-t-il un jour à la vitesse supérieure ?

Voir aussi :
The Long War : Trump Allies Dig in for Lengthy Tactical Battle with Very Fake News (Breitbart)


6-8 juillet 2017 - Nouveau voyage de Trump en Europe : d'abord à Varsovie où il prononce, dans le meilleur style de la guerre foide, un discours hostile à la Russie ; puis à Hambourg où se tient le sommet du G20, qu'il n'a pas été possible de transformer en G19 dérussifié comme on l'avait fait pour le G8 devenu G7.

Première rencontre Trump-Poutine en tête-à-tête sans gardes du corps (avec la permission de CNN, sous réserve de poursuites judiciaires ultérieures pour avoir parlé aux Russes). Le ministre des Affaires étrangères Rex Tillerson, qui n'y était pas, affirme que le président américain "a confronté Poutine sur l'ingérence de la Russie dans les élections de 2016".  T-Rex ne dit pas en quels termes Trump a "confronté". Probablement quelque chose comme : "Mr. Poutine, je te confronte pour avoir falsifié les élections en ma faveur..."  A quoi le maître du Kremlin aurait répondu : "J'y suis pour rien, j'aime pas les falsifis, j'en mange jamais..."  Et Trump d'enchaîner : "Puisque c'est ainsi, nous reviendrons samedi et parlerons de la Syrie..."

En marge du sommet, le spectacle du terrorisme urbain téléguidé avec ses hordes fascistes "antifas"  : Le G20 est le théâtre d'une opposition violente contrôlée par le pouvoir profond (Egalité et Réconciliation).  "Collusion et coproduction de troubles à l'ordre public entre deux entités apparemment ennemies, mais dont les buts sont très congruents..."

11 juillet 2017 - Relance des attaques anti-Trump en vue de sa destitution. Cette fois, c'est Donald Trump Junior (fils du président) qui en fournit involontairement le prétexte. Il y un an, pendant la campagne électorale, il avait eu le malheur de rencontrer (pour affaires) une avocate d'origine russe travaillant soi-disant pour le Kremlin (d'après CNN Fake News). Donald fils a confirmé cette rencontre dans un entretien avec Sean Hannity de Fox News (le dernier journaliste honnête entre New York et Los Angeles). Plutôt que de s'adresser à un média supposé non hostile, fiston aurait peut-être mieux fait de ne rien dire du tout, personne ne pouvait l'obliger à parler. De fil en aiguille, il va être contraint de "témoigner" et il sera trop tard pour reculer.

Encore une fois (voir plus haut 18 mai), l'important n'est pas l'imaginaire "collusion avec les Russes " mais ce que l'on pourra tirer, en termes de contradictions, d'inexactitudes et d'omissions, de tous les interrogatoires et autres dépositions sous serment plus ou moins imposés à l'entourage de Donald Trump, et bientôt à Trump lui-même.

14 juillet 2017 - Après avoir respiré trois jours de file l'air vicié des Etats-Unis, ce pays qu'il voulait faire "great again", Trump reprend la fuite pour 48 heures. Il se rend en France à l'invitation de Macrotte, le plus grand président-camembert depuis l'invention du caoutchouc synthétique. C'est à l'occasion du "Bastille Day", comme on dit là-bas. Depuis les Champs-Elysées, où il assiste au défilé sans se défiler, Donald envoie une carte postale à son pote Vladimir (c'est moins contrôlé qu'un courriel). Il y joint la photo officielle du nouveau Jupiter.

 
P.S.: Les emmerdes vont recommencer dès le lundi 17...

17 juillet 2017 - La réforme de l'assurance maladie, que Trump avait réussi à faire voter par la Chambre des Représentants (voir plus haut 4.5.17) échoue au Sénat malgré la majorité présidentielle théorique de 52-48. Plusieurs sénateurs républicains dont trois sénatrices (Maine, Virginie Occidentale, Alaska) rejettent en effet le projet de loi. Pour Trump c'est le retour à la case départ. Six mois après son entrée à la Maison Blanche, son bilan est plus que modeste.

25 juillet 2017 - Un projet de loi instaurant de nouvelles "sanctions" antirusses est approuvé par la Chambre des Représentants à une écrasante majorité de 419 voix contre 3. Les trois opposants sont les députés républicains Justin Amash (Michigan), John Duncan Jr. (Tennessee) et Thomas Massie (Kentucky). Le Sénat avait déjà voté ce texte le 15 juin par 98 voix contre 2, les deux opposants étant Rand Paul (républicain du Kentucky) et Bernie Sanders (démocrate indépendant du Vermont). Autrement dit, sur 522 élus dans les deux chambres (abstentionnistes non comptés), cinq seulement ont eu l'intelligence et le courage de dire non à la guerre froide obligatoire et illimitée contre Moscou - cinq noms à retenir... On voit qu'en politique extérieure, Trump est complètement isolé au sein de son parti. Parti qui n'a d'ailleurs jamais vraiment été le sien : le président a conquis les électeurs républicains mais pas les dirigeants.

Pour obliger sénateurs et représentants à adopter le texte, ses auteurs y ont inclus l'Iran et la Corée du Nord. Comme pratiquement tout le monde au Congrès déteste ces deux pays, presque personne n'a repoussé la loi antirusse débile par laquelle les républicains accusent Poutine d'être intervenu en leur faveur : il nous a aidés à gagner l'élection, donc il faut le punir...

En principe, Donald Trump peut refuser de promulguer le texte, mais il n'a guère le choix. S'il reste droit dans ses bottes, le Congrès peut se passer de sa signature puisque 99 % approuvent la loi alors que 2/3 suffisent pour annuler un veto présidentiel. Si au contraire il se plie à la volonté des va-t-en-guerre, c'est un signe de lâcheté de sa part, le pire jusqu'à présent, et il entre dans l'histoire américaine comme le président le plus nul depuis 1776, l'homme qui punit ceux qui le soutiennent.  Pour couronner le tout, une clause insérée dans le texte de la loi empêche toute levée ultérieure des "sanctions" par la Maison Blanche.

[Trump signera la loi antirusse le 2 août : ce sera la victoire n° 5 des néocons - après toutes les précédentes, voir 5.4.17.]

26 juillet 2017 - Profitant du fait que le président vient d'annuler un décret d'Obama qui autorisait les "transgenres" dans l'armée américaine, les merdias inventent un nouveau "scandale" anti-Trump - détails.

Les travelottes "discriminées" sont au nombre de 79 sur 1.326.273 militaires (soit 0,006 %) mais coûtent, en termes de "soins de santé" (opérations, médicaments, psychiatres), 14 fois plus que la moyenne (et les soldats normaux sont beaucoup mieux traités que les assurés Obamacare). Finalement, Trump aurait peut-être mieux fait d'envoyer cette fine fleur de l'US Army se battre sur le front en Afghanistan : avec une pancarte bilingue bien lisible autour du cou, le problème aurait été réglé en moins de deux jours.

"Protégez nos troupes trous !..."

"Oui aux opérations chirurgicales, merde aux opérations militaires !..."

28 juillet 2017 - Le nouveau directeur de la communication à la Maison Blanche, Anthony Scaramucci, s'efforce de mettre fin une fois pour toutes aux fuites internes dont certaines taupes de l'équipe présidentielle font bénéficier les merdias. Au besoin, dit-il, il mettra tout le monde à la porte. En attendant, il contribue à la démission de Reince Priebus (chef de cabinet - voir plus bas) que l'on soupçonnait depuis longtemps de se livrer à ce genre d'activité (voir plus haut 20.2.17).

Le seul problème, c'est que Scaramouche n'a pas compris que pour résoudre la question, il faut d'abord s'émanciper des merdias. Or, que fait-il ?  Après avoir lu dans un article du magazine The New Yorker des indiscrétions ayant trait à un dîner de Donald Trump avec des responsables de Fox News (dont Sean Hannity - voir plus haut 11.7.17), Scaramucci n'a rien de mieux à faire que de téléphoner à l'auteur de l'article pour lui demander d'où il tient ses "informations". Pire encore, devant le refus du pressetitué de citer ses sources, il se lance dans une diatribe aussi violente qu'obcène (détails) dans laquelle il insulte Reince Priebus mais aussi Steve Bannon, le conseiller présidentiel viré il y a plusieurs mois mais encore présent à la Maison Blanche (voir plus bas). Scaramucci ne pouvait pas savoir que le New Yorker se ferait un plaisir de publier intégralement ses propos. Donald ne l'avait pas averti... [Cet étrange directeur de la communication sera renvoyé le 31 juillet, dix jours seulement après avoir été nommé : un record...]

Toujours le 28 juillet, au Sénat, nouvelle tentative pour annuler Obamacare dix jours après la précédente (voir plus haut 17.7.17). Le Sénat rejette le texte par 51 voix contre 49, c'est-à-dire avec la participation de trois sénateurs républicains. A suivre...

29 juillet 2017 - Trump annonce son intention de signer le texte antirusse voté par le Congrès le 25 juillet (voir plus haut). A la suite de quoi Poutine, qui semble avoir compris qu'il n'y a plus rien à espérer de la Maison Blanche, répond avec plus sept mois de retard à l'expulsion de diplomates russes (voir plus haut) en expulsant les diplomates américains en surnombre (plusieurs centaines). D'autres mesures de rétorsion pourraient suivre pour contrer les "sanctions" nouvellement décidées à Washington, mais compte tenu de la rapidité de réaction de Poutine, rien ne devrait se passer avant 2018, et encore...



Dans notre série
Combien faut-il d'ampoules électriques pour changer un titre fake news de CNN ?
nous vous présentons aujourd'hui :

LES LIENS DE POUTINE AVEC LA RUSSIE
Procureur spécial Mueller : Preuve indéniable des liens de Poutine avec le Kremlin
Prochainement : Trump était au courant des liens de Poutine avec la Russie


1er août 2017 - Lorsque rien ne va plus à la Maison Blanche, comme déjà en avril 2017, la seule issue valable semble être la guerre. Oui, mais contre qui ?... La Corée du Nord ne serait une proie facile pour les USA que si la Chine acceptait de la neutraliser auparavant, ce qui n'est pas encore tout à fait le cas. Et menacer les Chinois parce qu'ils ne vous aident pas, ne mène apparemment nulle part. Alors l'Iran ?... Ou la Syrie ?... Voire même la Russie ?... Il ne faut pas y songer pour le moment. D'où l'idée que le Venezuela pourrait fournir la solution. La situation explosive dans ce pays (redevable aux Etats-Unis et à leur Etat profond) ne demande qu'à exploser davantage, histoire de fournir un répit (de courte durée) à un président américain qui ne préside rien. Est-ce pour bientôt ?...

2 août 2017 - Les sanctions US visent la Russie... et frappent l'Europe  par Diana Johnstone.

Le Premier ministre russe Medvedev : "L'administration Trump a montré sa totale impuissance en cédant le pouvoir exécutif au Congrès de la manière la plus humiliante."

Paul Craig Roberts : "Trump devrait s'adresser au peuple américain, non pas via Twitter mais dans un discours majeur que diffuseraient Fox News et Alex Jones, qui ont l'un et l'autre une audience plus grande que CNN et le New York Times. Le président devrait dire clairement que le Congrès outrepasse ses compétences constitutionnelles et saisir la Cour Suprême. Il devrait expliquer que le Congrès fait obstacle à une réduction des tensions entre les deux principales puissances nucléaires et demander sans ambages aux citoyens s'ils acceptent, provocation après provocation, de se laisser entraîner dans une guerre avec la Russie..."

"Trump pourrait aussi téléphoner aux politiciens et industriels allemands qui ont dénoncé l'illégalité des sanctions et les inciter à faire pression sur Merkel pour qu'elle déclare officiellement que l'Allemagne n'accepte pas ces mesures. Et comme les dirigeants de l'UE dénoncent eux aussi les sanctions, le président pourrait, avec un minimum d'efforts, organiser une opposition européenne qui lui permettrait de dire au Congrès que le président des Etats-Unis ne peut laisser un tas d'imbéciles détruire l'Empire de Washington en poussant les Européens hors de l'alliance. Si Trump était en mesure de mobiliser les Européens, il pourrait faire échec à cette loi qui n'est rien d'autre qu'un service rendu par les membres du Congrès à leurs contributeurs de campagne du complexe militaro-sécuritaire et du secteur de l'énergie."   source 1 - source 2

Pour cela, comme dirait l'autre, il eût fallu qu'il en eût...

4 août 2017 - Le procureur spécial Robert Mueller que Trump avait nommé (ou laissé nommer) le 18.5.17, est infiniment plus nocif qu'on ne pouvait le soupçonner. Fer de lance de la guerre contre le président, il met en place un grand jury trumpophobe qui aura le pouvoir de convoquer qui il voudra quand il le voudra, et d'émettre des injonctions (subpoenas) obligeant les personnes visées à témoigner sous serment ou à lui remettre tout document qu'il exigera. De la sorte, les ennemis de Donald Trump pourront extorquer à son entourage, à sa famille, à ses collaborateurs, tout ce qu'ils estimeront utile pour lancer enfin la procédure de destitution. Et cela ne concernera pas seulement "la Russie" (affaire bidon fabriquée de toutes pièces) mais n'importe quel autre sujet susceptible de nuire au président.

Au lieu de se débarrasser de la vipère Mueller comme il en aurait encore la possibilité, Trump laisse faire et prend deux semaines de vacances pendant lesquelles il ira jouer au golf.

Pour toute contre-attaque, le président vient d'organiser, en Virginie Occidentale, un rassemblement avec 10.000 de ses électeurs qui lui sont reconnaissants d'avoir sauvé des emplois dans l'industrie minière de cet Etat. Pour s'en tirer, malheureusement, ce ne sont pas quelques milliers de personnes mais des dizaines de millions qu'il lui faudrait mobiliser - en permanence, et pas seulement le temps d'un meeting.

5 août 2017 - A l'unanimité, c'est-à-dire avec les voix de Moscou et de Pékin, le Conseil de "Sécurité" de l'ONU vote une résolution imposant des "sanctions" à la Corée du Nord pour la punir de poursuivre son programme de défense (armement nucléaire et missiles). On mesure l'hypocrisie et surtout la lâcheté des dirigeants russes et chinois qui aident ainsi le monstre yankee à couler un petit pays souverain, un des derniers de la planète, alors qu'eux-mêmes sont en permanence exposés aux coups de ce monstre qui leur réserve à plus ou moins long terme le même sort qu'à la Corée.

Est-ce le premier pas vers une neutralisation de Pyongyang par Pékin, mesure indispensable pour permettre une agression américaine sans risque (voir plus haut) ?  Et jusqu'où ira la complicité chinoise ?... Donald Trump ne cache pas qu'il attend de la Chine qu'elle aille plus loin encore, qu'elle prenne de véritables mesures contre son allié, dont elle est - à 90 % - le principal partenaire commercial. Les merdias présentent les événements comme un face-à-face entre deux fous furieux. Trump, pour sa part, joue ce rôle à merveille. Il promet à son petit homologue nord-coréen "le feu et la fureur". La guerre est le seul domaine où ses adversaires politiques le laissent agir sans lui mettre de bâtons dans les roues : la chose était connue depuis quelque temps (voir plus haut 5.4.17).

Voir également :  Corée 2017.


Pékin et Moscou ne pouvaient pas se douter...




L'AMÉRIQUE A TROP DE PROBLÈMES ?

12 août 2017 - A Charlottesville (Virginie), une manifestation de nationalistes de droite protestant contre le déboulonnage de la statue de Robert Lee (général sudiste de la Guerre de Sécession), est attaquée par des contre-manifestants "de gauche" rassemblant les habituels groupes financés par $✡R✡$ : fascistes "antifa", racistes anti-Blancs de "Black Lives Matter", révolusionistes colorés anti-Trump au poing levé, le tout avec l'aide de la police et des autorités locales... Une voiture conduite par un certain James Alex Fields percute la foule dans des conditions mystérieuses, tue une personne et en blesse plusieurs autres sans qu'on sache exactement à quel camp elles appartenaient. CNN présente Fields comme un "suprémaciste blanc"... et interviewe sa mère Samantha Bloom (pas vraiment un nom de goy raciste). Bref, tout cela sent la provocation à dix kilomètres.


Cascadeurs anti-Trump ?

Dès le départ, les merdias exigent du président qu'il condamne "les suprémacistes blancs", c'est-à-dire qu'il prenne parti contre des gens qui ne font que réagir à la violence dont ils sont l'objet depuis plus d'un an et qui ont contribué à son élection. Trump hésite encore, mais en insistant un peu... Après avoir "sanctionné" son allié russe potentiel, punira-t-il une partie de sa base électorale ?... Pourquoi pas, si 99 % des membres du Congrès le lui demandent poliment...

Trump et la droite alternative américaine : L'Alt-right - son histoire, ses enseignements  par Pierre Terrail (sur le site Egalité et Réconciliation).


15 août 2017 - Donald Trump résiste encore (vidéo 2.40) :  "Et après Robert Lee, ce sera le tour de George Washington et de Thomas Jefferson ?..."

Aux Etats-Unis, la racaille sorosienne veut éradiquer toute référence au camp sudiste d'il y a 150 ans (drapeau, statues, monuments). C'est un peu comme si des gauchistes français se mettaient à démolir tous les symboles de la royauté (y compris Versailles).

Mais il existe des sudistes intouchables, comme par exemple l'esclavagiste juif Judah Benjamin - voir plus bas 14.9.17.


PÉTITION POUR REBAPTISER LA MAISON "BLANCHE" :

Source : https://petitions.moveon.org/sign/resolution-777to-rename

Motif : le nom de Maison "BLANCHE" constitue une violation de la loi de 1964 sur les droits civiques
ainsi qu'une discrimination permanente à l'égard des non-Blancs et non-Européens aux Etats-Unis. Ce nom favorise
la division raciale, évoque la supériorité "BLANCHE" et empêche toute amélioration des rapports interraciaux.

N'oubliez pas de signer également la pétition 778 en vue de donner à la pétition 777
une autre couleur de fond que cet abominable blanc suprémaciste à la Ku Klux Klan.
A bas le lait, la neige, le sel et l'aspirine !...  Destituons Donald Trump !...

[On sait que l'organisa-sion "MoveOn" - traduisible en français par "En Marche" - est financée par Soros.]

18 août 2017 - Renvoi définitif de Steve Bannon. Bien que déjà démis de ses fonctions le 5.4.17, il était toujours à la Maison Blanche et exerçait une certaine influence sur le président. C'est maintenant terminé.

22 août 2017 - Trump annonce la poursuite de la guerre d'Afghanistan, commencée officiellement il y a seize ans. Aucune guerre américaine n'a duré aussi longtemps, et encore on ne compte pas l'intervention occulte qui a précédé, dès 1978, d'abord pour tenter de renverser le régime laïque afghan et attirer les Soviétiques dans le pays, puis pour aider les djihadistes contre l'Armée rouge - voir ici.

La relance de cette guerre ingagnable déclenchée en octobre 2001 pour punir les talibans d'avoir perpétré les attentats du 11 septembre (une théorie conspira-sioniste reprise aujourd'hui par le président), était de toute manière prévisible depuis plusieurs mois - voir plus haut 12.4.17. Trump ne dit pas combien de troupes fraîches vont être envoyées en Afghanistan, car c'est paraît-il un secret militaire. En fait, le chef des armées (ou chef désarmé) n'en sait rien, vu que ceux qui font la politique à sa place ne le lui ont pas dit.

Après sa contre-performance afghane, et pour compenser un peu, Trump va prendre un bain de foule en Arizona où il a encore beaucoup de partisans. La population le soutient (frontière mexicaine oblige) mais pas les élus locaux (sénateur John McCain et autres).

25 août 2017 - Le président gracie Joe Arpaio (85 ans), ancien sheriff de Maricopa, comté de l'Arizona où se trouve la capitale Phoenix. Arpaio, qui avait occupé ce poste électif de 1992 à 2016 (élu six fois de suite), était connu pour les humiliations et les mauvais traitements infligés à ses détenus qu'il considérait comme des "prisonniers de guerre". Mais ce n'est évidemment pas pour cette raison qu'il avait été condamné (par un juge au moins aussi salaud que lui) mais pour "s'être rendu coupable de pratiques discriminatoires et de profilage racial" lors de l'arrestation et de l'expulsion d'immigrants illégaux. Il avait pourtant strictement appliqué la loi, mais quand on s'en prend à des clandestins venus du Mexique, il faut bien veiller à ne surtout pas "discriminer" cette catégorie de population.

Il va de soi que McCain, sénateur républicain mais adepte de l'immigration illimitée, saisit cette occasion pour taper sur Donald Trump. Tous les prétextes sont bons...

31 août 2017 - Tolérée par Trump et favorisée par la molle réaction de Poutine (voir plus haut 29.7.17), la guerre diplomatique contre Moscou continue. Les USA ordonnent maintenant la fermeture du consulat russe de San Francisco et de deux annexes diplomatiques à New York et Washington. Le Kremlin annonce qu'il "ne réagira pas de façon hystérique"- autrement dit, il ne réagira pas du tout.

3 septembre 2017 - Moins d'un mois aprés les récentes "sanctions" anti-nord-coréennes (voir plus haut 5.8.17), l'hystérie américaine reprend de plus belle. Pyongyang, au lieu de capituler, a en effet testé une bombe thermonucléaire (bombe H) quelques jours après un tir de missile de moyenne portée - d'une part dans le cadre de la poursuite normale de son programme de dissuasion, d'autre part pour répondre aux manœuvres permanentes des bellicistes de Washington à sa frontière. Donald Trump, pour prouver qu'il est encore le président, s'efforce de crier plus fort que tout le monde et menace de frapper d'embargo les pays qui font du commerce avec Pyongyang, c'est-à-dire avant tout la Chine. On imagine ce qui se passerait si une telle mesure entrait en vigueur...

5 septembre 2017 - Le président abroge le statut DACA que Barack Obama avait mis en place en 2012 pour couvrir l'immigration illégale d'enfants, adolescents et jeunes adultes étrangers. Ceux-ci seraient au nombre de 800.000 (chiffre officiel) voire 2.000.000 selon certaines sources. Reste à savoir dans quelle mesure ce geste, qui va dans le sens promis en 2016 par le candidat Trump, aura les répercussions voulues.

12 septembre 2017 - Nouvelles "sanctions" de l'ONU contre la Corée du Nord avec le soutien actif de Moscou et surtout de Pékin, comme déjà le 5.8.17 (voir plus haut).

14 septembre 2017 - Retour sur l'hystérie antisudiste qui règne aux Etats-Unis depuis l'affaire de Charlottesville (voir plus haut 12-15 août 2017) :  Pourquoi le mémorial Judah Benjamin n'a-t-il pas été retiré ?  (Egalité et Réconciliation).

Sur le rôle joué par cet esclavagiste juif, voir également : Tome 2 des "Relations secrètes" (paragraphe "Les Juifs, les lynchages et le Ku Klux Klan").

19 septembre 2017 - A la tribune de l'Assemblée Générale de l'ONU, Donald Trump traite Kim Jong-un de "Rocket Man" et se dit prêt à "détruire entièrement la Corée du Nord si elle persiste dans son projet nucléaire".  Guerre des mots ou prélude à une véritable guerre ?...  Kim, nullement impressionné par les éructations américaines, se contente d'une petite phrase : "Le chien aboie, la caravane passe..."

Discours très agressif également vis-à-vis de Téhéran, que le "guide suprême", l'ayatollah Khamenei, qualifie de "langage de cowboy et de gangster". On sait que Trump, sur ordre du régime de Tel Aviv, est à la recherche d'un prétexte pour dénoncer l'accord de 2015 sur le nucléaire iranien. Pour Pyongyang, qui veut conclure un traité de paix en bonne et due forme avec les Etats-Unis (ce que ces derniers refusent depuis 1953), l'affaire iranienne devrait servir d'exemple et montrer ce que vaut réellement la signature du gouvernement américain. A suivre...

26 septembre 2017 - Le scandale de la NFL

Les ennemis de Donald Trump ne savent plus quoi inventer pour nuire au président. Leur dernière trouvaille : utiliser le sport-spectacle, en l'occurrence le football américain, pour lui taper dessus. Tout commence "en douceur" fin août 2016 : Colin Kaepernick, quarterback (noir) des 49ers de San Francisco, fait parler de lui en mettant un genou à terre pendant l'hymne national (qui est joué avant chaque match). C'est "pour protester contre l'oppression raciale aux Etats-Unis", dit-il. Son contrat ne sera pas renouvelé en fin de saison et aucune autre équipe ne voudra de lui.

L'affaire aurait pu en rester là si les trumpophobes n'avaient pas sauté sur l'occasion un an plus tard pour fabriquer un nouveau "scandale". Ils dominent (aussi) la NFL (National Football League), et comme la plupart des joueurs sont noirs, il est facile de faire pression sur eux pour qu'ils "se solidarisent" avec un "mouvement" mort-né. Comme il fallait s'y attendre, Trump réagit à sa façon face à cette vague artificielle de "protestations". Dans un tweet et au cours d'un meeting, il conseille aux propriétaires d'équipes de la NFL (milliardaires blancs, en majorité juifs) de "jeter dehors ces fils de pute qui méprisent notre drapeau". En disant cela, il exprime le sentiment de très nombreux Américains.

Au lieu de l'écouter, les patrons de clubs, qui sont bien évidemment dans le coup, répondent par des attaques redoublées. C'est aussi l'occasion d'effacer l'humiliation des clintoniens au Super Bowl (voir plus haut 5.2.17). D'ailleurs, ils parviennent même à pousser Robert Kraft (propriétaire juif des New England Patriots) et Tom Brady (quaterback victorieux de cette équipe) à critiquer la réaction de Trump. C'est qu'ils ont le bras long... A Pittsburgh, la totalité des joueurs des Steelers se joint "spontanément" aux protestations anti-hymne. Seul Alejandro Villanueva (hispano-américain et ancien militaire) résiste aux pressions... mais pas pour longtemps : dès le lendemain, il doit présenter ses "excuses". On a vu cela dans beaucoup d'autres domaines...


Les Dallas Cowboys contre l'hymne américain :

Le milliardaire juif Jerry Jones, propriétaire du club, agenouillé avec ses esclaves noirs.
Ils ont beau être multimillionnaires et privilégiés, la mentalité n'a pas beaucoup changé...


Le scandale de la NFL prouve, s'il en était besoin, que les néo-cons osent tout (c'est à ça qu'on les reconnaît). Tout comme Soros, ces parasites se fichent complètement du sort des Etats-Unis. Ce n'est pas leur patrie, mais seulement un "hôte provisoire" qu'ils abandonneront le jour venu pour un autre plus intéressant et plus lucratif. Le processus a déjà commencé. Après les symboles sudistes (Charlottesville - voir plus haut 12.8.17) ils s'en prennent maintenant aux symboles américains tout court...

12 octobre 2017 - Bien que le Sénat n'ait toujours pas voté l'abrogation de la loi dite "Obamacare", le président signe un décret de remplacement, permettant à chacun, en théorie, de choisir son assureur indépendamment du lieu de résidence et de prendre une couverture réduite excluant l'accouchement, la pédiatrie et la psychiatrie. C'est parfait pour les gens qui n'en ont pas besoin, ça l'est moins pour les autres... Mais même sans cela, on peut se demander si cet ersatz de réforme sera vraiment appliqué... Depuis qu'il est à la Maison Blanche, Trump a signé des dizaines de décrets plus inefficaces les uns que les autres.

Autre réforme en rade : la refonte de la fiscalité. On sait peu de chose du texte prévu, sinon que le taux d'imposition le plus bas devrait passer de 10 à 12 % - pas vraiment un cadeau pour les couches les plus défavorisées. Il est vrai que Trump avait seulement promis d'alléger le fardeau des classes moyennes.

Moins on lui permet de réaliser les aspects positifs de son programme, et plus le président se console en agitant les menaces de guerre. Aujourd'hui à l'ordre du jour, outre l'omniprésente Corée du Nord : l'Iran et... le Hezbollah libanais - Paranoïa : les Etats-Unis se disent menacés par le Hezbollah  (Réseau Voltaire). C'est le conseiller présidentiel Tom Bossert (voir plus bas) qui sert de caisse de résonance à l'Etat terroriste juif.

Un peu dans le même genre : Donald Trump fait savoir que les Etats-Unis vont quitter l'UNESCO. Motif : c'est une organisation anti-israélienne.




13 octobre 2017 - Trump relance la crise iranienne en laissant entendre qu'il se retirera de l'accord de 2015 sur le nucléaire "si le Congrès des Etats-Unis ne trouve pas de solution satisfaisante dans les 60 jours". Les autres signataires de ce que le président appelle "l'accord le plus mauvais de toute l'histoire des USA" (Iran, Russie, Chine, France, Royaume-Uni, Allemagne) refusent ce retrait unilatéral américain. D'autre part, au lieu de lever les "sanctions" anti-iraniennes, Trump en annonce de nouvelles, dirigées notamment contre les Gardiens de la Révolution, qui font partie de l'armée de Téhéran. Dans un discours plus débile encore que celui de son conseiller Bossert la veille, l'homme de la Maison Blanche reprend et amplifie les mensonges de la propagande sioniste.

Dans la foulée, Trump décrète une mesure supplémentaire concernant l'assurance maladie : la suppression des subventions publiques consenties par Obama aux assureurs pour "compenser leurs pertes" résultant de sa réforme.



UN AN APRÈS L'ÉLECTION

Fin octobre 2017 - Près d'un an après son élection, où en est Donald Trump ?

Il est toujours aussi pugnace et a "repris" un combat... qu'il n'avait jamais cessé. Malheureusement, sa combativité - sincère - ne mène pas loin, vu qu'elle ne s'appuie sur aucune stratégie cohérente et néglige deux aspects essentiels : l'information à grande échelle et la mobilisation de masse de ses partisans.

Alors qu'il aurait pu porter des coups sérieux aux merdias hostiles en les boycottant, il s'adresse régulièrement à eux (lui et son équipe) et conforte leur position. Plus les pressetitués de CNN le traînent dans la boue, et plus il leur confirme - inconsciemment - qu'ils ont raison de le faire. Ce ne sont pas les quelques égratignures qu'il leur tweete chaque matin qui mettront fin à la chasse à courre. Pour abattre le Fake News Channel n° 1, il faut s'y prendre autrement. Mais bon, ce que le président n'a pas fait jusqu'à présent, ce qu'il a été incapable de faire, il ne le fera plus maintenant.

La politique étrangère de Donald Trump est désastreuse, bien pire que ce qui était prévisible. Sa politique intérieure demeure inapplicable compte tenu de l'obstruction qu'elle suscite de la part de ses adversaires des deux partis. Il ne reste plus au président que les gestes symboliques, ceux qui ne coûtent rien. Et encore, même là rien n'est joué, comme le montre l'épisode de la déclassification de documents secrets concernant l'assassinat de John Kennedy, il y a 54 ans. Sur un simple coup de sifflet de la CIA et/ou du FBI, Trump a remis la chose à plus tard "dans 180 jours". Si tout n'est pas enterré d'ici là, on aura eu le temps de noircir les passages "sensibles" ou de fabriquer une pièce à conviction prouvant la complicité russe ou cubaine dans cette affaire. Commentaire de celui qui voulait redonner sa grandeur à l'Amérique : "Je n'avais pas le choix..."

Un an après sa victoire, tout est résumé dans cette petite phrase...


Dans six mois, ne manquez pas cette révélation :

Elle vous sera présentée par Donald Trump... s'il est encore là.

30 octobre 2017 - Dans le cadre de la chasse aux sorcières baptisée "enquête sur la collusion avec Moscou", le procureur spécial Robert Mueller, que le président n'aurait jamais dû accepter à ce poste (voir plus haut 14 et 16.6.17), inculpe deux anciens membres de l'équipe du candidat Donald Trump : Paul Manafort et son "associé" Richard Gates. Mais ce qui est reproché aux deux hommes n'a strictement rien à voir avec la campagne électorale de 2016, puisqu'il s'agit de "faits" remontant à 2012-13. Manafort aurait alors été en contact avec le président ukrainien Victor Ianoukovitch (renversé en février 2014 lors d'un putsch organisé par la CIA - voir ici). Ianoukovitch est présenté aujourd'hui comme une sorte de bras droit de Poutine, alors que c'est en réalité un pauvre type dont le Kremlin a permis la chute, se contentant seulement de lui accorder l'asile politique.



La réaction de Donald Trump, qui consiste à dire que tout cela s'est passé des années avant sa candidature et à demander pourquoi l'attention [de la Justice] ne se concentre pas sur Crooked Hillary et les Démocrates (voir plus haut les casseroles de Clinton), cette réaction est loin d'être à la hauteur. Il déplore une situation à laquelle il pourrait facilement mettre fin en tant que chef de l'exécutif. Qu'attend-il pour agir au lieu de protester ?

Manafort et Gates plaident non-coupables mais la "justice" américaine, dont on connaît la perversité, a la ferme intention de les "faire parler", la cible ultime étant bien entendu le président. D'ailleurs un troisième homme, George Papadopoulos, également ex-membre de l'équipe de campagne à un échelon subalterne, est déjà passé aux "aveux" après un séjour de plusieurs mois en prison. On lui a fait "avouer" en substance qu'il était chargé de se procurer auprès des Russes des "saletés" utilisables contre la pauvre Hillary. Malgré l'insignifiance de son poste en 2016, Papadopoulos est considéré par les trumpophobes comme le plus "rentable" des trois inculpés, étant donné que ses "crimes" ont un rapport direct avec la campagne électorale.

Le "péché originel" de Trump dans cette affaire, c'est qu'il n'a pas su/pu/voulu défendre sa position initiale sur la Russie et la détente avec ce pays. Un an après son élection, il est beaucoup trop tard pour y changer quoi que ce soit...

10 novembre 2017 - Voyage plus ou moins inutile de Trump en Extrême-Orient. Au Japan et en Corée du Sud, il régurgite les habituelles insanités anti-Pyongyang. En Chine il ne tarit pas d'éloges sur ceux qu'il accusait hier de manipulation monétaire et de viol économique des USA. Le plus osé se produit à Danang (Viêt-Nam) au sommet de l'APEC (Coopération économique Asie-Pacifique) où le président américain rencontre brièvement Poutine pour la deuxième fois en quatre mois (voir plus haut 8.7.17). Ces deux photos (pièces à conviction) ne manqueront pas d'intéresser le procureur spécial Mueller. On y voit le maître du Kremlin chuchoter quelque chose d'interdit à l'oreille de Trump et pousser l'ingérence jusqu'à porter la même chemise bleue que lui (par-dessus sa chemise blanche, mais personne n'est dupe) :


 


Deux jours plus tard, Trump est à Manille, au sommet de l'ASEAN (Association des Nations de l'Asie du Sud-Est) où il rencontre son homologue philippin. Duterte est le président le plus populaire que les Philippines aient jamais connu, ce qui en fait évidemment la bête noire de la CIA et des merdias américains. En quelque sorte le Donald Trump local : qui se ressemble s'assemble...

On reproche à Duterte d'être implacable vis-à-vis des trafiquants de drogue, ce que nos journalopes traduisent par "violation des droits de l'homme". Tandis que Trump se garde bien de porter de telles accusations contre son alter ego philippin, les autres dirigeants occidentaux comme par exemple Trudeau la tapette ne s'en privent pas... et se font aussitôt remballer - détails (voir également les autres liens sur Duterte en bas de l'article en question). Circonstances aggravantes : Duterte n'aime ni les idéologues de la pédérastomanie, ni les pressetitués-espions, ni les parasites du droit-de-l'hommisme. Il vient d'ailleurs de leur supprimer les subventions publiques.



Mêmes chemises là aussi. Mueller va avoir du pain sur la planche...

1er décembre 2017 - L'inquisition se poursuit inexorablement. Après Manafort, Gates et Papadopoulos (voir plus haut 30.10.17) c'est à présent Michael Flynn qui est inculpé pour "avoir menti au FBI" dans l'affaire montée de toutes pièces de la prétendue "collusion avec Moscou". Pour échapper à une lourde condamnation, Flynn se déclare prêt à "collaborer avec la justice", c'est-à-dire à dénoncer toute personne qu'on lui demandera de dénoncer. Après avoir été le premier domino à tomber (voir plus haut 13.2.17) il contribue maintenant à faire tomber tous les autres. Si le président ne l'avait pas congédié et s'il n'avait pas nommé l'inquisiteur Mueller (deux mesures suicidaires), on n'en serait pas là aujourd'hui.

2 décembre 2017 - La loi sur la réforme fiscale est adoptée par le Sénat par 51 voix contre 49, la voix manquante étant celle du sénateur républicain Bob Corker du Tennessee. La Chambre des Représentants avait déjà approuvé le texte mais sous une forme différente, ce qui va nécessiter un nouveau vote de cette assemblée. On ne sait toujours pas ce qui va sortir de tout cela (voir plus haut 12.10.17). Le président y voit une victoire, le manque à gagner pour l'Etat (1.400 milliards de dollars de baisses d'impôts sur dix ans) devant être compensé par l'effet de relance économique. Reste à savoir si les grands bénéficiaires de ces cadeaux fiscaux vont vraiment réinvestir l'argent dans l'économie réelle ou si, au contraire, ils s'en serviront pour alimenter de nouvelles bulles financières. Contrairement à ce qu'avait fait le président Franklin Roosevelt dans les années 1930, Trump n'a jamais eu l'intention de redresser l'économie par le biais d'investissements publics directs. Dans ce domaine, il "fait confiance" aux milliardaires.

5 décembre 2017 - Le décret sur l'immigration, que les ennemis de Trump combattent depuis le premier jour (voir plus haut 27.1.17), est confirmé dans sa version de septembre 2017 par la Cour Suprême des Etats-Unis. Les pays visés par l'interdiction générale ne sont plus tout à fait les mêmes : l'Irak et le Soudan ont été rayés de la liste, la Corée du Nord et le Tchad ont été rajoutés. Pourquoi ce changement ?... Trump seul le sait (peut-être).

Mais de toute manière l'efficacité du décret est douteuse, vu que les partisans de l'invasion migratoire illimitée sont partout sur le terrain pour en saboter l'application, y compris dans les rangs de la Homeland Security. Le Sénat vient justement de confirmer la nomination à la tête de ce ministère de Kirstjen Nielsen, une adversaire déclarée de la politique présidentielle (voir plus bas). La nouvelle ministre ne cache pas son intention de rétablir le programme DACA de 2012 que Trump avait abrogé le 5.9.17 (voir plus haut). Cette nomination contre-productive imposée à Donald Trump, illustre bien la profondeur de l'Etat profond.

6 décembre 2017 - Trump "reconnaît Jérusalem comme capitale indivisible d'Israël", conformément à ce qu'il avait promis dès le départ à son "allié" Satanyahou (voir plus haut). On se demande seulement pourquoi il ne l'a pas fait plus tôt.  Voir aussi Palestine 6.12.17.

[Deux semaines plus tard, l'Assemblée Générale de l'ONU condamne le geste américain - voir Palestine 21.12.17.]

12 décembre 2017 - Election sénatoriale partielle dans l'Alabama pour désigner le successeur de Jeff Sessions, devenu ministre de la Justice (voir plus bas). Après une campagne électorale dominée par les merdias hostiles au candidat républicain Roy Moore sur le thème "harcèlement sexuel" (arme politique très tendance), le parti de Donald Trump perd ce siège de justesse et voit sa majorité au Sénat réduite à 51:49. Mais la situation est plus délicate encore pour le président, étant donné qu'un certain nombre de sénateurs et autres "bonzes" républicains soutiennent plus ou moins ouvertement le camp adverse - détails.

Les prochaines élections (renouvellement de la Chambre des Représentants et d'un tiers du Sénat) auront lieu début novembre 2018. Le seul souci pour la plupart des Républcains concernés, c'est désormais de se faire réélire, pas de mettre en œuvre le programme de Trump.



EN GUISE DE CONSOLATION :

President Donald Trump Sending NASA Back To The Moon - And Beyond

Une bonne nouvelle qu'on attendait depuis longtemps
"One small step for me - one big hoax for you..."

15 décembre 2017 - Nouvelles élucubra-sion-s anti-iraniennes (© Nikki Haley)

20 décembre 2017 - Première victoire législative de Donald Trump : après plusieurs allers et retours entre le Sénat et la Chambre des Représentants et diverses modifications de dernière minute, la loi fiscale (voir plus haut 2.12.17) est définitivement votée (par 227:203 à la Chambre, 51:48 au Sénat). Pour le président, c'est la meilleure réforme fiscale de toute l'histoire des Etats-Unis ; pour ses adversaires, au contraire, la pire depuis la création du monde. Comme il se doit, les plus bruyants détracteurs de ce texte comptent parmi ses profiteurs.

En moins de temps qu'il n'en faut pour fabriquer un titre "Fake News", les pressetitués de CNN sortent un "sondage" selon lequel 55 % des Américains seraient opposés à la réforme. ("Chef, on met combien ? 82 % ?...  - Non, non, contentons-nous de 55 pour commencer...")

3 janvier 2018 - La nouvelle année commence par de violentes attaques verbales de Donald Trump contre Téhéran et Pyongyang. L'homme de la Maison Blanche, sur ordre des ventriloques de Tel Aviv, accuse l'Iran de réprimer la liberté de ses citoyens (il s'agit en fait de la liberté des créatures locales de la CIA et du Mossad de déclencher une nouvelle révolu-sion de couleur - voir ici).

Contre la Corée du Nord, les diatribes présidentielles prennent un tour franchement surréaliste. Après que Kim Jong-un ait annoncé que son pays était prêt à tout moment à se défendre d'une agression américaine ("Le bouton nucléaire se trouve sur mon bureau"), Trump répond : "Mon bouton à moi est plus gros que le tien, Rocket Man..."  Bon, il aurait pu demander à la CIA de l'avertir chaque fois que Kim quitte son bureau, mais on sait qu'entre Trump et les services de renseignement les relations ne sont pas optimales...

5 janvier 2018 - Il y a belle lurette que la guerre (ou la menace de guerre) ne suffit plus pour détourner le danger interne qui pèse sur le président. Ses ennemis lancent donc une nouvelle offensive, cette fois sous la forme d'un livre de révélations d'un "journaliste investigateur" ayant ses sources à la Maison Blanche (Fire and Fury de Michael Wolff). Ce que cet épisode a de révélateur, c'est que Donald Trump ne maîtrise pratiquement plus rien : ni son administration (qui est encore plus ou moins celle de l'ancien régime), ni ses services de sécurité (qui facilitent les fuites au lieu de les empêcher), ni ses conseillers juridiques (qui le laissent sombrer sans bouger le petit doigt).

Un des buts de cette nouvelle campagne anti-Trump - à part le fric que rapporte un livre vendu à des millions d'exemplaires - est de "prouver" que le président est mentalement instable et incapable d'exercer ses fonctions ; il faut donc le destituer en vertu du 25ème amendement (voir plus haut 20.2.17). Pas nouveau, et ça ne coûte rien d'essayer...

12 janvier 2018 - Le programme DACA que Donald Trump avait paraît-il abrogé (voir plus haut 5.12.17 et encore avant 5.9.17) revient sur le tapis. A présent il n'est plus du tout question de le supprimer mais seulement de le "réformer" en échange de concessions démocrates en matière d'immigration, de construction du mur frontalier et de rallonge budgétaire. (Pour voter le budget au Sénat, il faut 60 voix sur 100, alors que la majorité présidentielle est de 51). Trump annonce donc qu'il veut une "loi d'amour" pour les illégaux. Bref, une gigantesque reculade se prépare, que Trump va vendre à ses partisans comme le deal des deals...

Pour montrer à quel point ils sont disposés à accepter un compromis, les trumpophobes accusent le président d'avoir insulté Haïti et plusieurs pays africains en les qualifiant de "pays de merde" (shithole countries), ce que Trump dément formellement. L'accusation est rapportée par les habituels merdias (shithole medias). Tout cela se serait passé au cours d'une réunion "confidentielle" avec des élus démocrates. La rencontre n'a été ni filmée ni enregistrée, de sorte que Trump s'est fait avoir.



Un journal israélien rappelle qu'il fut un temps où
les émigrants juifs venaient de "shithole countries" :

Aujourd'hui, le pays de merde par excellence c'est Israël (pas Haïti).


17 janvier 2018 - Pour éviter d'avoir à comparaître devant un grand jury de mise en accusation, Steve Bannon, ancienne éminence grise de Donald Trump, accepte de collaborer avec l'inquisiteur Mueller en rapport avec "l'affaire russe". Il est le cinquième ex-conseiller à se trouver dans cette situation, et le plus important à ce jour (voir plus haut 1.12.17).

On voit que tous les gens que Donald Trump chasse de son équipe sont ensuite utilisés contre lui. Et comme ils ont de bonnes raisons de lui en vouloir, rien ne les pousse à le ménager.

18 janvier 2018 - Fake News Awards : quenelle mondiale de Trump à la presse mainstream (Egalité et Réconciliation).

La liste complète des lauréats : The Highly-Anticipated 2017 Fake News Awards (Parti Républicain - GOP).

Conséquence de la réforme fiscale de Trump (voir plus haut 20.12.17), plusieurs grandes entreprises américaines annoncent qu'elles vont rapatrier leurs capitaux placés à l'étranger. Apple prévoit d'investir 350 milliards de dollars aux USA au cours des cinq prochaines années - milliards, pas millions, du jamais vu. Et l'industrie automobile revient petit à petit dans le Michigan. Au cours d'une visite chez H&K Equipment, une usine de matériel de manutention de la région de Pittsburgh, le président vante les effets positifs de sa politique. Même s'il est encore trop tôt pour se prononcer définitivement, le mouvement de reprise semble lancé.

Pour ce qui est des indicateurs économiques (à considérer avec prudence), le chômage commence à reculer et la croissance repart. La bourse, elle, ne cesse de grimper, mais il est vrai qu'elle grimpait déjà sous Obama, et la cause profonde de cette hausse réside surtout dans les immenses liquidités créées par la Fed (1.000 milliards par an depuis plusieurs années). Mais il est parfaitement logique que le président s'en attribue les mérites, lui qui a réussi à ridiculiser les économistes dits "sérieux" comme Paul Krugman. Ce titulaire du Prix Nobel prétendait le jour de la victoire électorale de Trump que l'économie ne s'en remettrait jamais, ce qui lui a valu un Fake News Award - voir quelques lignes plus haut.

19 janvier 2018 - Quelques jours après que la Chambre des Représentants ait voté une rallonge budgétaire indispensable pour maintenir les activités gouvernementales, le Sénat refuse. Trump dispose bien de 51 sièges sur 100 dans cette assemblée, mais la majorité requise en pareil cas est de 60. Les sénateurs démocrates ne sont prêts à voter le texte que si Trump capitule totalement sur l'immigration illégale (DACA, mur, etc. - voir un peu plus haut 12.1.18).  Résultat : c'est le shutdown ou arrêt provisoire de nombreux services publics - en quelque sorte le "cadeau" au président pour son premier anniversaire à la Maison Blanche :



26 janvier 2018 - Au Forum économique mondial de Davos (Suisse), Trump déclare : "En tant que président américain, je placerai toujours les intérêts américains avant tout, comme les autres dirigeants devraient le faire dans leur pays..."  Quoi ?...  Les pantins de l'UE, les Juncker, Merkel et autres Macrotte devraient placer avant tout les intérêts de leur propre pays...  Quelle idée saugrenue !...  Ils ne savent même pas ce que c'est, leur propre pays...

30 janvier 2018 - De retour à Washington, Donald Trump prononce devant le Congrès son premier discours sur l'état de l'Union, boycotté par onze élus démocrates (sur 243). Résumé : autosatisfaction concernant la politique économique et fiscale, menaces contre la Corée du Nord, l'Iran et le Venezuela, annonce que le camp de Guantánamo Bay ne sera pas fermé. Comme il fallait s'y attendre (voir plus haut 12.1.18) le président précise l'ampleur de sa capitulation en matière d'immigration. Dans un plan surréaliste présenté comme l'expression de sa politique "America first" (voir ici) il offre une amnistie pour au moins 1,8 million d'illégaux. Les partisans de l'immigration totale (18 millions ? 180 millions ?) trouvent que Trump ne va pas assez loin. Encore un petit effort, Donald...




FBI-GATE

31 janvier 2018 - Depuis quelque temps, on parle beaucoup d'un mémo secret rédigé par le député républicain de Californie Devin Nunes, ancien président de la Commission parlementaire sur le renseignement (voir plus haut 22.3.17). Dans ce mémo que seul le président peut rendre public (la Commission parlementaire lui demande de le faire), il est question des écoutes dont le candidat Trump et son équipe ont été victimes de la part du FBI. C'est donc au moins aussi "explosif" que le scandale du Watergate. Seule différence : le président Richard Nixon avait donné l'ordre d'espionner ses adversaires (ce qui lui avait permis d'être réélu en novembre 1972), tandis que le président Donald Trump, lui, est la victime de cette affaire d'espionnage politique. Il aurait pu, dès le début, limoger les coupables. Il ne l'a pas fait, laissant au contraire les éléments criminels du FBI (Etat profond) intriguer et "enquêter" contre lui.

2 février 2018 - Le président déclassifie le fameux mémo : texte intégral - Lien .pdf

En bref : le 21.10.16, le ministère de la Justice (DOJ) et le FBI (qui dépend de ce ministère) ont demandé et reçu de la FISC (cour chargée de surveiller les activités des services de renseignement étrangers en vertu de la loi FISA) l'autorisation d'observer Carter Page, un homme de l'équipe de campagne du candidat Trump. Pour "justifier" cette demande, renouvelée tous les trois mois, les responsables* se sont appuyés sur un dossier que Christopher Steele (agent du MI6 anglais et source de longue date du FBI) avait compilé pour le compte du Comité national du Parti démocrate (DNC) et de l'équipe de campagne de Hillary Clinton, dans le but de fournir des "informations" diffamatoires "prouvant" la "collusion" de Donald Trump avec la Russie. Prix de ce dossier fabriqué de toutes pièces : plus de 160.000 dollars, versés par DNC-Clinton via le cabinet d'avocats Perkins Coie et la société de "recherche" Fusion GPS.

* James Comey (directeur du FBI, viré le 9.5.17), Andrew McCabe (directeur adjoint, démissionnaire de ce poste depuis quelques jours), Sally Yates (vice-ministre de la Justice de Barack Obama), Dana Boente (ministre par intérim), Rod Rosenstein (vice-ministre de la Justice et chef de l'inquisiteur Robert Mueller, toujours en place).

Le contact de Christopher Steele au ministère de la Justice était un certain Bruce Ohr, proche par ses fonctions de Yates et Rosenstein. La femme de Bruce Ohr était employée chez Fusion GPS. Son domaine de "recherche" : l'opposition à Donald Trump - un "travail" également payé par DNC-Clinton. Tous ces détails ont été cachés au juge de la FISC.

Comme il était matériellement impossible de surveiller Carter Page sans aussi surveiller - ne serait-ce que "par accident" - tous ceux qui travaillaient avec lui, y compris Donald Trump, le scandale est parfait. Reste à savoir s'il va maintenant être étouffé avec l'aide des merdias, ou si au contraire c'est le début d'un "FBI-gate" pire encore que le Watergate, puisqu'il ne comporte pas seulement l'aspect écoutes/espionnage mais aussi le côté manigances/complot. Le président saura-t-il profiter de l'occasion qui s'offre à lui ?... Frappera-t-il enfin un grand coup contre ses ennemis comme il aurait dû le faire depuis longtemps ?... On peut toujours rêver...

Mémo FISA publié : voici ce qu'il dit  (La Cause du Peuple - Moon of Alabama)

Justin Raimondo analyse le complot anti-Trump en se basant sur les éléments connus avant la publication du mémo :  "Cette opération de changement de régime qui dépasse toutes les opérations de changement de régime, est menée par des hauts fonctionnaires du gouvernement américain contre leur propre pays...  Il ne s'agit pas de Trump. Il s'agit de préserver la république des Etats-Unis contre les agences de renseignement voyous et le FBI - une force de police nationale dont nous n'avons pas besoin, que les Fondateurs n'ont jamais imaginée, et qui s'avère être un danger mortel pour le système américain."



La "digue Huma Abedin" qui protège la louseuse Hillary et ses soutiens commence à se fissurer.
A toutes les casseroles déjà connues (Fondation Clinton, Uranium One, e-mails... - voir plus haut)
vient maintenant s'ajouter le scandale dévoilé par le mémo de Nunes.
(Pour "Fusion GPS" mentionné dans le mémo, voir quelques lignes plus haut.)

9 février 2018 - Après avoir fait des pieds et des mains pour empêcher la publication du mémo sous prétexte qu'elle mettait en danger la "sécurité nationale", la minorité démocrate de la Commission parlementaire sur le renseignement décide de publier son propre texte, plus étoffé que celui de la majorité républicaine (dix pages au lieu de trois et demie). Et là, brusquement, plus aucun problème "sécuritaire". Mais le président refuse la déclassification et ce contre-feu désespéré s'éteint de lui-même (pour le moment).

Les trumpophobes ont vraiment eu une idée géniale. A l'avenir, toutes les lois et autres décisions parlementaires devraient être publiées en deux versions : une de la majorité, l'autre de la minorité, le texte ainsi "voté" n'étant valable que si les deux versions coïncident. Evidemment, après l'expulsion de l'intrus de la Maison Blanche, on pourra revenir à la procédure normale.

Les ennemis du président et leurs merdias ont maintenant une nouvelle occupation : faire reculer Trump sur ce point. Ils espèrent y arriver en modifiant un détail par-ci, par-là, histoire de lui donner l'impression qu'il a fait un "bon deal" en acceptant leur "réfutation". A suivre...

11 février 2018 - Pour changer un peu, attaques "féministes" contre deux assistants de la Maison Blanche : Rob Porter et David Sorensen. Accusés de "violences et abus sexuels" comme des milliers d'hommes ces derniers temps, ils sont contraints à la démission avant même que quiconque ait pu vérifier quoi que ce soit. Il va sans dire que CNN en profite pour réchauffer les accusations de "sexisme" et de "harcèlement" portées contre le président. Que seraient toutes ces clintoquées et leurs clintocards sans le mouvement #MeToo ?


#FuckMe
   
#MeToo



ET TA SŒUR !

Quand la frangine du méchant despote nord-coréen vole la vedette
à tout le monde aux J.O. d'hiver de Pyeongchang (Corée du Sud),
même les pressetitués de CNN se laissent envoûter.
Heureusement que la meuf ne s'appelle pas Ivanka...

16 février 2018 - L'inquisiteur Mueller, toujours pas viré par Trump, inculpe treize Russes pour "ingérence" électorale. Le président réagit mollement : "No collusion". Il est clair que le récent FBI-gate ne sera pas exploité par la Maison Blanche.

Le résultat de l'enquête de Mueller : rien  par Paul Craig Roberts.

Après une fusillade en milieu scolaire (à Parkland en Floride - 17 morts) les trumpophobes rendent le président responsable. Tout est bon pour lui nuire. Alors que personne n'aurait songé à accuser Obama, Bush fils ou Bill Clinton dans des cas similaires, avec Trump aucune hésitation. Ses ennemis habituels mettent le paquet, mobilisent les écoliers (merci Soros), font l'amalgame avec #MeToo et DACA (voir plus haut 12.1.18) sans oublier la Russie... Pourquoi se gêner quand on sait que le président ne répliquera pas, ou pas comme il le devrait.

1er mars 2018 - Tenant une promesse électorale, Donald Trump annonce la mise en place d'une taxe de 25 % sur les importations d'acier et de 10 % sur les importations d'aluminium, comme première mesure destinée à protéger l'industrie américaine et les emplois.

8 mars 2018 - Avant de devenir effective, la mesure du 1er mars est partiellement annulée : les importations en provenance du Canada et du Mexique ne seront pas taxées - en attendant d'exempter l'UE, le Japon et la Corée du Sud ?...

Malgré ce revers partiel, l'économie américaine se porte bien. En février, 313.000 nouveaux emplois ont été créés (solde net) et en moyenne 242.000 chaque mois depuis décembre - détails.

13 mars 2018 - Le ministre des Affaires étrangères Rex Tillerson, qui menait depuis longtemps une politique extérieure indépendante de la Maison Blanche, est remercié et remplacé par Mike Pompeo, jusqu'alors patron de la CIA. Est-ce mieux ?...  Gina Haspel (encore pire) devrait succéder à Pompeo à la tête de l'Agence. Elle a le profil idéal (ancienne directrice du centre de torture de la CIA en Thaïlande).

15 mars 2018 - Trump confirme ce que l'on savait déjà depuis le 25.7.17 et punit ces salauds de Russes pour avoir falsifié à son profit l'élection présidentielle américaine de 2016 :

Simultanément, l'homme de la Maison Blanche rejoint le chœur des conspirationnistes antirusses dans l'affaire de l'empoisonnement de l'agent double Sergej Skripal

16 mars 2018 - A la demande du président, le ministre de la Justice Jeff Sessions renvoie Andrew McCabe, ex-directeur adjoint du FBI, qui avait démissionné de ce poste en janvier 2018 mais faisait encore partie de la maison. McCabe et son ancien chef James Comey (viré en mai 2017) comptaient parmi les principaux responsables des écoutes anti-Trump et des fuites permanentes en direction des merdias (voir plus haut FBI-Gate).

How Many Lies ? How Many Leaks ? (Breitbart)

La commission parlementaire sur le renseignement (House Intelligence Committee) met fin à son enquête sur la soi-disant ingérence russe, n'ayant trouvé aucune preuve de collusion - détails. Le président, pour sa part, a "puni" les Russes la veille pour cette inexistante ingérence en sa faveur (voir quelques lignes plus haut) et continue de tolérer que tous les autres comploteurs (Mueller et Cie) poursuivent leurs activités criminelles : cherchez l'erreur...

22 mars 2018 - Sous la pression de l'Etat profond, le président limoge le général H. R. McMaster qui dirigeait le Conseil de Sécurité Nationale de la Maison Blanche (voir plus bas) et le remplace par John Bolton, un néocon belliqueux de l'ancienne administration Bush : Un homme dangereux.

En ce qui concerne la taxe sur les importations d'acier et d'aluminium (voir plus haut 1.3.18) Trump annonce que les pays de l'UE seront exemptés, de même que la Corée du Sud, l'Australie, l'Argentine, le Brésil, et bien sûr le Canada et le Mexique. A part la Chine, il ne reste plus beaucoup de pays à pénaliser : les conseillers globalistes du président ont fait du bon boulot.

26 mars 2018 - Continuant sur sa lancée (voir plus haut 15.3.18) Trump punit de nouveau les Russes en expulsant 60 de leurs diplomates, dont 12 accrédités auprès de l'ONU à New York ; le consulat russe de Seattle sera fermé. Prétexte de cette mesure : l'attaque imaginaire contre Skripal à Salisbury (Angleterre).

Le plus curieux, c'est qu'entre les "sanctions" antirusses du 15 mars et celles d'aujourd'hui, le président américain a félicité Poutine par téléphone pour sa réélection du 18 mars - ce qui lui a valu d'être rappelé à l'ordre par ses ennemis habituels, mais aussi par certains de ses conseillers et par plusieurs élus de son parti. On voit que sa marge de manœuvre en politique étrangère est désormais réduite à néant. Le jour où les néocons lui ordonneront de déclencher la guerre contre la Russie, il ne lui restera plus qu'à obéir. Pour bien montrer qu'il n'est qu'une vulgaire marionnette entre leurs mains, ils font redoubler les attaques personnelles contre lui dans leurs merdias : à les en croire, le président aurait trompé sa femme avec une actrice porno. La réaction (ou plutôt l'absence de réaction) de Trump en la matière est aussi pitoyable que celle de Poutine face aux "sanctions" américaines et autres (le Royaume-Uni et une vingtaine de pays européens expulsent eux aussi des diplomates russes en grand nombre).

2 avril 2018 - Plus de 14 mois après l'investiture de Trump, la construction du mur à la frontière mexicaine n'a toujours pas commencé, faute de financement et parce que les adversaires du président (dans les deux partis) bloquent avec succès toute solution législative. Croyant bien faire, Trump a proposé le "deal" suivant : il régularise les sans-papiers (DACA - voir plus haut 5.9.17) en échange d'une concession des Démocrates concernant le mur. Mais ces derniers savent qu'en faisant de l'obstruction, ils gagnent sur les deux volets : pas de mur et pas d'expulsion des illégaux. Les villes "sanctuaires" continuent de violer systématiquement la loi, les juges les couvrent, Soros et Cie encouragent ouvertement les "réfugiés" d'Amérique centrale à franchir en masse la frontière avec la complicité du gouvernement mexicain. A moins de leur tirer dessus, on ne voit pas comment on pourrait empêcher cette invasion organisée.

Le président s'en prend - à juste titre - au géant Amazon, à ses pratiques fiscales et au fait que ses profits réalisés aux Etats-Unis le sont en grande partie sur le dos de la Poste américaine qui perd 1,50 dollar par colis transporté. Trump n'a pas pour habitude d'attaquer les grands groupes capitalistes qui s'enrichissent au détriment de l'Etat, au contraire... Mais dans ce cas précis, il se trouve que le PDG d'Amazon, le milliardaire Jeff Bezos, est aussi propriétaire du merdia Washington (Fake) Post, connu pour sa trumpophobie virulente.

6 avril 2018 - Bien que Donald Trump ait besoin de l'aide de la Chine pour "mater" la Corée du Nord, il n'hésite pas à se lancer dans une guerre commerciale avec Pékin. Après que les Chinois aient réagi aux nouvelles taxes américaines frappant certaines importations en provenance de leur pays (voir plus haut 22.3.18) en taxant à leur tour les produits agricoles US (mauvais pour l'Iowa et d'autres Etats du Middle West favorables au président - voir plus bas), l'homme de la Maison Blanche persiste et signe. Alors que le soja et le maïs frappés par la taxe chinoise représentent un volume de trois milliards de dollars par an, Trump annonce qu'il va "punir" les Chinois à hauteur de 50 milliards. Pékin répond alors du tac au tac, à la suite de quoi le président américain, pour montrer qu'il est le plus balèze, fait grimper les enchères à 100 milliards. On en est là pour le moment. Pourvu que les Chinois n'interdisent pas Caca-Cola et McMerdo, ce serait la catastrophe...

Trump décrète également de nouvelles "sanctions" antirusses, on ne sait pas trop pourquoi, peut-être parce que ces salauds de Russkoffs ont démoli la foireuse théorie britannique du complot poutinien de Salisbury (faux empoisonnement de Skripal).




TENIR LE PLUS LONGTEMPS POSSIBLE

8 avril 2018 - Pour la toute première fois, Trump attaque personnellement Poutine dans un tweet, reprochant à l'homme du Kremlin le soutien apporté à "la bête Assad" qui vient paraît-il de "gazer des civils dans la Ghouta" - false flag désormais classique voir ici.

Quelques jours plus tôt, le président américain avait annoncé le retrait prochain de Syrie des 2.000 militaires US qui s'y trouvent. Personne ne l'avait vraiment pris au sérieux, mais ses "conseillers" sionistes ont entre-temps fait pression sur lui pour qu'il se prononce clairement en faveur de leur politique de guerre.

9 avril 2018 - Une manière efficace d'obtenir ce que l'on veut de Trump en politique étrangère consiste à redoubler les attaques contre lui dans les autres domaines. C'est une méthode qui a fait ses preuves - voir plus haut.  Cette fois-ci, on s'est arrangé pour que l'inquisiteur Mueller ordonne au FBI d'effectuer une descente au domicile et au bureau de Michael Cohen, l'avocat personnel du président. Peu importe que ce soit illégal, seul le résultat compte. Avec le matériel récupéré, que l'on utilisera plus tard pour une éventuelle destitution, on pourra dans un premier temps rapprocher le moment où les USA s'engageront dans une véritable guerre contre la Syrie.  Le rêve des néocons est sur le point de se réaliser : la "bête Trump" va dévorer la "bête Assad", pour le plus grand bien d'Israël et avec l'aide involontaire d'un avocat juif.

11 avril 2018 - Le président américain, que les Russes appellent "Macho Trump" (Мачо Трамп), menace directement Poutine dans un tweet : "La Russie jure d'abattre nos missiles tirés sur la Syrie. Que la Russie se tienne prête, car ils arrivent, beaux, nouveaux et 'intelligents'...  Vous ne devriez pas vous associer à une bête qui gaze son peuple et qui aime ça..."  Intéressante précision stratégique, à rapprocher de l'avertissement à "Rocket Man" sur la taille du bouton nucléaire américain (voir plus haut 3.1.18).




14 avril 2018 - S'appuyant sur ses deux "alliés" européens Macrotte et May, Trump ordonne des tirs de missiles sur la Syrie pour empêcher qu'une attaque chimique comme celle qui n'a pas eu lieu dans la Ghouta, ne se reproduise à l'avenir.

Les néocons le dominent totalement, il leur obéit au doigt et à l'œil. Vont-ils se servir de lui pour d'autres aventures militaires (contre le Hezbollah et l'Iran) ou sera-t-il renversé avant d'avoir pu servir ?... Trump espère bien sûr que chaque geste belliqueux de sa part lui procurera un nouveau sursis. Mais d'épisode en épisode, le délai se raccourcit. Sachant pertinemment qu'il ne pourra jamais implémenter son programme de politique intérieure, il va s'efforcer de tenir le plus longtemps possible. Mais jusqu'à quand ?  Jusqu'à la fin de son mandat (janvier 2021) ou seulement jusqu'aux élections de novembre 2018 ?...

Dans l'espoir d'amadouer ses adversaires qui lui reprochaient de ne pas avoir de chien, Trump s'est offert deux clébards qu'il nourrit au novichok :




16 avril 2018 - Attaques massives de CNN et des autres merdias contre Sean Hannity de Fox News, un des rares journalistes américains honnêtes, un de ceux qui n'aboient pas avec la meute anti-Trump - c'est bien pour cela qu'on s'en prend à lui. Hannity aurait eu recours aux services de Michael Cohen, l'avocat de Donald Trump ciblé par Mueller et le FBI (voir un peu plus haut 9.4.18).

La passivité du président face aux machinations dont il est victime (il aurait pu et dû virer toutes ces ordures depuis longtemps) se retourne maintenant contre lui.  Alors, que faire ?... Bombarder l'Iran pour s'acheter une semaine de répit ?...

23 avril 2018 - L'avantage quand on a un clébard comme Macrotte (voir quelques lignes plus haut), c'est qu'on peut faire semblant d'organiser pour lui une visite d'Etat à la Maison Blanche. Comme ça les merdias te foutent la paix pendant 48 heures, c'est toujours ça de gagné.



"Bel arbre, Macrotte... T'auras qu'à l'arroser cent fois par jour
au lieu de pisser n'importe où sur le gazon...
"


1er mai 2018 - Grâce à son pote Satanyahou, Trump a bon espoir de détourner vers l'Iran l'hostilité de ses adversaires de l'intérieur.

C'est un petit jeu qui fonctionne à double sens : le président sait comment s'y prendre pour gagner un peu de temps (très peu), les autres savent comment le pousser à réaliser leur programme.

8 mai 2018 - Trump annonce le retrait des Etats-Unis de l'accord de 2015 sur le nucléaire iranien, mesure accompagnée d'un renforcement des "sanctions". Cela devrait fournir à l'homme de la Maison Blanche une bouffée d'oxygène pour les dix prochains jours ou peut-être même un peu plus longtemps. En effet, il semblerait que la Corée du Nord soit rentrée dans le rang grâce aux efforts surhumains de Donald. En tout cas, une rencontre au sommet Trump-Kim est prévue pour le 12 juin à Singapour. Le nouveau Rocket Man est donc désormais à Téhéran.



"Hé ! Rocket Man iranien, je viens de signer ton arrêt de mort.
Et comme tu peux le voir, ma signature est plus grosse que la tienne...
"


20 mai 2018 - Trump reconnaît Sodome et Gomorrhe comme capitales de la communauté LGBT  (en français, le sigle correct est SBLC).

25 mai 2018 - En l'espace de vingt-quatre heures, Trump annule la rencontre du 12 juin avec Kim puis annule son annulation. Pourquoi tout ce cirque ?  Trump seul le sait...

5 juin 2018 - En attendant que la rencontre de Singapour ait lieu (ou qu'elle n'ait pas lieu), les deux protagonistes procèdent à une échange de lettres par l'intermédiaire d'un envoyé nord-coréen. Comme il se doit, la missive que Trump fait parvenir à Kim est vachement plus grosse que celle de Kim à Trump :

 
Avec Donald Trump, il faut s'y faire, tout est toujours plus gros...



"Non, non, pas tout..."


8-9 juin 2018 - La réunion du G7 à La Malbaie (Québec) menace de devenir un G6 des adversaires de Trump. Les taxes sur l'acier et l'aluminium que le président américain avait annoncées le 1er mars 2018, avant d'exempter pratiquement tout le monde sauf la Chine (voir plus haut 22.3.18) vont entrer en vigueur car l'exemption n'était que provisoire en attendant qu'un nouveau "deal" (la spécialité de Donald) soit conclu entre les USA et les autres. Comme ces derniers n'avaient pas l'intention de renégocier quoi que ce soit, le conflit éclate. Les Six du G7-1 (Canada, France, Allemagne, Royaume-Uni, Italie, Japon), encouragés en douce par l'Etat profond américain, jouent la "rébellion". Un spectacle de toute beauté, animé par Trudeau la tapette et le couple franco-allemand.

Trump considère que ce G7 est une perte de temps ("a distraction") qui l'empêche de s'occuper de choses sérieuses (sommet de Singapour avec Kim). Arrivé en retard à La Malbaie, l'homme de la Maison Blanche repart avant la fin de la rencontre, laissant ses adversaires papoter entre eux de "réchauffement climatique". Avant de partir, Trump leur fait un cadeau empoisonné : il propose de revenir au format G8, avec la Russie. Giuseppe Conte, le nouveau Premier ministre italien (coalition nationaliste Lega-Cinque Stelle) est d'accord ; et comme Trump aux Etats-Unis, il veut mettre fin à l'invasion migratoire en Europe. On devrait peut-être le virer du G7 et le remplacer par Soros...

Finalement, les partisans de Trump peuvent être satisfaits : le président n'a pas cédé face à ses adversaires du G7 dressés contre lui avec la complicité de ses ennemis de l'intérieur. En matière de droits de douane, Trump a les bons arguments : le Canada, qui lui reproche son protectionnisme dans le secteur de la métallurgie, protège lui-même son industrie laitière par des subventions et des taxes à l'importation de 270 % !  L'UE, de son côté, taxe à 10 % les voitures américaines, alors qu'inversement la taxe n'est que de 2,5 %.  Trump est furieux de la duplicité de Trudeau, qui a profité de son départ prématuré du G7 pour le couvrir de reproches a posteriori tout en faisant croire au monde qu'il y avait consensus - détails.  Sans la signature des USA, que Trump refuse, pas de communiqué final : une première...


TEL UN ROC DANS LA TEMPÊTE :

"Alors quoi, merde, tu signes ?..."


Entendu dans l'avion Montréal-Singapour (conversation confidentielle entre le président et un de ses conseillers) :

- Dites-moi, pourquoi on n'a pas décollé de La Malbouffe, là ?
- La Malbaie... Ils n'ont pas d'aéroport.
- Ah bon, et à Quouébec City non plus ?
- Si, mais leur piste est trop courte.
- C'est donc pour ça, le détour par Montréal...
- Exactement... A propos, Mister President, vous avez vu le nom de leur aéroport ?...
- Ouais, aéroport Trudeau, faut le faire, il se refuse rien ce petit merdeux. Jamais vu un truc pareil depuis l'aéroport Saddam de Bagdad.
- En principe, c'est un hommage à son père, Pierre Elliott.
- Père Elliott, Père Elliott, et puis quoi encore... Mais ça me donne une idée...
- Oui, Mister President ?
- En fait, j'hésite entre deux possibilités.
- Lesquelles ?
- Ou bien je fais rebaptiser à mon nom l'aéroport Dulles de Washington - de toute façon plus personne ne sait qui était ce mec.
- Et l'autre solution ?...
- Je fais bombarder Montréal, comme on a fait à Bagdad... Qu'est-ce que vous en pensez ?...
- Chacune des deux possibilités a du bon. On pourrait voir ça en détail après Singap.
- D'accord, mais si Kim se fout de notre gueule, il faudra bombarder à la fois la Corée et le Canada. Ça risque d'être juste.
- Pour le Canada, ils ne l'auront pas volé, ces enfoirés qui ont incendié la Maison Blanche en 1812, comme vous l'avez rappelé l'autre jour...
- Ouais, de toute manière, ça va me procurer un répit de quelques semaines... Excellent...



Justin Trudeau prend un avion de Trudeau Airlines
à l'aéroport Trudeau de Trudeauville (ex-Montréal)


12 juin 2018 - Rencontre Trump-Kim à Singapour avec signature d'un communiqué commun en quatre points - texte complet en anglais.

Ce qui saute aux yeux, dans l'immédiat :

■ Points 1 et 2 - Déclarations d'intention parfaitement creuses : tout le monde il veut la paix et la prospérité et la stabilité durable, amen...

■ Point 3 - La Corée du Nord s'engage à dénucléariser complètement la péninsule coréenne (et pas seulement le Nord - une formulation absurde). Les USA, eux, ne s'engagent à rien, surtout pas à retirer leurs bombes atomiques, et encore moins leurs troupes, de la Corée du Sud qu'ils occupent depuis 65 ans.

■ Point 4 - La Corée du Nord et les USA s'engagent à récupérer, identifier et rapatrier les dépouilles des prisonniers de guerre et combattants disparus de 1950-53 - une mesure unilatérale réclamée par les Américains et néanmoins présentée comme une avancée "commune".

■ En préambule, hors des quatre points, Trump (pas les Etats-Unis) s'engage à fournir des garanties de sécurité à la Corée du Nord. Une promesse qui a autant de valeur que toutes celles faites précédemment (Libye, Irak, Iran, etc.) et qui risque d'ailleurs d'être annulée à la première occasion, que ce soit par le Congrès, par un juge de province ou par le président lui-même s'il se lève du pied gauche...

Pour Trump, cette rencontre et ce communiqué constituent un succès indéniable qu'il va s'efforcer d'exploiter le plus longtemps possible. Pour Kim et la Corée du Nord, c'est une autre affaire - probablement le commencement de la fin...



"T'avais intérêt à signer, sinon je t'envoyais Trudeau..."




Laquelle des deux est la plus grosse ?...


18 juin 2018 - Depuis quelques jours, à la frontière sud, recrudescence de l'immigration illégale organisée, avec campagne systématique des merdias qui accusent Trump de séparer les enfants de leurs parents. Pour les besoins de la cause, on n'hésite pas à utiliser des enfants acteurs que l'on a instruits auparavant : Actor children with scripts and coaching. Belle mise en scène avec force cris, pleurs et lamentations - Hollywood n'est pas loin...

Face à cette déferlante, à la fois sur le terrain et au niveau de la propagande, l'administration est totalement impuissante. Le président évoque le cas de l'Europe, spécialement de l'Allemagne, où la politique de la chancelière aujourd'hui chancelante a conduit à une catastrophe rejetée par une vaste majorité de la population. Mais pourquoi faudrait-il tenir compte de la volonté de la population ?... Il est vrai que certains pays de l'UE (Hongrie, Pologne, Tchéquie, Slovaquie, Autriche, Italie, Malte...) se rebiffent plus ou moins contre cette politique suicidaire voulue par Soros. Il n'empêche que ce même Soros reste tout-puissant - aussi bien en Europe qu'aux Etats-Unis.

Sachant qu'il n'a aucune chance d'imposer un jour son fameux mur anti-immigration, Donald Trump se rabat sur autre chose : il annonce la création d'une force militaire spatiale ainsi que des expéditions vers la Lune (déjà prévu depuis décembre 2017 - voir plus haut ) et (c'est nouveau) vers la planète Mars.

Bravo, Donald, mais il va falloir faire vite, vu que les prochaines élections sont dans cinq mois. Quoi qu'il en soit, plus personne ne pourra te contester le titre de Grand Rocket Man (par opposition aux petits de Pyongyang et Téhéran).



"C'est quand même plus fastoche que de construire ce putain de mur..."


19 juin 2018 - L'hystérie migratoire continue de plus belle. Merdias et politiciens trumpophobes s'en donnent à cœur joie. Avec l'aide de Mister Soros, les #MeToo se reconvertissent massivement dans le projet #NoSeparation. C'est génial la politique, #J'aime...



"Trump est méchant... Il veut me séparer de mon hamster..."

A présent ce ne sont plus seulement les élus démocrates qui réclament l'ouverture complète des frontières (qu'ils n'ont jamais pratiquée quand ils étaient au pouvoir). Des républicains s'y mettent également, comme par exemple ces treize sénateurs (sur 51). Ils exigent que Trump fasse relâcher à l'intérieur des USA tous les étrangers illégaux qui franchissent la frontière mexicaine en compagnie d'un enfant. Une telle mesure équivaudrait à leur dire : Présentez-vous au contrôle avec un enfant, même s'il n'est pas à vous, même si vous l'avez kidnappé, et on vous laissera passer librement...

20 juin 2018 - Non-événement du jour : les Etats-Unis quittent le Conseil des droits de l'homme de l'ONU qu'ils trouvent trop anti-israélien. Même "argument", donc, que pour le retrait de l'UNESCO en décembre 2017 - voir plus haut.

Personne ne déplore ce geste venant d'un pays dont le président méprise profondément les droits de l'homme et de la femme et des travelos et des enfants et des hamsters, oui pépère...

Retour dans le domaine du sérieux : dans la soirée, Trump participe à un meeting électoral à Duluth, dans le nord du Minnesota, au bord du lac Supérieur. C'est une région appelée "Iron Range" où l'on extrait du minerai de fer, une industrie que ses ennemis prétendent "dépassée" mais qui revit grâce à la politique présidentielle (fiscalité et taxes protectionnistes) : Why Minnesota's Iron Range Is Trump Country (Breitbart).

Tout milliardaire qu'il soit, Trump se trouve en "pays ami" dans cette région où il a fait beaucoup plus pour la fameuse "classe ouvrière" que toute la "gauche" réunie. Il espère non seulement améliorer son score de 2016 à Duluth et environs, mais aussi arracher aux démocrates l'ensemble du Minnesota (MN - Etat bleu dans un océan rouge - voir plus haut).

21 juin 2018 - Le merdia TIME (ou faut-il dire 'merdium' ?) pris la main dans le sac des fake news anti-Trump : Crying migrant girl on TIME magazine cover was not separated from mother, family says.

Pendant ce temps, le New York (Fake) Times publie un article et des photos représentant des "enfants en cage" dans un centre de détention de l'Arizona ; manque de chance, texte et illustrations datent de 2014 (présidence Obama). D'autres pressetitués tout aussi malhonnêtes font circuler la photo d'un "bus-prison pour bébés" du Service de l'Immigration et des Douanes (ICE). En réalité, il s'agit d'un véhicule utilisé par l'administration pour effectuer des excursions éducatives (oui, ça existe) et la photo est d'avril 2016 (plus de six mois avant la victoire électorale de Trump).



DÉJÀ EN 1992 AVEC KEVIN :

- M'sieu, s'il vous plaît, c'est par là la frontière ?
- Oui, c'est la grande cage que tu vois là-bas, avec tous ces enfants.
- On dirait qu'elle est déjà pleine...
- Non, non, y a encore de la place.
- Je peux y aller avec mon hamster ?
- Ah non, les hamsters sont confisqués à l'entrée...


25 juin 2018 - Premiers pas vers la guerre civile ?... Des enragés du parti démocrate, comme par exemple la députée de Californie Maxine Waters, appellent leurs partisans à harceler systématiquement les fidèles de Donald Trump sur la voie publique. D'ores et déjà, la ministre de la Homeland Security, Kirstjen Nielsen, a été attaquée dans un restaurant mexicain ; la porte-parole de la Maison Blanche, Sarah Huckabee Sanders, s'est vue chasser d'un autre restaurant de Virginie ; la ministre de la Justice de Floride (Etat républicain), Pam Bondi, a dû affronter les hurlements de cinglés démocrates à la sortie d'un cinéma de Tampa, etc. etc. - détails.

Malgré les craintes exprimées par certains politiciens anti-Trump de voir ce harcèlement se retourner contre eux en novembre, Maxine Waters persiste et signe, recommandant d'attaquer ses adversaires partout où ils vont, non seulement dans les restaurants mais aussi dans les magasins et les stations-service. Ce n'est pas pour rien que le président qualifie cette folle de "femme au Q.I. réduit"... Quand on appelle à la violence, elle finit par venir, et le jour n'est pas loin sans doute où ces fanatiques tueront des gens. Dans le camp de Trump, certains, comme l'acteur James Woods, conseillent aux victimes potentielles de s'armer pour parer à toute éventualité - voir ici.


Vous avez aimé Taubira.  Vous aimerez Waters...
 
Deux cinglées sorties du même moule : bêtes et méchantes, racistes, sexistes, antinationales.
Pour elles, l'ennemi à abattre est l'homme blanc non pédéraste représenté par Trump et Poutine.
Elles sont l'une et l'autre "de gauche"...

26 juin 2018 - Non-événement du jour : la Cour Suprême des Etats-Unis confirme en dernière instance la validité d'un décret présidentiel sur l'immigration - comme déjà en décembre 2017 (voir plus haut). Trump a beau se réjouir, il n'a rien gagné - et ce, pour diverses raisons :

■  Les mesures autorisées par la Cour Suprême étaient limitées dans le temps. Elles sont validées a posteriori sans être entrées en vigueur et sans rien apporter de concret pour l'avenir.

■  De toute façon, elles ne concernaient pas les pays sources de l'invasion migratoire (Mexique, Amérique centrale) mais quelques bêtes noires d'Israël (Syrie, Iran) et de l'Etat profond (Venezuela, Corée du Nord).

■  Elles sont dépassées par l'actualité politique. Pas étonnant quand on songe qu'il a fallu dix-huit mois pour parvenir à cette décision (inutile) de la Cour Suprême.

■  La tactique utilisée par les ennemis de Trump ressemble elle aussi à du harcèlement : procédures judiciaires en série où chaque cas spécifique n'est qu'une variante du cas précédent, la sentence finale n'ayant aucune validité générale. Une méthode qui a fait ses preuves et qui garantit que l'homme "le plus puissant de la planète" ne fera rien de décisif qui ne soit approuvé par l'Etat profond. Avec - retombée non négligeable - du travail et d'immenses revenus pour une armée de juges, procureurs, avocats et conseillers, dans un système dominé de fond en comble, et d'un côté comme de l'autre, par les créatures de l'innommable lobby.

28 juin 2018 - Dans le cadre de la campagne électorale de mi-mandat, Trump est dans le Wisconsin (au nord de Chicago) et pose la première pierre d'un complexe industriel du groupe taïwanais Foxconn (électronique) : dix milliards de dollars d'investissements, 13.000 emplois créés. Le seul problème, c'est que l'opération est subventionnée par les USA à hauteur de quatre milliards. Avantage ?...

Pas très loin de là, à Milwaukee (également dans le Wisconsin) se trouvent les usines Harley-Davidson. L'entreprise, frappée par les contre-mesures européennes qui ont suivi la récente taxation des importations d'acier, a l'intention de délocaliser une partie de sa production américaine afin d'échapper aux droits de douane de l'UE. Etant donné que les gens qui roulent en Harley, en Europe comme partout, attachent moins d'importance au prix qu'à la marque, il y a fort à parier que la décision du célèbre fabricant est motivée politiquement, à moins qu'il ne s'agisse d'une manière "élégante" de réclamer une aide supplémentaire de l'Etat.

29 juin 2018 - Les merdias accentuent leurs attaques contre le président. Cette fois, le prétexte est fourni par un "fait divers" : à Annapolis (Maryland, près de Washington) un homme tue cinq personnes présentées comme des journalistes ou des employés de la feuille de chou locale Capital Gazette. Aucune motivation politique derrière cet acte, rien à voir avec le fait d'être pour ou contre Trump. Qu'à cela ne tienne, c'est quand même la faute à Donald pour au moins deux raisons : 1) il dit du mal de la profession qu'il accuse - évidemment à tort, butor - de ne produire que des fake news - 2) il est contre l'interdiction des armes à feu, sacrebleu.

4 juillet 2018 - La fête nationale américaine n'est plus tout à fait ce qu'elle était : les fusées de feux d'artifice sont à 95 % "made in China" et la censure automatique de Fessesbouc interdit la Déclaration d'indépendance au motif qu'elle contient un "discours de haine". Heureusement qu'il y a encore les plaisirs de la table.





9 juillet 2018 - Un an et demi après avoir nommé Neil Gorsuch (51 ans) à la Cour Suprême (voir plus haut 31.1.17) le président désigne Brett Kavanaugh (53 ans) en remplacement du juge Anthony Kennedy démissionnaire à l'âge de 82 ans. La "gauche" trumpophobe, craignant de voir la Cour Suprême lui échapper pour une génération, a tout fait pour dissuader Kennedy de partir - en vain. A présent, elle va s'efforcer d'empêcher la confirmation du nouveau juge par le Sénat.

11 juillet 2018 - Le président américain est à Bruxelles pour participer au sommet de l'OTAN. Si l'on en croit les merdias, Trump a autant d'estime pour cette organisation (qu'il avait qualifiée d'obsolète en 2016) qu'il en a pour le G7 (voir plus haut 8.6.18). Il s'apprêterait donc à lui réserver le même sort - si seulement ça pouvait être vrai...

En fait, comme il l'a déjà dit maintes fois auparavant, l'homme de la Maison Blanche veut que ses chers alliés de l'OTAN augmentent leurs dépenses militaires pour les porter à 2 % de leur PIB. Selon les pays, le taux actuel est compris entre 1 et 1,4 %, contre plus de 3 % pour les USA (chiffre officiel). Les Etats-Unis dépensent en réalité beaucoup plus, probablement 5 % (1.000 milliards de dollars pour 20.000 milliards de PIB). Même si les données exactes restent invérifiables, il est clair que Washington consacre beaucoup plus à sa "défense" et à la "défense" de ses alliés, que ces alliés eux-mêmes. L'objectif recherché : que les pays "protégés" (disons plutôt : occupés) paient davantage pour une "protection" dont ils n'ont pas besoin, qu'ils prennent à leur compte une part plus importante des frais d'occupation, qu'ils achètent en masse de l'armement américain même s'ils en ont déjà beaucoup.

Les alliés de l'OTAN traînent les pieds. Avec Trump, ils estiment qu'ils peuvent se le permettre. Et pourtant, si l'on se base sur les chiffres officiels, l'Allemagne, le plus riche d'entre eux avec son PIB de 4.000 milliards de dollars, aurait une charge annuelle supplémentaire de seulement 24 milliards si elle faisait passer ses dépenses militaires de 1,4 à 2 % (+ 0,6 %). Une somme ridicule en comparaison de ce que coûte l'immigration illégale incontrôlée (2.000.000 de faux réfugiés depuis septembre 2015). Mais là n'est pas la question car il ne s'agit pas de choisir entre l'invasion migratoire et la militarisation du budget. D'un point de vue américain, les deux sont "nécessaires" - à cette différence près que la première est du ressort de Soros, alors que la seconde est dictée par l'Etat profond.



"Arrête un peu, la chanceleuse, tu vas quand même pas
chialer pour 24 milliards de plus...
"


L'important c'est le spectacle... Justine Trudotte, qui n'a toujours pas digéré l'affront du G7 de La Malbouffe (8.6.18), boude dans son boudoir et annonce dès le départ son refus de payer ne serait-ce qu'une cenne de plus, mais plaide néanmoins pour une "réponse claire et ferme à Poutine".  Macrotte, lui, ne pense qu'à la finale du Mondial de foot que "son" équipe devrait remporter dimanche prochain à Moscou ; s'il répond à Poutine, ce sera pour lui dire merci.  Quant aux Anglais, ils semblent avoir raté leur nouvelle mise en scène novichok de Hoaxbury, en tous points semblable à la précédente ; par définition, ils sont toujours contre Poutine (même si c'est leur équipe qui gagne).

A Bruxelles, dès la première réunion, Trump reproche à l'Allemagne son contrat gazier avec Moscou (Nordstream) qui la rend "captive" de la Russie. Ce n'est pas nouveau et, surtout, ça n'a aucun rapport avec l'OTAN. Pas grave, il est temps que Merkel coupe les ponts avec Gazprom et importe du gaz américain trois fois plus cher (en espérant qu'il y en aura suffisamment).

L'ennemi numéro un de l'OTAN est bien sûr la Russie. Et comme Trump va rencontrer Poutine le 16 juillet à Helsinki (en Finlande "neutre"), les merdias le présentent comme un "traître" qui veut dissoudre l'Alliance atlantique au profit du "dictateur" moscovite.

12 juillet 2018 - Avant de quitter Bruxelles pour l'Angleterre, Donald le Terrible donne un grand coup de pied dans la fourmilière otanesque : il supprime la réunion sur l'Ukraine, prévue à l'ordre du jour, et la remplace par une nouvelle discussion sur le financement (sujet unique de ce sommet). Le "président" ukrainien Porochenko (en fait le chef de la junte mise en place à Kiev après le coup d'Etat occidental de février 2014 - voir ici) devait participer à la réunion. C'est râpé. Pauvre Porko, lui qui voulait, une fois de plus, pleurnicher sur "l'annexion" de la Crimée (qui a été "annexée" par la Russie en 2014 comme l'Allemagne de l'Est avait été "annexée" par l'Allemagne de l'Ouest en 1990, ou comme l'Alsace-Lorraine avait été "annexée" par la France en 1918). Grande claque pour Kiev, petit cadeau pour Moscou...

Après tout juste vingt minutes de vol, le Boeing du président se pose à Londres. Des protestations "spontanées" ont lieu dans la capitale britannique, soigneusement organisées par ses ennemis (ils ont le bras long) et encouragées par le maire pakistanais musulman de la ville, Sadiq Khan. Le Sadiq en question est un agité anti-Trump dont les deux occupations favorites sont de lancer des pétitions pour empêcher la venue du président américain (raté) et de promouvoir l'immigration sunnite ainsi que la construction de mosquées (réussi).


- Monsieur le Maire, pourquoi détestez-vous à ce point le président américain ?
- Parce qu'il méprise nos valeurs occidentales et discrimine les femmes, les homosexuels et les Mexicains.


[Soit dit en passant, le barbu à gauche ferait un bon roi d'Angleterre. Faudrait demander à Daesh s'il est libre...]


A Londres, Trump ne verra ni les manifestants professionnels qu'on a mobilisés contre lui, ni le ballon géant qu'on lui a préparé en guise d'insulte.





 
A la rescousse : les pédés et les bébés...


13 juillet 2018 - Dans une interview accordée au tabloïd The Sun, le président accuse la Première ministre Theresa May d'avoir "démoli le Brexit". En quoi il a parfaitement raison - voir ici. Avec ce "soft Brexit" qui n'en est pas un, le Royaume-Uni risque de rester à jamais attaché à l'UE, ce que Trump s'efforce de changer au grand regret des globalistes.

Peu après, au cours d'une conférence de presse commune, l'homme de la Maison Blanche fait l'éloge de Theresa May. Ce qui peut sembler paradoxal à première vue, est en fait une méthode courante chez Donald Trump : il distribue d'abord des coups de trique, puis quand ses interlocuteurs sont à moitié K.-O., il leur fait tant de compliments qu'ils ne savent plus où se mettre. Un spectacle assez cocasse, presque autant que la gifle décochée en public à CNN. Le pressetitué Jim Acosta, régulièrement rabroué depuis janvier 2017 (voir plus bas) n'a toujours pas compris. Aujourd'hui, encore une fois, Trump refuse d'entendre la question débile et insultante de Mr. Fake News (toutes ses questions le sont). A la place, le président donne la parole à un journaliste de Fox, un des rares médias qui le respecte - détails.


Fake News Acosta & SuperTrump

Pendant ce temps, à Washington, l'inquisiteur Robert Mueller que Trump lui-même a fait nommer le 18.5.17, inculpe douze Russes pour piratage électoral (après les treize du 16.2.18). On ne sait rien de ces méchants hackeurs : ni leurs noms, ni leur lieu de séjour, ni même s'ils existent vraiment. La seule chose dont on est certain, c'est que le timing est parfait pour empêcher - ou rendre plus difficile - la rencontre au sommet Trump-Poutine dans trois jours. Le parti démocrate exige que le sommet soit purement et simplement annulé ou, au minimum, qu'il se déroule en présence de témoins. On devrait peut-être le retransmettre en direct sur CNN, sous forme de débat arbitré par Jim Acosta...

Il n'est pas non plus impossible que Trump prenne les devants et "sanctionne" la Russie comme il l'a déjà fait à plusieurs reprises, par exemple le 15.3.18 et le 26.3.18. Selon les circonstances, le président américain affiche son intention de s'entendre avec Poutine ou au contraire de le "punir". A ce petit jeu de "flic gentil, flic méchant", Trump joue les deux rôles à la fois, comme avec Theresa May et les autres (OTAN, UE, G7). En fait, seul Donald Trump sait ce que veut vraiment Donald Trump - et encore, ce n'est pas sûr...

14 juillet 2018 - Le président américain joue au golf en Ecosse. A Edimbourg, manifestations "monstres"... de quelques centaines, au maximum quelques milliers de "gens en colère" - voir ici. On s'est donné moins de peine qu'à Londres pour faire croire au monde que les Britanniques sont opposés à la politique de Trump.


Encore mieux qu'à Edimbourg :

La manif monstre du Loch Ness


16 juillet 2018 - Rencontre au sommet Trump-Poutine à Helsinki, deux heures en face-à-face sans autres témoins que les interprètes. CNN Fake News n'était pas invité, mais les oreilles de la NSA devaient être grandes ouvertes ... Quelques heures avant la rencontre, le président avait tweeté :


Nos relations avec la Russie n'ont JAMAIS été plus mauvaises.
C'est dû à plusieurs années de bêtise et de stupidité US
avec, maintenant, cette chasse aux sorcières biaisée.


Les merdias s'étranglent de rage, exigeant de Trump qu'il "confronte" Poutine, qu'il lui fasse avouer son "ingérence" dans les élections de 2016 et - la meilleure - qu'il lui fasse promettre de ne plus recommencer. Rien de tel dans la conférence de presse commune qui suit.

Sommet Trump-Poutine à Helsinki (Sputnik France)


LA VRAIE COLLUSION
ou
L'Etat terroriste juif, grand gagnant d'Helsinki.

Trump garantit sa sécurité, Poutine le protège :

(Extrait de la chronologie de Sputnik)

Pour le reste, rien de bien nouveau. Pour qu'il en soit autrement, il faudrait d'abord que le président américain fasse le ménage chez lui. Et en premier lieu, qu'il nettoie son ministère de la Justice en virant tous les Mueller et Rosenstein qui agissent jour après jour contre lui. Il en a parfaitement le droit puisqu'il est (aussi) le chef du gouvernement. Paul Craig Roberts le lui demande ici pour la énième fois. Mais on sait bien que l'homme de la Maison Blanche n'en fera rien, il veut seulement gagner du temps.

P.S. : Si Trump était allé se promener en ville, à Helsinki, il aurait peut-être vu ça ou ça. On dit que le finnois est une langue difficile (pour les étrangers).



- Mr. President, connaissez-vous le groupe finlandais 'Leningrad Cowboys' ?
- Oui, bien sûr, ils ont le même coiffeur que moi...


17 juillet 2018 - La veille à Helsinki, répondant à un journaliste qui lui demandait s'il pensait, comme les services de renseignement américains, qu'il y avait eu une ingérence russe dans les élections, le président avait déclaré : "Je ne vois pas pourquoi ce serait le cas". Vingt-quatre heures plus tard, cédant aux pressions, il corrige le tir et prétend qu'il voulait dire : "Je ne vois pas pourquoi ce ne serait pas le cas". Donc exactement le contraire... Et il s'empresse d'ajouter : "Mais il n'y a pas eu de collusion". Poutine va certainement apprécier...

Trump précise : "J'ai une immense confiance dans le renseignement américain..."  Que fera-t-il demain si la CIA lui explique qu'il s'est bien rendu coupable de collusion, qu'il a trahi dans l'exercice de ses fonctions, qu'il doit abdiquer au plus vite dans l'intérêt de son pays, ou sauter par la fenêtre ou se tirer une balle dans la tête ?...  Avec son immense confiance, il faudra bien qu'il les croie sur parole et qu'il s'exécute.

En attendant, les trumpophobes déchaînés veulent que la traductrice du président soit citée à comparaître devant le Congrès afin de dévoiler les "promesses indécentes" que son patron aurait faites à huis-clos à son "complice" du Kremlin - détails. Dans la république bananière de Washington, où le secret des conversations entre un avocat et son client n'existe plus (voir plus haut 9.4.18), tout est désormais possible. Bien sûr, la NSA sait parfaitement ce qui s'est dit en Finlande, un pays pas si "neutre" que ça, puisque sans faire partie de l'OTAN il est néanmoins membre de l'UE et de la zone euro. Mais le but de la manœuvre est ici d'intimider une personne de l'entourage de Trump, de la menacer de prison et de l'inciter à "témoigner" dans le sens voulu par l'Etat profond.

Si l'homme de la Maison Blanche croyait que sa marche arrière allait calmer ses ennemis, il s'est lourdement trompé.

20 juillet 2018 - La Maison Blanche rejette la proposition russe de commission rogatoire croisée (Réseau Voltaire).

A Helsinki, Poutine avait proposé que les services américains viennent en Russie interroger les douze personnes inculpées par Mueller le 13.7.18 (voir plus haut). Ces prétendus hackeurs russes n'ayant aucune existence réelle, il était clair pour le Kremlin que les USA n'accepteraient pas. Le refus logique de l'Etat profond par Trump interposé était d'autant plus inévitable que Poutine en avait profité pour exiger qu'on permette en contrepartie aux services russes d'interroger l'oligarque et escroc juif "britannique" Browder sur le sol américain. Browder a non seulement participé au pillage de la Russie et doit des sommes astronomiques au fisc russe ; il est aussi au cœur du dispositif antirusse du parti de la guerre et des trumpophobes. Et il a bien sûr financé la campagne de Crooked Hillary. Détail cocasse : son grand-père était un des dirigeants du PC des USA (qui hébergeait presque autant d'agents du FBI que de militants communistes).

Intouchable Mr. Browder (Israel Shamir). A propos de Robert Maxwell, cet autre escroc juif mentionné par Shamir, voir ici ce qu'en disait Victor Ostrovsky dans son livre The Other Side of Deception (1994).

21 juillet 2018 - Either Trump Fires These People Or The Borg Will Have Won (Moon of Alabama MoA - Ou bien Trump vire tous ces gens ou alors les Borgs auront gagné).  C'est quoi les Borgs ?

"Tous ces gens", ce sont les serpents venimeux Mueller et Rosenstein (du ministère de la Justice - voir plus haut 16.7.18) mais aussi les traîtres qui se sont joints à eux entre-temps pour saboter tout ce que fait le président : Dan Coats (directeur du Renseignement national DNI), John Kelly (chef de cabinet de la Maison Blanche), Christopher Wray (directeur du FBI), James "Mad Dog" Mattis (ministre de la Défense).

MoA : "Aux USA, pouvoir législatif et pouvoir judiciaire constituent un contrepoids au président qui dirige l'exécutif. L'Etat profond et ses taupes au sein de l'exécutif ne devrait jouer aucun rôle dans cet équilibre. Le président élu peut et doit exiger la loyauté de ceux qui travaillent pour lui."  Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le ministère de la Justice ne fait pas partie du pouvoir judiciaire mais de l'exécutif (gouvernement) de même que le FBI, qui est sous la tutelle de ce ministère. Tous les autres ministères du gouvernement fédéral dépendent également du président, de même que le DNI et bien sûr le chef de cabinet de la Maison Blanche. La fameuse "indépendance" de la Justice concerne les juges, pas les procureurs et encore moins les fonctionnaires du ministère.

MoA : "Les gens qui sabotent la politique présidentielle devraient être limogés publiquement, de façon simultanée et en indiquant clairement le motif. Ils ne méritent aucun avertissement préalable. Voir ces têtes tomber serait un signal pour tous ceux que la tentation des Borgs pousserait à trahir eux aussi les décisions légales prises par leur chef."

Dan Gainor (Fox News) : Trahison, trahison, trahison...  Le 'Trump Derangement Syndrome' fait des ravages dans les rangs des merdias fakestream.


ONCLE SAM : DONALD M'A TUER, POUTINE A RIGOLER

● Trump soutient l'ennemi Poutine contre le Renseignement américain.
● Un espion russe se fait choper. Il avait des liens avec le GOP
(parti républicain) et la NRA (lobby des armes individuelles)


23 juillet 2018 - Accusant le président iranien Rohani de menacer les USA, Donald Trump menace l'Iran dans un tweet écrit en capitales et presque identique à ceux proférés un an plus tôt contre la Corée du Nord.


NE MENACEZ PLUS JAMAIS LES ÉTATS-UNIS OU VOUS ALLEZ SUBIR
DES CONSÉQUENCES TELLES QUE PEU AU COURS DE L'HISTOIRE EN
ONT CONNUES AUPARAVANT. NOUS NE SOMMES PLUS UN PAYS QUI
SUPPORTE VOS PAROLES DÉMENTES DE VIOLENCE ET DE MORT.
FAITES ATTENTION !

(Version courte : FAIS GAFFE À TA GUEULE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!)

Si Donald Trump consacrait autant d'énergie à combattre ses ennemis de l'intérieur, y compris et surtout dans son propre gouvernement (voir un peu plus haut 21.7.18), tout irait beaucoup mieux. Malheureusement, il croit pouvoir s'en tirer en hurlant et gesticulant pour Satanyahou. Que fera-t-il ensuite ?...  Une vraie guerre par procura-sion ou une "rencontre historique" style Singapour ?...

25 juillet 2018 - Dans le but de mettre fin à la guerre commerciale et douanière entre les Etats-Unis et l'Europe, l'UE dépêche à Washington son meilleur représentant : Jean-Claude Juncker (président de la Commission européenne). Dans ses bagages, à part quelques petites bouteilles, JCJ a une offre imparable : supprimer immédiatement toutes les taxes qui existent de part et d'autre sur les vins, la bière et les alcools en tous genres. Jean-Clown Juncker à Donald Trump : "D'accord, je sais, question deal, c'est plus gagnant-gagnant pour moi que pour toi... Mais comme dit le proverbe luxembourgeois : Quand mon verre est plein, je le vide, et quand mon verre est vide, je bois au goulot..."



Mais Juncker avait encore autre chose dans ses bagages : la capitulation de Bruxelles en matière d'importation de gaz naturel américain liquéfié (GNL)* et de soja génétiquement modifié**, le tout enveloppé dans un paquet soi-disant avantageux pour tout le monde - Trump et Juncker désamorcent la crise.

Donald Trump : "C'est un grand jour pour le libre-échange..."  -  Jean-Claude Juncker : "Tu l'as dit, Donald, ça s'arrose..."

* voir plus haut 11.7.18.

** voir plus haut 6.4.18. Entre-temps, les agriculteurs du Middle West, qui ne peuvent plus écouler en Chine leur soja-maïs-etc., reçoivent 12 milliards de subventions fédérales.


Le président américain s'est félicité via Twitter de ce deal avantageux :

Le Luxembourgeois est lui aussi satisfait : "GNL, c'est de la gnôle. Et avec le reste, on peut faire de l'alcool de soja (recette coréenne)..."


"Et maintenant, on va s'en jeter un derrière la cravate..."


31 juillet 2018 - Au cours d'un rassemblement électoral des partisans de Trump à Tampa (Floride), le pressetitué Jim Fake News Acosta de CNN se fait huer - article et vidéo. Tout cela n'est pas bien méchant, les gens se contentent de scander "CNN Sucks !..." (CNN, ça craint !). Mais Acosta (Enemy of the People) va en profiter le lendemain pour exiger de la porte-parole de la Maison Blanche, Sarah Sanders, qu'elle déclare que le gouvernement ne considère pas "la presse" (comprenez la chaîne CNN Fake News) comme l'ennemie du peuple. Sanders refuse d'obtempérer...


Confirmé par défaut :


Ce qui est vraiment incompréhensible, c'est que la Maison Blanche n'ait pas depuis longtemps exclu le merdia CNN et ses journalopes de toutes les conférences et points de presse. Aucun article de la constitution n'oblige le président à se faire insulter en silence au nom d'une prétendue "liberté de la presse".

5 août 2018 - 24 heures sur 24, les ennemis du peuple font des pieds et des mains pour obtenir leur "certificat de non-culpabilité". Cinq jours après l'incident de Tampa, ils en sont toujours à racoler pour qu'on les "innocente". Evidemment, même dans ce qui est censé être le camp de Trump, il n'est pas difficile de trouver des gens prêts à confirmer n'importe quoi pour passer à la télévision. Ainsi par exemple Ivanka Trump, la propre fille du président, ou, dernier en date, l'imbécile Anthony Scaramucci (voir plus haut 28.7.17).

6 août 2018 - Bonne nouvelle pour la démocrasserie américaine : l'inquisiteur Mueller inculpe l'ancien président Abraham Lincoln pour collusion avec la Chine et le FSB russe (ex-KGB).  Les preuves sont accablantes...




9 août 2018 - Depuis Helsinki et même un peu avant (voir plus haut 13.7.18) on attendait avec impatience que Trump, pour améliorer ses relations avec Moscou, prenne de nouvelles "sanctions" contre la Russie. Dieu merci, c'est fait. Pour punir une nouvelle fois les Russes d'avoir empoisonné Skripal, les USA "interdisent les exportations vers la Russie d'appareils électroniques et de composants à double usage" (civil et militaire). Si les Russes "donnent des garanties" qu'ils ne recommenceront pas, on en restera là. Sinon, "un second paquet de sanctions pourrait prévoir des limitations importantes des importations et des exportations, la baisse du niveau des relations diplomatiques et l'interdiction des vols de la compagnie Aeroflot aux Etats-Unis" - source. On ignore si Poutine a déjà contacté le psychiatre de Donald Trump pour lui demander des explications.

Quelques jours plus tôt, les Américains avaient "sanctionné" la banque russe Agrosoyouz pour non-respect de l'embargo infligé à la Corée du Nord. Mais là, le génie du Kremlin ne peut s'en prendre qu'à lui-même, vu qu'il a personnellement fait voter à l'ONU les "sanctions" anti-Pyongyang.

10 août 2018 - Pour Michael Maloof, ancien analyste du Pentagone pour les questions de "sécurité", les récentes sanctions contre la Russie montrent que Trump n'a pas le contrôle de son administration. Ce sont les néo-cons de son "cabinet de guerre" qui décident : John Bolton, Mike Pompeo et (la néo-conne) Nikki Haley.

On savait déjà tout cela depuis un certain temps. Mais ce qui est inquiétant, c'est que le président ne contredit jamais ces va-t-en-guerre lorsqu'ils durcissent leur position.

14 août 2018 - Les ennemis du peuple ont l'intention de faire après-demain... ce qu'ils font tous les jours depuis deux ans : 100 journaux américains préparent une attaque commune contre Donald Trump.


C'est eux les victimes :

Au lieu de rencontrer ("meet") bien gentiment la presse qui le harcèle jour et nuit,
Donald le Terrible passe à la moulinette toutes ces pauvres journalopes innocentes
qu'il considère comme de la vulgaire barbaque ("meat") tout juste bonne à alimenter ses tweets...
Si ça pouvait être vrai...


La récente expulsion d'Alex Jones et de son site InfoWars de YouTube, Facebook et autres réseaux "sociaux" (après bien d'autres victimes de mesures similaires), a attiré l'attention sur la censure politique pratiquée à grande échelle par la mafia de "l'information". L'article suivant Internet : la bataille de l'information fait rage expose les méthodes utilisées par les "GAFA" & Cie pour manipuler l'opinion au détriment de Donald Trump et de ses partisans. Comme quoi les ennemis du peuple ne sont pas seulement les merdias traditionnels en perte de vitesse, loin de là...  Et ces ennemis du peuple version USA 2018 sont les dignes émules d'un certain "petit père des peuples" version URSS 1948.




16 août 2018 - Donald Trump retire l'habilitation secret-défense à John Brennan (ancien directeur de la CIA qui intriguait ouvertement contre lui). Un geste bien tardif qui ne change pas grand-chose au fait que d'innombrables ennemis du président bénéficient toujours de ce privilège qu'ils utilisent contre lui - voir plus haut 26.2.17.

Brennan shouldn't have a security clearance - He's a national security risk (Gregg Jarrett - Fox News).

Pour la petite histoire : Brennan, l'ennemi acharné des Russes, a reconnu avoir voté communiste à la présidentielle de 1976 (qui fut remportée par Jimmy Carter). Ce vote pour le CPUSA fidèle à Moscou (en pleine guerre froide) ne l'a pas empêché de faire une "brillante" carrière à la CIA. Comme dans le cas de l'escroc Browder (voir plus haut 20.7.18), on voit que le fait d'être proche des staliniens (pas seulement des trotskistes reconvertis en néo-cons) n'est nullement un handicap dans certains cas bien précis.

Mais Brennan n'est pas le seul traître a avoir été sanctionné ces jours-ci. Peter Strzok, agent du FBI coresponsable du sabotage de l'enquête sur les courriels de Crooked Hillary (voir plus haut) et trumpophobe de la première heure, a été viré de son poste. De même qu'une certaine Omarosa Manigault-Newman, ancienne participante aux émissions de "téléréalité" de Donald Trump, que celui-ci avait eu le malheur ou la naïveté d'embaucher à la Maison Blanche. Profitant de sa position d'assistante du président, elle amassait les documents confidentiels utilisables contre son patron. Bien qu'elle ait toujours soutenu les Démocrates, de Clinton à Clintonne en passant par Obama, Donald Trump n'en savait rien, apparemment. Comme d'autres avant elle (voir plus haut 5.1.18) "la chienne" Omarosa, cette "crapule foldingue et pleurnicheuse (crazed, crying lowlife)" comme l'appelle aujourd'hui le président, publie un livre de "révélations". Il paraît même qu'elle l'a écrit toute seule : étant noire, elle n'a pas eu besoin de "nègre" pour faire le travail.


NOUVEAU PROBLÈME À LA MAISON BLANCHE :

22 août 2018 - Michael Cohen, l'ancien avocat de Donald Trump retourné par la "Justice" (voir plus bas) plaide coupable de divers chefs d'accusation pour lesquels il risque en tout 60 ans de prison. Grâce à un "deal" conclu avec le procureur, Cohen bénéficiera d'une forte réduction de peine. La plus "grave" de toutes les accusations, en tout cas la seule permettant éventuellement de construire une "complicité" voire une "culpabilité" présidentielle, est liée à des versements de 130.000 et 150.000 dollars effectués par Cohen pour le compte de Trump afin d'acheter le "silence" de deux femmes avec lesquelles le président aurait eu des relations "compromettantes" : une actrice porno (voir plus haut 26.3.18) et une modèle Playboy. Vu qu'on était en période électorale, le parquet considère que ces paiements par lesquels Trump s'est procuré un "avantage politique", violent les règles de financement des frais de campagne : il s'agit donc d'un "crime" - détails. Tout cela est parfaitement ridicule, surtout en comparaison de ce qu'a fait Crooked Hillary (voir plus haut) mais c'est ainsi que fonctionne le système américain...

Au cas où ce prétendu "crime" présidentiel ne suffirait pas pour lancer une procédure de destitution, Cohen a promis de fournir à un autre procureur, l'inquisiteur spécial Mueller qui a déclenché l'affaire le 9.4.18, toutes "informations" utiles prouvant la "collusion" Trump-Poutine. Pour bien montrer qu'il a coupé les ponts avec la Maison Blanche, l'avocat véreux clame haut et fort que si jamais le président décidait de le gracier comme il en a le droit, lui (Cohen) refuserait cette grâce venant d'un "homme corrompu, dangereux et criminel" - source.

Bien sûr, toutes ces manœuvres n'ont de chance de déboucher sur du concret, que si les élections de mi-mandat apportent un changement en faveur des Démocrates. Début novembre 2018, les Américains élisent en effet la Chambre des Représentants dans son ensemble et un tiers du Sénat. Mais encore une fois : si Trump avait fait preuve de fermeté dès le début en virant toute cette racaille, il n'en serait pas là aujourd'hui...

Tandis que Cohen plaidait coupable, un autre ex-collaborateur du président, Paul Manafort, était condamné dans une affaire n'ayant rien à voir avec Donald Trump (voir plus haut 30.10.17). La durée de la peine de prison n'a pas encore été fixée mais elle pourrait être de dix ans. A la différence de Cohen, Manafort a toujours refusé de coopérer avec le procureur en salissant son ancien patron. Cela lui vaut le respect du président qui le considère comme un homme intègre. Si Trump n'est pas destitué avant, il est probable que Manafort sera gracié.



RENTRÉE DES CLASSES

L'âne démocrate nous raconte ce qu'il a fait pendant les grandes vacances :

1 - Je me suis plaint de Donald Trump
2 - J'ai protesté contre Donald Trump
3 - J'ai fait campagne contre Donald Trump
4 - Je me suis lamenté au sujet de Donald Trump
5 - J'ai défilé contre Donald Trump
6 - J'ai râlé après Donald Trump

25 août 2018 - Mort du sénateur républicain de l'Arizona John McCain, alias McAipac. Ce criminel de guerre mythomane soi-disant torturé au Viêt-Nam (McDégueu), cette ordure de première, un des pires ennemis de Donald Trump (bien que du même parti), est allé rejoindre en enfer son disciple Abou Bakr Al-Baghdadi, l'ancien chef terroriste de Daesh ou Etat islamique israélique (voir ici).

Le facho McCain et ses fachos ukrainiens

Last Dance for John McCain  d'après 'Last Dance for Mary Jane' de Tom Petty (audio + paroles en anglais) :

    "Le seul Républicain que CNN ne peut haïr. Abattu au Viêt-Nam, il va tout de suite trahir..."
    "Avec lui jamais Daesh ne risquera d'être dans la dèche..."
    "Après la chute de Kadhafi, au tour d'Assad a-t-il dit..."
    "Ça sent le chlore dans le coin, ses Casques blancs ne sont pas loin..."
    "Danse et chante pour les globalistes, encore une guerre au Middle East..."
    "A l'est du Jourdain, massacrons tous ces gens. Et bombardons, bombardons, bombardons l'Iran..."
    "Quand je vois les gauchistes pleurer pour ce 'héros', je débouche ma bouteille de champagne illico..."



"Les cinq années passées par John McCain en captivité
nord-vietnamienne n'en font pas pour autant un héros.
"
(Donald Trump en juillet 2015)



Daesh est en deuil :

"Il nous manquera beaucoup..."

6 septembre 2018 - Dernière invention des pressetitués du New York Times : ils publient une "tribune libre" d'un haut fonctionnaire anonyme de la Maison Blanche, dans laquelle ce "résistant de l'intérieur" répète tous les "arguments" que le camp anti-Trump ressasse depuis deux ans. Il va sans dire que les autres merdias fake news, CNN en tête, reprennent en chœur et en continu l'étron "journalistique" new-yorkais. Et ils font tous semblant de se demander qui peut bien être l'auteur de ces "révélations".

Paul Craig Roberts : I Know Who the "Senior Official" Is Who Wrote the NY Times Op-Ed.  "Je sais qui a écrit cela, c'est le New York Times lui-même..."

Diana Johnstone : Le New York Times en Iago - Ou comment saboter les efforts de paix en semant des soupçons partout.

12 septembre 2018 - L'ouragan Florence menace la côte est des USA.  A qui la faute ?  A Trump, évidemment : Trump responsible for hurricanes.  C'est vrai puisque c'est le Washington Fake Post qui le dit. En niant le rôle du réchauffage climatesque, l'abominable Donald fait le jeu du destructeur de la Caroline...

21 septembre 2018 - Depuis le début du mois, la commission des affaires judiciaires du Sénat "examine" la candidature de Brett Kavanaugh que le président a choisi pour la Cour Suprême le 9.7.18. Bien que juriste unanimement reconnu pour son impartialité, son expérience et son érudition, Kavanaugh souffre de sévères handicaps : il est blanc et marié à une femme, sa famille ne répond pas aux critères fixés par le lobby LGBiToQ, il respecte la Constitution et ses amendements, et surtout il a été désigné par Donald Trump. Sans cette tache indélébile, il aurait déjà reçu sa confirmation en dépit de ses autres "défauts".

Les trumpophobes ont d'abord fait de l'obstruction en posant à l'intéressé des tonnes de questions débiles, hors sujet ou formulées de telle manière qu'aucun juge sérieux ne peut y répondre sans se disqualifier. Kavanaugh, qui n'est pas né de la dernière pluie, s'en est très bien tiré. On est donc passé au stade suivant : interruption permanente des séances par des manifestants professionnels et autres voyous appointés que l'on a fait entrer avec leurs pancartes dans l'enceinte du Sénat pourtant placé sous haute sécurité. Tout cela ne suffisant pas, on a inventé une "tentative de viol" dont le candidat se serait rendu coupable en 1982, à l'âge de 17 ans. La prétendue victime n'a rien dit pendant 36 ans, mais le mouvement #MeToo (voir plus haut 11.2.18) serait parvenu à la convaincre de déposer devant la commission.

Le but de la manœuvre est bien entendu d'empêcher une confirmation sénatoriale de Kavanaugh par la majorité républicaine actuelle (51:49). Majorité que l'on compte bien inverser très prochainement, le 6 novembre, lors du renouvellement d'un tiers du Sénat par les électeurs (et/ou les manipulateurs du vote).

26 septembre 2018 - Deux nouvelles "victimes" du juge surgissent du néant et racontent leurs malheurs aux merdias apitoyés. On leur a promis qu'il n'y avait aucun risque d'être attaquée en justice pour diffamation. C'est la gloire assurée et du pognon à la pelle avec le livre de souvenirs qui va sortir dans la foulée. Aucune crainte à avoir, le bouquin est déjà écrit...

Donald Trump prend la défense de son candidat et dénonce une "une grosse escroquerie qui rapporte (a big fat con job)".

Encore confidentiel : les gouines fémino-fascistes de #MeToo préparent une accusation de viol collectif perpétré par le tandem pervers Kavanaugh-Trump en 1964, ah non merde, Kavanaugh n'était pas encore né, alors disons 1988.

1er octobre 2018 - Dans une conférence de presse, le président annonce la signature d'un nouvel accord commercial nord-américain, l'USMCA (AEUMC), destiné à remplacer NAFTA (ALENA) - s'il est ratifié par le Congrès, bonne chance en cas de victoire des trumpophobes aux élections de novembre. On ne sait encore pratiquement rien de cet accord trilatéral USA-Mexique-Canada, sinon qu'il sera le meilleur de tous les temps (selon Trump), excellent pour l'économie et les emplois états-uniens tout en présentant des avantages pour les deux autres pays. Admettons...

6 octobre 2018 - Le Sénat finit par approuver la nomination de Brett Kavanaugh à la Cour Suprême par 50 voix contre 48. Deux sénateurs qui voulaient d'abord voter à contre-courant de leurs partis ont préféré s'abstenir. Il s'agit de Lisa Murkowski (Rép. Alaska) et de Joe Manchin (Dém. Virginie Occidentale).

C'est une victoire pour Donald Trump. Elle a été obtenue malgré l'incroyable sauvagerie des méthodes employées par ses ennemis. Jusqu'au dernier moment, des cinglées "féministes" pas très différentes des Pussy Riot et autres Femen, ont pu semer la terreur à l'intérieur même du Sénat sans intervention efficace du service d'ordre, lequel était soit complice soit paralysé par la minorité trumpophobe. Mais la légalité au niveau des institutions a quand même pu s'imposer.

Sur la voie publique, les choses sont différentes : le "peuple en colère", financé par Soros et les clintoniens, multiplie les agressions contre quiconque refuse de se plier à ses caprices. Le désordre ("campagne électorale") va sans doute se poursuivre jusqu'au 6 novembre. Les losers d'aujourd'hui espèrent alors reconquérir la Chambre des Représentants et peut-être aussi le Sénat. Indépendamment du fait que les élections de mi-mandat profitent rarement au parti au pouvoir, on fera le nécessaire pour "gagner". Les outils sont là : merdias fake news massivement anti-Trump, vote incontrôlé de centaines de milliers d'étrangers illégaux, fraude électronique le jour du scrutin, tripatouillage post-électoral (voir plus haut), etc...  Echaudés en 2016, les "gauchistes" ne renonceront à aucun coup bas.




Les marcheuses professionnelles de #MeToo ne sont pas seulement
des victimes de Kavanaugh-Trump, elles sont des survivantes.

A quoi reconnaît-on que leurs mères n'étaient pas féministes ?
Elles n'ont pas avorté - et c'est bien dommage...




KAVABOUM !

L'âne démocrate après l'assaut contre Kavanaugh


15 octobre 2018 - Ça explique tout : La Maison Blanche est une maison hantée.

24 octobre 2018 - Moins de quinze jours avant les élections de mi-mandat, les ennemis du président mettent en scène deux opérations majeures :

■  une caravane d'au moins 7.000 "réfugiés" d'Amérique centrale, organisée par Soros, est en route pour les Etats-Unis. Si Trump, comme la loi l'y autorise, fait intervenir l'armée pour protéger les frontières, les merdias unanimes vont lui tomber dessus à bras raccourcis. Ils n'attendent qu'une chose : que le sang coule.

■  plusieurs enragés anti-Trump, dont Hillary Clinton, Barack Obama et son vice-président Joe Biden, George Soros, Maxine Waters (voir plus haut), John Brennan (patron de la CIA sous Obama), Eric Holder (ministre de la Justice sous Obama), Debbie Wasserman Schultz (représentante démocrate de Floride), l'acteur Robert De Niro et CNN Fake News, reçoivent des colis soi-disant piégés. On ne prétend pas encore qu'ils ont été expédiés par la Maison Blanche, mais on insinue que les "attaques continuelles" de Donald Trump contre tous ces gens (c'est en fait le contraire qui est vrai) ont fini par "donner des idées" aux "terroristes de droite". C'est cousu de fil blanc mais comme toujours, il suffit de le répéter assez souvent pour que le public soit convaincu.

Deux jours plus tard, le FBI "découvre" l'auteur des "attaques". C'est un certain Cesar Sayoc que les merdias nous présentent comme un cinglé "MAGA" (le fameux "Make America Great Again" de Donald Trump). Evidemment, l'homme était connu des autorités. Et comme il se doit, ses colis "piégés" étaient des attrapes. Rien de nouveau sous le soleil...



UN "FAUX DRAPEAU" PAS BIEN DIFFICILE À HISSER :

Soros : Vous voyez, nous sommes les victimes de la haine de Trump...


27 octobre 2018 - Un "false flag" c'est bien, deux c'est mieux. A Pittsburgh, une fusillade dans une synagogue pendant l'office du sabbat fait onze morts et six blessés (dont quatre policiers). L'auteur de l'attentat, "un antisémite notoire" selon les merdias, a pu pénétrer dans le temple avec son arme sans rencontrer de résistance. Apparemment, on entre dans les synagogues américaines comme dans un moulin - et si ce n'est pas le cas, c'est que quelqu'un a laissé faire.

Donald Trump, le président le plus judéolâtre qu'on ait vu depuis la création du monde, est le premier à condamner le massacre de Pittsburgh ; il réclame même la peine de mort pour le coupable. Mais cela n'empêche pas ses ennemis habituels de l'accuser de complicité : Hollywood Blames Trump and His Supporters for Synagogue Shooting.  On est toujours l'antisémite de quelqu'un...

Fusillade 'antisémite' à Pittsburgh : la preuve du faux drapeau fait surface.  "Tout indique qu'aucun massacre n'a eu lieu dans la synagogue de Pittsburgh. Pas de corps, pas de blessés, pas d'ambulances, pas de brancards, pas de sang, pas de vidéo d'une seule victime, pas d'interviews de fidèles ou de rabbins présents, pas de photos d'une seule preuve réelle, rien n'a été présenté qui prouve que le massacre de la synagogue ait eu lieu..."




ÉLECTIONS DE MI-MANDAT

6 novembre 2018 - Victoire des Démocrates à la Chambre des Représentants : 225 contre 197 (en 2016 : 195 contre 240). Les 13 sièges manquants (en gris sur la carte) sont encore contestés, mais les trumpophobes disposent d'ores et déjà de la majorité absolue.



Au Sénat, victoire des Républicains : 51 contre 46 (précédemment : 51 contre 49). Trois sièges sont contestés en Floride et en Arizona (en gris sur la carte), mais les partisans de Trump n'ont rien à craindre. Même si ces sièges sont attribués à leurs adversaires, la majorité sénatoriale du président est confirmée. Dans le meilleur des cas, elle peut passer à 54 contre 46.



Donald Trump est satisfait - il faut bien que quelqu'un le soit... Sa première décision en ce début de seconde mi-temps consiste à virer Jeff Sessions, l'inutile ministre de la Justice (voir plus bas).


Suite - à partir de novembre 2018



DE « TRUMP LE GRAND »  À  « REPOSE EN PAIX, PRÉSIDENCE »

Deux articles de Paul Craig Roberts  (économiste et journaliste américain, ancien sous-secrétaire au Trésor dans l'administration Reagan). Comme Trump lui-même, Roberts est un conservateur bien plus "à gauche" que la prétendue "gauche" :    


25 novembre 2016 : Trump the Great 

"Les libéraux [au sens américain du terme], les progressistes et la gauche (dans la mesure où elle existe encore) s'alignent sur l'oligarchie corrompue, contre le président élu Trump et contre le peuple américain..."

"Les oligarques mobilisent leurs troupes d'assaut 'de gauche' dans le but de troubler la cérémonie d'investiture et de poursuivre ainsi leur tentative de délégitimer Trump, de la même façon que les manifestants payés du Maïdan avaient été utilisés à Kiev pour renverser le président ukrainien légitime." [ en février 2014 - voir ici ]

"Dans la mesure où certains des protestataires anti-Trump sont sincères et pas simplement des gens payés par Soros ou les lobbies militaires, financiers et globalistes, ils devraient se dire que les accusations mensongères et les critiques injustifiées à l'égard du président élu pourraient très bien le pousser, lui et ses supporters, dans les bras de néo-cons venant lui offrir leurs services..."

"Nous ignorons comment les politiciens professionnels nommés au gouvernement se comporteront dans l'administration Trump. Mais à moins qu'il s'agisse d'idéologues, néo-cons ou agents de puissants intérêts, ils s'adapteront à la nouvelle ligne..."

"Trump n'a pas acheté la présidence à coups de promesses faites à tel ou tel groupe. Il a été élu parce qu'il a dit à ses électeurs : « Ceux qui contrôlent les leviers du pouvoir à Washington et les groupes d'intérêts spéciaux globalistes avec lesquels ils collaborent ne veulent pas votre bien. Ils forment une structure de pouvoir responsable de toutes les décisions économiques qui vous nuisent à vous-mêmes et à notre pays... et qui les enrichissent... Vous êtes les seuls à pouvoir stopper ce mécanisme corrompu... »  Cela faisait longtemps que l'électorat n'avait pas entendu ce genre de discours de la part de quelqu'un qui postule à une telle fonction. C'est exactement ce que les électeurs voulaient entendre."  [ Le fameux discours du candidat Trump  - vidéo sous-titrée en français - 5:49 ]

"Mais quelle que soit la bonne volonté qui l'anime, Trump est seul face à de nombreux oligarques. Les milliards de dollars du président élu sont sans doute impressionants, mais les oligarques, eux, disposent de billions...  Que le Congrès soit aux mains des Républicains épargnera à Trump l'obstruction parlementaire, mais ce Congrès reste cependant sous le contrôle des groupes d'intérêts..."

"Aussi puissante que soit la présidence, sans unité au sein du gouvernement, les changements 'par le haut' ne se produiront pas, surtout si le président est en désaccord avec les militaires au sujet de la menace supposée que représentent la Russie et la Chine. Trump dit qu'il veut la paix avec les puissances nucléaires, mais le complexe militaro-sécuritaire a besoin d'un ennemi pour conserver son budget. Il est donc absolument nécessaire de mettre en veilleuse les tensions entre puissances nucléaires et de redonner au peuple américain des perspectives en matière économique. Trump n'est pas positionné pour tirer profit de la guerre et de la délocalisation des emplois. La seule statégie raisonnable consiste à le soutenir dans ces deux domaines tout en faisant pression sur lui."

"En ce qui concerne l'immigration, le ministère de la Justice (sic) d'Obama vient d'aggraver la situation avec sa décision qui interdit à la police américaine de 'discriminer' les non-citoyens en ne recrutant que des citoyens US dans ses rangs. Maintenant que les Américains, dans leur propre pays, peuvent être arrêtés par des étrangers, le rejet des immigrants ne fera que s'accentuer. Il est clair que c'est un non-sens de dévaluer ainsi la citoyenneté américaine. [C'est voulu par Soros, c'est le but de la manœuvre : détruire les USA comme il détruit l'Europe...]  Il est clair également qu'il faut stopper l'immigration jusqu'à ce que notre économie soit de nouveau en mesure de créer des emplois durables et permettant de vivre."

"Si Trump parvenait à battre l'oligarchie et à sauver l'Amérique, il pourrait entrer dans l'Histoire comme Trump le Grand. Je pense que ce serait pour lui une perspective plus alléchante que d'accroître encore plus sa fortune. Au lieu d'essayer de le 'démolir' par avance, il faudrait plutôt le soutenir. Avec la détermination de Trump et le soutien populaire, des changements 'par le haut' sont possibles. Sinon, les changements devraient venir 'par le bas', et cela signifierait d'horribles bains de sang dans nos rues."


16 février 2017 : The Trump Presidency : RIP   -  Repose en paix, présidence  (également de Paul Craig Roberts)

"Trump a défié l'establishment sans réaliser que celui-ci était plus puissant que le président des Etats-Unis... Que s'est-il passé ?  Pendant le second mandat d'Obama, Poutine et la Russie ont été démonisés par le complexe militaro-sécuritaire et les néocons, avec l'aide des pressetitués. Cette démonisation a permis aux merdias, comme le New York Times, le Washington Post, CNN, MSNBC et le reste, de rendre supects les contacts avec Moscou et les articles de presse dénonçant la tension artificiellement orchestrée entre les USA et la Russie, voire même de les assimiler à une trahison. Trump et ses conseillers étaient trop peu expérimentés pour se rendre compte que le limogeage de Flynn allait valider la thèse de la prétendue collusion entre la présidence américaine et le renseignement russe."

"A présent, merdias et politiciens corrompus posent les questions qui avaient conduit jadis à la chute de Nixon : dans quelle mesure le président était-il au courant, et depuis quand ? Trump savait-il que le général Flynn avait parlé à l'ambassadeur russe des semaines avant la date avouée ? Est-ce que c'est à la demande de Trump que Flynn a eu cette inadmissible conversation avec les Russes ?...  Les pourvoyeurs de fake news, les merdias et tous les autres méprisables menteurs recourent à ces insinuations irresponsables afin de pousser le président à s'empêtrer dans les mailles du filet de la trahison... Le New York Times titre : « Des responsables de l'équipe de Trump ont eu des contacts répétés avec le renseignement russe ».  Nous sommes les témoins d'une campagne organisée par l'Etat profond pour préparer la destitution du président."

"Maintenant que Trump est frappé du sceau de l'infamie pour collusion avec le renseignement russe, des imbéciles républicains se sont joints aux démocrates pour lancer une enquête approfondie sur les contacts des hommes du président avec les agents de Moscou, et les dangers qui en découlent...  Pour les ennemis de Donald Trump, le limogeage de Flynn justifie leurs fausses accusations... Réalisant son erreur, la Maison Blanche a bien essayé de contrer les attaques en déclarant que Flynn n'a pas été viré pour ses rapports avec le renseignement russe, mais pour cause de 'confiance perdue'. Les adversaires de Trump n'en ont pas tenu compte [tu m'étonnes...] et la CIA continue d'alimenter les pressetitués en fake news."

"Dès le début, j'avais averti que Trump manquait d'expérience politique pour mettre en place un gouvernement qui lui resterait loyal et servirait ses objectifs. Et voilà qu'il a renvoyé la seule personne sur laquelle il aurait pu compter. La conclusion la plus évidente est que Trump est fichu..."



L'ESPOIR RENAÎT EN EUROPE *

A une époque où le clivage politique gauche-droite n'a plus aucun sens et commence à être remplacé çà et là par celui, plus conforme aux réalités, qui sépare les globalistes des souverainistes, la victoire de Donald Trump éveille l'espoir dans le camp de ces derniers, surtout en Europe où l'éradication des Etats est très avancée et où les résistants sont qualifiés, dans le meilleur des cas, de "populistes". L'Italien Beppe Grillo, au moins aussi opposé que Trump à la langue de bois "politiquement correcte", résume bien le sentiment général :



Le fait que ce soit un milliardaire issu de l'establishment qui ait glissé cette quenelle électorale à ce même establishment ne fait que souligner l'ironie de la situation. Mais c'est aussi, peut-être, le signe avant-coureur d'une déception future. La prudence est de mise, d'autant plus que le lobby innommable domine les deux camps...


* Pas pour longtemps, hélas...



LES HOMMES (ET FEMMES) DU PRÉSIDENT

■  Mike Pence - colistier de Donald Trump pour le poste de vice-président. A été avocat avant de se lancer dans la politique. Député à la Chambre des Représentants pendant douze ans, puis gouverneur de l'Indiana pendant quatre ans. Pence a soutenu les accords de "libre-échange" tueurs d'emploi que Trump combat (NAFTA-ALENA avec le Mexique, TTP avec l'Asie). Il a approuvé la guerre de Bush en Irak (2003) et celle d'Obama-Clinton en Libye (2011).  De plus, contrairement à Trump, Pence est très hostile à la Russie de Poutine.  Bref, on se demande ce qu'il fait sur le "ticket" présidentiel.  En principe, un vice-président américain n'a pas grand-chose à dire, mais un mauvais choix peut avoir des conséquences fatales en cas de disparition du président. C'est arrivé en 1945 avec Truman, après la mort de Roosevelt, et en 1963 avec Johnson, après l'assassinat de Kennedy - voir ici.

■  Reince Priebus - Chef de cabinet de la Maison Blanche. A été avocat et président du Comité national du Parti Républicain pendant cinq ans. [Priebus démissionne fin juillet 2017  ; il est remplacé par le général John Kelly, jusqu'alors chef de la Homeland Security - voir plus bas.]

■  Steve Bannon - Haut conseiller et chef de la stratégie de la Maison Blanche. A été officier de la Navy, puis a travaillé chez Goldman Sachs avant de devenir homme d'affaires et patron de Breitbart News, un site conservateur indépendant très populaire aux Etats-Unis. Bannon l'outsider doit être un type bien, à en juger par les attaques débiles et hystériques menées contre lui par la meute des merdias genre CNN : "antisémite", "fasciste", "sexiste", "homophobe", "xénophobe", "raciste", j'en passe et des meilleures...  Il faut savoir que Breitbart News a été fondé par un Juif (Andrew Breitbart) et que l'un de ses principaux contributeurs actuels (Milo Yiannopoulos) est juif et homosexuel.  Si Bannon est la bête noire des merdias, c'est avant tout parce qu'il a animé, d'août à novembre 2016, la stratégie électorale qui a conduit Donald Trump à la victoire : Most Offensive Thing Bannon Has Done Is Win the White House dit Joel Pollak, rédacteur en chef (juif) de Breitbart.

Dans cet autre article, Pollak confirme d'ailleurs : Stephen Bannon : Friend of the Jewish People, Defender of Israel. Les accusations idiotes du lobby innommable ont pour but 1) de cacher que ce même lobby domine et contrôle toutes les tendances politiques, et 2) de pousser Trump à faire des concessions.

Quelques jours après la nomination de Steve Bannon, la campagne Soros-Clinton-merdias pour obtenir son renvoi atteint un niveau insoupçonné. On a fait signer des pétitions adressées au président élu, on mobilise des milliers de figurants de la "révolution colorée" : Feeling the Hate at the Los Angeles 'Stop Bannon' Protest. Tout cela dépasse de beaucoup la personne de Bannon. Ce que l'on veut, c'est créer un précédent ; si Trump cède sur ce point, il cédera probablement sur tout le reste.

[Le 5 avril 2017, Bannon est renvoyé par le président mais conserve néanmoins une certaine influence - voir plus haut. Son éviction complète a lieu le 18 août 2017.]

■  Sean Spicer - Nommé porte-parole de la Maison Blanche (White House Press Secretary). Officier de réserve de la Navy. Membre du Comité national républicain (RNC), l'organe de direction du Parti républicain, depuis 2011. [En juillet 2017, Spicer démissionne. Il est remplacé par son adjointe Sarah Huckabee Sanders qui restera jusqu'en juin 2019.]  Sont également nommés dans l'équipe de communication du président : Dan Scavino, directeur pour les médias sociaux, et Hope Hicks, responsable de la stratégie de la communication, plus tard également Anthony Scaramucci, directeur de la communication (a travaillé pour Goldman Sachs et dirigé un hedge fund). Scaramucci sera renvoyé au bout de dix jours (voir plus haut 28.7.17).

■  Don McGahn - Nommé conseiller juridique de la Maison-Blanche (White House Counsel). Avocat. A été membre de la Commission électorale fédérale.

■  Kellyanne Conway - Nommée conseillère du président (Counsellor to the President) après avoir été sa directrice de campagne puis sa porte-parole au cours des derniers mois. Elle estime avoir beaucoup plus de temps qu'un homme pour exercer ses nouvelles fonctions à la Maison Blanche, car elle "ne joue pas au golf et n'a pas de maîtresse". Kellyanne a un petit côté excentrique qui agace profondément les trumpophobes :


Investiture du 20 janvier 2017 : elle porte un costume historique style 1776


 
Bureau ovale, le 27 février 2017 : pendant que Donald Trump reçoit des directeurs d'universités noirs,
Kellyanne, totalement décontractée, prend une photo et la met aussitôt en ligne (à moins qu'elle ne l'envoie à Poutine).
Je vous dis pas le scandale...

[Après le demi-tour de Donald Trump du 5 avril 2017, Kellyanne Conway semble avoir disparu de la circulation. On ne serait pas étonné d'apprendre qu'elle a été virée elle aussi. Motif : a mis ses pieds sur le canapé sans enlever ses chaussures.]


■  Rudy Giuliani - Nommé directeur du Comité présidentiel sur la cybersécurité (nouvellement créé). Politicien professionnel, Giuliani a été maire de New York de janvier 1994 à décembre 2001. Comme tous les responsables influents, il a fait tout son possible pour empêcher que la vérité n'éclate sur les auto-attentats du 11/9. Avant d'entrer en politique, Rudy Giuliani a été procureur. Après avoir quitté la mairie de New York, il a fondé divers cabinets conseil (questions juridiques, gestion de crise, cybersécurité). Giuliani entretient d'étroites relations avec Trump depuis l'époque où ils étaient tous les deux n° 1 à New York (l'un en politique, l'autre dans l'immobilier). Depuis avril 2018, Giuliani est l'avocat du président.

■  Stephen Miller - Nommé "Senior Advisor to the President for Policy" après avoir joué un rôle similaire dans l'équipe de campagne du candidat. Il est le conseiller politique juif #1 de Donald Trump* et rédige ses discours importants, comme par exemple celui du 21 juillet 2016 à la Convention Nationale Républicaine de Cleveland. Les incohérences et contradictions contenues dans ce texte (et dans quelques autres) sont de Miller.  Avant de travailler pour Trump, Stephen Miller avait fait la même chose pour Jeff Sessions (voir plus bas)

* En laissant de côté Jared Kushner qui fait partie de la famille (voir plus bas).

■  Scott Pruitt - Ancien avocat et ancien ministre de la Justice de l'Oklahoma. Adversaire du mythe climatique. Nommé à la tête de l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) où il devrait permettre aux Etats-Unis de se libérer des ravages de l'idéologie anticarbonique. Trump lui-même a dit sans ambages ce qu'il pensait du dogme réchauffiste :



Une connerie...



et une totale mystification.

[Peu après sa nomination, Scott Pruitt montre son vrai visage - voir plus haut 27.3.17.  Il démissionne le 5 juillet 2018, aussitôt remplacé par son adjoint Andrew Wheeler.]

■  Michael Flynn - ancien général trois étoiles, ancien directeur du renseignement militaire (DIA). Nommé à la tête du Conseil de Sécurité Nationale de la Maison Blanche, un poste important qui permet en théorie de "superviser" à la fois le Pentagone, la CIA et le State Department (Affaires étrangères). Flynn plaide pour une entente avec la Russie et une lutte véritable contre Daesh (jusqu'à présent, les USA ont fait tout le contraire).

Voir cet article du Réseau Voltaire de février 2016 (Flynn conseillait Trump sur les questions de sécurité nationale depuis le début de sa campagne).

Autre article du Réseau Voltaire de septembre 2016 : 88 généraux et amiraux à la retraite appellent à soutenir Donald Trump (ils seraient encore plus nombreux si les militaires actifs avaient le droit de s'exprimer en public sur ces questions).

27 novembre 2016 : La réforme du Renseignement selon le général Flynn  par Thierry Meyssan.  "Le général Flynn s'apprête à bouleverser le monde du Renseignement états-unien et à abandonner toutes les réformes post-11-Septembre. Il s'agirait d'en finir avec l'obsession des prisons secrètes et des assassinats ciblés pour revenir à l'essence du renseignement : comprendre et anticiper les évolutions du monde."



Pour les pressetitués de L'Immonde, lutter contre le djihadisme c'est être "revanchard",
surtout si on s'allie avec la Russie pour être plus efficace.


[Le 13 février 2017 le général Flynn est contraint a la démission - voir plus haut. Il est remplacé une semaine plus tard par le général H. R. McMaster.]

■  H. R. McMaster - général nommé à la tête du Conseil de Sécurité Nationale de la Maison Blanche pour remplacer le général Flynn. Contrairement à ce dernier, McMaster a tendance à gonfler systématiquement la "supériorité" militaire russe et les "dangers" qu'elle comporte, ce qui le rend plus compatible avec l'Etat profond. Il ne risque pas de s'attaquer à la CIA. 

[On ne tardera pas à s'apercevoir que McMaster est la cheville ouvrière de la politique belliqueuse menée par Donald Trump après son retournement du 5 avril 2017 - voir plus haut.  Mais de toute évidence McMaster ne va pas assez loin aux yeux de l'Etat profond : le 22 mars 2018, la Maison Blanche annonce qu'il sera remplacé par John Bolton. Ce revenant de l'ère Bush est partisan de la guerre immédiate contre la Corée du Nord et l'Iran. Bolton sera renvoyé le 10.9.19 et remplacé huit jours plus tard par Robert O'Brien qui était jusqu'alors chargé des négociations concernant les otages espions US détenus à l'étranger.]

■  Mike Pompeo - Nommé directeur de la CIA. Politicien professionnel, il siège à la Chambre des Représentants depuis 2010. A été officier, avocat et hommes d'affaires (industrie aérospatiale, pétrole).

[Le 13 mars 2018, il remplace Rex Tillerson aux Affaires étrangères - voir plus basGina Haspel succède à Pompeo à la tête de l'Agence. Elle a le profil idéal : ancienne directrice du centre de torture de la CIA en Thaïlande - détails]

■  Dan Coats - Nommé directeur du Renseignement national (DNI). Politicien professionnel. A été sénateur de l'Indiana pendant plus de seize ans et ambassadeur en Allemagne pendant quatre ans. [Coats quitte son poste en août 2019. Est remplacé par John Ratcliffe.]

■  John Kelly - Nommé ministre de la Sécurité intérieure (Homeland Security). Ancien général des Marines. [Fin juillet 2017, Kelly devient chef de cabinet de la Maison Blanche à la place de Reince Priebus - voir plus haut. Début décembre 2017, Kirstjen Nielsen remplace Kelly à la tête de la Homeland Security.  Fin décembre 2018, Kelly quitte son poste de chef de cabinet ; c'est Mick Mulvaney qui le remplace avant d'être lui-même remplacé par Mark Meadows en mars 2020. Mulvaney est nommé délégué spécial pour l'Irlande du Nord.]

■  Kirstjen Nielsen - Nommée ministre de la Sécurité intérieure à la place de John Kelly... dans le but évident de saboter la politique sécuritaire et migratoire de Donald Trump. Nielsen a servi sous George W. Bush et est liée au mouvement "Never Trump" opposé au nouveau président. Elle préconise l'amnistie de tous les illégaux et veut réinstaurer le statut DACA que Trump avait abrogé (voir plus haut 5.9.17). Breitbart appelle Nielsen Lady Daca.  [Début avril 2019, Trump congédie Nielsen et la remplace provisoirement par Kevin McAleenan, commissaire aux douanes et à la protection des frontières, titre ronflant pour une fonction subalterne.]

■  Tom Bossert - Nommé conseiller présidentiel pour la Sécurité intérieure et le contre-terrorisme. A exercé des fonctions similaires dans l'administration Bush fils. Entre-temps, il a travaillé comme consultant dans les domaines de la cybersécurité et de la défense civile.  [En octobre 2017 - voir plus haut - Bossert montre son vrai visage...]

■  Ryan Zinke - Nommé ministre de l'Intérieur. Ancien militaire (23 ans de carrière dans les Navy Seals). A ensuite siégé deux ans au Sénat du Montana, puis deux ans à la Chambre des Représentants de Washington DC.

■  James Mattis - Nommé ministre de la Défense. Ancien général des Marines. Partisan d'une ligne dure vis-à-vis de l'Iran, "Mad Dog" Mattis (c'est son surnom) est paraît-il pour la "solution à deux Etats" en Palestine - pareil que Trump (voir plus haut).

[Comme on va vite s'en apercevoir, Mad Dog Mattis n'est pas seulement un chien enragé, il a aussi le quotient intellectuel correspondant. Après le revirement de Trump du 5 avril 2017 - voir plus haut, Mad Dog pousse à la guerre totale contre la Syrie. Dans ses conférences de presse, son vocabulaire se résume à quatre mots qu'il répète en boucle : "Assad regime chemical weapons... Assad regime chemical weapons... Assad regime chemical weapons..."  Trouvant que le président ne va pas assez loin, Mattis quitte son poste le 28 février 2019 - voir ici.  Il est remplacé par Patrick Shanahan, un ancien dirigeant de Boeing, grand fournisseur du Pentagone. Shanahan part à son tour en juin 2019, laissant la place à Mark Esper, ancien officier et vice-président de Raytheon, également un fournisseur du Pentagone. En novembre 2020, après l'élection frauduleuse, Esper est limogé au profit de Christopher Miller.]

■  Vincent Viola - Nommé Secretary of the Army, un poste dépendant du ministre de la Défense. Diplômé en droit. Homme d'affaires milliardaire. A été président du New York Mercantile Exchange - NYMEX, une bourse spécialisée dans l'énergie et les métaux. Actuel président de la société financière Virtu Financial (fusions, acquisitions, introductions en bourse, spéculation, HFT et autres arnaques boursières). Viola est aussi propriétaire des Florida Panthers, une équipe de hockey sur glace de Floride évoluant dans la National Hockey League (NHL). Bien qu'outsider politique, il s'estime qualifié pour son nouveau poste : il est officier de réserve et a fondé une entreprise de technologie, Rowan Technology Solutions, qui élabore des outils de formation pour les écoles militaires. Gageons que son chiffre d'affaires va grimper en flèche.  [Début février 2017, Viola retire sa candidature sans donner de motif. Il est remplacé à ce poste par Mark Green... qui renonce à son tour après avoir été violemment attaqué par le sénateur John McCain - détails.]

■  David Shulkin - Nommé ministre des Anciens combattants (Secretary of Veterans Affairs) après avoir été, sous Obama, responsable des questions de santé dans ce même ministère. Médecin de formation, il a été PDG du Beth Israel Medical Center de New York. Le nouveau ministre des Anciens combattants n'a jamais combattu, ni même été militaire en temps de paix.

■  Jeff Sessions - Nommé Attorney General (ministre de la Justice). Politicien professionnel, sénateur de l'Alabama depuis 1996. Ancien procureur. Depuis longtemps opposé à l'invasion migratoire illimitée, il devrait contribuer à y mettre fin (un point important du programme présidentiel). On attend aussi de lui qu'il normalise les relations de son ministère avec le FBI (virer James Comey) et qu'il fasse cesser l'impunité pénale dont bénéficie Hillary Clinton (si Trump tient sa promesse électorale - voir plus haut).

[A partir du 2 mars 2017 - voir plus haut - Sessions est neutralisé et ne joue plus qu'un rôle secondaire. En novembre 2018, il est congédié et remplacé à titre provisoire par Matthew Whitaker, son chef de cabinet depuis octobre 2017. En février 2019, William Barr devient ministre de la Justice - a déjà exercé cette fonction en 1992 sous la présidence de Bush père.]

■  Rex Tillerson - Nommé Secretary of State (ministre des Affaires étrangères). PDG d'ExxonMobil, il a fait toute sa carrière dans ce groupe où il a débuté comme ingénieur. Outsider politique, il dispose de nombreux contacts à l'étranger, en particulier en Russie.

[A peine nommé ministre, Tillerson fait preuve d'une russophobie maladive. Le 13.3.2018 il est congédié et remplacé par le chef de la CIA, Mike Pompeo - voir plus haut.]

■  Nikki Haley - Nommée ambassadrice à l'ONU. Politicienne professionnelle, elle a été pendant six ans gouverneure de Caroline du Sud. Le site israélien DebkaFile se félicite de sa nomination car elle a fait passer, dans cet Etat américain du sud-est, la première loi réprimant le boycott d'Israël. A New York, Nikki Haley devrait aider Tel Aviv à réaliser ses projets - voir plus haut.

[Ne tarde pas à prouver ses "qualités" de chienne de guerre hystérique de l'impérialisme américain, aussi "brillante" à son poste onusien que Samantha Power sous Obama, animée d'une haine viscérale pour Poutine, Assad, l'Iran, le Hezbollah, la Corée du Nord et, bien entendu, les Palestiniens.  Nikki Haley quitte son poste le 31 décembre 2018. Pour la remplacer, Trump désigne Heather Nauert, ancienne présentatrice de la chaîne Fox News et porte-parole du ministère des Affaires étrangères.]

■  Betsy DeVos - Nommée ministre de l'Education. Outsider politique. Issue d'une famille de milliardaires, elle est elle-même "femme d'affaires et philanthrope" (selon Wikipédia). Comme les "affaires" en question consistent surtout à vendre des éoliennes (WindQuest Energy) et que la "philanthropie" n'est jamais rien d'autre qu'un outil d'évasion fiscale, on pourrait résumer ainsi les activités de Betsy : du vent et encore du vent. Soit dit en passant, le frère de la ministre, Erik Prince, est le fondateur de Blackwater, la plus puissante armée de mercenaires du monde (il va de soi que Prince est lui aussi "philanthrope").  Quel rapport avec l'éducation ?  Aucun... sinon que Betsy DeVos a quatre enfants, ce qui la qualifie pour ce poste.

Si elle a été choisie, c'est peut-être aussi parce qu'elle plaide pour la privatisation de l'enseignement par le biais de "bons scolaires" (school vouchers) que l'Etat distribuerait aux parents qui envoient leurs enfants dans une école privée, afin qu'ils puissent payer une partie des frais de scolarité. Cet argent serait évidemment enlevé aux écoles publiques qui ne seraient bientôt plus fréquentées que par les plus pauvres, avec toutes les conséquences que l'on imagine : délabrement, drogue, violence... Pas grave, s'il y a des troubles, on n'aura qu'à dépêcher Blackwater pour rétablir l'ordre...  Pour ce qui est des programmes, la nouvelle ministre voudrait généraliser l'enseignement du créationnisme qu'elle considère comme une "science".

■  Elaine Chao - Nommée ministre des Transports. Politicienne professionnelle. A été vice-ministre des Transports sous Bush père pendant deux ans, et ministre du Travail sous Bush fils pendant huit ans. Son mari est sénateur depuis 32 ans.

■  Linda McMahon - Nommée ministre des PME (Small Business Administration). Outsider politique, à l'exception d'une tentative infructueuse, en 2010, pour se faire élire au Sénat. A été directrice générale de la WWE (World Wrestling Entertainment) dont son mari est le président.

■  Sonny Perdue - Nommé ministre de l'Agriculture. A d'abord été vétérinaire puis officier de l'US Air Force. Plus tard, politicien professionnel (dix ans sénateur, huit ans gouverneur de Géorgie).

■  Andrew Puzder - Nommé ministre du Travail. Outsider politique. Juriste et PDG du groupe CKE qui gère plusieurs chaînes fast-food (Carl's Jr., Hardee's, Green Burrito, Red Burrito). Les "restaurants" de Puzder emploient des étrangers souvent illégaux et sous-payés, ce qui est en contradiction avec certaines annonces faites par Trump.  [Puzder retire sa candidature avant d'avoir été auditionné par le Sénat - voir plus haut 15.2.2017. Remplacé par Alexander Acosta.]

■  Alexander Acosta - Nommé ministre du Travail après le retrait d'Andrew Puzder. A été avocat, procureur, juge, professeur de droit et banquier. A occupé diverses fonctions ministérielles sous Bush fils. D'origine cubaine, il est partisan de l'immigration continue et de l'amnistie pour les illégaux (le contraire du programme présidentiel) : Acosta supports amnesty for illegals and a continued inflow of foreign workers. Trump veut-il à la fois construire un mur à la frontière mexicaine et ouvrir les vannes en Floride ?...  [Acosta démissionne en juillet 2019 en rapport avec l'affaire Epstein - voir ici.]

■  Ben Carson - Nommé ministre du Logement et du Développement urbain. Neurochirurgien et outsider politique jusqu'à une date récente. Candidat aux primaires républicaines de 2016, il s'est rallié à Trump aussitôt après avoir été éliminé.

■  Rick Perry - Nommé ministre de l'Energie. A été officier dans l'US Air Force avant de devenir politicien professionnel : député à la législature du Texas, puis ministre de l'Agriculture de cet Etat, lieutenant-gouverneur (adjoint du gouverneur George W. Bush) et enfin gouverneur du Texas après que "Dubya" ait eté "élu" (disons plutôt : muté) à la Maison Blanche en janvier 2001. Apparemment moins con que celui-ci, ce qui n'est vraiment pas difficile...

■  Tom Price - Nommé ministre de la Santé. Médecin devenu politicien professionnel. A siégé douze ans au Congrès. Opposé à "Obamacare", une imposture qui ne sert qu'à enrichir les compagnies privées en rendant obligatoire, sous peine d'amende, une assurance santé sans valeur, avec des primes qui augmentent continuellement et des franchises parfois astronomiques - voir ici.  Trump a promis de supprimer cette arnaque, mais sans donner plus de détails, ni dire par quoi elle serait remplacée. Etant donné qu'il s'agit d'un domaine à la fois très sensible et très complexe, la tâche de Tom Price risque d'être ardue.

[Après l'échec de la réforme de santé - voir plus haut 24 mars 2017 - Tom Price n'a plus grand-chose à faire. Il démissionne fin septembre 2017, mais pour une autre raison : on lui reproche ses déplacements aériens trop nombreux et trop coûteux, parfois sans rapport avec les nécessités du service.]

■  Steven Mnuchin - Nommé Secrétaire au Trésor (Ministre des Finances). Outsider de la politique. Ancien cadre de Goldman Sachs et du Soros (!) Fund Management, ancien patron de hedge fund, homme d'affaires, producteur d'Hollywood. Bien entendu juif - vous ne croyez quand même pas qu'on aurait laissé un vulgaire goy réussir de cette manière dans tous les secteurs essentiels à la fois... Mnuchin est la garantie que rien ne va changer à Wall Street, contrairement à ce que croyaient certains optimistes - voir ici : Trump se prépare à prendre le contrôle de la Fed - et puis quoi encore ?...

■  Mick Mulvaney - Nommé Directeur de l'Office du Budget. Ancien avocat et hommes d'affaires (immobilier, fast-food mexicains) devenu politicien professionnel : quatre ans à la législature de la Caroline du Sud (Chambre des Représentants puis Sénat) ; six ans à la Chambre des Représentants de Washington DC.

■  Peter Navarro - Nommé à la tête du Conseil National du Commerce nouvellement fondé. Economiste et professeur à l'Université de Californie depuis plus de vingt ans. S'il n'est pas devenu politicien, ce n'est pas faute d'avoir essayé. A trois reprises, il a tenté en vain de se faire élire à San Diego (comme maire, comme conseiller municipal, comme représentant à la législature de Californie). Il est vrai que c'etait sous l'étiquette démocrate. Navarro, qui est l'auteur de plusieurs ouvrages sur la politique commerciale chinoise (dont La mort par la Chine : comment l'Amérique a perdu son socle industriel), a fortement inspiré Donald Trump sur la question.

■  Gary Cohn - Nommé à la tête du Conseil Economique National de la Maison Blanche, Cohn est le numéro deux (Directeur général adjoint) de Goldman Sachs.  [Démissionne début mars 2018, étant en désaccord avec le protectionnisme économique - tout relatif - du président - voir plus haut.  Cohn est remplacé par Larry Kudlow... qui veut en gros la même chose que lui. La différence essentielle entre les deux hommes : Kudlow est un Juif du New Jersey, Cohn un Juif de l'Ohio.]

■  Carl Icahn - Nommé Conseiller spécial de la Maison Blanche pour la réforme des régulations de l'économie. Milliardaire juif ayant acquis sa fortune grâce à la spéculation et aux arnaques financières permises par la dérégulation des années 1980. A servi de modèle à Oliver Stone pour son film Wall Street de 1987. S'est ensuite enrichi encore davantage en participant à bon nombre d'affaires lucratives de ces trois dernières décennies : Blockbuster, Yahoo!, Time Warner, eBay, PayPal, Xerox... Son objectif est de supprimer les derniers restes de réglementation qui entravent encore un peu les "intérêts spéciaux" dénoncés par Donald Trump lors de sa campagne.

■  Les conseillers du Business Advisory Panel de Trump (Panel de conseillers pour les affaires économiques et financières, mis en place le 2.12.16 - détails). Les six membres les plus importants de ce comité (sur 16) sont des banquiers et/ou financiers juifs de Wall Street : Stephen Schwarzman (PDG du Hedge Fund Blackstone), Paul Atkins (PDG de Patomak Global Partners et ancien responsable de la Commission de contrôle des opérations de bourse SEC), Jamie Dimon (PDG de la banque JPMorgan Chase), Larry Fink (PDG de BlackRock, le plus important gestionnaire d'actifs du monde), Kevin Warsh (ancien membre du directoire de la Fed) et Daniel Yergin (Directeur général adjoint de IHS Markit, société d'expertise et d'analyse financière). Dès que Donald Trump sera installé à la Maison Blanche, tout ce beau monde obtiendra des postes officiels dans la nouvelle administration.

■  Wilbur Ross - Nommé ministre du Commerce. Outsider politique. A été directeur de la banque Rothschild avant de devenir patron d'equity fund, homme d'affaires (acier, textile, automobile, charbon), milliardaire et collectionneur d'œuvres d'art (il adore Magritte - nous aussi). Trump devrait lui confier la renégociation des accords internationaux destructeurs d'emplois. Mais à l'égard de ses salariés, Wilbur Ross a toujours été un exécrable patron de combat, indifférent aux règles de securité du travail. Après la catastrophe survenue en 2006 dans sa mine de charbon de Sago en Virginie occidentale (12 morts), il a refusé tout arrêt des activités.

■  Robert Lighthizer - Nommé représentant au Commerce (US Trade Representative). Cet avocat a longtemps travaillé pour l'industrie sidérurgique américaine (à l'époque où elle existait encore vraiment). N'est pas tout à fait un outsider politique, puisqu'il a été vice-représentant au Commerce dans l'administration Reagan (années 1980).

■  Terry Branstad - Nommé ambassadeur à Pékin. Ancien avocat. Politicien professionnel. A été gouverneur de l'Iowa (Etat agricole du Middle West) pendant 22 ans. Il connaît l'actuel président chinois Xi Jinping depuis 1985, et espère bien que la Chine augmentera ses importations de soja américain (génétiquement modifié). L'administration Trump devra gérer la contradiction qui existe entre son intention de limiter (taxer) les importations industrielles en provenance de Chine, et son besoin de "libre échange" lorsqu'il s'agit d'écouler en Chine les excédents agricoles produits aux USA. Pas facile a priori...


"Iowa loves China..."

■  David Friedman - Nommé ambassadeur des USA en Israël. Ayant comme il se doit la double nationalité, il pourrait aussi bien être ambassadeur d'Israël aux USA. Sa première tâche consistera à organiser le déménagement de l'ambassade de Tel Aviv vers Jérusalem, sans perdre de vue la prochaine guerre par procura-sion (de préférence contre l'Iran) - voir plus haut.

■  Michael Cohen - Nommé porte-parole de Donald Trump. Avocat, il a été vice-président exécutif de la Trump Organization et conseiller spécial de l'homme d'affaires. Surnommé "le pitbull". A longtemps été démocrate avant de devenir républicain le 9 mars 2017 (plus d'un mois et demi après l'investiture de son patron). En janvier 2017, après avoir rencontré des politiciens ukrainiens, Cohen avait proposé de lever les "sanctions" frappant la Russie, mais seulement à condition que Moscou accepte de retirer ses troupes du Donbass [où elles ne sont pas] et consente à "prendre à bail" du "gouvernement" de Kiev la presqu'île de Crimée pour une durée de 50 ou 100 ans. On reconnaît bien là l'arnaqueur communautariste qui "loue" aux gens ce qui leur appartient déjà.

Plus tard (30.5.17 - 9.4.18) Michael Cohen est utilisé dans le cadre de la chasse aux sorcières anti-Trump, étant lui-même à la fois victime et outil. Puis il se range carrément dans le camp des ennemis du président (22.8.18) n'hésitant pas à en rajouter - un bien sinistre personnage...

■  Jason Greenblatt - Nommé conseiller présidentiel pour les questions touchant Israël et représentant de la Maison Blanche en matière de négociations internationales. Comme le signalait le quotidien juif Forward le 18.4.2016, Greenblatt, qui conseillait déjà le candidat Trump, est non seulement israélien, mais il a dans le passé "monté la garde dans une colonie juive de Cisjordanie, armé d'un fusil d'assaut M16". Le colon Greenblatt est aussi avocat et travaille pour le promoteur milliardaire Trump depuis 19 ans. Juif orthodoxe, il ne se sépare jamais de sa kippa.

■  Boris Epshteyn - Nommé directeur de la communication du Comité présidentiel d'investiture - en attendant que lui soit offert, après le 20 janvier 2017, un poste plus durable dans l'administration Trump. Avocat et ancien banquier, cet homme de 34 ans est né en URSS et ne vit aux Etats-Unis que depuis 1993. A été conseiller en communication de l'équipe McCain-Palin en 2008. C'est Eric Trump, un des fils du nouveau président, qui l'a recruté pour son père en 2016. Epshteyn raconte à qui veut l'entendre qu'il a fui la Russie pour cause de "persécutions antisémites" - pas mal, ça, comme fake news. Il admire Poutine et approuve le rattachement de la Crimée à la Russie, survenu en 2014.

■  Jared Kushner - gendre juif de Donald Trump, mari de sa fille Ivanka, père des petits-enfants "juifs" du nouveau président (c'est Donald qui prétend qu'ils le sont, la loi israélienne dit autre chose). A 35 ans, Kushner n'est peut-être pas encore aussi riche que son beau-père, mais il est propriétaire d'un journal (The New York Observer) et d'une société immobilière (Kushner Properties) à qui appartient une tour de 41 étages située au 666 Fifth Avenue - tout un programme.

Le Jared préféré de Donald aimerait avoir un poste dans le nouveau gouvernement, malheureusement les lois sur le népotisme l'interdisent.* Avec ses avocats juifs, il essaie de trouver une solution pour tourner ces dispositions gravement antisémites. En attendant, il continuera de conseiller son beau-père à titre privé, et ce ne sera pas seulement pour aider le président à choisir la couleur de sa kippa...  Début janvier 2017, Kushner est nommé Haut conseiller à la Maison Blanche (Senior White House Advisor).

* Les ennemis de Trump lui reprochent de vouloir caser toute sa famille.

[Quelques semaines après l'investiture de Donald Trump et surtout après son retournement du 5 avril 2017 - voir plus haut - on réalise pleinement que Jared Kushner est le cheval de Troie des néocons globalistes dans la nouvelle administration.]

■  Reed Cordish - Nommé Assistant présidentiel "pour la coordination intragouvernementale en matière d'innovation et de modernisation technologiques". Il a obtenu cette sinécure pour au moins trois raisons : 1) il est juif - 2) il est copain avec Jared Kushner - 3) son père, directeur de l'AIPAC et ami du président, s'est enrichi dans l'immobilier à Baltimore.

■  Avrahm Berkowitz - Nommé Assistant de Jared Kushner et Assistant spécial de Donald Trump. A travaillé dans les entreprises de Kushner et écrit pour son journal New York Observer.

Réjouissez-vous avec le Times of Israel : Meet the Jews in the Trump administration.  (Cette liste comporte une douzaine de noms pour le moment, mais il y en aura d'autres, beaucoup d'autres, en vertu de cette règle tacite qui veut que chaque administration héberge plus de conseillers juifs que la précédente...)

■  Elliott Abrams - En mars 2019, il est nommé envoyé spécial du gouvernement US, en charge du Venezuela.
Désigné par Trump pour instaurer la « démocratie » au Venezuela, Elliott Abrams a consacré sa vie à la détruire (The Intercept).

■  Nigel Farage - citoyen britannique, artisan du vote sur le Brexit et fondateur du parti UKIP (Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni), Farage ne figure sur cette liste qu'à titre honorifique. Il a soutenu Donald Trump depuis le début de sa campagne et a été le premier homme politique étranger à rendre visite au nouveau président. Dans un monde démocratique où l'on respecterait les résultats des référendums, Farage serait nommé ambassadeur de son pays à Washington : Brits Should Accept Reality and Make Farage Ambassador to DC




LE PROGRAMME PRÉSIDENTIEL

Le programme de Donald Trump comporte deux volets :

■  La politique intérieure, la seule qui intéresse vraiment ses partisans et qui fonde sa popularité (voir plus haut). C'est là-dessus qu'il sera jugé.

■  La politique étrangère, dont les Américains, en général, se moquent comme de leur première arme à feu, à moins d'être personnellement concernés (voyageurs fréquents, expatriés, militaires, diplomates). Les guerres voulues par Israël (voir plus haut) ou la politique de la Russie en Ukraine, ou encore l'invasion de la mer de Chine par les Chinois, n'ont jamais préoccupé les électeurs de Trump - ils seraient d'ailleurs bien incapables de situer tous ces pays sur la carte.* Le nouveau président aura les mains libres de ce côté-là ; seuls ses admirateurs étrangers - qui ne l'ont pas élu - le critiqueront si sa politique leur déplaît.

* Ils ne pas les seuls. Pendant la campagne électorale, Gary Johnson, un petit candidat qui sera finalement crédité de 3,28 % des voix, répond à un journaliste qui lui demande ce qu'il fera pour Alep s'il est élu : "C'est quoi, Alep ?..." - vidéo

Certains sujets, comme le fameux mur à la frontière mexicaine ou l'annulation de tout ce qui a trait à la supercherie climatique, relèvent des deux domaines à la fois mais peuvent être classés dans la première catégorie, compte tenu des répercussions considérables qu'ils auront à l'intérieur du pays si Trump tient ses promesses.


Discours décisif du candidat Trump  (vidéo sous-titrée en français - 5:49)


Programme de Donald Trump pour les 100 premiers jours


Et pour un peu plus tard peut-être... *

CONFÉRENCE YALTA 2 EN CRIMÉE (RUSSIE) :

De gauche à droite : Winston Xi, Franklin Trump, Joseph Poutine  -  l'original de 1945


* L'illusion ne sera que de courte durée...
(voir également plus haut : Bilan des cent premiers jours)


Patrick Visconti : Ironie de l'Histoire - Un milliardaire s'oppose au capitalisme nihiliste et guerrier le plus outrancier 

Top secret : La CIA découvre des incohérences dans le programme de Donald Trump



DÉCLARATIONS ET MESURES POSITIVES, PROMESSES TENUES  - 
DÉCLARATIONS ET MESURES NÉGATIVES, PROMESSES TRAHIES, RENIEMENTS


Par ordre chronologique :


16 septembre 2016 (avant l'élection) : alors que Donald Trump sait pertinemment que Barack Obama n'est pas né aux Etats-Unis mais au Kenya et que, de ce fait, il ne remplissait pas les conditions pour devenir président en 2008, le milliardaire fait volte-face et prétend qu'après avoir vu l'acte de naissance d'Obama, il est convaincu que ce dernier est né à Hawaii. (Le document en question est un faux grossier - voir ici.)


21 novembre 2016 : Trump convie les grands merdias américains (CNN, ABC, MSNBC, CBS, Fox...) à une réunion "secrète" au cours de laquelle - espèrent-ils - il leur fera connaître son désir de réconciliation. Depuis des mois, ils le traînent dans la boue et ne cessent de mentir, mais attendent maintenant du président élu qu'il passe l'éponge et les laisse continuer comme si de rien n'était. Et surtout qu'il les informe à l'avance de tout ce qu'il prépare, alors que depuis le 9 novembre ils les évite soigneusement, les court-circuite, leur préfère les médias non biaisés, communique directement avec les citoyens via Twitter ou YouTube. Malheureusement pour les pressetitués invités à la Trump Tower, au lieu de passer l'éponge, c'est un savon que Trump leur passe. Ils en prennent pour leur grade, ces salauds. A Jeff Zucker, patron de CNN : "Je déteste votre chaîne, vous êtes tous des menteurs, vous devriez avoir honte..."  La dernière trouvaille des merdias, c'est de reprocher aux sites pro-Trump de propager des "fausses nouvelles" (fake news), alors que bien sûr, c'est eux qui le font en permanence. Résultat : on les croit de moins en moins, ils commencent à être en perte de vitesse. Espérons que Trump contribuera à les enfoncer un peu plus...



LES PRINCIPAUX PROPAGATEURS DE « FAKE NEWS » AUX ÉTATS-UNIS :

La première règle de conduite qu'ils inculquent
à tous leurs pressetitués : "Go Fake Yourself !..."



TIME, autre merdia américain spécialisé dans les fake news, ment un peu moins
souvent que les précédents, mais c'est dû à son rythme de parution (hebdomadaire).
Le 22 août 2016, TIME annonçait la « débâcle » de Donald Trump, et le 13 octobre sa
« débâcle totale »... Ils ont bonne mine, ces crétins qui se fient à leurs propres mensonges :



Début décembre 2016, les journalopes de TIME finissent par nommer Trump « Personne de l'année »
mais continuent de le harceler, faisant de lui le « Président des Etats-Désunis » et le plaçant sur un
siège aussi pourri que possible (sans même parler de sa coiffure et de son costume à 9,95 $) :




Champion du monde fake news toutes catégories : le site de désinformation Huffington Post.
La veille de l'élection, il donnait à Hillary Clinton 98,1 % de chances de l'emporter :

(Source : https://twitter.com/huffingtonpost/status/795663593689808896?lang=fr)




Trois jours avant l'investiture, les sondeurs merdiatiques prétendent
que Trump a la cote de popularité la plus basse de tous les temps
pour un nouveau président : seulement 40 %

Cote de popularité des sondeurs : aux alentours de 0 %

Plus tard, le 11 janvier 2017, Trump confirme sa position à l'égard des merdias. Au cours d'une conférence de presse, le président élu refuse une question - évidemment provocatrice - que le pressetitué Jim Acosta, Senior White House Correspondent de CNN, voulait lui poser : "Non, pas vous... votre chaîne est épouvantable... non, taisez-vous... n'insistez pas... ne soyez pas grossier... je ne prendrai pas votre question... vous êtes les fake news..." - détails - voir également ici.

Fake News Acosta en redemande  (plus haut 13.7.18)




Acosta et ses semblables vont-ils perdre leur accréditation ?  De toute manière, ils n'ont pas besoin d'être présents aux réunions de presse de la Maison Blanche pour déformer ce qui s'y dit. Exemple en direct : tandis que le président élu déclare en réponse à une question sur le "piratage russe", que beaucoup de pays se livrent au piratage informatique, y compris la Russie, la Chine et pas mal d'autres*, CNN affiche un bandeau en bas de l'écran avec le texte : "Trump admet que la Russie s'est rendue coupable de piratage."  Tous les autres merdias lui emboîtent le pas et font comme si le nouveau président avait avoué qu'il doit son élection à la Russie.  Cet incident se produit justement après que CNN ait relayé des attaques particulièrement abjectes contre Donald Trump - voir plus haut.

* Ce que Trump ne dit pas : au classement mondial du piratage informatique, les USA et Israël sont n° 1 ex-aequo, loin, très loin devant tous les autres.


21 novembre 2016 : Au grand dam des globalistes, le nouveau président fait savoir qu'il retirera les Etats-Unis du traité transpacifique TTP, ce qui devrait aussi signifier que le pendant transatlantique de cette monstruosité (TTIP ou TAFTA) ne sera pas signé. C'est du moins de cette façon que les atlantistes européens (fans de Crooked Hillary) interprètent la chose.


22 novembre 2016 : Trump fait annoncer par sa porte-parole Kellyanne Conway qu'il renonce à engager des poursuites contre Hillary Clinton, contrairement à ce qu'il avait promis à ses électeurs tout au long de sa campagne (voir plus haut).  Rudy Giuliani, ancien maire de New York et futur conseiller du président (voir plus haut), explique que "c'est pour unir la nation".  Ouais...


1er décembre 2016 : Contrairement à tous les politiciens élus qui oublient leurs électeurs aussitôt après le vote, Donald Trump effectue un "Thank You Tour" pour remercier tous ceux qui lui ont permis de l'emporter malgré la fraude et l'hostilité systématique des merdias. Cette tournée débute à Indianapolis, dans l'Etat "rouge" dont Mike Pence était le gouverneur. Le président élu a obtenu que le fabricant de climatiseurs Carrier renonce à fermer son usine locale pour la transférer au Mexique. Un millier d'emplois sont ainsi sauvés.  Le 3 janvier 2017, c'est au tour de Ford de faire savoir qu'il ne construira pas d'usine au Mexique mais donnera la préférence au Michigan. Le 12 janvier, Amazon promet 100.000 nouveaux postes aux USA... Le 17 janvier, GM fait connaître son intention de créer 1.500 emplois (également dans le Michigan) et Walmart 10.000 (un peu partout dans le pays).  Autres créateurs d'emplois : US Steel (10.000), IBM (25.000), Lockheed Martin (1.800)...  Avant même l'investiture de Trump, la dynamique est lancée. L'avenir dira s'il s'agit seulement de gestes symboliques et limités ou si c'est, au contraire, le début du redressement promis.


2 décembre 2016 : A Cincinnati (Ohio), Trump déclare qu'il met fin à la politique de changement de régime ("We will pursue a new foreign policy that finally learns from the mistakes of the past. We will stop looking to topple regimes and overthrow governments, folks. Our goal is stability, not chaos because we wanna rebuild our country. It's time..." - source - Nous poursuivrons une nouvelle politique étrangère qui tire enfin les leçons des fautes du passé. Nous cesserons de chercher à renverser les régimes et à faire tomber les gouvernements, oui mes amis. Notre but est la stabilité, pas le chaos, car nous voulons reconstruire notre pays. Il est temps...)  Est-ce que cela s'applique aussi aux régimes et gouvernements visés par Israël, à commencer par la Syrie et l'Iran ?... (On sait que pour les sionistes, un "régime" est un gouvernement qui échappe encore à leur contrôle.)


6 janvier 2017 : Le président élu annonce son intention de limoger tous les ambassadeurs américains nommés par son prédécesseur pour des raisons politiques ou financières. Il faut savoir que depuis quelque temps, les postes diplomatiques les plus convoités s'achètent (moyennant un bakchich dans l'escarcelle d'Obama ou de la Fondation Clinton - voir plus haut).  Wanna Be Ambassador to Argentina ?  It'll cost you $ 500,000 (Slate). Les postes les plus chers : 1.200.000 dollars pour Londres ou Singapour, 800.000 pour Paris ou Berne, entre 500 et 700.000 pour les autres pays de l'UE. Et en bas du tableau, 50.000 dollars pour un petit pays comme le Costa Rica...


7 janvier 2017 : Donald Trump déclare que "seuls des gens stupides ou des fous peuvent penser que c'est une mauvaise chose d'avoir de bonnes relations avec la Russie... La Russie nous respectera beaucoup plus sous mon administration, qu'elle ne le fait avec Barack Obama à la Maison Blanche."

Reste à savoir si le futur chef de la diplomatie américaine, Rex Tillerson (voir plus haut), est vraiment du même avis. Ses prises de position quelques jours plus tard face au Sénat ne sont pas très encourageantes : "La Russie représente un danger... Elle a envahi l'Ukraine, annexé la Crimée et soutient les forces syriennes qui violent brutalement les lois de la guerre... Nos alliés de l'OTAN ont raison de s'alarmer à propos d'une Russie résurgente..." (source)

Idem pour James Mattis (Pentagone - voir plus haut) : "La Russie pose de graves problèmes dans plusieurs domaines... Elle essaie de briser l'Alliance atlantique... Je n'attends pas grand-chose en matière de coopération avec la Russie..."   Pour Mike Pompeo (CIA - voir plus haut) : "Le piratage russe exige une riposte extrêmement robuste de la part des Etats-Unis..."  Et pour Nikki Haley (future ambassadrice à l'ONU - voir plus haut) : "La Russie a envahi la Crimée qui est ukrainienne... Elle est complice des crimes d'Assad en Syrie... Avant que nous levions les sanctions, il faudra que la Russie prenne des mesures positives..." [Par exemple, qu'elle abandonne la Crimée et la Syrie ?...]



20 janvier 2017 : la première mesure - symbolique - du nouveau président quelques heures après sa prestation de serment : il fait retirer la page "Réchauffement climatique" du site Internet de la Maison Blanche. Désormais, la mission première de l'EPA (Agence américaine pour l'environnement) sera la protection de l'air et de l'eau - détails.


30 janvier 2017 : l'agression américaine au Yémen, commencée sous Obama, se poursuit sous Donald Trump et coûte la vie à de nombreux civils dont plusieurs enfants - voir ici. Il s'agit avant tout d'un soutien militaire apporté à Riyad, en guerre contre le Yémen depuis mars 2015 et incapable de vaincre la "rébellion". Malgré le changement de président, Washington continue de considérer l'Arabie Saoudite - suppôt du terrorisme - comme un "allié" dans la "guerre" contre ce fléau - voir également plus haut. C'est plus qu'une contradiction, c'est une victoire de la ligne israélienne... La lutte annoncée contre Daesh risque de ne pas être très différente de ce qu'elle était précédemment.


2 février 2017 : la nouvelle ambassadrice américaine à l'ONU, Nikki Haley, "condamne les actions agressives de la Russie en Ukraine" (alors que c'est le régime de Kiev - mis en place par l'administration Obama* - qui relance depuis quelque temps son agression contre le Donbass - voir ici ; la Russie, hélas, n'intervient pas militairement pour protéger ses compatriotes de cette région, elle se contente de leur fournir des armes, mais pas trop). Nikki Haley ajoute que "les sanctions resteront en place jusqu'à ce que la Russie redonne le contrôle de la Crimée à l'Ukraine". C'est une gifle magistrale à Poutine et à tous ceux qui espéraient que les différends russo-américains allaient disparaître comme par enchantement. En ne soutenant pas le Donbass, le président russe pensait qu'on lui ficherait la paix en Crimée. Grave erreur : s'il cède sur tel ou tel point, les néocons, qui contrôlent Trump presque autant qu'ils contrôlaient Obama, en voudront toujours plus. Finalement, le nouveau président américain semble donner la priorité à la politique intérieure (relance de l'emploi, lutte contre l'immigration illégale illimitée) et abandonner la politique étrangère aux habituels "spécialistes".

* L'administration précédente n'est pas la seule responsable. En effet, certains républicains hostiles au nouveau président (Republicans Against Trump ou RATs) comme les sénateurs John McCain et Lindsey Graham, ont encouragé la junte ukrainienne à reprendre ses attaques (militaires contre les séparatistes du Donbass, politiques contre le Kremlin) :  Trump Team Gone Wild : Now UN Ambassador Threatens Russia par Daniel McAdams (Ron Paul Institute). Est-ce là la nouvelle politique ? s'interroge l'auteur. On attendait autre chose de la Maison Blanche et de Foggy Bottom (le Quai d'Orsay américain).



FOUTAGE DE GUEULE À LA ROUSSKAÏA :

La Russie et les USA vont étroitement coopérer dans le cadre de l'ONU...

13 février 2017 : le président se tire une balle dans le pied en permettant exigeant la démission du général Flynn, chef du Conseil de Sécurité Nationale de la Maison Blanche - voir plus haut.


24 mars 2017 : échec et retrait précipité de la réforme de santé promise par Donald Trump. C'était un des points principaux de son programme, sans doute celui qui lui avait permis d'être élu - voir plus haut.  [Six semaines plus tard, le 4 mai 2017, "succès" inattendu de la réforme grâce à un tour de passe-passe de Donald Trump.]


5 avril 2017 : après Flynn le 13 février, c'est Steve Bannon, le chef stratège de la Maison Blanche, qui est "remercié". Le même jour, volte-face présidentielle dans l'affaire syrienne (voir plus haut). Que reste-t-il du programme politique de Donald Trump ?...

Dès le lendemain, avec l'hystérie générale qui entoure la mise en scène de "l'attaque chimique par le régime d'Assad" et la "riposte" militaire américaine contre une base syrienne, il devient clair qu'il n'y aura, de la part des USA, ni coopération avec Moscou en Syrie ni guerre contre Daesh. Donald Trump, otage de l'Etat profond, a définitivement retourné sa veste dans l'espoir de rester "au pouvoir". Conformément à la volonté des néocons, seuls les points négatifs de son programme de politique extérieure (voir plus bas) seront appliqués comme prévu, les points positifs ne le seront pas. Pour ce qui est du programme de politique intérieure, il est trop tôt pour dire dans quelle mesure il pourra être réalisé, mais les chances qu'il le soit vraiment sont relativement minces.



9 mai 2017 : Donald Trump vire enfin James Comey, le patron du FBI - pas trop tôt (voir plus haut).  Mais le retour de bâton ne se fait pas attendre...


1er juin 2017 : le président annonce le retrait des USA de l'accord climatique de Paris (voir plus haut).


16 juin 2017 : mesures bellicistes à l'encontre de Cuba, de la Syrie et de l'Afghanistan, sans oublier la Corée du Nord, la Russie et l'Iran (voir plus haut).


26 mars 2018 : l'hystérie antirusse, systématiquement amplifiée depuis quelque temps, a également saisi Donald Trump (voir plus haut). Sans trop comprendre ce qu'il fait, il se plie aux consignes de ses maîtres néocons qui ont la ferme intention de mener le monde à la catastrophe.


14 avril 2018 : la relance de l'agression militaire contre la Syrie enterre les derniers espoirs de changement que les plus optimistes pouvaient encore placer en Donald Trump (voir plus haut).



Juin 2018 : le président porte un coup aux globalistes du G7 qui voulaient l'obliger à renier sa politique (modérément) protectionniste et à revenir dans le giron des climato-fétichistes (voir plus haut). Dans la foulée, Trump gèle (provisoirement) le conflit coréen qu'il avait lui-même porté à ébullition au cours des mois précédents (voir plus haut).


Janvier 2019 : Trump donne carte blanche aux néocons de son administration (notamment John Bolton) pour la préparation d'une nouvelle guerre, au Venezuela cette fois.

En politique intérieure, pour ce qui est de l'immigration illégale et du mur qu'il voulait ériger à la frontière mexicaine, le président piétine totalement. Faute de mesures drastiques, qu'il refuse de prendre, la situation reste bloquée.


Mars 2020 : après être sorti indemne, le 5 février, de la procédure d'impeachment infligée par ses ennemis, Donald Trump se voit confronté à une menace autrement plus grave car pratiquement imparable : le coronavirus. Méfiant au début, il se doute bien qu'il s'agit là d'une crise fabriquée et que cette prétendue pandémie bien moins grave que la grippe saisonnière cache en réalité une gigantesque supercherie. Malheureusement, les pressions exercées sur lui sont telles qu'il se plie très vite au jeu, s'efforçant même d'être plus coronariste que tous les coronariens qui l'entourent - voir ici.

Les conséquences de sa capitulation sont désastreuses pour l'économie américaine. Il essaie tant bien que mal de revenir à la normale, mais il est trop tard. Finalement, c'est lui qui paiera les pots cassés.


Fin mai 2020 : pour comble de malheur, Donald Trump doit faire face à une vague d'émeutes partie de Minneapolis et s'étendant à tout le pays. C'est une nouvelle attaque concertée prenant prétexte d'une "bavure" policière comme il s'en produit plusieurs fois par jour. Tous les trumpophobes des quatre dernières années se sont coalisés contre le président pour lui porter l'estocade finale. Sont de la partie : les louseurs démocrates de 2016, les sections d'assaut des fascistes "antifa" que finance $✡R✡$, les émeutiers noirs de BLM - Black Lives Matter, également sponsorisés par ce milliardaire, les merdias fake news avec leurs hordes de journalopes hystériques, les multiples relais de l'Etat profond jusqu'au cœur de l'administration, de la justice et de la police...

L'homme de la Maison Blanche ne prend aucune mesure vraiment concrète, se limitant à une contre-attaque verbale. Son "arme" favorite, Twitter, ne lui sert plus à grand-chose depuis que ses ennemis font censurer ses messages.



A suivre...


ET ÇA, C'EST POSITIF OU NÉGATIF ?


Les clintoniens détestent le nouveau président pour diverses raisons : il est "raciste", "sexiste", "haineux", "islamophobe"...
Mais le plus grave pour eux, à Chicago, c'est que  TRUMP MET DU KETCHUP SUR SES HOT-DOGS !...
Dans ce haut lieu de la gastronomie mondiale, c'est  une hérésie absolue.



IL N'A MÊME PAS DE CHIEN !...
(Manif anti-Trump à Washington DC - 20.1.2018)



NÉGATIF MAIS PARFAITEMENT LOGIQUE ET ATTENDU

26 novembre 2016 : le jour du décès de Fidel Castro, Donald Trump déclare sans surprise : "C'est un brutal dictateur qui vient de disparaître. Il a opprimé son peuple pendant près de six décennies, laissant un héritage de pelotons d'exécution, de vol, d'inimaginables souffrances, de misère et de déni des droits humains fondamentaux... Alors que Cuba reste encore une île totalitaire, je formule l'espoir que ce jour marquera la fin des horreurs endurées depuis trop longtemps et le début d'une ère nouvelle qui apportera au merveilleux peuple cubain la liberté et la prospérité qu'il mérite tant. Mon administration fera tout son possible pour atteindre cet objectif..."  Après 58 ans de propagande et de fake news anticastristes, à peu près tout le monde aux Etats-Unis partage cette opinion. De toute manière, le sort de Cuba était scellé depuis la chute de l'URSS, et surtout depuis 2010 - voir ici.


23 décembre 2016 : après le vote par le Conseil de Sécurité des Nations Unies d'une résolution condamnant Israël pour la construction de colonies juives dans les territoires occupés (vote acquis par 14 voix contre 0 et une abstention, celle des USA - voir ici), Donald Trump sermonne l'ONU et reproche vivement à Obama d'avoir permis ce vote. (Le président sortant, créature du lobby sioniste depuis 2008 et même avant, a agi moins par conviction que par agacement face à l'arrogance israélienne). Trump rappelle dans un tweet concernant l'ONU et Israël, que "tout sera différent à partir du 20 janvier". On s'en doutait depuis au moins un an (voir plus haut) ; on en est certain après la nomination de conseillers israéliens dans l'équipe présidentielle (également plus haut).



Janvier 2017 : à l'approche de l'investiture de Donald Trump, ses habituelles déclarations négatives (pour ne pas dire agressives) vis-à-vis de Pékin à propos de Taiwan, de la mer de Chine méridionale et du commerce, se multiplient et sont maintenant amplifiées par certains de ses futurs ministres. Même chose pour l'Iran et la Corée du Nord.


1er février 2017 : après que l'Iran ait testé un missile balistique de moyenne portée (suffisant pour riposter à une agression israélienne), la nouvelle ambassadrice américaine à l'ONU, Nikki Haley, affirme que ce test est "inacceptable" et qu'il "viole la résolution des Nations Unies" (ce qui est faux). Pour Donald Trump, les résolutions onusiennes (interprétées à son goût) sont une bonne chose quand elles sont dirigées contre l'Iran. Quand elles condamment clairement Israël (voir quelques lignes plus haut - 23.12.16), elles sont au contraire méprisables. Mais bon, on le savait depuis longtemps...  Le général Flynn, responsable n° 1 de la sécurité nationale et que l'on croyait plus mesuré (voir plus haut), met en garde l'Iran, lui "colle un avertissement" ("puts Iran on notice"). Pourquoi pas quinze jours d'arrêts de rigueur ?...  Moins de 24 heures après "l'avertissement", Trump punit l'Iran en lui imposant des "sanctions visant 25 personnes et entités soupçonnées d'avoir apporté un soutien logistique ou matériel au programme de missiles". Téhéran réplique en sanctionnant "certains individus et entreprises américaines ayant eu un rôle dans la création et le soutien de groupes extrémistes terroristes ou aidant à la suppression de personnes sans défense dans la région".


2 février 2017 : le général James "Mad Dog" Mattis (ministre de la "Défense") effectue son premier voyage en Corée du Sud, où il dénonce "la menace de Pyongyang". En réalité, la Corée du Nord ne menace personne ; ce sont les Etats-Unis qui la menacent depuis qu'ils ont échoué à la conquérir en 1950-53. Ce pays ne demande qu'une chose : que l'on respecte sa souveraineté. C'est une revendication que Trump devrait comprendre s'il était conséquent. Mais pour cela, il lui faudrait jeter par-dessus bord près de sept décennies de propagande belliqueuse anti-nord-coréenne. Il ne faut pas trop en demander, ce sera déjà beaucoup s'il laisse les choses en l'état.

Le programme "nord-coréen" que les fauteurs de guerre espèrent pouvoir imposer à Donald Trump


5 avril 2017 : escalade verbale à propos de la Corée (voir plus haut) suivie une semaine plus tard de mesures militaires préparant une nouvelle agression. Simultanément, relance de la guerre contre l'Afghanistan (12.4.17).


6 décembre 2017 : Donald Trump "reconnaît Jérusalem comme capitale indivisible d'Israël" - voir plus haut. Plus tard, en mars 2019, c'est "la reconnaissance de la pleine souveraineté d'Israël sur le plateau du Golan" (terre syrienne que l'Etat voleur juif occupe illégalement depuis 1967).


8 mai 2018 : Retrait des Etats-Unis de l'accord sur le nucléaire iranien - voir plus haut.


23 juillet 2018 : Trump menace de détruire l'Iran - voir plus haut. Dans les mois qui suivent, la situation reste très tendue. En juin 2019, on est à deux doigts de la guerre (ou à dix minutes).


A suivre...





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