DONALD TRUMP PRÉSIDENT

II (nov. 2018 - janvier 2021)





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Donald Trump - I (2016-18)

Barack Obama (2009-2016)  -  George Bush (2001-2008)


Les présidents américains depuis 1945





6 novembre 2018 : Elections de mi-mandat    4 janvier 2019    15 février 2019    29 mars 2019    15 avril 2019

1er mai 2019    25 mai 2019    7 juin 2019    27 juin 2019    15 juillet 2019    21 juillet 2019    9 août 2019

25 septembre 2019 - Ukraine Hoax    21 novembre 2019    3 janvier 2020    24 février 2020

11 mars 2020 - Corona Hoax    16 avril 2020    28 mai 2020 - Emeutes de Minneapolis    3 juillet 2020    15 septembre 2020

Election présidentielle 2020    6 janvier 2021 - Fausse insurrection au Capitole

20 janvier 2021 - L'après-Trump    Vengeance tardive : Donald Trump inculpé



Première page : Donald Trump Président - I (2016-18)


ÉLECTIONS DE MI-MANDAT

6 novembre 2018 - Victoire des Démocrates à la Chambre des Représentants : 225 contre 197 (en 2016 : 195 contre 240). Les 13 sièges manquants (en gris sur la carte) sont encore contestés, mais les trumpophobes disposent d'ores et déjà de la majorité absolue.



Au Sénat, victoire des Républicains : 51 contre 46 (précédemment : 51 contre 49). Trois sièges sont contestés en Floride et en Arizona (en gris sur la carte), mais les partisans de Trump n'ont rien à craindre. Même si ces sièges sont attribués à leurs adversaires, la majorité sénatoriale du président est confirmée. Dans le meilleur des cas, elle peut passer à 54 contre 46.



Donald Trump est satisfait - il faut bien que quelqu'un le soit... Sa première décision en ce début de seconde mi-temps consiste à virer Jeff Sessions, l'inutile ministre de la Justice (voir ici).

17 novembre 2018 - Dix jours après les élections, toujours pas de résultats définitifs. Selon vox.com les Démocrates mènent maintenant par 231 contre 198 à la Chambre (six sièges en suspens). Au Sénat, les Républicains dominent par 51 contre 47 (deux sièges contestés). En Floride, on recompte allègrement les voix (comme en 2000).

Thierry Meyssan : Ce que révèlent les élections US sur le conflit intérieur - ouais...

18 novembre 2018 - Après recomptage des voix, un siège sénatorial manquant (en Floride) revient aux Républicains. Nouvelle majorité (provisoire) pour le parti de Donald Trump : 52 contre 47. Un siège est encore en suspens.

A Tijuana (nord-ouest du Mexique, à la frontière avec les USA) la horde migratoire mobilisée par Soros & Cie est arrivée. Pour le moment, l'armée et la police américaines lui barrent le passage. Des civils mexicains locaux qui n'ont nulle envie que leur ville, déjà bien mal en point, devienne une sorte de Calais nord-américain, protestent contre la présence des envahisseurs.

27 novembre 2018 - Une bonne et une mauvaise nouvelle pour Donald Trump :

■  Au Sénat, la majorité républicaine est de 53 contre 47 (résultats définitifs). Le danger de destitution recule.

■  General Motors annonce la fermeture de cinq usines aux USA, ce qui représente 15.000 emplois en moins : coup de poignard dans le dos du président, dans le style "Ce n'est pas parce que la Maison Blanche nous fait des cadeaux (fiscaux et autres) que nous devons soutenir sa politique"...

GM prétend vouloir se concentrer sur la construction de voitures électriques mais c'est un argument bidon : la technique est loin d'être au point (on le voit avec Tesla), le joujou est invendable sans subventions et le réseau électrique ne pourra jamais satisfaire les besoins. C'est une marotte de bobos et autres khmers verts. Trump devrait mettre en place la taxe de 35 % dont il voulait frapper la réimportation de véhicules "américains" produits au Mexique (voir page précédente : D'où vient la popularité de Trump). Si le président encaisse ce mauvais coup sans broncher, bye-bye popularité et crédibilité...

30 novembre 2018 - Quelques jours plus tôt, à l'occasion de la commémoration en France du centenaire de l'armistice du 11 novembre 1918, on avait physiquement empêché tout contact entre Trump et Poutine (Macrotte est très efficace pour ce genre de choses). En prévision du G20 de Buenos Aires (30 novembre et 1er décembre) et pour éviter une répétition de la "mauvaise surprise" d'Helsinki (page précédente 16.7.18), les contrôleurs de l'Etat profond ont trouvé beaucoup mieux. Le refus de conférer, ne serait-ce que superficiellement, avec l'homme du Kremlin doit venir de Donald Trump lui-même. Pour le "convaincre", on a recours à deux arguments en principe imparables :

1)  La relance à point nommé de l'affaire Michael Cohen, cet avocat traître retourné par la "Justice" et utilisé contre son ancien client (page précédente 22.8.18). Les nouvelles accusations portent sur les affaires du businessman et candidat Trump avec "l'ennemi russe" - qui en 2016 n'était pas du tout un "ennemi", mais cela n'a aucune importance, beaucoup moins en tout cas que les affaires du gang Clinton (page précédente Les casseroles) ou le secret des communications entre un avocat et son client.

2)  Le prétexte de l'incident de Kertch au large de la Crimée, incident provoqué au bon moment avec l'aide des services américains.

Les vrais organisateurs du G20 espèrent que Trump ne changera pas d'avis au dernier moment. Pour l'encourager, ils lui permettent d'avoir tous les contacts qu'il veut avec le potentat saoudien (un modèle de démocratie comme en témoignent le récent assassinat d'un journaliste et les massacres quotidiens au Yémen).

5 décembre 2018 - Dans le cadre de la guerre économique menée contre la Chine, les USA ne se contentent plus de relever leurs tarifs douaniers. Passant à la phase suivante, ils font arrêter (au Canada) la directrice financière du géant chinois des télécoms, Huawei, qui est aussi la fille du PDG. Prétexte invoqué : une "violation" des "sanctions" américaines frappant le commerce avec l'Iran. C'est un peu comme si les Chinois faisaient arrêter un grand patron étatsunien pour violation des lois chinoises régissant le commerce avec l'Arabie Saoudite.

Les USA veulent saper la position dominante de Huawei en matière de technologie 5G, et c'est sans doute là la véritable raison de cet acte de gangstérisme d'Etat. Bien que la réaction de Pékin reste mesurée dans un premier temps, il est peu probable que les Chinois laissent faire sans prendre de contre-mesure.

Est-ce Donald Trump qui a ordonné d'agir ainsi ou lui a-t-on forcé la main ?

Attaque US contre les smartphones chinois par Manlio Dinucci : quand ce n'est pas le commerce avec l'Iran, c'est "l'espionnage" au détriment des Etats-Unis et de leurs alliés...

Précisions du Réseau Voltaire - Les Cinq Yeux contre Huawei :  "La guerre entreprise par Washington contre Huawei a une raison profonde et quantité de justifications de façade. Le fond du problème, c'est que la firme chinoise utilise un système de cryptage qui empêche la NSA d'intercepter ses communications. De nombreux gouvernements et services secrets dans le monde non occidental ont commencé à s'équiper exclusivement de matériels Huawei afin de protéger la confidentialité de leurs communications. Les justifications de façade sont alternativement de vol de propriété intellectuelle, de commerce avec l'Iran et la Corée du Nord, et de violer les règles de la concurrence en bénéficiant de subventions nationales. Les Etats membres du système d'espionnage électronique des Cinq Yeux - Australie, Canada, Etats-Unis, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni - ont commencé à exclure Huawei de leurs appels d'offre."

14 décembre 2018 - En réponse à la prise d'otage ayant frappé Huawei, les autorités chinoises font arrêter deux Canadiens (un homme d'affaires et un ancien diplomate) qu'elles accusent d'activités mettant en danger la sécurité nationale. Ottawa, fidèle exécutant des volontés étatsuniennes, proteste (sur ordre de Washington ?) contre cet "acte arbitraire". Entre-temps, la directrice financière de Huawei, Meng Wanzhou, a été mise en liberté sous caution dans l'attente de son jugement d'extradition vers les USA.

21 décembre 2018 - Le général James Mattis démissionne (ou est démissionné) de son poste de ministre de la Défense à compter du 28 février, suite à un désaccord avec le président sur la politique à suivre en Syrie. Trump veut retirer ses troupes, "Mad Dog" Mattis est partisan d'une extension de la guerre (contre Damas, le Hezbollah et l'Iran). L'Etat profond va devoir trouver un nouveau "chien enragé" (ce n'est pas ce qui manque aux USA) et expliquer au président que le titre de commandant en chef des armées est purement honorifique.  [Mattis sera remplacé par Patrick Shanahan, un ancien dirigeant de Boeing, grand fournisseur du Pentagone.]

Départ également, dès le 31 décembre, du chef de cabinet de la Maison Blanche, John Kelly, et de l'ambassadrice à l'ONU, Nikki Haley.

A la frontière mexicaine, Donald Trump s'efforce toujours d'obtenir le financement de son mur, ce que le Sénat refuse (une majorité de 60/100 est nécessaire). Faute d'accord, Trump bloque toute dépense supplémentaire hors budget, ce qui cause une cessation immédiate de nombreuses activités fédérales, y compris le paiement des fonctionnaires qui protègent les frontières. C'est une procédure courante aux Etats-Unis, mais cette fois, par la faute de ses ennemis, le président se tire une balle dans le pied.


ADMINISTRATIONS FERMÉES - FRONTIÈRE SUD TOUJOURS OUVERTE
pour les illégaux et les trafiquants...

grâce à Nancy Pelosi et Charles Schumer
(chefs des groupes démocrates à la Chambre et au Sénat)

Pour Noël, Trump effectue une visite éclair auprès des troupes américaines en Irak et en Allemagne - sans même inviter les journalopes de CNN Fake News !... C'est l'occasion pour lui de dédicacer des casquettes MAGA (Make America Great Again). Il a beaucoup de fans dans l'armée (qui ne semble pas impactée par le blocage budgétaire).




4 janvier 2019 - Selon le Bureau of Labor Statistics (BLS) qui publie les statistiques concernant l'emploi, 312.000 nouvelles places ont été créées en décembre (solde net), et 2,6 millions pour toute l'année 2018 (après 2,2 millions en 2017). Trump y voit bien sûr un effet direct de sa politique, tandis que ses ennemis prétendent qu'il n'y est pour rien (c'est "la conjoncture").

A Washington, la nouvelle Chambre des Représentants se réunit pour la première fois, présidée par Nancy Pelosi qui a la ferme intention de ne rien céder (pas un centime pour le mur). Elle sait parfaitement que si Trump n'a pu faire voter, en 2017-18, aucun des textes qu'il avait à cœur malgré une majorité de 240 sièges contre 195, ce n'est pas avec sa minorité actuelle (199 sièges) qu'il y parviendra. Sa majorité au Sénat lui servira seulement à bloquer les lois présentées par les Démocrates si elles font obstacle au financement du mur. Le perdant sera celui que l'on tiendra pour responsable du "shutdown". Depuis deux semaines, les merdias font le nécessaire pour que ce soit Donald Trump.

Pour avoir une idée de l'ambiance qui règne dans la capitale et du niveau-caniveau où est tombée la "culture" politique des "élites" américaines "de gauche", il faut écouter ce que dit (en présence de ses enfants !) une certaine Rashida Tlaib, représentante démocrate nouvellement élue  : "Nous allons destituer ce fils de pute !... (We're gonna impeach the motherfucker !...)"  C'était quelques heures après qu'elle ait prêté serment sur le Coran. Elle est musulmane, ses parents sont nés à Ramallah.

Si cette pauvre conne mettait autant d'énergie à défendre le peuple palestinien (en principe "son" peuple) qu'à lécher les bottes de ceux qui le détruisent (soyons polis, elle fait certainement pire), l'Amérique n'en serait pas là en 2019.  Mais bon, les sionistes savent pourquoi ils ont financé sa campagne...



"Quand on sera grands, pour faire plaisir à maman, on sera nous aussi des motherfuckers..."




Mais peu importe,
LE PRINCIPAL
c'est que tout soit conforme à la Constitution :

NOUS LES MICKEYS...


12 janvier 2019 - Le bras de fer sur le "shutdown" entre le président et ses ennemis continue. Trump pourrait déclarer l'état d'urgence et se procurer autrement que par un vote du Congrès les 5 ou 6 milliards dont il a besoin pour la construction du mur frontalier. Mais au lieu de trancher le nœud gordien une fois pour toutes, il hésite, atténue sa menace, essaie de se montrer conciliant face à des gens qui ne le sont pas.

Le monstre Schumer-Pelosi, serpent à deux têtes du marécage de Washington se nourrit de cette hésitation stérile. Ses merdias, CNN en tête, comptent les jours, heures, minutes et secondes depuis le début de la confrontation, la plus longue de l'histoire des USA - on a l'histoire qu'on mérite... L'ennemi du peuple Jim Acosta est particulièrement fier de ce record d'endurance.



Et pendant ce temps-là, les trumpophobes recyclent et recyclent et recyclent encore et toujours leurs habituels mensonges "collusionnistes".


MERDIACELL DURE PLUS LONGTEMPS :

Increvable ce lapin rose cet âne démocrate...


15 janvier 2019 - Question du jour : faut-il être complètement débile pour tapiner comme journalope chez CNN ?... Réponse : non, mais ça aide quand même énormément...  Une certaine Areva Martin, que le merdia d'Atlanta emploie comme "analyste" (terme dérivé du mot "anal"), accuse David Webb de Fox d'être un "privilégié blanc". Etant noire, elle a le droit de le faire. Le racisme anti-Blancs est en effet très tendance aux USA (quand il ne frappe pas les Juifs, évidemment). Même chose d'ailleurs pour les attaques contre les hommes non-pédérastes, les patriotes nationalistes, les adversaires de l'immigration illégale incontrôlée et, plus généralement, tous les partisans de Trump.

Mais dans le cas présent, pas de chance : Webb est noir lui aussi...

T'inquiète, Areva, t'auras qu'à dire qu'il t'a violée. Comme ça, tout le monde pensera que ta connerie vient de là...

18 janvier 2019 - Nouvelle révélation : l'avocat traître Michael Cohen (voir plus haut 30.11.18) prétend (à la demande du procureur) que son ancien client Donald Trump "lui a ordonné de truquer des enquêtes d'opinion en vue de la présidentielle de 2016". Bizarrement, tous les sondages de cette période donnaient Crooked Hillary largement en tête - faut pas chercher à comprendre...

En voyant la tronche de ce mafieux d'opérette, on se demande bien comment Trump a pu lui faire confiance un seul instant.




20 janvier 2019 - Nancy Pelosi, nouvelle "patronne" démocrate de la Chambre des Représentants de Washington, annonce unilatéralement que la date du discours présidentiel annuel sur l'Etat de l'Union, prévue pour fin janvier, est repoussée à plus tard, lorsque le shutdown (dont Pelosi est responsable) sera terminé. C'est la première fois depuis 1776 que pareil affront est fait au président, mais il faut dire que les affronts sont quotidiens depuis deux ans... La législature de Caroline du Nord (à majorité républicaine) a invité Donald Trump à venir prononcer son discours à Raleigh (la capitale). Le président n'a pas encore confirmé sa venue. En revanche, il a fait le nécessaire pour rendre la monnaie de sa pièce à Zombie Pelosi, en lui interdisant au dernier moment d'utiliser l'avion militaire qu'elle voulait prendre, aux frais du contribuable, pour effectuer un voyage de propagande à l'étranger.

Trump : "Pour cause de shutdown, je suis désolé de vous informer que votre voyage à Bruxelles, en Egypte et en Afghanistan a été repoussé à plus tard. Nous fixerons une nouvelle date pour cette excursion de sept jours lorsque le blocage administratif sera terminé. Compte tenu du fait que 800.000 travailleurs américains méritants sont actuellement privés de salaire [par votre faute], je suis sûr que vous serez d'accord avec moi pour dire que le report de cet événement de relations publiques est tout à fait justifié."  (détails)

22 janvier 2019 - Pour défendre l'immigration illégale illimitée, les ennemis du président aiment rappeler que tout le monde aux USA, à l'exception des Amérindiens, est immigré ou descendant d'immigrés.


Massachusetts 1620 -
le puritain anglais fraîchement débarqué
du Mayflower se renseigne auprès d'un autochtone :

"Pouvez-vous me dire où nous devons nous faire inscrire
pour toucher l'aide sociale et les bons alimentaires ?...
"


25 janvier 2019 - Dans l'affaire du shutdown, capitulation "provisoire" du président. Il accepte la reprise (et le financement) des activités administratives jusqu'au 15 février, sans aucune contrepartie (pas d'argent pour le mur). Pendant ces trois semaines, Trump espère parvenir à un compromis avec les Démocrates - espère toujours, ça ne coûte rien...

Pour Pelosi et Schumer, un mur c'est immoral et inefficace. A la place, il suffit de mettre un dispositif électronique de surveillance.



"Faites-nous confiance, nous veillons à votre sécurité..."

Un peu pour faire oublier ses problèmes intérieurs, l'homme "fort" de la Maison Blanche prépare activement l'intervention "humanitaire" au Venezuela - pour la subversion et les guerres, il n'y a pas de blocage budgétaire. Trump reconnaît la marionnette locale de la CIA, Juan Guaidó, comme président par intérim du pays. Et si l'on reconnaissait Zombie Pelosi comme présidente des Etats-Unis ?...

5 février 2019 - Après sa capitulation du 25/1 (voir quelques lignes plus haut), le président est autorisé, avec une semaine de retard, à prononcer son discours devant le Parlement.

Difficile d'y trouver des éléments positifs qui ne soient pas déconnectés de la réalité. Trump tient toujours à construire son mur, c'est déjà ça, mais il sait que la chose ne risque pas d'arriver. Il s'accroche aussi à l'idée d'un retrait des troupes américaines de Syrie et d'Afghanistan... que l'Etat profond ne permettra pas - il fallait voir la mine des généraux pendant cette partie du discours.

Tout le reste n'était que menaces contre l'Iran, le Venezuela et quelques autres pays récalcitrants, répugnante glorification d'Israël, célébration de l'Holocauste®, annonces fantaisistes sur son intention d'éliminer le SIDA et le cancer, hommage aux héros d'Apollo 11 (le cinquantenaire de ce big hoax approche), jérémiades à propos des investigations contre sa personne (il ne tenait qu'à lui de les empêcher en mettant de l'ordre au sein de son gouvernement)... Tout cela en plus du cirque habituel inhérent à tout discours sur l'Etat de l'Union.

Bref, rien de nouveau. Donald Trump essaie de sauver les apparences et de tenir le plus longtemps possible jusqu'au moment où il pourra annoncer s'il compte se représenter l'an prochain...

15 février 2019 - Pour éviter un nouveau shutdown, que Trump ne peut d'ailleurs plus se permettre, les Démocrates ont voté quelques jours plus tôt un texte prévoyant un financement de 1,4 milliard de dollars pour la protection de la frontière sud. C'est en quelque sorte un petit geste de leur part, même si on est loin des six milliards réclamés par Trump (voir plus haut 12.1.19).

Profitant de cette "faiblesse" de ses adversaires, le président annonce qu'il va déclarer l'état d'urgence afin d'obtenir par d'autres moyens le reste de la somme nécessaire - à condition que les tribunaux ne s'y opposent pas...

Contrairement à ce que prétendent les merdias fake news, la proclamation de l'état d'urgence dans le but d'obtenir des moyens supplémentaires, financiers ou autres, est un phénomène plutôt banal aux USA. Comme on peut le lire dans cet article de Fox News, Trump lui-même y a eu recours à quatre reprises sans s'attirer l'hostilité de ses adversaires (il est vrai qu'il s'agissait d'affaires ne gênant pas l'Etat profond). Obama a proclamé 12 fois l'état d'urgence, Bush fils 13 fois, Clinton 17 fois, Carter 2 fois. 31 de ces "urgences" (sur 48) sont encore en vigueur aujourd'hui... et personne n'en parle.

L'urgence constatée par Trump à la frontière mexicaine est bien réelle, contrairement à beaucoup des précédentes. Elle se soldera par le prélèvement de 6 (ou peut-être 8) milliards de dollars sur le budget du Pentagone - même pas 1 % des dépenses annuelles. La somme sera d'ailleurs bien insuffisante, puisqu'elle ne couvre que 300 kilomètres de mur.

20 février 2019 - Une bonne et une mauvaise nouvelle (à vous de voir laquelle est laquelle) :



1 - Le président US lance une campagne internationale pour la "défense des droits" du lobby LGBiToQ,
ce qui sera une excellente occasion pour "isoler l'Iran" (détails).




2- Trump poursuit ses attaques contre les dirigeants européens, mais sans grand succès...


27 février 2019 - A Washington, l'ancien avocat de Trump, Michael Cohen (voir plus haut 18.1.19), se produit dans un spectacle burlesque mis en scène par les trumpophobes devant une commission parlementaire de la Chambre des Représentants. Le tout, d'une durée de sept heures, est retransmis en intégralité par CNN qui a laissé fuiter les "meilleurs" passages 24 heures plus tôt. Rien d'extraordinaire à cela puisque le merdia d'Atlanta participe activement au complot contre le président.

Pour ce qui est du contenu, c'est du réchauffé, tout a été ressassé maintes fois au cours des deux ou trois dernières années. Bien entendu, CNN aurait aimé présenter un de ses habituels "débats" où tous les participants sont du même avis. Pas encore possible pour le moment, vu qu'il y a toujours des Républicains à la Chambre et que personne ne peut les empêcher de parler. Ils ne s'en sont pas privés, exposant le vrai visage du rat Cohen, condamné pour fraude fiscale et bancaire, faux et usage de faux, mensonge sous serment, etc... La "Justice" manipulée par les ennemis de Trump, l'utilise en échange de la promesse qu'il ne fera que trois ans de prison. Le plus drôle est que Cohen, qui est condamné pour avoir menti au Parlement, sert de témoin à charge aux parlementaires qui veulent la peau de Donald.

Mais bon, tout cela ne serait pas arrivé si le patron de la Maison Blanche avait dès le départ sévi contre ses ennemis comme il l'avait promis à ses électeurs. Ne pas poursuivre Crooked Hillary et laisser se développer la chasse aux sorcières qu'il déplore tous les jours, a été une erreur fatale.



"Trump est un raciste, un tricheur et un escroc..."
déclare le menteur-tricheur-escroc Michael Cohen, condamné comme tel par les tribunaux.

("Raciste", Cohen ne peut pas l'être - par définition - puisqu'il est
juif et rescapé de l'Holocauste® de la énième génération...)

Autre flop de la journée du 27 février : le deuxième sommet Trump-Kim à Hanoï (le premier avait eu lieu le 12.6.18 à Singapour). Le président américain et ses "conseillers" de l'Etat profond pensaient que la Corée du Nord était prête à capituler sans conditions. Tout en restant soumise au régime des "sanctions" américaines, elle aurait dû renoncer à ses armes nucléaires et à ses missiles, s'ouvrant bien gentiment aux "contrôles internationaux" (également américains). Elle n'en est pas encore là... Mais Trump ne s'inquiète pas, il parle de "rencontre constructive" (?) et envisage déjà la prochaine. Affaire à suivre...

14 mars 2019 - Le Sénat, où Trump disposait d'une majorité théorique de 53 voix contre 47, vote par 59:41 contre la proclamation de l'état d'urgence à la frontière sud (voir plus haut 15.2.19).

Autrement dit, 12 des 53 sénateurs républicains censés soutenir le président lui ont fait faux bond. A la Chambre, où Trump était de toute façon minoritaire depuis les élections de novembre 2018, un vote similaire avait eu lieu un peu plus tôt, se soldant par la trahison de 13 représentants républicains. Le président a fait savoir qu'il opposerait son veto à ce double vote du Congrès, mais Chambre et Sénat peuvent revenir à la charge et annuler le veto présidentiel. Pour cela une majorité des deux tiers est requise, ce qui signifie que les trumpophobes doivent encore retourner huit sénateurs républicains. Au train où vont les choses, ça ne devrait pas être tout à fait impossible. Et dans un tel cas de figure, la destitution ne tarderait pas...

Alors que faire ?... Vite, une guerre...

17 mars 2019 - Après les attaques terroristes contre deux mosquées de Christchurch en Nouvelle-Zélande, les ennemis de Trump lui reprochent de ne pas avoir condamné le "suprémacisme blanc" qui serait à l'origine de la tuerie. L'accusation n'est pas nouvelle, elle revient régulièrement depuis l'affaire de Charlottesville il y a un an et demi (voir page précédente 12.8.17).

Les individus qui ont inventé cette expression sont eux-mêmes des suprémacistes blancs, les seuls qui existent vraiment aux USA. En fait, ils sont juifs avant d'être blancs et ne sont blancs que lorsque cela les arrange. Quand il parlent de suprémacistes blancs, ils s'excluent bien entendu de cette catégorie infamante. Diverses autres "minorités" (ethniques etc.) qu'ils influencent et manipulent se sont également emparées de la formule dans la mesure où elle leur procure des avantages ou des privilèges. Le véritable suprémaciste blanc, selon la définition politiquement correcte, est un homme à la peau claire, goy, non-pédéraste et partisan de Trump (voir plus haut 15.1.19).

21 mars 2019 - Ne pouvant pratiquement plus rien faire chez lui en matière politique, l'homme "fort" de la Maison Blanche essaie au moins de plaire à Satanyahou, son supérieur hiérarchique de Tel Aviv. Il lui offre "la reconnaissance par les Etats-Unis de la pleine souveraineté d'Israël sur le plateau du Golan", terre syrienne que l'Etat voleur juif occupe illégalement depuis 1967. Justification donnée par Trump : "Après 52 ans, il est temps..."

On espère que le gouvernement de Damas en profitera pour reconnaître la pleine souveraineté de Mexico sur la Californie, l'Arizona, le Nouveau-Mexique et le Texas, territoires volés vers 1845 à leurs légitimes propriétaires mexicains par les gringos "suprémacistes blancs" de l'époque. Après 174 ans, il est temps... Une restitution de ces territoires aux Mexicains aurait un effet doublement bénéfique : 1) les USA n'auraient plus besoin de mur à leur frontière sud - 2) ils seraient débarrassés d'un seul coup de tous les malades mentaux et autres pervers qui peuplent la Californie.

24 mars 2019 - L'inquisiteur Mueller met fin à son "enquête" sur la "collusion" de Trump avec les méchants Russes (détails) et confirme qu'il n'a trouvé aucune preuve. Rien non plus pour étayer une prétendue "entrave à la justice". Les trumpophobes fulminent de rage, racontent à qui veut les entendre que l'affaire est loin d'être close et annoncent qu'ils vont lancer leur propre "enquête" (parlementaire). "Propre", c'est évidemment une façon de parler...


LE HAMBURGER SANS VIANDE DE ROBERT MUELLER :

Where's the beef ? (Elle est où, la viande ?)
est une phrase très courante aux USA pour dire que quelque chose est vide de substance.
L'expression est tirée d'un clip publicitaire de 1984 de la chaîne Wendy's
dont les hamburgers contenaient paraît-il beaucoup plus de viande
que ceux de ses concurrents McDo et Burger King. Le slogan a été repris
pendant la campagne présidentielle de 1984 (voir ici).


29 mars 2019 - Donald Trump menace de fermer la frontière sud "la semaine prochaine" si le Mexique continue de ne rien faire contre l'invasion migratoire - voir l'article de Fox News. Ce n'est pas la première fois que le président agite pareille menace... sans prendre de mesures concrètes. Il fustige l'attitude des Démocrates et demande instamment au Congrès de modifier la loi sur l'immigration (il risque d'attendre longtemps). En fait, une nouvelle loi n'est pas nécessaire, les lois existantes suffisent... à condition de les faire appliquer.

Les autorités frontalières américaines appréhendent chaque mois environ 100.000 illégaux, tendance à la hausse (4.117 le 27 mars). Mais comme il n'y a plus de place dans les centres de détention, on relâche les gens arrêtés en leur permettant de rester aux Etats-Unis. En trois mois, l'ICE (services de l'immigration et des douanes) a laissé officiellement partir 85.000 illégaux - détails. Comme le reste n'a pas été expulsé vers le Mexique, il a dû s'évaporer dans la nature. Et là, nous ne parlons que des illégaux épinglés par les agents de l'ICE, pas de ceux qui sont passés à travers les mailles du filet percé...

Dans ces conditions, les électeurs de Trump sont en droit de lui demander : Where's the beef ? lorsqu'il est question de ses "succès" en matière de lutte contre l'immigration illégale.

4 avril 2019 - Une semaine plus tard, c'est carrément No beef !... Trump retire sa menace de fermer la frontière :


Des efforts ?... Quels efforts ?...  Les électeurs apprécieront...


7 avril 2019 - Tandis que les "caravanes" de faux réfugiés en provenance d'Amérique centrale se multiplient, on s'achemine vers les deux millions d'immigrants illégaux cette année - et il ne s'agit que de la partie visible de l'iceberg.

Donald Trump tire les conséquences de cette catastrophe et renvoie Kirstjen Nielsen, la "patronne" de la Homeland Security dont dépend l'ICE. "Lady Daca", comme l'appelle Breitbart, n'a pourtant fait ces derniers temps que ce qu'elle préconisait depuis le début - voir page précédente. Son passe-temps favori, depuis sa nomination en décembre 2017, consistait à pratiquer à grande échelle le "Catch and Release", c'est-à-dire attraper les violateurs de frontière et les relâcher aussitôt aux USA - détails.

Après le départ de Nielsen, va-t-on assister à un redressement de la situation ?... Avec des agences fédérales et une administration en grande partie aux mains de ses ennemis, les chances du président sont bien minces de réussir quoi que ce soit.

8 avril 2019 - A la demande du terroriste israélien Satanyahou, Trump place les Gardiens de la Révolution (partie intégrante de l'armée iranienne) sur sa liste des organisations terroristes. Depuis qu'il est à la Maison Blanche, c'est une constante : chaque fois qu'il piétine ou essuie un revers en politique intérieure, le président compense à l'extérieur en cédant à l'hystérie guerrière.

12 avril 2019 - Donald Trump to Democrats : Change the Laws or We're Putting More Illegals in Sanctuary Cities (Breitbart).  Trump menace d'envoyer des masses de migrants dans les villes sanctuaires gérées par les Démocrates si ceux-ci persistent à ne pas vouloir changer les lois sur l'immigration.

Difficile de faire plus loufoque dans le genre :

■  Les ressources actuelles de l'ICE (Immigration and Customs Enforcement) en hommes et en matériel ne permettent pas de contrôler la frontière mexicaine, mais Trump veut confier à cette agence une nouvelle tâche, celle de convoyer les migrants vers San Francisco, Chicago ou New York. Pour cela, il faudra utiliser des centaines voire des milliers de bus dont on ne dispose pas et qu'on devra louer avec de l'argent qu'on n'a pas. Génial...

■  Une fois arrivés à destination, les illégaux resteront bien gentiment sur place et veilleront à ne pas aller dans des villes tenues par les Républicains. Et s'ils le font quand même, on n'aura qu'à construire des murs entre les Etats rouges et les Etats bleus...

■  En 2017-2018, lorsque Trump avait la majorité dans les deux chambres du Congrès, il n'a pas pu "changer les lois". Pourquoi cela serait-il possible en 2019, maintenant que la Chambre des Représentants est dominée par les Démocrates ? Attendre que les "gauchistes" fassent quelque chose, c'est se condamner soi-même à ne rien faire.

■  Pourquoi, comme le dit l'article de Breitbart, l'impossibilité légale de détenir les clandestins plus de 20 jours, serait-elle un obstacle qu'il faudrait abolir ? Ce qu'il faut, ce n'est pas réclamer le droit de détenir les illégaux plus longtemps (en fait, on les relâche souvent beaucoup plus vite). Ce qu'il faut, c'est appliquer les lois existantes et refouler les envahisseurs par la force à l'instant même où ils violent la frontière. C'est ce qu'on appelle défendre la souveraineté nationale.

■  Les Démocrates, au lieu d'applaudir l'initiative de Donald Trump, eux qui réclament toujours plus d'immigration et même parfois la suppression de l'ICE, critiquent violemment l'homme de la Maison Blanche. Zombie Pelosi (cheftaine de l'opposition) trouve que c'est "un acte indigne d'un président".  Si Trump annonçait demain sa démission immédiate, cette cinglée continuerait quand même de protester...



C'est une honte !...


Quand je serai présidente, je ferai transporter les immigrés en train...


... ou en chariot s'il le faut.

Vite, mettons fin à ce scandale... Destituons Trump !...


14 avril 2019 - Blague yankee of ze day : depuis la Colombie (colonie états-unienne d'Amérique du Sud), Mike Pompeo, ministre américain de l'ingérence dans les Affaires étrangères, exige la démission de Nicolás Maduro, président de l'Etat souverain du Venezuela, et l'ouverture immédiate de la frontière afin de laisser passer librement les livraisons d'armes humanitaires organisées par la CIA (dont Pompélair avait été le chef avant de devenir ministre).

Un conseil à ce taré : va dire à ton patron d'ouvrir la frontière mexicaine et de dégager de la Maison Blanche. Comme ça tu feras plaisir à Zombie Pelosi, et avec un peu de chance elle te permettra de conserver ton poste à Washington après le regime change.

15 avril 2019 - A propos du rapport Mueller qui le disculpe (voir plus haut 24.3.19), Trump dit qu'il est temps d'enquêter sur les enquêteurs :



QU'EST-CE QU'IL ATTEND POUR LE FAIRE ?


Il est le chef du gouvernement. Il lui suffirait de donner l'ordre à son ministre de la Justice, William Barr, de nommer un procureur (spécial ou pas) dans ce but. Mais comme Trump a toléré en son temps la nomination de Robert Mueller pour "enquêter" sur sa personne (page précédente 18.5.17), il n'est pas étonnant qu'il ne fasse rien à présent, se contentant de "réclamer" comme s'il ne disposait lui-même d'aucune parcelle de pouvoir exécutif. Le président le plus faiblard de ces cent dernières années croit-il que les Démocrates vont l'aider à satisfaire sa revendication ? Ou qu'un volontaire au poste de procureur va se manifester spontanément et se nommer tout seul ?...

[Il y a bien eu un semblant d'enquête biaisée effectué par un trumpophobe au sujet des écoutes illégales de 2016 (voir plus bas 12.12.19 - Horowitz) mais jamais rien sur les conspirateurs du Russia Hoax et la genèse de cette conspiration.]

16 avril 2019 - Un président américain ça se fabrique à temps si l'on veut éviter une mauvaise surprise comme en novembre 2016. Bien qu'on ne sache pas encore si Trump a l'intention de se représenter, le casting des Démocrates compte déjà une vingtaine de candidats pour battre l'abominable Donald. Si l'on en croit les merdias, c'est un certain Pete Buttigieg qui a pour le moment la préférence. Il est maire de la ville (sinistrée) de South Bend dans l'Indiana (à 150 km à l'est de Chicago). C'est une sorte d'Emmanuelle Macrotte (ils ont à peu près le même âge) mais Buttigieg est encore plus pédé que le locataire du Palais de l'Enculysée. Vu qu'il est "marié" à une fiotte qui lui ressemble, sûr que les Américains vont adorer leur "First Lady" si l'Etat profond opte définitivement pour lui.

La ville de South Bend est en principe réputée pour son université catholique, bien que, par les temps qui courent, ce soit un signe infaillible de "suprémacisme blanc" (berk !). Et comme cette université porte le nom de Notre-Dame, on ne sait trop si c'est positif ou négatif. On le saura bientôt, pour l'instant il n'y a pas le feu (pardon, ça m'a échappé). Quoi qu'il en soit, l'équipe de football américain de Notre-Dame (les Fighting Irish) est une des équipes universitaires les plus prisées des Etats-Unis. Quand ils jouent, leur stade de 80.000 places (pour une ville de 100.000 habitants) est toujours plein à craquer. L'hymne des Fighting Irish remplacera-t-il l'hymne américain ?

[Le père de Pete Buttigieg, Joseph B., est professeur émérite de littérature à l'Université Notre-Dame.]


LA DERNIÈRE DES MERDIAS FAKE NEWS :

Si t'as pas de photo de Notre-Dame de Paris sous la main,
prends la cathédrale de Cologne, on n'y verra que du feu...


18 avril 2019 - Après la publication du rapport Mueller dans sa version intégrale (plus de 400 pages - voir ici) les trumpophobes et leurs merdias se déchaînent, plus encore qu'après la publication du résumé le 24.3.19.

Pour Trump, ce rapport confirme ce qu'il a toujours clamé : "No collusion, no obstruction..."  Le ministre de la Justice (Attorney General) lui donne raison au cours d'une conférence de presse :


Mais peu importe : que le rapport fasse 4 pages ou 400 ou 4000, les ennemis du président y lisent toujours exactement le contraire. Avec le filtre approprié, ça marche à tous les coups, même avec 4 lignes :


On remarquera que le rapport exonère le président, mais pas la Russie, au contraire...  On en revient donc toujours à l'argument-clé de Donald Trump, que l'on pourrait résumer ainsi : "Les Russes sont intervenus dans les élections américaines de 2016 pour me faire gagner, mais moi j'y suis pour rien..."  Complètement schizophrène ?... Oui, et alors ?... On est en Amérique...

Si Donald Trump se trouve dans une situation inextricable, c'est parce qu'il a, dès le départ, oublié deux de ses promesses électorales : 1) la réconciliation avec la Russie et 2) l'ouverture d'une enquête judiciaire sur les crimes de Clinton (voir page précédente). Un de ses "conseillers" de l'Etat profond a dû lui dire : "Attaquer votre concurrente et ménager Poutine ?... Vous ne pouvez pas faire ça, Mister President, ce serait antiaméricain..."  Et Donald ne veut en aucun cas passer pour antiaméricain. Plutôt laisser ses ennemis lui faire ce qu'il refuse de faire à Crooked Hillary malgré ses promesses...

19 avril 2019 - Depuis qu'ils ont le filtre anti-Trump (voir quelques lignes plus haut) les merdias fake news sont passés à la vitesse supérieure, pensant que c'est le bon moyen et le bon moment pour enclencher la procédure de destitution. CNN, le merdia #1, passe en boucle des "débats" hostiles au président, où tous les participants sont strictement du même avis et le répètent, le répètent, le répètent... On est submergé par un interminable tsunami de haine, de calomnies, de mensonges et de dénigrement systématique, à tel point qu'il va falloir changer le slogan de la chaîne :

  
L'ancien slogan et le nouveau (recommandé par Fox News) - traduction de 'diss'



LECTURE RAPIDE :

Pour tous ceux qui n'auraient pas envie de se farcir 440 pages de
rapport Mueller, Jerrold Nadler, président démocrate de la Commission
des Affaires judiciaires de la Chambre, explique comment gagner du temps.


20 avril 2019 - Sur le départ, l'ambassadeur de France à Washington compare Donald Trump à Louis XIV :  "Un vieux roi un peu capricieux, imprévisible et mal informé qui veut malgré tout prendre toutes les décisions..."

Ce prétendu "diplomate" français est heureux de rentrer dans son pays pour y retrouver un "président" qui, lui, ne risque pas de ressembler au Roi Soleil (même s'il se prend pour Jupiter) :


Pour Macrotte, la France n'a pas de culture
mais sa diversité enculturelle se porte bien et chacun a ses préférences
(de gauche à droite : le majeur, le poing, les cornes du diable).


24 avril 2019 - Sur ordre de Satanyahou, dont Trump est la plus solide marionnette à égalité avec Poutine (c'est là que se trouve la véritable collusion), le président américain à décrété un embargo total contre Téhéran. Cette mesure frappe non seulement l'Iran mais aussi tous ses partenaires commerciaux. A partir du 30 avril, quiconque continuera d'acheter du pétrole iranien sera "sanctionné" (c'est-à-dire puni) par Washington. Jusqu'à présent, huit pays (Chine, Taiwan, Inde, Japon, Corée du Sud, Turquie, Grèce, Italie) ont bénéficié d'une exemption temporaire, magnanimement accordée par l'Oncle Sam Donald. Dans une semaine, tout cela est terminé, la patience d'Israël a ses limites...

Sept des huit pays en question sont, à des degrés divers, des vassaux des Etats-Unis et s'empresseront d'obéir. Le huitième, la Chine, va être mis à l'épreuve. Pékin a certes déclaré que ce problème ne le concernait pas, la loi américaine n'étant valable ni en Chine ni en Iran, mais nul ne sait si les Chinois feront preuve de fermeté. Depuis quelque temps, ils auraient plutôt tendance à se laisser malmener, comme on a pu le voir avec l'affaire Huawei (plus haut) et la guerre des tarifs douaniers déclenchée par Trump. La Chine a beau être, économiquement parlant, un géant mondial ; au niveau politique c'est une puissance régionale sans stratégie cohérente. Elle n'hésite pas à trahir ses alliés pour avoir la paix ("sanctions" onusiennes contre la Corée du Nord) et a toutes les peines du monde à contrer les provocations américaines devant sa porte (mer de Chine). Va-t-elle céder face à la lex americana ? Nous le saurons très bientôt...


Mais l'Iran et la Chine ne sont pas les seuls domaines de politique extérieure où Donald Trump fait preuve d'hyperactivité pour compenser ses déboires internes. Il y a aussi le Venezuela, le Yémen et la Palestine occupée.

Contre la république bolivarienne, la guerre économique fait rage, à deux doigts de se transformer en guerre réelle. Concernant le Yémen, Trump vient d'opposer son veto à une résolution du Sénat votée par les Démocrates et un certain nombre de Républicains, exigeant la fin de l'intervention américaine dans la guerre menée depuis quatre ans sous la direction de Riyad. Une des raisons à cela est que le président américain a besoin de l'Arabie Saoudite, principal soutien du régime sioniste dans la région.

En Palestine occupée, Trump s'apprête en effet à proclamer le "deal du siècle" dont on ne connaît rien de précis pour le moment, sinon qu'il s'agit d'un "plan de paix" négocié entre Jared Kushner (gendre juif du président), David Friedman (ambassadeur juif des USA en Israël) et Jason Greenblatt (conseiller juif de la Maison Blanche pour les affaires israéliennes), le tout bien entendu supervisé par Satanyahou. Cet "accord" judéo-juif, sionistico-sioniste et israélo-israélique est donc garanti 100 % casher. Les Palestiniens, qui n'ont pas été consultés, rejettent le plan qu'on veut leur imposer et qui les privera sans doute de leurs derniers "droits". Le rôle de l'Arabie sodomite dans cette affaire est de "convaincre" Ramallah moyennant espèces sonnantes et trébuchantes.

Le dictateur égyptien Sissi, pour sa part, recrutera des pays arabes pour soutenir "l'accord du siècle"* (La Cause du Peuple). Mais comme il lui manque les milliards nécessaires pour convaincre ses interlocuteurs, il risque de tomber sur un os, à moins que ses co-dictateurs ne soient déjà convaincus (cons et vaincus, ils le sont sans le moindre doute).

* L'auteur cite les pays suivants : la Jordanie, le Maroc, les pays du Golfe, le Qatar et... l'Arabie Saoudite. Ce dernier pays n'a pas besoin d'être recruté par l'Egypte, c'est au contraire lui qui recrute.

Pour ce qui est de l'information selon laquelle Sissi est d'origine juive par sa mère, il ne s'agit nullement d'un canular - voir ici.

A ne pas manquer, en bas de l'article de La Cause du Peuple, des notes intéressantes sur Trump et Poutine, à classer dans la rubrique "Théorie du gendre".



QUESTION DU MOIS :




LE JEW YORK TIMES DÉPARTAGE LES EX ÆQUO :

Après avoir publié ce dessin "scandaleux", le merdia le plus juif de Jew York doit s'excuser.
Tiens, pourquoi donc ?... Peut-être parce que Satanyahou (à gauche) n'est pas très ressemblant ?...

En tout cas, le fils du Premier ministre israélien, Yair, proteste :
"C'est de la diffamation, fallait mettre un pitbull ou un rottweiler, pas un chien d'aveugle..."


"Ça c'est mon papa !..."



Le 29 avril 2019, deux jours après avoir fait "amende honorable",
le Jew York Times publie un nouveau cartoon pour "remplacer" le premier :

C'est un peu comme lorsque Dieudonné s'était excusé pour un sketch "antisémite"
en présentant un nouveau spectacle intitulé : Mes excuses... dans ton cul.
Inutile de dire que le recrudomètre atteint des sommets inégalés outre-Atlantique.
Et là, pour une fois, trumpophobes ou fans du président, tout le monde est d'accord...


26 avril 2019 - Parlant à Indianapolis devant la convention de la NRA (National Rifle Association, le lobby des armes individuelles), le président annonce le retrait des Etats-Unis du traité de l'ONU sur le commerce des armes (TCA, en anglais ATT - Arms Trade Treaty). Ce traité de 2012-2016 (présidence Obama) n'a jamais été ratifié par les USA. Il limite, entre autre, le commerce des armes individuelles et impose une surveillance étroite des utilisateurs contraire au deuxième amendement constitutionnel.

Donald Trump : "Sous mon administration, nous n'abdiquerons jamais notre souveraineté au profit de qui que ce soit.* Nous ne laisserons jamais des bureaucrates étrangers piétiner les libertés garanties par notre Constitution. Les Américains vivent selon la loi américaine, pas selon la loi d'autres pays..."

Exactement, et cela vaut pour l'ensemble de la planète (Iran, Chine, Europe, etc. - voir un peu plus haut 24.4.19) : tout le monde est soumis à la loi américaine, pas à celle d'autres pays...

* sauf Israël évidemment...

27 avril 2019 - Quand il ne court pas derrière Satanyahou en s'efforçant de ne pas lâcher prise (pour ne pas manquer la prochaine guerre par procura-sion), Trump part en campagne électorale : un domaine où il excelle. Aujourd'hui il est à Green Bay dans le Wisconsin (au nord de Chicago) dans une salle omnisports de 10.000 places. Avec tous les fans qu'il a encore, il pourrait même remplir le stade de football américain des Green Bay Packers (NFL, 80.000 places).

Le président annonce à son public que les Japonais vont investir 40 milliards de dollars dans l'industrie automobile américaine (c'est le Premier ministre Abe qui le lui a promis) et que les Saoudiens achètent pour 450 milliards aux USA (c'est pour cela qu'il les aime et ne fait jamais rien contre eux - voir plus haut 24.4.19).

Trump se moque de ses concurrents démocrates (pas moins de 20 candidats aux primaires). Il épingle surtout "Sleepy Joe" Biden (l'Endormi, ancien vice-président sous Obama), "Crazy Bernie" (Sanders le Dingo, dont le seul objectif est d'encaisser une prime de désistement après avoir cédé sa place à un candidat soi-disant mieux placé) et "Pocahontas" ou "Faux-cahontas" (Elizabeth Warren, qui a honte d'être blanche et raconte qu'elle a du "sang indien" dans les veines, pas trop : juste 1/1024ème - Trump dit qu'il en a plus qu'elle)...  C'est le genre de prestation qui fait la popularité du président malgré son bilan plus que modeste.


SLEEPY JOE EXPLIQUE À SES ÉLECTEURS QU'IL VA FAIRE UN...

"CNN a promis de m'aider..."


30 avril 2019 - Nouvelle tentative de putsch américain à Caracas, probablement à l'initiative du trio infernal néocon Pompeo (voir plus haut 14.4.19), Bolton (chef du Conseil d'Insécurité Na-sion-ale de la Maison Blanche), Abrams (enfoiré special présidentiel pour le Venezuela - voir ici). Trump lui-même n'est sans doute pas très chaud pour cette nouvelle guerre américaine qui se profile à l'horizon. Il laisse faire et se contente d'aboyer comme tout le monde, accusant Cuba d'avoir envoyé 10.000 soldats au Venezuela, sans compter les miliciens (Bolton, pour sa part, en a vu 300.000). Aux USA, on peut raconter n'importe quoi sur certains sujets sans que personne ne dise le contraire.

1er mai 2019 - Une guerre d'un autre genre éclate à la Chambre des Représentants de Washington. Furieux que Robert Mueller (inquisiteur spécial) et William Barr (ministre de la Justice) ne les aient pas aidés à couler le président (voir plus haut 18.4.19), les Démocrates veulent la peau du ministre (pour commencer). Ils le font donc comparaître devant leur "tribunal" (officiellement c'est la Commission des Affaires judiciaires) et le cuisinent pendant sept heures à propos du rapport Mueller. Comme la version intégrale comporte des passages noircis (pour des raisons de "sécurité"), ils exigent une version non censurée. De plus, ils veulent voir la totalité des "pièces à conviction" mentionnées dans le rapport.

Barr refuse et propose à ses adversaires d'envoyer une délégation au ministère afin de tout consulter sur place à titre confidentiel. Les Démocrates ne sont évidemment pas d'accord, puisque leur but est de nuire au président en "découvrant" des détails utilisables contre lui, même s'il n'y a rien de tel dans le rapport.

Après avoir passé toute la journée à répondre patiemment aux questions, le ministre est "prié" de revenir le lendemain. Il dit non, boycotte la séance et proteste contre les nouvelles règles concoctées par l'opposition, qui interdisent toute participation active des Républicains aux travaux de la commission. Les Démocrates menacent le ministre de la Justice de lui adresser une injonction officielle (subpoena) et, en cas de refus d'obtempérer, d'engager des poursuites judiciaires. Jerrold Nadler, président de la commission, compare Trump à un dictateur et promet un "règlement de comptes" : du jamais vu...

Bref, l'opposition traite le ministre et le président un peu comme les Etats-Unis traitent le Venezuela. Comment Trump va-t-il réagir ?...


DÉCEPTION DANS LE CAMP DÉMOCRATE :

"Comment ça, Barr n'est pas venu ?..."


8 mai 2019 - En réponse aux attaques démocrates, le président demande aux membres de son équipe d'ignorer les injonctions parlementaires qu'il juge illégales. On verra s'il est suivi... Quoi qu'il en soit, les multiples tensions internationales suscitées par ses conseillers néocons, et les guerres qui suivront peut-être, constituent pour lui un excellent paratonnerre.

Et comme l'économie américaine tourne à plein régime, Trump ne s'inquiète pas. Plus de 260.000 emplois ont été créés en avril (solde net) et le taux de chômage officiel est au plus bas depuis 50 ans. Même si les emplois en question sont souvent précaires, et même si les statistiques sont plus ou moins trafiquées, le président en tire un grand profit. Dans le passé, lorsque les conditions économiques étaient favorables, un président sortant était toujours réélu (voir Ronald Reagan ou Bill Clinton - il est vrai qu'à cette époque il n'y avait pas encore l'électro-nique électorale).

L'électeur américain s'intéresse avant tout à ce qui se passe dans son pays. Les conflits avec le reste du monde ne le concernent pas. Tant que la guerre est l'affaire de "professionnels" (armée de métier, mercenaires privés), sans recours à la conscription comme autrefois, le gouvernement peut faire ce qu'il veut. Que l'Etat profond soit belliqueux s'il en a envie, de toute façon la plupart des électeurs ne savent même pas qu'il existe un Etat profond. Ils ne voient que le président, et ce président, malgré l'hostilité continuelle des médias, fait preuvre de fermeté face aux ennemis de l'Amérique. Il est pugnace, il est tough...

A ce stade, les manigances des néocons et l'art du deal du président se complètent et se soutiennent mutuellement. Les premiers conçoivent, préparent et organisent les nouvelles guerres ; Donald Trump s'occupe des fausses négociations et des accords tordus destinés à les justifier. Le principe du deal est simple : Trump exige tout et ne concède rien ; l'adversaire, naïf, faible ou lâche (autrement il ne se prêterait pas au jeu), accepte de se laisser humilier et recule pour avoir la paix. Mais cette paix que les néocons ne veulent pas lui accorder, il ne l'obtiendra pas. Il devra tout au plus se contenter d'un sursis.

Alors qu'il suffirait, pour mettre en échec ces méthodes de gangsters, que les victimes s'entendent et coordonnent leurs actions, rien de tel ne se produira. Les Chinois (voir plus haut 24.4.19) continuent de faire comme si de rien n'était. Les Iraniens, un an après la violation par les USA de l'accord sur le nucléaire, font encore semblant d'avoir quelque chose à négocier. Les Russes, masochistes et fiers de l'être, jouent depuis longtemps un double jeu qui ne leur rapporte rien. Les Nord-Coréens, qui ont ces jours-ci repris leurs tirs balistiques, semblent avoir compris que Washington n'acceptera rien de moins que leur capitulation. Mais ils ne sont pas maîtres de leur avenir, pas plus que les Vénézuéliens ou les Syriens qui résistent encore et à qui on ne demandera même pas de conclure un deal...

Quant aux Palestiniens, figurants potentiels du plus beau de tous les deals de Donald Trump (24.4.19), mieux vaut ne pas en parler...


Traduction de quelques expressions diplomatiques couramment utilisées par Trump-Pompeo-Bolton vis-à-vis de leurs "partenaires" étrangers (liste non exhaustive) :

■  Négocions un accord = Tu la fermes et tu fais ce qu'on te demande.

■  Revenez à la table de négociation = Viens signer ta capitulation et plus vite que ça.

■  Untel menace les Etats-Unis = C'est vrai, hein, c'est l'Etat menteur juif qui nous l'a dit.

■  Toutes les options sont sur la table = Gare à tes couilles, mon pitbull est sous la table.

■   Voici mon numéro, vous pouvez m'appeler jour et nuit = Pour me dire à quelle branche vous allez vous pendre.

■  Mr. X is a fine man = C'est pour ça que je viens de lui coller de nouvelles sanctions.

■  Votre pays doit s'ouvrir sur le monde = Il doit enterrer sa souveraineté, accepter nos lois, démanteler son armée, accueillir nos bases militaires, adorer notre Saint Holocauste©, adopter nos valeurs enculturelles.


13 mai 2019 - Texas border agents say 5,500 migrants a day are illegally entering US  (Fox News).  5.500 illégaux par jour, cela correspond à 2.000.000 par an, seulement pour le Texas. Mais le Nouveau-Mexique, l'Arizona et la Californie sont également limitrophes du Mexique. Alors combien en tout ?  5.000.000 ou plus ?...

Malgré "l'état d'urgence" proclamé par Trump à la frontière sud il y a trois mois afin d'obtenir un financement de 6 ou 8 milliards pour la construction du mur (voir plus haut 15.2.19), rien ne s'est produit. Le Pentagone prend son temps et annonce qu'il "essaie de transférer 1,5 milliard depuis divers projets de défense".  Il est apparemment plus facile de débloquer des sommes 10, 20 ou 100 fois plus élevées pour financer les guerres planifiées par les néocons.

Trump ne stoppera pas l'immigration illégale, sauf à tout "légaliser" comme le veulent Soros & Cie. Et il ne construira jamais son mur, mais ça on le sait déjà depuis quelque temps.

Autre promesse électorale qui restera lettre morte : la rénovation de l'infrastructure du pays (ponts, routes, etc.). Pour y parvenir, il faudrait que l'Etat investisse massivement à la manière de Franklin Roosevelt dans les années 1930. Trump n'a jamais rien prévu de ce côté-là...

14 mai 2019 - The Tariff Issue - Paul Craig Roberts sur la question des tarifs douaniers et de la guerre commerciale avec la Chine, dont on parle beaucoup depuis quelques semaines.

Après des négociations infructueuses avec les Chinois, Pékin ayant refusé de céder sur toute la ligne sans rien recevoir en échange, les USA font passer de 10 à 25 % les droits de douane qui frappent 300 milliards de dollars de marchandises chinoises importées chaque année. La Chine prend des mesures de rétorsion, mais pour seulement 60 milliards de marchandises américaines, soit cinq fois moins, pour tenir compte du fait que le total des importations chinoises (100 milliards*) est aussi cinq fois moindre que celui des importations américaines (500 milliards*). Nul ne sait si ces augmentations vont réellement entrer en vigueur. Des annonces similaires ont été faites précédemment sans être vraiment suivies d'effet (voir page précédente 6.4.18).

* Données simplifiées. En réalité, comme on peut le voir ici (voir également ces explications), les chiffres exacts indiqués par le ministère US du Commerce pour 2018 sont respectivement de 120 et 539 milliards de dollars, soit un déficit américain de 419 milliards. Les Chinois calculent autrement et donnent des chiffres différents (respectivement 155, 478 et 323 milliards). Mais peu importe, globalement cela ne change rien.

Dans ses discours et ses tweets, Trump parle toujours de ce déficit commercial des Etats-Unis comme d'un "vol" (sic) dont la Chine se rendrait coupable. C'est évidemment stupide. Un vol (véritable) c'est par exemple lorsque les USA "confisquent" des dizaines, voire des centaines de milliards de dollars au Venezuela, à la Libye ou à l'Iran (voir ici). La Chine n'a pas "volé" ce qui est pour elle un excédent commercial. Elle l'a obtenu en exportant davantage. C'était aussi le cas des Etats-Unis autrefois, avant que les grandes entreprises américaines ne délocalisent leur production et leurs emplois... en direction de la Chine.

Comme le fait justement remarquer Paul Craig Roberts, plus de la moitié des exportations chinoises vers les USA sont en fait des exportations de firmes américaines établies en Chine pour augmenter leurs profits (Apple, Levi, Nike). Au lieu de taxer toutes les importations (ou presque), ce qui ne résoudra rien, Trump ferait mieux de s'en tenir à ce qu'il avait promis en 2016 : taxer lourdement (35 %) les réimporations de marchandises produites à l'étranger par des entreprises américaines délocalisées. Cela encouragerait fortement ces entreprises à revenir au pays (voir page précédente : D'où vient la popularité de Trump).


Encore une exportation chinoise
(via la Route de la soie - 100 % silk) :

"Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais..."

Mais bon, on sait que pour les néocons qui conseillent le président, l'enjeu est tout autre : il s'agit d'affaiblir à tout prix la Chine, le commerce n'étant qu'un prétexte. On peut donc aussi en profiter pour accuser systématiquement Pékin de "voler la propriété intellectuelle" des pauvres Américains. L'espionnage industriel existe partout et a toujours existé. Si l'on en veut aux Chinois, c'est parce qu'ils sont aussi habiles que leurs adversaires sur ce terrain. Et si, par exemple, quelqu'un essaie de voler la technologie 5G, ce n'est certainement pas Huawei (5.12.18) mais plutôt ceux qui l'accusent de faire ce qu'ils font eux-mêmes.

Ce qui nous conduit à une autre accusation antichinoise qui prétend que Pékin, avec sa Route de la soie, réduit les pays faibles en esclavage par le biais de l'endettement. Ce ne sont pas les banques américaines qui feraient une chose pareille !...  Le fait est que les maîtres du monde ne supportent pas qu'on leur fasse comcurrence de façon trop voyante....


Toujours le 14 mai, Mike Pompeo, le psychopathe que Trump à mis (ou laissé mettre) à la tête du ministère des Affaires étrangères, est à Sotchi où il "confère" avec Sergueï Lavrov, son homologue russe (disons plutôt son subordonné ou son paillasson).

Où qu'il aille, Pompeo se comporte comme en pays conquis. Cet ancien chef de la CIA parle à ses interlocuteurs sur le même ton qu'aux prisonniers de ses centres de torture de Langley ou Guantánamo Bay. Les Vénézuéliens, les Libanais, les Turcs, les Chinois et quelques autres en ont fait l'amère expérience. Le Nord-Coréen Kim, qui s'entend bien avec Donald Trump, refuse de s'asseoir à la même table que Pompeo.*

* On sait entre-temps que c'est l'arrogance et la goujaterie de Pompeo (et de son acolyte Bolton) qui ont fait échouer le deuxième sommet Trump-Kim à Hanoï (27.2.19). Les Chinois, après avoir contraint leur "protégé" de Pyongyang à faire de lourdes concessions en juin 2018 à Singapour, ont un peu lâché la bride, ayant eux-mêmes eu le "plaisir" de voir Pompeo se défouler contre eux.

A Sotchi, le fêlé du bulbe de Washington exige entre autre de Lavrov "que la Russie prenne des mesures pour prouver qu'elle s'abstiendra de toute ingérence dans les élections américaines de 2020... car les USA ne toléreront aucune immixtion..." - détails

Que fait Lavrov ?... Envoie-t-il promener ce gangster yankee ?  Lui conseille-t-il d'aller regarder dans le dictionnaire le sens du mot diplomatie ?  Réplique-t-il par une tirade bien sentie sur le "Russia Hoax" ?...  Non, rien de tout cela. Lavrov ne réagit pas, il fait comme s'il n'avait rien entendu et récite d'une voix monotone un texte insipide préparé d'avance, dans lequel il est question d'autre chose... Ce type est plus lamentable encore que son patron Poutine... Pauvre Russie...

15 mai 2019 - Donald Trump signe un décret hostile à Huawei.  "Il interdit aux réseaux américains de télécoms de se fournir en équipements auprès de sociétés étrangères jugées à risque. Une mesure ciblant d'abord la Chine et son géant des télécoms."  Comme il se soit, le taré Mike Pompeo est "en première ligne dans cette charge contre Huawei".  Pour l'entreprise chinoise, la nouvelle mesure américaine ne fera que "cantonner les Etats-Unis à des alternatives inférieures et plus coûteuses en matière de 5G".  Aïe ! la balle dans le pied...

Sur les véritables motivations de la croisade anti-Huawei, voir plus haut 5.12.18.  Et maintenant, il ne reste plus à Trump qu'à décréter des "sanctions" contre tous les pays qui continueront d'utiliser les produits de la firme chinoise...

16 mai 2019 - Dans une interview à la BBC, une certaine Theresa Payton, "experte" en cyber-sécurité, a une idée géniale pour rétablir la confiance : Huawei devrait jouer la carte de la transparence. Si j'étais à leur place, dit-elle en substance, je rendrais publics les codes sources de mes logiciels ainsi que les détails techniques concernant mon matériel. Et j'autoriserais les inspections inopinées dans toutes mes usines, locaux, bureaux, etc... (N'est-ce pas le conseil que les "experts" avaient donné à Milosevic, à Saddam et à Kadhafi ?)

Je ne suis pas expert en cyber-sécurité, mais si j'étais à la place de Mrs. Payton, je demanderais à Coca Cola de publier la formule secrète de son breuvage, et à Google, FessesBouc & Cie de révéler les détails de leurs algorithmes de recherche censure.

Mais il n'est pas impossible que le patron de Huawei écoute les conseils de "l'experte" et accepte d'être la victime "volontaire" de ce gigantesque vol de propriété intellectuelle. Que feriez-vous à sa place si la mafia kidnappait votre fille et la retenait en otage ?...  (5.12.18)

17 mai 2019 - Trump présente son projet de réforme de l'immigration...  que ses adversaires rejettent automatiquement parce qu'il est de lui, et qui connaîtra donc le même sort que la construction du mur (13.5.19). Pourtant, il n'y est pas du tout question de limiter ou de réduire l'immigration. Mais cela n'a aucune importance : si Trump proposait de laisser entrer dix millions d'étrangers par an, les démagogues démocrates (DemDems) diraient non et en réclameraient vingt millions.

Le président veut que les immigrés légaux soit admis en fonction de leurs "mérites" et qu'ils parlent un minimum d'anglais. L'enragée raciste noire Maxine Waters (voir page précédente 25.6.18) trouve que c'est "raciste".

Au passage, Trump nous apprend que chaque année, les USA permettent déjà à 1.100.000 migrants de s'installer dans le pays en tant que résidents permanents légaux. A ajouter aux 5.000.000 d'illégaux (13.5.19).  Le grand remplacement avance à pas de géant, mais les créatures de Soros trouvent qu'il est encore trop lent...

18 mai 2019 - A propos de la guerre des tarifs douaniers avec la Chine et des mesures anti-Huawei, le blog Moon of Alabama signale ici que l'interdiction qui frappe le géant chinois comporte aussi un autre volet : le gouvernement américain soumet à autorisation préalable toute vente de microprocesseurs, logiciels et autres composants par des entreprises américaines à Huawei ou à ses filiales. Ces ventes, qui représentaient un total de 11 milliards de dollars en 2018, vont donc elles aussi être interdites, sinon toutes ces mesures n'auraient aucun sens. Le déficit commercial américain vis-à-vis de la Chine devrait encore augmenter en conséquence.

Pour Huawei, il n'y aurait pas de problème, étant donné qu'ils avaient prévu la chose. Ils vont maintenant produire chez eux ce qu'ils ne peuvent plus importer des USA. Par la faute de Trump, des entreprises américaines ont donc perdu - sans doute pour toujours - un de leurs gros clients et vont devoir licencier du personnel. Pas très malin comme stratégie...


EFFET DIRECT DE LA HAUSSE DES TARIFS DOUANIERS :

Le prix de la fameuse brosse Donald Trump made in China va augmenter lui aussi.
Mais là ce n'est pas trop grave, car les acheteurs sont tous trumpophobes,
et ils paieraient même le double pour l'avoir...




LE BOYCOTT AMÉRICAIN DE HUAWEI
ET SES RÉPERCUSSIONS EN ARABIE SAOUDITE :

Les réactions vont de la totale indifférence à l'extrême frustration...


21 mai 2019 - La guerre économique que Trump a lancée contre la Chine s'aggrave de jour en jour. C'est à présent au tour de Google de couper les ponts avec Huawei en le privant d'accès à son système d'exploitation Android (détails).

C'est une mesure à double tranchant : elle frappe tout d'abord Huawei, qui va perdre des clients, puisqu'ils ne pourront plus utiliser les services du géant américain sur leurs smartphones ; mais elle touche aussi Google, qui renonce ainsi à une partie de ses revenus. On ignore encore comment réagiront les Chinois, et nul ne sait non plus où finira cette avalanche de "sanctions" et "contre-sanctions" probablement aussi néfastes pour celui qui les décrète que pour celui qui les subit. Le problème de la Chine, c'est qu'elle cherche à être plus globaliste encore que les Etats-Unis. Elle ne veut pas mettre fin à l'interdépendance commerciale, elle veut en profiter (route de la soie). Un repli sur elle-même avec des solutions purement nationales est donc exclu.

Mais Pékin dispose de moyens de pression sur les USA, comme par exemple l'accès aux terres rares dont dépend l'industrie des télécoms.

Donald Trump, tout en punissant sans arrêt le monde entier, parle toujours de négocier. Mais que peut-on négocier avec lui ?... Les Chinois savent que les Etats-Unis ne respectent pas leurs engagements et que leur signature au bas d'un accord ne vaut pas un clou...



AL TRUMPONE VOIT ROUGE :

- Retenez-moi, je vais les ratatiner ces enfoirés d'Iraniens.
- Ah non, chef, ce sont pas des Iraniens mais des Chinois.
- C'est pareil... Est-ce qu'ils ont déjà accepté mon deal ?...


23 mai 2019 - Non, les Chinois n'ont pas encore accepté son deal. Et pour aggraver leur cas, ils n'achètent plus de soja ni de maïs américain. A tel point que Trump doit de nouveau aider ses agriculteurs du Middle West au bord de la faillite. Il leur accorde 16 milliards de dollars de subventions supplémentaires (après les 12 milliards de 2018).

24 mai 2019 - Le patron de la Maison Blanche envisage une nouvelle forme de "sanctions" pour punir encore plus la Chine, coupable à ses yeux de manipuler à la baisse le cours du yuan pour stimuler ses exportations (-8 % l'année dernière). Cette accusation n'aurait de sens que si les Chinois facturaient dans leur monnaie ce qu'ils vendent aux Américains ou, puisqu'ils facturent en dollars, s'ils baissaient leurs prix de manière correspondante pour exporter davantage, ce qui n'est pas non plus le cas.

Ce que veut Al Trumpone, finalement, c'est que ses concurrents de Chinatown lui consentent un rabais de 8 % pour lui faire plaisir (8 % de 500 milliards d'exportations chinoises = 40 milliards de dollars). Comme Pékin tarde à obéir, le ministre américain du Commerce, Wilbur Ross (voir son pedigree), prépare une mesure qui consisterait à taxer lourdement (entre 100 et 200 %) "les pays qui manipulent leur monnaie", c'est-à-dire la Chine, et seulement la Chine, car tous les autres pays mentionnés dans cet article de Zero Hedge sont des alliés des USA.

On retiendra : tandis que le cours du yuan est fixé par les Chinois de manière arbitraire, celui du dollar est déterminé on ne peut plus équitablement par le marché libre... des banksters de Wall Street.

25 mai 2019 - Un juge fédéral de Californie nommé par Obama bloque le financement du mur de Donald Trump.

Mais le président va faire appel. Il ne s'inquiète pas et a bon espoir que son projet verra le jour... un jour.


LES PANNEAUX QUI VONT AVEC LE MUR SONT DÉJÀ COMMANDÉS :

"La mère Merkel m'a fait un prix..."


29 mai 2019 - Non-événement du jour à Washington : l'inquisiteur Mueller, dans l'espoir d'échapper un peu au harcèlement des Démocrates qu'il a déçus avec son rapport vaseux (voir plus haut 24.3.19), accepte de faire une déposition publique plus conforme à ce qu'ils attendaient de lui. Il confirme "ne pas avoir rassemblé de preuves d'une entente entre Moscou et l'équipe du candidat Trump" en 2016, mais ajoute : "Si nous avions eu la conviction que le président n'avait clairement pas commis de délit, nous l'aurions dit"* - voir ici.

Chacun peut interpréter cela à sa façon. Pour le président, rien n'a changé, l'affaire reste close. Pour ses ennemis, c'est le signal qu'ils peuvent lancer la procédure de destitution. Mais le camp démocrate est loin d'être unanime. Beaucoup craignent que cette histoire de fausse collusion qui n'intéresse pas grand monde, finisse par se retourner contre eux et ouvre la voie à la réélection de Trump en novembre 2020.

* Mueller n'a pas dit non plus qu'il avait la conviction que Trump n'avait pas assassiné Kennedy. Donc, on peut en déduire que...


MERCI POUR CES CLARIFICATIONS, MR. MUELLER :

"Finalement, nous ne pouvons pas conclure qu'il n'y a pas de crimes
que le président n'a pas manqué de refuser de ne pas commettre.
"


31 mai 2019 - Mauvaise nouvelle pour la Maison Blanche : comme annoncé six mois plus tôt (voir plus haut 27.11.18), General Motors ferme des usines aux Etats-Unis pour les relocaliser en Corée du Sud, et licencie des milliers de travailleurs - détails.

Pour punir son voisin du sud de ne rien faire contre l'invasion migratoire, Trump impose des droits de douane sur tous les produits en provenance du Mexique : d'abord 5 % puis 10, 15, 20 et 25, un peu plus chaque mois jusqu'au 1er octobre. Cette mesure qui touche 350 milliards de dollars d'exportations mexicaines par an, contredit le nouvel accord trilatéral USA-Mexique-Canada annoncé en octobre dernier (page précédente 1.10.18) mais jamais ratifié par le Congrès. Elle illustre aussi l'échec total du président américain en matière d'immigration. Avant de "sanctionner" le Mexique, il devrait plutôt s'en prendre à sa propre administration : l'ICE laisse passer des millions d'illégaux au lieu de les refouler à la frontière - voir plus haut 13.5.19.

2 juin 2019 - Juste avant sa visite officielle en Angleterre, Donald Trump note dans son journal (mais pas encore sur Twitter) :

Bientôt à Londres où j'aurai l'occasion de revoir Madam Queen. Elle est sympa, je l'ai déjà rencontrée l'année dernière, c'était le 12 juillet, je crois. Il paraît que la duchesse de Sussesexe ne sera pas là. Pas grave, avant-hier je ne savais même pas qui c'était. On me l'aurait demandé, j'aurais répondu que c'était la femme à George Clooney. Maintenant je sais qu'elle a dit du mal de moi, elle m'a traité de misogyne. En 2016, cette gourde a dû voter pour Crooked Hillary. Tant mieux si elle n'est pas là. Et puis d'abord, une duchesse, est-ce que ça porte une couronne ? Je n'en sais rien.

Tout ça pour dire que quand on est président, on peut fréquenter les têtes couronnées. D'ailleurs l'autre jour, à Tokyo, j'ai été reçu par l'Empereur du Japon. L'avantage de la monarchie, c'est qu'on n'a pas besoin d'être sans arrêt en tournée électorale. On n'a pas à s'inquiéter, on est élu et réélu à tous les coups. Et les merdias fake news viennent pas t'emmerder du matin au soir.

Un de couronné que je n'ai pas encore rencontré, c'est le Grand-Duc du Luxembourg. J'ai dû me contenter du Grand-Trouduc Jean-Clown Juncker, il est venu à Washington l'année dernière, le 25 juillet si j'ai bonne mémoire. Quand il est dans les parages, le mec, t'as intérêt à planquer les bonnes bouteilles. Et puis il tripote toujours tout le monde, pire que Macrotte (qui ne tripote que les hommes) et que Joe Biden (qui tripote de préférence les jeunes femmes et les petites filles).

Pour en revenir à l'Angleterre, je me suis demandé l'autre jour si un mur comme leur mur d'Hadrien ne ferait pas l'affaire à notre frontière sud. D'accord, tel qu'il est aujourd'hui, il ne risque pas d'arrêter beaucoup de Mexicains. Mais il y 19 siècles, c'était du solide et ça décourageait les barbares. Faudra que j'en parle aux responsables anglais, à commencer par BoJo. Si ça dépendait de moi, il serait déjà Premier ministre et pourrait se consacrer au Brexit.

Je fais confiance à BoJo pour deux raisons : il est juif (attesté par The Jerusalem Post) et il s'y connaît question mur.

D'ailleurs, c'est devenu une tradition en Angleterre : les Premiers ministres sont juifs. Theresa May est juif (c'est comme ça qu'on dit, Macrotte me l'a confirmé, le masculin c'est pour respecter le droit des femmes à être comme les hommes). Et le Premier ministre avant elle, David Cameron est non seulement juif mais descendant direct de Moïse.

Pour ce qui est du maire de Londres, c'est différent. Il est musulman et pakistanais, j'ai pu m'en convaincre à l'occasion de mon voyage du 12.7.18. De toute façon Londres n'est plus une ville anglaise comme dit John Cleese de Monty Python. Ils sont les seuls, avec l'Ecosse et l'Irlande du Nord, à avoir voté contre le Brexit.


3 juin 2019 - Trump arrive à Londres. Petit échange d'amabilités entre l'émir du Londonistan et le président américain :

صادق خان (Sadiq Khan) : "Trump est un fasciste [sic] auquel Londres ne devrait pas dérouler le tapis rouge..." [vachement original]

Donald Trump : "Sadiq Khan, avec son bilan lamentable en tant que maire de Londres, a été assez bête pour insulter le Président des Etats-Unis en visite officielle, de loin le plus important allié du Royaume-Uni. Sadiq Khan est un louseur complet [a stone-cold loser] qui ferait mieux de se concentrer sur la criminalité à Londres au lieu de s'en prendre à moi..." (source)

Le Pakistanais au passeport britannique se sent humilié par la reine : il n'a pas été invité au banquet de Buckingham en l'honneur de Trump.



"Quand même, on se marre bien à Londres..."




"Elle m'a demandé pourquoi je riais. Quand je lui ai expliqué, elle a ri aussi..."




"Tenez-moi bien, Madam Queen, avec ce vent j'ai l'impression que je vais m'envoler
pour aller rejoindre le louseur sadique...
"


Au cours du banquet, la reine évoque les racines britanniques (écossaises) du président, qui s'en trouve flatté. Mais il a aussi et surtout des racines allemandes.

 


Racines allemandes comme la famille royale britannique, qui prit le nom de Windsor en 1917 pour remplacer celui de Saxe-Cobourg-Gotha. Tout cela pour mieux prêcher le patriotisme au populo qu'on envoyait s'étriper dans les tranchées, alors qu'on était soi-même aussi teuton que l'ennemi héréditaire. Les dynasties royales/impériales d'Angleterre, d'Allemagne et de Russie n'en formaient qu'une en réalité ; tout le monde était un peu le cousin de tout le monde :  La Première Guerre mondiale, une histoire de famille.



Trafalgar Square : mobilisation générale des trumpophobes (bobos gauchistes, khmers verts, climato-fétichistes, LGBiToQ, pétasses
féministes, immigrationnistes inconditionnels, fanatiques anti-Brexit). Ils avaient promis 250.000 participants - on est très loin du compte...




Abbaye de Westminster : "Ne laissez pas Macrotte venir ici. Vous savez ce qu'il a fait à Notre-Dame de Paris..."


Toujours le 3 juin, protocole oblige, le président américain doit s'enfiler un exposé du Prince Charles sur le réchauffement climatique dû aux activités humaines, etc. blablabla. Depuis qu'il ne joue plus au polo, c'est devenu le passe-temps favori de ce royal charlot. Donald Trump reste poli et ne lui livre que la version édulcorée de sa pensée en espérant que le reste est connu. Qu'est-ce qu'il ne faut pas faire, quand même, quand on est l'homme le plus puissant de la planète...

4 juin 2019 - Après le faste et l'apparat (et les corvées), place au business. Trump promet aux Britanniques, pour après le Brexit, un deal comme ils n'en ont encore jamais vu. Pas tout à fait le deal du siècle (plus haut 24.4.19). Non, celui-là est réservé à ces veinards de Palestiniens, mais tout de même...  Le seul problème, c'est que personne ne sait si le Brexit aboutira. Dans ce domaine, comme dans beaucoup d'autres, Trump propose et les maîtres du monde disposent.

On croit savoir cependant que le deal proposé comporte deux aspects importants : 1) la vente aux Britanniques, sans restriction aucune, de tous les produits agricoles génétiquement modifiés dont les Chinois ne veulent plus (l'UE n'est pas très regardante mais elle n'avale pas tout, pas encore) - 2) le démantèlement complet du système britannique de santé (NHS), une aubaine pour les compagnies d'assurance des Etats-Unis (il n'y a aucune raison pour que la protection sociale soit meilleure en Angleterre qu'aux USA).

Donald Trump rencontre Nigel Farage, dont le Brexit Party nouvellement fondé vient de remporter un grand succès aux élections européennes. Boris Johnson, pour sa part, évite le président américain, invoquant d'autres obligations - détails.


5 juin 2019 - A Portsmouth (Hampshire, sud de l'Angleterre) le président américain participe à une cérémonie pour le 75ème anniversaire du débarquement de Normandie du 6 juin 1944. Une poignée de cinglés trumpophobes ont fait le voyage pour protester contre la présence de Donald le Terrible. Les organisateurs n'arrivent même pas à placer leurs pancartes dont personne ne veut. Ces pauvres nouilles en sont pour leurs frais - pas grave, c'est l'argent de Soros. Trump parle de "flop organisé". Déjà la veille, à Londres, on avait compté au maximum 10.000 manifestants (contre 250.000 annoncés).


6 juin 2019 - Après un petit détour par l'Irlande, où il est propriétaire d'un golf avec complexe hôtelier, Trump débarque en Normandie.


SI C'EST PAS MALHEUREUX...

En 75 ans, ils n'ont pas trouvé le temps de le décrocher, le pauvre...
(vu à Sainte-Mère-Eglise, dans la Manche, près de Utah Beach)




Utah Beach : c'est vieux mais ça pourra resservir quand Poutine essaiera de débarquer.

Poutine n'était d'ailleurs pas invité aux commémorations du 75ème anniversaire. Logique, puisque la Russie - l'URSS - n'a pas participé à la libération de l'Europe en 1944-45. L'Allemagne, par contre, était conviée. Même que la mère Merkel a reçu un choc en apprenant que son pays n'avait pas combattu du côté des vainqueurs.


KATASTROPHE !

"Vous voulez dire qu'on n'a pas libéré l'Europe ensemble
et qu'Auschwitz n'est pas en Normandie ?...
"

Poutine, lui, n'a pas de problème. Non seulement il n'est pas vexé que les Occidentaux ne l'aient pas invité. Il est content d'avoir échappé à une nouvelle humiliation comme en 2014. Le patron du Kremlin a fêté juin 44 comme tout le monde devrait le faire, comme tout le monde le fera sûrement bientôt : à Holococo Beach avec ses Maîtres (avec une majuscule à Maîtres pour éviter le piège antisémite).

La cérémonie s'est déroulée dans ce que les Moscovites appellent la Grande Maison de Tolérance. Signalons en passant que Poutine est un habitué de ce genre de cérémonies. En mai 2018, il avait fêté la victoire sur les nazis allemands en compagnie de son nazi juif préféré - voir ici.


Bonus :

2003 - Jay Leno, les USA, la France et la Deuxième Guerre mondiale

2007 - Guy Môquet et la Deuxième Guerre mondiale

2014 - Pourquoi de Gaulle a toujours refusé de commémorer le débarquement du 6 juin  par François Asselineau.

2019 - D-Day And The Myth Of A U.S. Victory (Moon of Alabama)  -  Traduction : Le jour J et le mythe d'une victoire étatsunienne


Les effets de plusieurs décennies de propagande mensongère :

Résultat probable en 2019 : respectivement 5, 80 et 15 %.



A Buckingham c'est encore pire :

Theresa May présente à la Reine les dirigeants
des nations alliées qui ont participé au D-Day,
parmi lesquels... Angela Merkel.
Source : la Famille Royale

Du coup, la mère Merkel ne sait plus sur quel pied danser :
"Alors quoi, Katastrophe ou pas Katastrophe ?..."




En guise de conclusion

L'AVIS D'UN EXPERT LUXEMBOURGEOIS

"Pour fêter le débarquement du 6 juin, la Manche c'est pas mal,
mais personnellement je préfère quand même le Calvados...
"


7 juin 2019 - A peine rentré à Washington, Donald Trump annonce un accord avec le Mexique sur la question frontalière. Les mesures décrétées une semaine plus tôt (voir plus haut 31.5.19) n'entreront donc pas en vigueur. Ce n'est pas la première fois que le président américain annule purement et simplement ce qu'il venait tout juste de décider (plus haut 29.3 et 4.4.19).

Nul ne sait exactement ce que contient ce nouveau deal. Selon des initiés qui désirent conserver l'anonymat, le texte serait très court, dans le genre : « Art. 1 - Tout reste comme avant.  -  Art. 2 - Dans le doute, voir l'article 1. »

9 juin 2019 - Clip vidéo du mois, que dis-je... du siècle :  Super Trump  par le Jerusalem Boys Choir.

Quand le monde tout entier contre nous est ligué
Et la Micronésie* bien seule à nos côtés,
Quand les fils d'Ismaël** attaquent notre pays,
Ne vous inquiétez pas, il prend notre parti.
Super Trump, Super Trump, Prince de Jérusalem,
Super Trump, Super Trump, ô ciel comme il nous aime !
Chantons Alléluia, grande Cité de Sion,
Pour notre Seigneur D. il se bat comme un lion.


* un des rares soutiens d'Israël à l'ONU     ** les méchants Zarabes


Donald Trump Number One au hit parade israélien, cote de popularité 99%, réélu les doigts dans le nez en 2020, 2024, 2028 et jusqu'à la fin des temps.


SUPER TRUMP


Mike Pompeo, le chef de la "diplomatie" américaine, a eu l'occasion de voir la vidéo israélienne et félicite son patron. Il en profite pour lui signaler que lui aussi, Pompeo, est bien vu à l'étranger. On lui rend hommage un peu partout... enfin presque. A Jersey, pas le New Jersey mais Jersey tout court ou Jèrri près des côtes normandes (encore elles), on l'appelle amicalement MINUS POMPE DE HAUT. Il a même une rue à son nom à Saint-Hélier (Saint Hélyi), la capitale. C'est peut-être pas aussi cool qu'un clip musical, mais quand même...



Le saviez-vous ? (1)
"Jèrri est eune dépendance d'la Couronne tchi n'est pon partie
du Rouoyaume Unni ni d'l'Unnion Ûropéenne nitout.
"
(Source : Viqùipédie en jèrriais)

Autrement dit, le patron de Pompe-de-Haut n'a même pas besoin
de leur prêcher le Brexit (ni le Jexit nitout) : bien pratique...



Le saviez-vous ? (2)
Jersey, occupé par les nazis comme toute la Normandie, n'a pas été libéré en juin 1944
mais seulement un an plus tard, après la capitulation allemande - voir ici.



13 juin 2019 - Comme bien souvent depuis qu'il est à la Maison Blanche, Trump joue la carte de l'escalade belliciste (cette fois contre l'Iran) dans l'espoir vain d'échapper aux attaques de plus en plus sauvages de ses ennemis de l'intérieur.

Dans le "dossier" iranien, le président donne carte blanche à son néocon de proximité, Pompeo-Pompe-de-Haut (voir quelques lignes plus haut), et à l'acolyte de celui-ci, Bolton la moustache. Avec ces deux-là, Israël n'a pas de soucis à se faire.

A l'intérieur, les Démocrates utilisent à présent contre Donald Trump et sa conseillère Kellyanne Conway (voir page précédente) l'arme du United States Office of Special Counsel, une agence fédérale d'investigation faisant partie du gouvernement. Trump, en tant que chef du gouvernement, est non seulement au-dessus de cette agence, mais il en a nommé le patron (trumpophobe) Henry Kerner - une décision à peu près aussi judicieuse que celle qui avait consisté à nommer (ou laisser nommer) l'inquisiteur Robert Mueller.

On accuse Trump d'avoir déclaré publiquement qu'il accepterait volontiers du "matériel" fourni par "des puissances étrangères" pour nuire à ses ennemis (c'est la "collusion avec la Russie" qui revient au galop). Et à sa conseillère Kellyanne Conway, on reproche d'avoir violé une loi de 1939 (Hatch Act) en tenant des propos politiques désobligeants pour ses adversaires (alors qu'elle est payée pour ça et que la loi en question n'a pas été faite pour le personnel politique du président mais pour les fonctionnaires soumis à l'obligation de réserve).  Bref, on est en plein délire... d'autant plus que les autres attaques contre Trump et ses collaborateurs se multiplient : injonctions, rejets par le président en vertu de son privilège exécutif, recours aux tribunaux, etc.

Inutile de préciser que si la haine de Trump est immense dans le camp démocrate, la haine de l'Iran ne l'est pas moins...



HUMOUR JUIF OU CHUTZPAH ?

Après que Trump ait accusé l'Iran, le grand merdia fake news
de Jew York trouve que le président "a un problème de crédibilité".

Ils attaquent Trump parce que c'est Trump, pas pour ce qu'il dit sur l'Iran.
Là, ils sont du même avis que lui. Un de leurs éditorialistes appelle même à
"couler les navires des pirates de Téhéran si l'Iran ne change pas de comportement" :

Par convic-sion ou par solidarité communautaire, le merdia new-yorkais
a toujours soutenu à fond les guerres voulues par l'Etat terroriste juif.


Pour les membres démocrates du lobby innommable, il importe peu que le président soit aussi pro-israélien et anti-iranien qu'eux-mêmes. Quoi qu'il fasse, quoi qu'il dise, ils seront toujours contre lui. Dernier exemple en date : Adam Schiff, repésentant démocrate (juif) de Californie, déclare sans rire : "Trump a tellement isolé les Etats-Unis dans le monde, que nos alliés ne veulent pas se joindre à nous pour répondre militairement aux attaques de l'Iran." [sic]

16 juin 2019 - Bonne nouvelle pour le président américain : pour le remercier d'avoir reconnu l'annexion par Israël du Golan syrien occupé (voir plus haut 21.3.19), son patron Satanyahou inaugure là-bas une nouvelle colonie juive portant le nom de "Trump Heights" (Colline Trump) - détails.

Evidemment, "Super Trump Heights" (comme dans la chanson - voir 9.6.19) aurait été préférable, mais on ne peut pas tout avoir. Et puis, si jamais les trumpophobes américains parviennent à destituer Donald et menacent de le jeter en prison, il saura au moins où aller...



La moindre des choses pour Trump serait maintenant de reconnaître la souveraineté
israélienne sur la ville de Damas (qui n'est qu'à 60 km de Trump Heights).


18 juin 2019 - Depuis Orlando (Floride) le général Trump lance son appel du 18 juin. C'est le coup d'envoi officiel de sa campagne pour novembre 2020. Son slogan a changé : ce n'est plus "Make America Great Again" (Redonner sa grandeur à l'Amérique) mais, puisque l'Amérique est de nouveau "great" (grâce à Trump), "Keep America Great" (Conserver sa grandeur à l'Amérique). C'est le signe que son programme de 2016 a été réalisé - génial, non ?... Espérons que les Chinois vont lui fabriquer quelques dizaines de millions de casquettes avec le nouveau slogan. Elles seront plus chères que les anciennes (MAGA) à cause des récents tarifs douaniers, mais ce n'est pas ça qui va décourager ses fans, en tout cas pas les 20 ou 25.000 qui ont pu trouver place dans l'arène omnisports de l'Amway Center (où jouent les basketteurs d'Orlando Magic), ni tous ceux qui ont dû rester dehors faute de place.

Donald Trump lance sa campagne pour sa réélection  (L'Express)

Trump Launches 2020 Re-Election Campaign  (Breitbart)


A part "MAGA", les slogans électoraux sont les mêmes qu'en 2016*, notamment celui qui promet le bouclage de la frontière sud et l'expulsion de millions d'illégaux (les vieilles blagues sont les meilleures). Mais Trump ajoute : "Nous avons renoué le lien d'amitié avec notre cher allié, l'Etat d'Israël..."  (Ah bon, parce que ce lien avait été rompu sous Obama et Bush ?...)  Et 25.000 personnes l'applaudissent...

Ce n'est pas que les 24 concurrents démocrates de Trump soient très différents. Ils veulent eux aussi (presque tous) la guerre par procura-sion contre l'Iran... à condition que le prétexte avancé soit plausible. Au train où vont les choses, cette guerre risque de devenir une réalité bien avant la prochaine élection. Et si les Iraniens se défendent pour de bon (ce qui n'est pas du tout certain), les 25.000 inconscients d'Orlando pourraient bientôt se revoir dans la même arène, où Trump leur poserait la question qu'un autre avait posée jadis au Palais des Sports de Berlin : Voulez-vous la guerre totale ? - Wollt Ihr den totalen Krieg ?  (vidéo - 1 mn).

* Sans oublier les promesses fantaisistes, pas nouvelles elles non plus. Pourquoi se contenter de la Lune quand on peut promettre la planète Mars (déjà fait le 18.6.18 - page précédente) ou encore éradiquer le cancer et le SIDA (voir plus haut 5.2.19).  Joe Biden, pour sa part, ne va éliminer que le cancer - source.



21 juin 2019 - Les démêlés guerriers de Donald Trump avec l'Iran (voir ici) n'entament pas l'optimisme de ses partisans.


VOYAGE VERS LE FUTUR :


Poussé par ses conseillers néocons (Pompeo, Bolton et quelques autres) à faire "ce qui est bon pour Israël", et freiné seulement par sa conscience dans les courts moments où ils le laissent en paix, le président a-t-il une chance de s'en sortir ?... Sa tactique habituelle (menacer, insulter, humilier, punir... et espérer que l'adversaire va capituler avant qu'il ne soit nécessaire de lancer une guerre sans retour), cette tactique ne fonctionne plus. Trump redoute de passer pour un dégonflé, mais il ne veut pas non plus être celui qui aura déclenché la Troisième Guerre mondiale. Avec un bon gros false flag comme on les enseigne à l'Académie du Mossad, quelque chose de beaucoup plus fignolé que les provocations de ces derniers temps, les néocons finiront certainement par venir à bout de ce ridicule dilemme présidentiel.

24 juin 2019 - En attendant, Trump doit donner des gages à ses maîtres pour compenser ses coupables hésitations. Comme il n'a pas encore fait bombarder l'Iran, il explique que la chose n'a pas été annulée mais seulement reportée. Il se vante aussi d'avoir ordonné des attaques informatiques contre l'armée iranienne (rien de nouveau, il y en a tous les jours, avec ou sans ordre de la Maison Blanche). Enfin, il décrète de nouvelles sanc-sion-s, cette fois contre le "guide suprême" de la République islamique et d'autres dirigeants iraniens, dont le ministre des Affaires étrangères Javad Zarif, qui a publiquement humilié les USA dans l'affaire du drone espion abattu (voir ici).

Il est peu probable que cet "overkill" punitif ait un quelconque effet pratique, étant donné que les personnes visées n'ont pas de biens aux Etats-Unis et ne jouent jamais au golf en Floride. Mais bon, c'est l'intention qui compte. A en juger par la taille de la signature présidentielle apposée sur le décret, Satanyahou devrait être satisfait... du moins jusqu'à la fin de la semaine.






SUPER TRUMP SUPER SIONISTE - LE GUERRIER LE PLUS REDOUTABLE DE LA PLANÈTE :
 

Rappelons que Trump n'a jamais vu aucune guerre de près (lire l'article de Wikipédia), préférant se planquer à l'époque du Viêt-Nam, moins par pacifisme que par lâcheté. Mais il est prêt le cas échéant à sacrifier la vie des autres pour le bien d'Israël...

On peut d'ailleurs en dire autant - plus ou moins - de trois de ses prédécesseurs : Obama, Bush fils, Clinton...  Plus généralement, le problème des Américains, c'est qu'ils n'ont jamais connu la guerre chez eux. Leurs villes et leurs villages n'ont jamais été détruits, ni même menacés, depuis la fin de la Guerre de Sécession (1865). Et encore, les destructions de cette guerre-là n'ont pas été causées par des envahisseurs étrangers mais... par les Américains eux-mêmes. Pour compenser ce manque dont ils semblent souffrir, ils s'inventent à tout bout de champ des "dangers" terroristes et autres "menaces" nucléaires - alors que le terrorisme (11 septembre compris) et le danger atomique émanent avant tout de leur propre pays...



GAME OF DRONES - POLÉMIQUE AU SUJET DE L'ÉPISODE FINAL :

Quelle version choisir quand on veut rester fidèle à soi-même sans décevoir ses fans néocons ?...


27 juin 2019 - Le problème de l'immigration illégale incontrôlée et la crise à la frontière sud prennent des proportions de plus en plus inquiétantes, à l'exact opposé de ce que Trump avait promis (ou cru pouvoir promettre) :

■  L'ICE ne contrôle rien, en grande partie parce que ses dirigeants travaillent contre Trump. Le chef de la CBP (Customs and Border Protection - une subdivision de l'ICE) démissionne pour "protester" contre une situation intenable... qu'il a lui-même contribué à créer.

■  Une gigantesque campagne est en cours (merci Mr. Soros) pour dénoncer la caractère inhumain de cette frontière. On fait venir des centaines de milliers de migrants avec leurs enfants (ou avec des enfants qui ne sont pas les leurs), on mobilise les merdias anti-Trump pour qu'ils fassent des reportages larmoyants qu'on diffusera en boucle. Au besoin, on reprend les méthodes qui ont fonctionné contre la Syrie (utilisation de mannequins et mise en scène médiatique) :

 
A gauche : 2015 - petit "réfugié syrien" en plastique "découvert" sur une plage de l'île de Kos, en Grèce (victime d'Assad).
A droite : 2019 - "réfugiés" mexicains ou salvadoriens en plastique "retrouvés" au bord du Rio Grande (victimes de Trump).
(détails)

■  Les victimes de Donald le Terrible sont surtout des-enfants-qu'on-a-séparés-de-leurs-familles, comme l'année dernière à la même époque (voir page précédente 18-21 juin 2018). A moins d'être complètement desséché par la canicule, impossible de ne pas verser quelques larmes à la pensée de ces pauvres petits (et de leurs hamsters).

■  Dans ce contexte, le Congrès débloque 4,6 milliards de dollars - pas pour financer la construction du mur mais pour accueillir les migrants, qui reçoivent déjà des dizaines de milliards hors budget pour couvrir leurs "besoins", notamment en matière de logement, d'éducation et de santé. Et contrairement à la grande masse des citoyens américains, les illégaux bénéficient des soins médicaux gratuits.

■  Certaines villes sanctuaires leur délivrent gracieusement des permis de conduire (aux USA, la pièce d'identité de base) et les inscrivent sur les listes électorales. Déjà par le passé, des millions d'étrangers illégaux ont participé aux élections et voté, cela va de soi, pour les Démocrates qui les accueillent à bras ouverts. En novembre 2020, tous les records de fraude seront battus, ce qui devrait permettre de se débarrasser de Trump.

Ne pouvant plus rien obtenir dans ce domaine de politique intérieure, le président va se rattraper au G20, où les règles sont différentes. Là, tout le monde se tient tranquille et s'abstient de répliquer quand Trump attaque ou revendique. Et il a le pouvoir de "sanctionner" les récalcitrants, ce qui est impossible chez lui.

28 juin 2019 - G20 d'Osaka (Japon). Avant même l'ouverture du sommet, Trump distribue les coups de trique, et à de rares exceptions près (comme l'Arabie Saoudite, son chouchou), presque tout le monde y passe. Les Européens de toute façon (ce poivrot de Juncker est toujours là mais plus pour longtemps), le Royaume-Uni (la mère Theresa est présente elle aussi bien qu'elle ne soit plus rien depuis le 7 juin), la Turquie (qui achète des armes russes), la Russie (qui s'ingère dans les élections américaines pour faire gagner Trump contre son gré), la Chine (qui refuse de comprendre que les USA sont Number One), l'Inde (qui a le culot de taxer les exportations américaines sous prétexte que les Etats-Unis taxent les siennes), le Japon (qui commerce encore avec l'Iran), le Brésil (qui vend ses produits agricoles aux Chinois tandis que ceux-ci boycottent les produits américains), etc. etc...

Les guignols de l'UE essaient de faire dire au chef de la Maison Blanche qu'il partage leurs "inquiétudes" et leurs "convictions" en matière de climat. Ces cons-là profitent de la canicule pour tout mettre sur le dos du CO2. Six semaines plus tôt, quand l'Europe grelottait en plein mois de mai, ils étaient tous aux abonnés absents. Pour eux, quand il fait chaud, même en été, c'est le climat ; et quand il fait froid, c'est la météo. On se demande s'ils font semblant ou s'ils croient vraiment que c'est le gaz carbonique qui attire les masses d'air chaud en provenance du Sahara.

Mais bon, Trump en a vu d'autres. Début juin, il a même dû écouter jusqu'au bout - sans s'énerver - un laïus du Prince Charles sur la question (voir plus haut 3.6.19). C'est dire s'il est immunisé... Et puis, plusieurs pays du G20 (Brésil, Australie, Turquie, Arabie...) commencent à se lasser de la dictature idéologique climatiste. Les simagrées de Macrotte n'y changeront rien, pas plus que la détermination de Jean-Clown Juncker quand il entonne l'hymne luxembourgeois :

Le pinard c'est de la vinasse   ♫
Ça réchauffe par ousse que ça passe,
Vas-y Donald, remplis mon quart,
Vive le pinard, vive le pinard.

Erdoğan, plutôt opposé au dogme réchauffiste, reconnaît que Junckie a une belle voix et que le pinard a ses mérites, pas seulement sous forme liquide.  Mais ce n'est pas ça qui va le faire changer d'avis - à moins bien sûr que quelques milliards de subventions...

Dans l'ensemble, tout le monde est satisfait des résultats de l'inutile G20. Comme d'habitude, chacun y trouve ce qu'il veut y trouver. En cherchant bien, on peut même découvrir une quenelle saoudienne.



30 juin 2019 - Visite du président américain à Séoul. C'est un grand succès pour lui, car il a obtenu que les Sud-Coréens augmentent leur participation aux frais d'occupation et de "protection" de leur pays par les USA. Al Trumpone rêve d'étendre ce racket lucratif à la Corée du Nord. Avec cette idée en tête, il annonce son intention de rencontrer Kim sur la ligne de démarcation entre les deux Corées. Le seul problème semble être la présence des voyous néocons Pompeo et Bolton (voir plus haut 14.5.19).

Quelques heures plus tard, problème résolu : la troisième rencontre Trump-Kim, après celles de Singapour (page précédente 12.6.18) et de Hanoï (plus haut 27.2.19), a lieu dans la zone démilitarisée à cheval sur les deux Etats. Pour la toute première fois, un président américain en exercice pose le pied sur le sol de la Corée du Nord, même s'il ne s'éloigne que de quelques dizaines de mètres de la frontière. Cette rencontre à la fois symbolique et historique, n'a été rendue possible si rapidement que parce que Trump a pris lui-même les choses en main sans en confier la préparation au duo saboteur Pompeo-Bolton.

Mais bien entendu, tout cela va changer dès qu'il s'agira de négocier les détails du "deal".


 


2 juillet 2019 - Nouveau décret présidentiel avec une signature grande comme ça. Les Démocrates, unanimes, condamnent ce qu'ils appellent "une réaction infantile" à l'éclipse totale de soleil observée aujourd'hui au Chili.

Tweet de Donald Trump : "A deux jours de notre fête nationale, le Chili nous a volé notre éclipse, alors que nous dépensons des dizaines de milliards pour assurer la survie de ce pays ingrat. Sans nous, il ne pourrait tenir en place plus de vingt-quatre heures, et encore moins en équilibre, avec ses 4.300 km de long (qui correspondent à 43.000 terrains de foot) pour seulement 180 km de large...  J'ai donc décidé, en accord avec Pompeo et Bolton, de leur imposer de graves sanctions (les détails seront communiqués plus tard) et de bombarder leur capitale (comment s'appelle-t-elle déjà ?) afin de les ramener à la table de négociation..."

3 juillet 2019 - La campagne pour le "Triple I" (immigration illégale illimitée) continue de plus belle avec une mention spéciale, très spéciale, pour les "camps de concentration" de Donald Trump à la frontière mexicaine. Au début, on se contentait de parler de cages (page précédente 18-21 juin 2018), cages d'ailleurs construites sous le règne d'Obama. Et puis, une certaine Alexandria Ocasio-Cortez (AOC), représentante démocrate d'origine portoricaine de l'Etat de New York, a osé utiliser ce terme interdit en dehors de son contexte holocaustique.

Les protestations n'ont pas tardé, l'accusant de violer le dogme de l'unicité de la souffrance juive. Toute autre qu'AOC aurait immédiatement fait marche arrière et se serait excusée avant de donner sa démission. Oui mais voilà, bien que n'étant qu'une vulgaire goy (ou goye, ou goyette, ou goyasse), elle jouit quand même du soutien de qui de droit. Et puisque AOC se traduit ici par "Appel-à-Sion d'Origine Contrôlée", elle persiste et signe en toute impunité. Mieux encore, tous les trumpophobes adoptent à leur tour l'expression "camps de concentration". Il n'est pas encore question de chambres à gaz, mais c'est tout juste... Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour emmerder Donald Trump...

4 juillet 2019 - Pour la toute première fois, une parade militaire est organisée dans la capitale américaine à l'occasion de la fête nationale. C'est Macrotte qui en a donné l'idée à Trump deux ans plus tôt (page précédente 14.7.17). Et Trump adore tout ce qui est nouveau et n'engage à rien. Le camp démocrate proteste, cela va de soi, estimant que c'est un gaspillage de précieuses ressources et que tous ces chars, ces avions et ces troupes d'élite seraient bien plus utiles à Damas ou à Téhéran.


  

  



Les trumpophobes se consolent en disant que le public
a massivement boudé ce ridicule Trump Show.



Depuis l'inauguration du 20.1.17 (page précédente)
ils savent faire parler les photos... prises au bon moment.


7-10 juillet 2019 - L'ambassadeur britannique à Washington insulte le président américain dans un "câble diplomatique" (sic) adressé au ministère des Affaires étrangères de Londres et fuité par on ne sait trop qui. Sir Kim Darroch (c'est son nom, mais il n'est pas coréen) y présente Trump comme un homme "inepte, instable et incompétent". Les merdias nous "expliquent" que c'est le rôle d'un ambassadeur de fournir des "analyses confidentielles" (sic) sur la vie politique de son pays hôte, et que divulguer ces analyses est un "crime" même quand elles sont déjà contenues depuis au moins trois ans dans toutes les poubelles et toutes les latrines de la BBC. Autant dire que le bourreau de la Tour de Londres va avoir du travail dans les semaines qui viennent.

Trump est prompt à réagir, déclarant qu'il ne veut plus avoir aucun contact avec ce "diplomate" anglais - situation assez gênante pour un diplomate, du moins pour un vrai. Pour commencer, l'invitation de Darroch à un dîner à la Maison Blanche en l'honneur de l'émir du Qatar est annulée. En prime, Sir Kim se voit attester qu'il est "incroyablement stupide et délirant", ce qui est encore bien en dessous de la vérité si l'on en croit cet article. Des gens qui ont eu l'occasion de côtoyer l'ambassadeur ou de travailler pour lui (les pauvres), le qualifient de "laddish" (macho, brutal et vulgaire).

Finalement, Darroch prend les devants et démissionne. Trump aimerait voir Nigel Farage comme ambassadeur britannique à Washington, avec à Londres un gouvernement Boris Johnson qui mettrait immédiatement en œuvre le Brexit. Il y a de fortes chances pour que tout cela reste un rêve...

12 juillet 2019 - On parle beaucoup ces derniers temps de Jeffrey Epstein, un milliardaire juif condamné en 2008 à une peine légère pour pédophilie. Il organisait des partouzes dans sa propriété des Iles Vierges américaines (Petites Antilles), auxquelles participaient de nombreuses personnalités proches du clan Clinton. Le transport depuis Washington était assuré par le "Lolita Express", un jet privé du milliardaire, avec transfert vers son île de Little St. James ("Pedo Island" ou encore "Orgy Island" comme disent les gens du pays).

C'est à un certain Alexander Acosta (aucun rapport connu avec le pressetitué Jim Acosta de CNN) qu'Epstein doit sa condamnation légère (13 mois de prison en Floride avec des sorties fréquentes et régulières). Acosta était alors procureur général de Floride. Plus tard, en 2017, il est devenu ministre du Travail de Donald Trump. En juillet 2019, l'affaire Epstein, qui sommeillait depuis une dizaine d'années, a brusquement rebondi pour des raisons obscures, et le milliardaire prédateur a de nouveau été arrêté. Acosta, accusé de complaisance, a dû démissionner. Mais, au-delà d'Acosta, c'est le président qu'on voulait frapper, avec au moins deux "arguments" : 1) il a donné un portefeuille ministériel à un homme pour ainsi dire "complice" de pédophilie - 2) il a lui-même séjourné à "Orgy Island" à l'invitation d'Epstein, pas des douzaines de fois comme Bill Clinton, mais quand même...

Le plus drôle, c'est qu'avant l'élection de 2016, cette histoire de "Lolita Express" était considérée par les merdias comme une "théorie conspirationniste" au même titre que le Pizzagate, cet autre scandale pédo-politique centré, lui, sur Washington.  Trois ans plus tard, Pizzagate est toujours une "théorie du complot", tandis que "Lolita Express" ne peut plus être nié, même si ce nom est rarement employé. Mais au lieu de faire le rapprochement avec les Clinton, les merdias y associent Donald Trump - comment pourrait-il en être autrement ?...

On peut évidemment se demander, pourquoi le sioniste Epstein a subitement été lâché par les siens et jeté en pâture au public. Peut-être a-t-il fait ce qu'il ne fallait pas, comme en son temps le richissime escroc juif Robert Maxwell "suicidé" par le Mossad en 1991. Chose curieuse, la fille de Maxwell, Ghislaine M., est étroitement mêlée aux partouzes d'Epstein. On l'appelle la "Madam", c'est-à-dire le mère maquerelle pourvoyeuse de "chair fraîche".

Il ne fait aucun doute que tout ce qui se passait à "Pedo Island" était suivi de près par les agents du Mossad, et que leurs vidéos (qu'on ne verra jamais sur YouTube) ont servi, servent ou serviront à mettre au pas plus d'un politicien. Ce qui n'est pas encore tout à fait clair, c'est le rôle exact de Donald Trump dans cette affaire (avant 2015-16 il s'entendait bien avec les Clinton) et de quelle manière tout cela va être utilisé contre lui. On ne serait pas étonné d'apprendre qu'Epstein, pour obtenir une réduction de peine, accuse le président d'avoir violé une douzaine de gamines.

Résumé global de l'Affaire Epstein  par Philip Giraldi.

[Le 10 août 2019 (voir plus bas),  Epstein "se suicide" dans sa cellule.]

15 juillet 2019 - Depuis le premier jour, Donald Trump doit faire face à une meute de chiennes enragées qui le harcèlent sans interruption et aboient dix fois plus fort lorsqu'il a le malheur de se défendre - et il se défend aussi souvent qu'il le peut. Ces derniers temps, c'est une certaine Ilhan Omar qui mène la danse.

Cette femme de 37 ans, musulmane, née en Somalie, immigrée aux Etats-unis à l'âge de 12 ans avec ses parents sans le sou, a non seulement pu faire des études supérieures (dans un pays où les jeunes doivent s'endetter à vie pour y parvenir) ; elle a aussi fait une "brillante" carrière politique, d'abord comme députée à la législature du Minnesota, puis comme représentante de cet Etat à la Chambre de Washington. Quand on sait ce que coûte une telle campagne électorale (cent fois plus que des études) et à quel point il faut être accepté(e) par l'innommable lobby, on est en droit de se poser quelques questions. D'autant plus que Madame Omar se permet des écarts en soi positifs mais absolument prohibés en temps normal (critique d'Israël, opposition à la guerre du Yémen).

Si elle a été sélectionnée au casting des maîtres de l'Amérique, ce n'est pas pour l'élégance de son foulard islamique, ni même parce qu'elle fait la promotion de la supercherie climato-réchauffiste (dans l'Etat le plus froid des USA) ou qu'elle défend l'idéologie LGBiToQ (qu'elle aille le faire en Somalie et elle verra le résultat). Non, mais elle incarne au mieux la stratégie sioniste du 21ème siècle : choc des civilisations, des religions, des races et des couleurs de peau, le tout dans l'intérêt bien compris des suprémacistes juifs. Et elle symbolise à la perfection le Grand Remplacement qui progresse à pas de géant...

Naturellement, quand Trump réagit, les intéressées et les merdias qui les soutiennent l'attaquent de plus belle sans trop s'étendre sur ce qu'il a vraiment dit - on risquerait de lui donner raison. (La Presse de Montréal est encore relativement objective.)


OMAR M'A EMMERDER :

Même si Ilhan Omar est visée en premier lieu, les autres élues "progressistes" (nées aux USA mais pas très différentes) se sont tout de suite reconnues. Parmi elles la Portoricaine Alexandria Ocasio-Cortez (voir plus haut 3.7.19) et la Palestinienne Rashida Tlaib (4.1.19).  Aucune d'elles n'est candidate à la présidence 2020 : tiens, pourquoi pas ?...  Pour Ihlan Omar, ce serait certes un peu plus compliqué que pour les autres puisqu'elle est née en Somalie et que la naissance sur le territoire américain est une condition nécessaire. Mais bon, on a vu avec Obama que ce n'était pas un problème : juste un acte de naissance à bidouiller. Si le lobby présente Ihlan Omar en 2024, il n'aura qu'à dire qu'elle est née aux USA (Omar du Maine) après avoir effacé toute trace en ligne avec l'aide de Google, FessesBouc et Cie. Bien sûr, il restera toujours des conspirationnistes pour prétendre qu'Omar est née en Somalie, mais grâce aux nouvelles lois "anti"-fake news, personne ne les entendra.


POUR CELLES QUI N'AURAIENT PAS COMPRIS :


Petit bonus pour bien rigoler : Jonathan Greenblatt, le patron de la Ligue "anti"-diffamation ADL (voir ici sa photo recto verso verso-rectale) accuse Donald Trump de se servir des Juifs comme d'un bouclier. Le président avait en effet reproché à Ihlan Omar ses critiques (évidemment "antisémites") de l'Etat d'Israël. Comme quoi, même le plus judéolâtre des judéophiles n'est jamais à l'abri.

Oubliez les clips musicaux israéliens (7.6.19), oubliez les Trump Heights du Golan (16.6.19), Trump est un sale antisémite et le restera toujours. Et il l'aurait été tout autant s'il avait omis de mentionner "l'antisémitisme" d'Omar. Eh oui, voilà ce qui arrive quand on en fait trop pour plaire à ses maîtres. Cela dit, Donald peut toujours essayer de se faire pardonner en léchant consciencieusement pendant 24 heures la photo de Greenblatt. Mais il le fait sans doute déjà sans qu'on le lui demande...


16 juillet 2019 - Hystérie totale à la Chambre des Représentants. Avec le soutien de quatre transfuges républicains, la majorité démocrate condamne (par 240 voix contre 187) le "racisme" des tweets de Donald Trump. Pour mesurer la stupidité de l'accusation, il suffit de relire les messages incriminés :


 

Selon la nouvelle définition, est "raciste" quiconque refuse de voir partout et de dénoncer en permanence le "suprémacisme blanc" (pas celui des Juifs évidemment). Le racisme autre que blanc n'existe pas, en parler c'est déjà du "racisme". Penser qu'il puisse exister un racisme anti-Blancs est en soi extrêmement "raciste".

En s'alignant sur cette idéologie suicidaire, les dirigeants démocrates blancs jouent un jeu dangereux, le plus souvent par pure trumpophobie. On le voit clairement avec Nancy Pelosi (présidente de la Chambre), qui est tiraillée entre le désir d'exaucer les vœux du trio infernal Omar-AOC-Tlaib* et la crainte de perdre les prochaines élections (dans la mesure où elles ne sont pas courues d'avance).

* A ces trois mousqueteuses, les merdias en ajoutent une quatrième : Ayanna Pressley, représentante noire du Massachusetts. Elles forment ce que les trumpophobes appellent "The Squad" (l'Escouade, disons plutôt la Bande des Quatre). Quoi qu'il en soit, tout cela est parfaitement organisé, merdiatisé et bien sûr financé.

Sur la défensive, Donald Trump s'accroche désespérément à Israël, ce qui ne lui sert pas à grand-chose en la circonstance (voir un peu plus haut).

17 juillet 2019 - Trump est incorrigible : au lieu de demander pardon pour ce qu'il n'a pas fait, il persiste et signe... citant un sénateur républicain de Louisiane qu'il approuve à 100 % :




 
De gauche à droite : Omar, Pressley, AOC, Tlaib, Mort, Famine, Guerre, Conquête (ses huit préférées).


Qui est raciste ?  Au cours d'un meeting électoral, le président épingle Pressley qui avait déclaré quelques jours plus tôt : "Nous ne voulons plus de visages noirs qui ne soient pas aussi des voix noires..."  Trump : "Elle pense que tous les gens qui ont la même couleur de peau doivent être du même avis... Imaginez les réactions si j'avais dit, moi, quelque chose de ce genre..."

Les Démocrates sont furieux de voir le président résister. Les Cavalières de l'Apocalypse et quelques autres fanatiques aimeraient déclencher dès maintenant la procédure de destitution ; un député isolé dépose même une demande en ce sens mais elle est mise de côté faute de soutien suffisant au sein du parti. Pelosi, pour sa part, fait tout pour retarder le moment fatidique, craignant qu'un geste inconsidéré ne se retourne contre ses auteurs. La majorité nécessaire (50 % + une voix) a beau être acquise à la Chambre, au Sénat (où il faut les deux tiers) la chose n'est pas du tout certaine : jusqu'à présent le meilleur score des trumpophobes a été de 59:41 (voir plus haut 14.3.19). Si les Démocrates se lancent dans cette aventure et en sortent perdants, ils risquent aussi de perdre l'élection de 2020 (sauf si l'Etat profond leur donne un petit coup de pouce).


AOC, qui avait été la première à dénoncer les "camps de concentration" de Donald Trump (voir plus haut 3.7.19) et s'était fait photographier en larmes devant le grillage de l'un d'eux (en réalité un parking vide), a aussi "révélé" que les gardiens forçaient les prisonniers à boire l'eau des toilettes. Aujourd'hui elle nous dévoile un nouveau scandale encore plus grave :


"Ils obligent les migrants à boire avec des pailles en plastique"
(pourtant formellement interdites en Californie)




C'est là que tout a commencé...


18 juillet 2019 - L'autre jour, en surfant sur internet, Ihlan Omar a découvert un truc intéressant à la rubrique "Bébés" :

Aussitôt l'idée lui est venue de recruter cette petite pour son "squad" anti-Trump. Après en avoir parlé à ses trois complices, elle a proposé à la Jeanne d'Arc suédoise de se joindre à la Bande des Quatre, qui deviendrait ainsi une Bande des Cinq, avec toutefois quelques préalables :

■  Comme tu as encore un physique de "white supremacist", il te faudrait d'abord un bronzage intensif.

■  Ensuite, tu devrais couper tes nattes ou, au minimum, les cacher sous un foulard islamique. Remarque, on ne te demande pas de te convertir, tu peux rester dans ta secte climato-fétichiste, on est très tolérantes.

■  Et puis, il faudrait que tu nous confirmes que tu as fait un stage de diversité multiculturelle dans une des nombreuses zones de non-droit de ton pays. Par exemple à Malmö, j'en connais une où il y a 98 % de réfugiés syriens de Somalie. Pour te faciliter leur faciliter la tâche, ne mets pas de culotte. Et avant toute chose, sois bien polie et respectueuse, et montre-leur que tu n'es ni raciste, ni nationaliste, ni populiste. Ne leur dis surtout pas de retourner dans leur pays, leur pays c'est la Suède. Je suis sûre qu'ils te laisseront repartir vivante. Si c'est le cas, tu n'auras plus qu'à faire légaliser ton certificat de stage par l'émir du quartier - et sois gentille avec lui.

■  Une fois que tu seras chez nous, ici en Amérique, je te présenterai à Mr. Soros. Tu as entendu parler de lui, il finance ton mouvement. Là tu le verras en personne. Il te paiera tes études et te conseillera pour ta carrière politique. Si tu remplis toutes les conditions, tu pourras même devenir présidente en 2048 ou plus tard.

■  Un petit conseil pour terminer : le vendredi, on ne fait pas grève, on va à la mosquée...



Grâce à Face-App on sait à quoi ressemblera
dans 70 ans la petite chouchoute de $✡R✡$.


19 juillet 2019 - L'homme de la Maison Blanche n'a plus que deux préoccupations :

1) Se défendre contre les attaques ininterrompues des quatre Cavalières de l'Apocalypse. Il le fait surtout en dénonçant leur prétendu "antisémitisme". Dans une conférence de presse improvisée de trente minutes, ce terme revient une vingtaine de fois, de même que les mots "peuple juif" et "Israël". Donald Trump, en goy du sabbat fidèle et zélé, plus président israélien que président américain, dépasse de plusieurs longueurs son maître Satanyahou... qui doit bien rigoler en l'entendant.

2) Multiplier les attaques verbales contre l'Iran, également de manière ininterrompue, et tenter de calmer l'impatience grandissante de ce même Satanyahou. Mais comment le satisfaire sans franchir la "ligne rouge" qui sépare la guerre virtuelle de la guerre réelle ? C'est d'autant plus difficile que Bolton et Pompeo ne cessent de pousser à l'action.

20 juillet 2019 - A l'occasion du cinquantenaire de l'Apollo Hoax Donald Trump (73 ans) reçoit à la Maison Blanche les deux mythomanes survivants Michael Collins (à gauche, 88 ans) et Buzz Aldrin (à droite, 89 ans). L'esprit du troisième larron (le premier à l'époque, Neil Armstrong, mort en 2012 à 82 ans) les observe par la fenêtre.


Collins en profite pour raconter ses salades habituelles : "Vue de là-haut, elle était grosse comme ça..."


Comme il l'a déjà fait à plusieurs reprises (voir plus haut 18.6.19), Trump leur promet de "retourner" sur la Lune et même d'aller sur la planète Mars pour redonner sa grandeur à Apollo. :  "C'est juré, on ira tous ensemble..."

Les trumpophobes et leurs chiennes enragées n'en ont rien à faire : Apollo est un projet totalement sexiste, imaginé par les hommes pour les hommes - voir ici.  On pourrait même ajouter que ces mecs de Houston étaient tous des racistes et des suprémacistes blancs : pas un seul Somalien illégal parmi eux, et puis regardez la couleur des scaphandres lunaires. En plus, ils n'ont strictement rien fait pour promouvoir la diversité enculturelle de l'Amérique...


Pour montrer sa bonne volonté, Trump envoie quatre astronautesses sur la Lune
(aller simple). Leurs scaphandres seront repeints en noir juste avant le départ :

"Une fois que vous serez là-haut, ne retournez surtout pas d'où vous êtes venues.
De toute façon vous ne pourrez pas...  Alors, bon voyage et bon débarras...
"


21 juillet 2019 - Trump has not built a single mile of new border fence after 30 months in office.  Contrairement à ses promesses et à ce qu'il prétend dans ses meetings électoraux, Trump n'a pas construit un seul kilomètre de nouveau mur à la frontière mexicaine. Il s'est contenté de remplacer ou renforcer 80 km de segments défectueux, soit 2,7 km par mois. En 2016, le slogan était "Construisons le Mur". En 2019, c'est "Finissons le Mur", ce qui est vraiment du foutage de gueule de première catégorie. Sur les 3.200 km de frontière, seulement 1.100 km sont protégés, dont 500 km de façon très rudimentaire (grillage de 1,20 m).

24 juillet 2019 - Trump félicite Boris Johnson (BoJo) pour ses nouvelles fonctions à la tête du parti conservateur britannique et du gouvernement de Londres, espérant qu'il va implémenter le Brexit au plus vite (voir plus haut 2.6.19 et 7-10.7.19).

A Washington, l'inquisiteur spécial Robert Mueller dépose pendant plus de sept heures devant deux commissions de la Chambre des Repésentants (Affaires judiciaires et Renseignement). Rien de nouveau, tout a été dit précédemment - voir plus haut 29.5.19, 18.4.19, 15.4.19, etc...

Les Démocrates espéraient que Mueller leur fournirait enfin l'argument imparable pour déclencher la procédure de destitution. Ils en sont pour leurs frais, le "Nothingburger" (voir plus haut 24.3.19) reste ce qu'il a toujours été, et l'obstacle principal à la destitution demeure Nancy Pelosi et les autres "réalistes" au sein du parti (plus haut 17.7.19). Les Républicains, de leur côté, ont bien essayé de coincer Mueller en lui demandant des explications sur la genèse de cette affaire du Russia Hoax (voir page précédente 2.2.18) mais l'intéressé a refusé de répondre, invoquant une enquête en cours ordonnée par le ministre de la Justice, William Barr. Enquête dont on ne sait rien et qui n'aboutira sans doute jamais.

L'audition de Robert Mueller au Congrès US est un désastre pour les démocrates (Moon of Alabama).

27 juillet 2019 - Depuis quelque temps, AOC (pas encore partie pour la Lune) s'efforce de vendre aux Américains un New Deal Vert plus proche du programme des Khmers Rouges Verts que de l'historique New Deal de Franklin Roosevelt.


Conclusion : ce Kermit est un sale raciste et suprémaciste blanc (enfin presque pour ce qui est de la couleur). Exactement comme le président, qui vient justement de répondre via Twitter à Elijah Cummings, un député démocrate (noir) de Baltimore (Maryland) qui l'avait violemment attaqué au sujet des conditions sanitaires à la frontière mexicaine...

Aussitôt, tous les merdias lui tombent dessus à bras raccourcis. On n'entend plus qu'un seul mot, mais répété un million de fois : raciste, raciste, raciste, raciste...

Pourquoi ce tweet du président est-il raciste ?...  Sans doute parce que tout ce que dit ou écrit Donald Trump est automatiquement raciste par définition, dès qu'il s'adresse à un non-blanc ou dès qu'un non-blanc peut l'entendre ou le lire...

Is The Truth Now Racist? Trump's Comments on Baltimore Rat-Infestation & Crime are True and Well-Documented :  La vérité est-elle raciste ?...  Les commentaires de Trump sur Baltimore infestée de rats (et rongée par la criminalité) sont parfaitement vrais et bien documentés.


Les rats, on en trouve même sur
les T-shirts vendus aux touristes
et comble d'ironie, ce sont des rats BLANCS :

Mister President, ne soyez pas rat-ciste...








Ces sales racistes suprémacistes blancs de USA TODAY confirment
que Baltimore est la grande ville la plus dangereuse des Etats-Unis :

343 meurtres par an pour 600.000 habitants, soit 56 par 100.000 h.
Chicago, malgré sa mauvaise réputation, s'en tire beaucoup mieux :
650 meurtres par an pour 2.700.000 habitants, soit 24 par 100.000 h.




Une des insultes préférées de l'âne démocrate.


30 juillet 2019 - Parmi les nombreux candidats et candidates "de gauche" aux primaires démocrates, il en est une que les sites "alternatifs" aiment particulièrement : Tulsi Gabbard, représentante de Hawaï au Congrès de Washington depuis 2013. Née aux Îles Samoa américaines il y a 38 ans, de religion hindoue, elle pourrait faire partie de la Bande des Quatre, ce qui en ferait aussitôt remonter le niveau d'attractivité. Ce n'est pas seulement pour sa beauté qu'on l'adore mais aussi parce qu'elle est "contre la guerre". Ce qui ne veut strictement rien dire en 2019 : Trump, Pompeo et Bolton sont eux aussi "contre la guerre", ils veulent seulement se défendre contre les attaques iraniennes et protéger Israël.

Si les maîtres de l'Amérique financent Tulsi après l'avoir poussée à se présenter, c'est parce qu'elle incarne depuis longtemps l'idéal de l'ère nouvelle : non-européenne, non-blanche, non-chrétienne, pro-immigration, pro-supercherie climatique, pro-LGBiToQ, pro-israélienne. Le 23 juillet, elle a voté la résolution HR 246 (adoptée par 398 voix contre 17) qui criminalise le mouvement BDS - voir ici.  Pour se "justifier" auprès de ses fans qui menacent de la lâcher, elle invoque la "liberté d'expression", qu'elle revendique aussi paraît-il pour les partisans du boycott d'Israël. Sauf que ces derniers risquent de se retrouver en prison si la résolution devient une loi contraignante.

Ah oui, encore un détail pour illustrer à quel point Tulsi Gabbard est "anti-guerre". Elle a "servi" en Irak en 2004 et a été "déployée" au Koweït en 2008. Pas pour faire la guerre, non, de toute façon il n'y avait pas de guerre en Irak, seulement une entreprise de pacification antiterroriste. Et puis Tulsi était infirmière, elle soignait juste les militaires qui s'étaient fait bobo en pacifiant.

[Deux autres "qualités" politiques de la belle Tulsi : voir plus bas 31.10.19 - Et la meilleure de toutes : le 19.3.20 (plus bas) elle se désiste en faveur de Joe Biden !]


PRIMAIRES DÉMOCRATES
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Deux jours de "débats" télévisés

Pour The Babylon Bee (une sorte de Gorafi), le public américain
est tiraillé entre deux possibilités aussi prometteuses l'une que
l'autre : regarder les débats ou se mettre la tête dans le mixeur.


Les 30 et 31 juillet, les Américains dont le mixeur était cassé ont pu admirer le spectacle transmis par CNN Fake News depuis la ville sinistrée de Detroit (pas très différente de Baltimore) et entendre les "modérateurs" (c'est-à-dire les habituels pressetitués de ce merdia trumpophobe à 150 %) poser leurs questions débiles aux candidats. Toutes dans le style : Que répondez-vous aux attaques racistes de Donald Trump ?  Que ferez-vous, en tant que président, pour résoudre la crise du réchauffement climatique ?  Que proposez-vous pour confronter l'agression iranienne ?  Etc. etc. etc...

Peu importe qui sera choisi par les tireurs de ficelles pour affronter Trump en novembre 2020, s'il gagne ce ne sera certainement pas pour avoir convaincu les électeurs. Mais parce que l'Etat profond, échaudé en 2016, fera tout pour renforcer l'électro-nique électorale et le vote de millions d'étrangers illégaux.

3 août 2019 - Vague de folie furieuse antichinoise à Washington. Profitant de l'absence de réaction digne de ce nom* de Pékin face aux attaques précédentes (Huawei, tarifs douaniers, embargo partiel, fourniture d'armes à Taiwan, émeutes téléguidées à Hong Kong), Washington (avec ou sans Trump) continue de plus belle. Nouvelles taxes à l'importation sur 300 milliards de dollars de marchandises chinoises, accusations de plus en plus délirantes à l'encontre de Pékin : vole ses partenaires commerciaux, manipule sa monnaie, déstabilise et menace toute la région et bien au-delà, déploie des missiles sur son territoire (elle est bien bonne), refuse de négocier, j'en passe et des meilleures...

* La seule contre-mesure chinoise notable a touché l'agriculture américaine - voir plus haut 23.5.19. Les importations chinoises de produits agricoles US sont passées de 19,5 milliards de dollars en 2017 à 9 milliards en 2018, et devraient sous peu tomber à zéro. Les agriculteurs du Midwest, déjà durement frappés par les pluies interminables et les inondations, connaissent de grandes difficultés malgré les milliards de subventions de Donald Trump. Des Etats comme l'Iowa ou le Wisconsin, républicains (rouges) en 2016, risquent de basculer en 2020 - source.  Pour ce qui est des mesures tarifaires chinoises de rétorsion annoncées le 14.5.19, elles ne semblent pas être entrées en vigueur, Trump ayant partiellement annulé ou reporté les siennes, ou du moins fait semblant avant d'exiger le retour des Chinois à la table de "négociation".

Plus ses ennemis de l'intérieur l'agressent, et plus le président (ou ses lieutenants) se déchaînent à l'extérieur. Un chien qui aboie n'a pas forcément la rage, mais sait-on jamais...

A l'intérieur, justement, les fusillades en série (Gilroy, El Paso, Dayton) montrent où conduit la politique de Donald Trump : racisme, nationalisme, suprémacisme blanc. Ça doit être vrai puisque les merdias le disent...

Ces massacres (spontanés ou organisés, il est trop tôt pour le dire) vont en tout cas permettre aux trumpophobes d'avancer sur deux fronts : promouvoir le désarmement de la population et neutraliser les derniers efforts du président pour stopper le tsunami migratoire.

Pour ce qui est du premier point, Donald Trump compte prendre de lui-même deux mesures radicales :


1)  Faire en sorte que son nom ne soit plus synonyme d'armement



2)  Rendre plus difficile l'accès
à la littérature sur les armes


5 août 2019 - Cédant aux pressions, le président condamne les "suprémacistes blancs". Mais c'est bien entendu insuffisant. Donald, répète après moi : « Je condamne avant tout le suprémaciste blanc de la Maison suprémaciste Blanche, qui a inspiré les massacres suprémacistes blancs d'El Paso et de Dayton et de partout ailleurs, pour le pire et le meilleur, ainsi soit-il amen... »

On comprend que Trump batte en retraite face au raz de marée qui menace de le submerger. N'ayant jamais pris la défense des victimes du racisme anti-Blancs, n'ayant même jamais considéré qu'un tel fléau puisse exister, il ne peut plus rien faire, sinon attendre la fin hypothétique de la déferlante du mensonge.

Car ce sujet constitue un tabou presque absolu aux Etats-Unis, dépassé seulement par celui qu'entretient le lobby innommable. Paul Craig Roberts en a souvent parlé :

Sur la discrimination des Blancs (non-juifs) dans les universités d'élite aux USA   -   Are White People Too Stupid To Survive?

Whiteness Is The New Evil   -   The Delegitimization Of The White Male   -   Are Whites Being Setup For Genocide?

A cause de tous ces articles, et de beaucoup d'autres encore qui osent décrire les choses telles qu'elles sont, les véritables suprémacistes traitent Paul Craig Roberts de... devinez, ça commence par "suprémaciste" et ça finit par "blanc"...



ENCORE UNE "SUPRÉMACISTE BLANCHE" :

Elle est d'origine vietnamienne et candidate républicaine en Californie.




LA QUESTION DU JOUR :

Imaginez que vous êtes Sleepy Joe Biden, une journalope vient vous réveiller
et vous demande votre avis sur les récentes fusillades. Que répondez-vous ?...

Bravo, bonne réponse... Vous avez gagné deux points dans les sondages.


Si vous trouvez que c'en est trop de ces histoires de "suprémacisme blanc", alors regardez CNN Fake News pendant quelques minutes, juste ce qu'il faut pour ne pas vomir sur votre écran. Vous n'entendrez rien d'autre. Au hasard : une certaine Juliette Kayyem, prétendue "security analyst" de Ci-Haine-Haine et de la John F. Kennedy School of Government de Harvard (université suprémaciste juive #1 - voir quelques lignes plus haut le lien vers l'article de Paul Craig Roberts sur la discrimination des Blancs), prononce huit fois les mots "white supremacy" dans une "interview" de cinq minutes. Et ce n'est que la pointe de la pointe de l'iceberg ; pratiquement tous les merdias font de même. Les exceptions sont rarissimes, Fox News en fait (encore) partie. Mais lorsqu'un des deux journalistes honnêtes de cette chaîne (Tucker Carlson, l'autre étant Sean Hannity) ose dire ce que Trump a peur d'exprimer, il est aussitôt attaqué de toutes parts, on exige qu'il soit immédiatement renvoyé et poursuivi pour "apologie" de la "white supremacy".



Evidemment, Carlson n'a pas dit cela de cette façon, ce qui signifierait admettre qu'il existe un "problème" de "suprémacisme blanc" et que le journaliste de Fox nie tout simplement ce "problème". En fait, pour Carlson le "suprémacisme blanc" aux USA est un faux "problème", un "problème" non-existant : "C'est une supercherie, un hoax. Au même titre que le Russia hoax, c'est une théorie conspirationniste qui a pour but de diviser le pays et de s'assurer le pouvoir... En 50 ans, je n'ai jamais rencontré personne, pas un seul individu, qui se réclame du suprémacisme blanc... C'est fabriqué de toutes pièces pour aider les Démocrates dans cette élection, parce que le Russia hoax est mort..."

White supremacy ?  It's a hoax, just like the Russia hoax  (vidéo Fox News - voir entre 2:00 et 2:35).

C'est exactement ce que le président aurait dû dire. En capitulant une nouvelle fois devant ses ennemis, en accusant ses électeurs de crimes imaginaires inventés par les trumpophobes, il compromet sa réélection (pour autant qu'elle soit encore possible compte tenu de la fraude et des millions d'illégaux que l'on fera voter). Cela rappelle, en pire, l'affaire de Charlottesville (voir page précédente 12.8.17).

7 août 2019 - Près de Los Angeles, dans un magasin 7-Eleven, un "homme en colère" tue quatre personnes à coup de couteau et en blesse deux - détails. Mais comme le tueur est "hispanique", de même que ses victimes, personne ne parle de crime haineux, ni de racisme et encore moins de "suprémacisme". Mais c'est presque toujours comme ça puisqu'il y a aux USA au moins 40 meurtres par jour, et très souvent ce sont des Noirs qui tuent des Noirs ou des Latinos qui assassinent des Latinos. Selon les statistiques du FBI, 89 % des victimes noires sont tuées par un Noir.

Si les trumpophobes étaient conséquents, ils devraient aussi réclamer l'interdiction des armes blanches (qu'on pourrait qualifier pour la circonstance d'armes "suprémacistes" blanches).

Autres statistiques du FBI : Homicides 2017 (armes utilisées et circonstances) : 15.129 victimes (armes à feu 10.982, couteaux 1.591, armes contondantes 467, etc.).

9 août 2019 - La guerre de Corée du Nord n'aura pas lieu - pas encore - bien que les néocons et le Pentagone (que Trump ne contrôle pas) fassent tout pour aggraver les tensions (voir cet article de Moon of Alabama).  La dernière provocation en date consiste à effectuer des manœuvres de guerre au nez et à la barbe de Pyongyang. "Les exercices militaires conjoints actuels entre la Corée du Sud et les États-Unis consistent en des simulations de la stabilisation de la Corée du Nord après son occupation et la fin de la guerre conventionnelle."  Ce qui explique que Pyongyang ait, de son côté, repris ses tirs de missiles qui avaient été stoppés pour faire plaisir à Donald Trump.

Si tout cela semble être le signe d'une grande naïveté de la part des Coréens du Nord, il y a encore mieux : Kim vient d'adresser à Trump "une très belle lettre - a very beautiful letter". On voit ça d'ici : une jolie lettre sur papier rose parfumé, avec des petites fleurs, de quoi rendre jalouse la First Lady Melania... A présent, on attend avec impatience la quatrième rencontre entre les deux gentils leaders. La précédente remonte au 30.6.19 (voir plus haut).

10 août 2019 - Le milliardaire pédophile Jeffrey Epstein (voir plus haut 12.7.19) "se suicide" dans sa cellule du Metropolitan Correctional Center de Manhattan. Après une première tentative de mettre fin à ses jours, le 23 juillet, ses geôliers l'avaient placé sous surveillance spéciale de tous les instants ("suicide watch") pour éviter que la chose ne se reproduise. Mais six jours plus tard - miracle - tout danger de récidive est écarté et, comme l'écrit le New York Times, "Epstein réintègre son unité de détention, une zone sous haute surveillance [sic] séparée de la zone principale de la prison."  Et le merdia new-yorkais ajoute : "Selon un ancien gardien interrogé par l'Associated Press, ce suicide en détention est un échec choquant du système."  Un échec ?...  Au contraire, c'est une réussite...



Epstein est peut-être mort, mais lui
est encore en vie et en liberté :

"Viens chez moi, ma petite fille,
que je te montre mon Al-Gore-ithme...
"


11 août 2019 - Deux avocates juives (Lisa Bloom de Los Angeles et Roberta Kaplan de New York) demandent le gel des avoirs de la succession d'Epstein et engagent une procédure civile en vue de l'indemnisation des victimes - détails.

Pour Bloom "le suicide d'Epstein est un aveu de culpabilité" - culpabilité du milliardaire ou de ceux qui l'ont suicidé ?...

On peut citer au moins deux précédents faisant intervenir le Mossad dans des cas similaires : le "suicide" de Robert Maxwell en 1991 (voir plus haut 12.7.19) et ceux de trois membres de la RAF allemande (Baader, Ensslin et Raspe) en 1977, dans leurs cellules du quartier de "haute sécurité" de Stuttgart-Stammheim (leur avocat Karl-Heinz Weidenhammer a écrit un livre très documenté sur la question).

Deux détails cocasses à propos de la prison d'Epstein : 1) suite à des compressions de personnel, les gardiens ne savaient plus où donner de la tête - 2) la caméra de surveillance de la cellule du "suicidé" était en panne.

Comme pratiquement personne ne gobe la version officielle, les merdias s'efforcent de limiter les dégâts, parlant de "suicide apparent" et de nécessité de faire toute la lumière, etc. blablabla... En même temps, journalopes et pressetitués fustigent la "théorie du complot" qui établit un lien entre Epstein et Bill Clinton. Comme le président lui-même se fait l'écho* de ce qui n'est nullement une "théorie conspirationniste" (les carnets de vol du "Lolita Express" le prouvent - voir ici), on en profite pour lui taper dessus, tout en accusant son ministre de la Justice William Barr (gestionnaire de l'univers carcéral) d'être coupable de la mort d'Epstein. Sans oublier la Russie qui, comme chacun sait, contrôle et manipule tout ce que font, disent et pensent Trump et ses adeptes.

* En relayant ce tweet du comédien Terrence K. Williams sur le "suicidé" Epstein qui en savait trop sur Bill Clinton, Donald Trump fait connaître au public ce que les comploteurs voulaient absolument lui cacher. L'accusation de "conspirationnisme" proférée par les merdias est toujours le signe qu'ils sont en train de perdre la main sur un point précis et que la personne attaquée est sur la bonne voie.



Il a laissé Donald Trump retweeter son message.
Williams serait-il un sale suprémaciste blanc ?



Opinion contradictoire :

N'écoutez pas les conspirationnistes, Epstein s'est vraiment suicidé



Mise au point -  Le prince Andrew (59 ans), fils cadet de la reine d'Angleterre, accusé d'avoir participé aux partouzes de Jeffrey Epstein et abusé d'une jeune fille de 14 ans, dément formellement : "Je suis Mon Altesse Royale le Prince Andrew Albert Christian Edward, Duc d'York, Comte d'Inverness, Baron Killyleagh, Chevalier Compagnon Royal de l'Ordre Très Noble de la Jarretière (Honni soit qui mal y pense), Chevalier Grand-Croix de l'Ordre Royal de Victoria, Aide de camp de Sa Majesté Ma Royale Maman - si vous ne me croyez pas, consultez Wikipédia...  Pensez-vous vraiment qu'avec un nom long comme ça sur ma carte de visite, je me contente d'UNE jeune fille seulement ? Il m'en faut au moins une demi-douzaine, bande de roturiers complotistes...  Et puis 14 ans, vous savez, c'est déjà bien vieux à mon goût pour un royal massage..."


14 août 2019 - Donald Trump a-t-il une statégie dans la guerre des tarifs douaniers qu'il mène contre la Chine ?  Oui, il en a une... une nouvelle chaque jour (ou presque). A présent, il vient de découvrir que les mesures prises il y a un peu plus d'une semaine (voir plus haut 3.8.19) sont mauvaises pour le consommateur américain et pour le commerce de détail à quatre mois de Noël. Il les reporte donc au 15 décembre. Comme ça, le prix des ordinateurs, téléphones et autres gadgets fabriqués en Chine, n'augmentera qu'après les fêtes. Et les gens seront tellement reconnaissants à Donald de les avoir épargnés cette année, qu'ils voteront en masse pour lui l'année prochaine (peut-être).

A part les Douanes américaines, et encore, personne ne sait au juste où en sont les tarifs, avec toutes ces augmentations, annulations, exemptions, remises à plus tard ou jamais, etc. etc.. Trump croit impressionner les Chinois et les obliger à faire des concessions chaque fois qu'il leur offre une carotte après les avoir menacés du bâton. Mais lui n'est jamais prêt à aucune concession, car faire un pas en arrière après avoir fait deux pas en avant, ce n'est pas une concession.


16 août 2019 - Le président essuie son plus cinglant revers de politique extérieure depuis qu'il est à la Maison Blanche : alors qu'il avait bien gentiment et bien poliment proposé au Danemark de lui acheter sa "dépendance" du Groenland (2,2 millions de km2, 55.000 habitants), la réponse est : "Non, merci..."  Les USA ont déjà une base militaire à Thulé (dans le nord-ouest, à 1.500 km du Pôle Nord) mais apparemment ils manquent de place.

Comment faire pour obliger les Danois à revenir à la table de "négociation" ?  Imposer des droits de douane de 300 % sur la graisse de phoque et les crevettes surgelées ?  Ou bombarder le Groenland ? Ah non, ça risquerait de donner raison aux cinglés de la secte climatologiste qui racontent partout que la glace a fondu - c'est inquiétant quand même, la glace qui fond en été...  Peut-être qu'il faudrait demander son avis à Sainte Greta de Thunberg. Elle est vachement forte, déjà sur la couverture de GQ, et le mois prochain sur celle de Playboy...  Elle pourra peut-être dire à Trump combien coûte le Groenland. La Suède d'où elle vient et le Danemark, c'est quasiment kif-kif, alors elle devrait savoir ça...

Fred Pleitgen de CNN Fake News a droit à un voyage gratuit au Groenland pour commenter en direct l'offre d'achat de Donald Trump - de toute évidence, ce merdia a trop de fric, il ne sait plus comment le dépenser. Pleitgen en profite pour conseiller au président d'admettre la réalité du réchauffement climatique qui fait fondre à vue d'œil la glace du Groenland "pendant que je vous parle".


Heureusement que Fredo a les fringues adéquates pour affonter la
canicule groenlandaise de ce mois d'août particulièrement torride.

"Putain, on se les gèle ici...  Quoi ?...  Mais non, je l'ai pas dit...  Coupez, on rentre..."


18 août 2019 - Depuis quelques semaines, Trump parle de retirer ses troupes d'Afghanistan, un pays où elles s'incrustent depuis 18 ans. Rapatrier ces 15.000 soldats pourrait constituer un succès utilisable en vue de sa réélection en novembre 2020. Raison de plus pour l'Etat profond de s'y opposer (comme en Syrie). Dans le cas présent, le meilleur moyen pour faire échouer les négociations en cours avec les talibans, est le recours au terrorisme de Daesh. Un attentat lors d'un mariage à Kaboul, avec au moins 63 morts et plus de 180 blessés, devrait suffire. A condition que les merdias en parlent et en reparlent à longueur de journée, alors que d'habitude ils ne s'étendent pas trop sur les innombrables victimes de cette sale guerre. Gageons que le chef désarmé va vite comprendre qu'un retrait à ce stade serait tout à fait prématuré.  [Trois semaines plus tard, tout rentre dans l'ordre - voir plus bas 7.9.19]

Autre faux pas du président, qui a toujours tendance à bien faire quand ses conseillers lui fichent la paix : après des émeutes "gauchistes" à Portland (Oregon) et ailleurs, Trump envisage de ranger les fascistes "Antifa" parmi les organisations terroristes, ce qui ne serait que justice quand on voit les exactions perpétrées par ces troupes de choc, par ces S.A. de l'idéologie néoconne. Mais là aussi, coup de sifflet de "l'arbitre" et rappel que les méchants sont les "suprémacistes blancs", c'est-à-dire les partisans de Trump.

21 août 2019 - Selon un sondage effectué pas plus tard que tout à l'heure, les deux candidats les plus populaires - mais pas au même endroit ni pour les mêmes motifs - sont Donald Trump et Bernie Sanders :


 





DE LA SUITE DANS LES IDÉES :

Voilà qui nous aide à comprendre
la politique chinoise de Donald Trump.


24 août 2019 - G7 à Biarritz ou Pas de mois d'août sans son raout :

LCI a le sens de l'humour : 1) Les pays participants (USA, Canada, UK, France, Allemagne, Italie, Japon) seraient des puissances "démocratiques" (trois monarchies de droit divin sans président élu, trois esclaves de Bruxelles, un président tenu en laisse par son Etat profond) - 2) Le dossier brûlant des incendies en Amazonie.

Le rôle d'Emmanuelle Macrotte à Biarritz consiste à taper sur le Brésil absent et à pousser Trump à se condamner lui-même en condamnant son alter ego brésilien (trop de CO2 = réchauffage climatesque = incendies = encore plus de CO2). Va-t-on faire la guerre contre ce pays d'Amérique du Sud ? Le bombarder pour réduire le taux de gaz carbonique ?... En s'inspirant de ce qu'avait fait son lointain prédécesseur de 1914 avec les taxis de la Marne, Macrotte pourrait mobiliser d'autres taxis pour repousser l'invasion des flammes amazoniennes.


G7 contre le CO2


Tempête dans un verre de bordeaux : suite au projet de loi français de taxe GAFA qu'il trouve "injuste" (bien que n'aimant pas trop lesdits GAFA), Trump décide, par mesure de rétorsion, de taxer les importations de vins de France. L'augmentation de prix qui en résultera pour les consommateurs ne le touche pas : il ne boit que du coca-cola à tous les repas et entre les repas, et de toute manière il est milliardaire.

Mais cette mesure montre à ses électeurs qu'il est "tough". En 2003, il avait sûrement boycotté les "French fries" quand Chirac avait refusé de faire la guerre en Irak. En 2019, en tout cas, il appelle les Américains à boycotter les restaurants chinois et à partir sans payer. Bravo Donald, tous des voleurs ces Chinetoques qui ont le culot de vous présenter l'addition à la fin du repas... Ce qui prouve bien que Trump a raison d'augmenter encore plus les tarifs douaniers qui frappent leurs marchandises. Ah si seulement ces clowns du G7 pouvaient être d'accord avec lui...

Ces rencontres multilatérales, auxquelles on invite même des gens qui ne font pas partie du groupe, sont parfaitement inutiles. Qu'est-ce que le Polonais Tusk vient faire à Biarritz ? Il ferait mieux d'apprendre l'anglais... Une chose est sûre : l'histoire ne retiendra pas ces "sommets" bidon. Dans le temps, c'était quand même autre chose :


Photo souvenir du G4 de je-ne-sais-où en mil neuf cent quatre-vingt-et-quelque :
Mitterrand, Chrétien, Thatcher, Reagan - au moins ça avait de la gueule...


25 août 2019 - En l'absence d'un chef du G7, poste qui reviendrait normalement au président américain si c'était tout autre que Trump, Macrotte tente de s'approprier le rôle. Prétendant être "mandaté" par ses homologues (ce que Trump dément), il fait venir à Biarritz le ministre iranien des Affaires étrangères, Javad Zarif. Dieu sait quelles fadaises il lui a racontées pour le convaincre : levée des "sanctions" américaines, rencontre avec Trump (comme avec Kim le 30 juin - voir plus haut), normalisation des relations, réconciliation ?...  Toujours est-il que trois heures après son arrivée, Zarif repart... les mains vides. Les discussions avec le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian Truand, et avec Macrotte lui-même, n'ont rien apporté.

Deux jours plus tard, le président iranien Rohani confirme qu'une rencontre avec Trump n'a aucun sens si les USA n'annulent pas au préalable toutes leurs "sanctions". L'Iran ne va pas céder pour une séance photo comme l'a fait la Corée du Nord. Etant donné qu'Israël ne risque pas de donner son feu vert, c'est la claque attendue et méritée pour le locataire de l'Elysée.

Autre claque, sur laquelle les merdias ne s'attardent guère : le président américain boycotte la session consacrée à l'Amazonie et au ClimateShit. Donald Trump : "Nous sommes aujourd'hui le premier producteur énergétique du monde. Je ne vais pas renoncer à cette richesse pour des rêves, pour des moulins à vent..."

Le G7 est tellement discrédité et superflu que ses participants ne prennent même plus la peine de rédiger un communiqué final. Ils se souviennent du fiasco de La Malbaie (page précédente 8-9 juin 2018).


Malgré tout, ce G7 aura eu une retombée positive - au Brésil :

(Vu dans L'Immonde)


5 septembre 2019 - Pour CNN, la campagne électorale 2020 n'est pas seulement l'occasion de donner du matin au soir la parole aux candidats démocrates. Elle permet également de développer à fond les sujets préférés des maîtres de l'Amérique et du monde. C'est ainsi que le merdia d'Atlanta vient de consacrer au Climate Change ClimateShit un marathon thématique télévisé de sept heures (de 17 h à minuit, donc y compris aux heures de grande écoute). Y ont participé tous les candidats aux primaires encore en lice selon les critères fixés par CNN, c'est-à-dire après élimination des plus petits (ou plus gênants). Résultat mérité : l'audience de la chaîne a chuté par rapport à ses concurrentes qui respectent encore un peu les téléspectateurs (1,1 million pour CNN contre 2,5 millions pour Fox News et 1,7 pour MSNBC).

Et comme il ne faut jamais changer un concept qui a fait faillite, le merdia des merdias remet ça prochainement avec un marathon LGBiToQ - détails.

7 septembre 2019 - Grâce à l'Etat profond, plus de danger que les troupes américaines quittent l'Afghanistan comme Donald Trump avait cru bon de le promettre (voir plus haut 18.8.19). Il aura suffi de quelques attentats de Daesh attribués aux talibans, pour que le président comprenne :

Le bruit court que l'homme "fort" de la Maison Blanche voulait avant tout se faire photographier en compagnie du chef des talibans (comme il l'avait fait avec Kim).

10 septembre 2019 - Donald Trump congédie John Bolton qui dirigeait depuis mars 2018 le Conseil de Sécurité Nationale de la Maison Blanche. Le renvoi n'est pas motivé par la politique belliqueuse de Bolton (qui aurait aimé faire la guerre partout à la fois) mais plutôt par le fait que l'intéressé avait le don de contredire et d'agacer le président sur presque tous les sujets de politique étrangère. La goutte d'eau qui a fait déborder le vase semble avoir été la question afghane, Bolton étant violemment opposé à un retrait militaire et surtout à l'invitation à Washington du chef des talibans. Le va-t-en-guerre moustachu trouve scandaleux que Trump, rien que pour avoir sa photo souvenir, songe à recevoir un tel "terroriste" aux alentours du 11 septembre. (Tout le monde sait pourtant depuis 18 ans que les talibans n'ont rien à voir avec le 11/9, même si tout le monde ne sait pas encore que c'est du côté de la CIA et du Mossad qu'il faut chercher les assassins).

Charles Kupperman, l'adjoint discret de Bolton, assurera l'intérim. On ne sait pas grand-chose de lui, sinon qu'il est juif, qu'il a été cadre supérieur chez Lockheed Martin et Boeing, et qu'il a occupé un poste subalterne dans l'administration Reagan il y a plus de trente ans. [Huit jours plus tard, nomination du successeur, Robert O'Brien, qui était jusqu'alors chargé des négociations concernant les otages espions US détenus à l'étranger.]

15 septembre 2019 - Maintenant que son complice Bolton n'est plus là pour guider la politique présidentielle, Mike Pompeo doit mentir pour deux. Après l'attaque réussie de la résistance yéménite contre les installations pétrolières de l'envahisseur saoudien, il accuse les Iraniens non pas d'avoir aidé les forces houthistes dans leur entreprise, ce qui n'est que logique et naturel, mais d'avoir eux-mêmes procédé aux frappes depuis leur territoire, ce qui est un acte de guerre exigeant des "représailles".  Minus Pompe-de-Haut est trop (néo)con pour comprendre que si quelqu'un a exercé des représailles dans ce contexte - et à juste titre après quatre ans et demi d'agression - ce sont bien les Yéménites et eux seuls. Mais le ministre n'a pas été recruté pour comprendre ce genre de choses ; son rôle consiste à préparer activement la prochaine grande guerre pour Israël.

Donald Trump, pour sa part, se comporte ccomme il l'avait fait en juin dernier au moment de l'affaire du "Game of Drones" (voir plus haut). Il se sent tiraillé entre le besoin de satisfaire ses maîtres sionistes et l'envie de poser pour les merdias en compagnie du chef des "bad guys" iraniens à l'occasion de l'Assemblée générale des Nations Unies dans quelques jours à New York. De là son tweet mi-figue mi-raisin :




18 septembre 2019 - Trump ne sait toujours pas sur quel pied danser. Il décrète de nouvelles "sanctions" contre l'Iran, qu'il estime "probablement coupable" [sic] d'avoir attaqué l'Arabie. Les Iraniens, dont Rohani, ne pourront sans doute pas assister à l'Assemblée générale de l'ONU, vu que les Etats-Unis leur refusent le visa nécessaire pour se rendre à New York. Dans l'esprit du patron de la Maison Blanche, c'est de toute évidence le meilleur moyen pour forcer Téhéran à accepter une rencontre au sommet - comprenne qui pourra...

24 septembre 2019 - Le président iranien obtient quand même son visa in extremis et peut s'exprimer à la tribune de l'ONU - détails.  Comme à Biarritz (voir plus haut 25.8.19), Macrotte s'agite dans l'espoir d'arranger une rencontre personnelle Trump-Rohani. La veille, l'imbécile de l'Elysée avait ouvertement accusé l'Iran d'avoir bombardé les raffineries saoudiennes, étant en cela plus royaliste que le roi Donald 1er, qui lui parlait de "probabilité". Apparemment, Macrocon ne saisit pas la contradiction...  Pour Rohani, une poignée de main historique ne peut que couronner un accord, pas le précéder. Et tant que les USA continuent de soumettre l'Iran à leur terrorisme économique baptisé "sanctions" ou "pression maximale", l'idée d'un accord est parfaitement futile.

25 septembre 2019 - A Washington, le parti trumpophobe relance le cirque de la destitution. Mais comme le Russia Hoax n'a pas fonctionné, il faut trouver un autre prétexte : le "scandale ukrainien" qui deviendra l'Ukraine Hoax.

De quoi s'agit-il ?  Après l'émeute et le putsch organisés à Kiev par la CIA en 2014 (voir ici), le vice-président américain de l'époque (Joe Biden) avait aidé son fils (Hunter Biden) à s'enrichir aux dépens de l'économie ukrainienne grâce à des méthodes criminelles. Hunter Biden était membre du Conseil de direction de Burisma, un groupe "chypriote" actif en Ukraine dans le domaine de l'exploitation de gaz naturel (russe). Non seulement Biden fils, qui ne connaissait rien ni à l'Ukraine ni au gaz, percevait un "salaire" de 50.000 dollars par mois (plus primes et bonus) mais l'entreprise qu'il "dirigeait" servait avant tout à blanchir l'argent sale de la corruption, dont une grande partie allait dans les caisses secrètes du vice-président.

Lorsque le parquet ukrainien commença à s'intéresser aux manigances de Hunter Biden en 2016, Papa Joe (pas du tout "sleepy" pour le coup) fit pression sur Kiev pour étouffer l'affaire et virer le procureur, menaçant de bloquer une aide financière d'un milliard de dollars promise par les Etats-Unis. C'est là que réside le vrai scandale, le Bidengate.

Inversant les rôles comme d'habitude, les Démocrates accusent Trump d'avoir fait ce dont Biden s'est rendu coupable, mais pour des raisons différentes. Si Biden a voulu protéger son truand de fils, Trump, lui, a téléphoné au nouvel "homme fort" de Kiev, Zelenski, pour lui demander de ne pas enterrer le dossier. Il a donc pris contact avec un chef d'Etat étranger pour nuire au candidat Biden. C'est une incitation à l'ingérence dans les élections américaines, un viol gravissime de la Constitution des USA, une cause majeure de destitution. Du moins, c'est ce que les tarés trumpophobes ont réussi à faire croire à Nancy Pelosi (présidente de la Chambre des Représentants) qui hésitait jusqu'à présent à se lancer dans cette aventure risquée faute de majorité au Sénat. Trump y voit la preuve que Pelosi a abandonné son parti aux "gauchistes".

L'opération "Tentons l'Impeachment" doit avant tout servir dans la campagne électorale en cours, car personne ne croit vraiment que Trump sera chassé de la Maison Blanche avant novembre 2020.

Le président américain, de son côté, réagit mollement, alors qu'il devrait attaquer Biden de front. Il attend peut-être, pour le faire, que Sleepy Joe soit confirmé aux primaires démocrates, tout en pensant que c'est Elizabeth Warren qui l'emportera (voir plus haut 27.4.19). Mais là où le manque de réaction de Trump est incompréhensible, c'est en ce qui concerne le mouchard anonyme qui a informé le camp ennemi du coup de fil passé à Zelenski. Qu'une chose pareille soit encore possible au sein de son équipe après trois ans de présidence, est absolument incroyable.

Cet extrait de la conversation téléphonique Trump-Zelenski rendue publique par la Maison Blanche (texte intégral ici) contient les éléments que les trumpophobes "oublient" de mentionner. Le président (Trump) signale que le procureur ukrainien chargé de l'affaire Hunter Biden a été limogé. C'est Joe Biden qui a fait stopper les poursuites contre son fils, et il s'en est même vanté. Mais cela, les téléspectateurs de CNN & Cie ne l'apprendront jamais et penseront que le document en question va permettre de couler Donald Trump.

Les animateurs de l'Ukraine Hoax s'en prennent particulièrement aux deux personnes mentionnées dans l'extrait ci-dessus, à savoir Rudy Giuliani, l'avocat de Donald Trump, et William Barr, son ministre de la Justice (Attorney General). Ils exigent que Barr se récuse dans cette affaire, c'est-à-dire qu'il s'engage à ne rien dire qui puisse aider le président ; c'est ce que son prédécesseur Jeff Sessions avait fait en mars 2017 dans le cas du Russia Hoax. Quant à Giuliani, on lui reproche d'avoir ses entrées à la Maison Blanche sans disposer de l'habilitation secret-défense. (L'informateur anonyme, lui, avait cette habilitation... et l'a toujours.)

Le Bidengate expliqué par Xavier Moreau (vidéo 21 mn)

Du 'très lourd' contre Trump (Réseau International)

1er octobre 2019 - Donald Trump : Impeachment Effort a 'Coup' to Take Power from the People (Breibart).

Trump réagit à sa façon aux attaques de ses ennemis : il se lamente mais ne fait rien de concret. Il parle de tentative de coup d'Etat, comme si la chose était nouvelle. Il veut savoir le nom du mouchard anonyme que les merdias appellent "whistleblower" et qui tient ses "informations" d'autres personnes également anonymes. Dans la mesure où il a une existence réelle, ce mouchard n'a lui-même jamais rien vu ni entendu, c'est du colportage pur. Jusqu'à une date très récente, les règles régissant le "whistleblowing", c'est-à-dire la dénonciation de manœuvres illégales, exigeaient que le dénonciateur ait été le témoin direct de ce qu'il dénonçait. Mais pour les besoins de la cause, les Démocrates ont changé secrètement les règles début août 2019, de sorte que le 12 août, le mouchard a pu signaler ce qu'il avait entendu dire sans en être le témoin. C'est comme si on vous poursuivait parce que quelqu'un a appris par hasard que quelqu'un d'autre a cru comprendre que vous avez grillé un feu rouge.

Trump estime que le dénonciateur anonyme et ses sources sont des espions "éventuellement" coupables de trahison. Mais dans ce cas, pourquoi ne prend-il aucune mesure concrète ?  Depuis trois ans, face aux attaques continuelles et surtout face à celle-là, la plus grave de toutes, le président continue de se comporter en opposant politique impuissant. Il n'a pas su s'entourer de gens dignes de confiance, il a laissé ses ennemis s'inscruster à la Maison Blanche et dans son administration, il n'a jamais osé sévir contre eux comme il l'avait promis à ses électeurs. Lui qui voulait "drainer le marécage" n'est même pas capable de faire le ménage à la CIA.


"Le ménage ?...  Pas la peine, le gars fait très bien son boulot..."


Giuliani menace d'engager des poursuites judiciaires contre certains représentants démocrates - détails.  Excellente idée...  L'avocat de Trump signale que les députés en question ont "violé les droits constitutionnels et civils du président et de membres de son administration" en ouvrant de nouvelles enquêtes et émettant de nouvelles injonctions (subpoenas). Giuliani s'appuie sur l'article II de la Constitution, qui donne au président le pouvoir de mener comme il l'entend la politique extérieure des Etats-Unis, et également sur le privilège avocat-client. Il a lui-même reçu une injonction. On verra de quelle manière concrète il s'y opposera. Les mots et les menaces en l'air ne suffisent plus...

2 octobre 2019 - Texte de la lettre de dénonciation du 12.8.19  ("Whistleblower Complaint")

Dans une conférence de presse, Donald Trump signale que cette lettre anonyme a été rédigée avec l'aide d'Adam Schiff, président de la commission du Renseignement de la Chambre des Repésentants, à qui elle est adressée : on n'est jamais si bien servi que par soi-même. Le New York Times, peut-être sans le vouloir, a révélé que le "whistleblower" était en contact avec Adam Schiff plusieurs jours avant de lui remettre sa lettre. Il est probable que les règles du jeu (voir un peu plus haut) ont été modifiées à cette occasion. A la limite on peut même supposer, jusqu'à preuve du contraire, que le dénonciateur dont il faut soi-disant protéger l'identité, est un personnage purement fictif inventé dans le cadre de la conspiration.

Trump, en pleine forme, distribue les compliments. A l'intention d'Adam Schiff, qui avait accusé le ministre des Affaires étrangères de manipuler les témoins : "Il n'est même pas digne de tenir le suspensoir de Mike Pompeo... Ce Liddle Adam a tout fabriqué, c'est une crapule [a lowlife] que l'on devrait obliger à démissionner dans la honte..."  Trump l'appelle aussi "Shifty Schiff" (Schiff le Sournois).

Sur Biden père et fils : "Ces deux-là sont complètement véreux (stone-cold crooked)".

A l'adresse du parti démocrate : "Ces Démocrates qui ne fichent rien feraient mieux de se concentrer sur la remise en état du pays au lieu de nous faire perdre notre temps et notre énergie avec leurs CONNERIES, ce qu'ils font depuis ma grande victoire électorale de 2016... Trouvez-vous un meilleur candidat cette fois, vous allez en avoir besoin..."

A Jeff Mason, un pressetitué du merdia Reuters, qui après avoir posé une première question et reçu une réponse, revenait à la charge dans le but d'arracher à Trump une petite phrase utilisable dans la campagne de destitution : "Cette affaire est une supercherie totale. Et savez-vous qui alimente la supercherie ?... Des gens comme vous, vous et vos médias fake news... Mais la plupart des médias de ce pays ne sont pas seulement 'fake'. Ils sont aussi corrompus. Vous êtes les 'corrupt media'..."

4 octobre 2019 - Dans le cadre de leur enquête préliminaire en vue de la destitution (impeachment inquiry), les inquisiteurs démocrates commencent à bombarder Trump, Pompeo et quelques autres d'injonctions (subpoenas) qui, espèrent-ils, leur permettront de recueillir suffisamment de matériel "compromettant" - comme s'ils n'étaient pas capables de le fabriquer eux-mêmes. D'ailleurs, en parallèle, ils sortent du chapeau divers SMS émanant de leurs partisans et destinés à "prouver"... qu'ils ont raison. L'Ukraine Hoax passe à la vitesse supérieure.

Dans les seuls deux cas d'impeachment inquiry de l'histoire américaine "récente" (contre Richard Nixon en 1973 et contre Bill Clinton en 1998), la Chambre des Représentants dans son ensemble avait autorisé la procédure. Rien de tel contre Donald Trump : la commission du Renseignement (dominée par les ennemis du président) a décidé seule, ce qui lui fournit un avantage indéniable. Elle peut elle-même fixer ou modifier les règles de son "enquête", exclure les Républicains quand elle en a envie et limiter leurs droits. C'est ainsi que fonctionne la prétendue démocratie aux USA.

Un vote de la Chambre au grand complet obligerait chaque député démocrate à se prononcer, et comme un certain nombre d'entre eux craignent de perdre leur siège en 2020 s'ils le font, les adversaires de l'impeachment en tireraient un avantage. Le bruit court que Trump pourrait exiger un vote préalable de la Chambre, ce qui renforcerait sa position légale pour résister aux injonctions. Mais tel qu'on le connaît, personne ne serait étonné de le voir renoncer à cette possibilité.

5 octobre 2019 - Au milieu de la tourmente, quand même deux bonnes nouvelles :

■  N° 1 :  Pour la 31ème fois consécutive, Donald Trump remporte le titre d'employé du mois de la Maison Blanche.

■  N° 2 :  Le plus jeune fils du président (Barron Trump, 12 ans) s'empare du téléphone de son père, envoie une série de tweets, et personne ne remarque la différence.

7 octobre 2019 - Blague du jour : retrait des troupes américaines de Syrie - détails.  En réalité, non seulement Trump ne retire pas un seul soldat de ce pays, mais il déploie 3.000 militaires de plus en Arabie Saoudite (+ 14.000 depuis mai dans tout le Moyen-Orient). Ce qui ne l'empêche pas de raconter à ses électeurs qu'il veut "ramener à la maison les forces américaines engagées dans des guerres sans fin" - voir ici.

Pas de retrait non plus sur le front intérieur de l'Impeachment Hoax, au contraire... Les trumpophobes ont trouvé un second "whistleblower", aussi vrai que le premier.

8 octobre 2019 - Le président interdit à l'ambassadeur US auprès de l'UE, Gordon Sondland, de répondre à la convocation de Shifty Schiff, qu'il considère comme illégale.


La commission chargée, sans vote du Congrès, de l'enquête préliminaire en vue de la destitution (impeachment inquiry) "est un tribunal fantoche totalement compromis, où les Républicains ont été privés de leurs droits et où il n'est pas permis que les faits réels soient communiqués au public."

White House Defies Impeachment Process in Letter to Speaker Nancy Pelosi. Dans une lettre de huit pages à Zombie Pelosi, le conseiller juridique de la Maison Blanche explique pourquoi le président et son administration ne participeront pas à la prétendue "enquête" qui a pour seul but d'annuler le résultat de l'élection de 2016.


A la lecture de cette lettre, le pauvre Adam Shit est scandalisé :

"Comment Donald Trump peut-il exiger d'avoir les mêmes droits que nous ?...
C'est comme si un accusé était autorisé à avoir un avocat, à faire citer des
témoins à décharge et à contre-interroger les témoins de l'accusation.
Et tout cela dans un procès public, sans la protection du huis-clos...
Impeach !  Impeach !  Impeach !...
"


10 octobre 2019 - Dans le but de compenser le manque de succès de leur "enquête" illégale, les trumpophobes attaquent à la périphérie. Ils font arrêter deux hommes d'affaires de Floride qui auraient aidé l'avocat personnel de Trump, Rudy Giuliani, à recueillir du matériel prouvant la culpabilité de Biden père et fils dans le scandale ukrainien - détails.  Selon une méthode éprouvée à l'occasion du Russia Hoax, on tape sur les plus faibles pour leur faire "avouer" ce qu'on veut, dans le but d'obtenir l'accès aux dossiers confidentiels de l'avocat. Dossiers dans lesquels on trouvera matière à "impeachment" pour les cent prochaines années.

A l'origine de l'accusation contre les deux hommes, il y a comme par hasard un groupe financé par Soros.

16 octobre 2019 - Pour justifier le fait qu'il n'y a plus de troupes américaines dans le nord de la Syrie, à proximité de la frontière turque, Donald Trump déclare : "Je ne pense pas que nos soldats doivent continuer de protéger cette frontière entre deux pays étrangers pendant encore 15 ans, alors que nous ne pouvons même pas protéger nos propres frontières..."

Excellente remarque, à ce détail près que l'armée US n'a pas envahi la Syrie pour protéger qui que ce soit. Ce qui serait encore mieux, ce serait de vraiment retirer tous les militaires américains de Syrie (et d'Irak et d'Afghanistan et d'ailleurs) et de les affecter à la protection de la frontière USA-Mexique. Le jour où Trump fera ça, il sera véritablement le chef des armées - c'est pas demain la veille...

27 octobre 2019 - En faisant liquider le chef de Daesh, déjà mort depuis longtemps, Trump remporte contre cette organisa-sion terroriste le plus beau succès de tous les temps - voir Syrie 27.10.19.

L'exploit calqué sur la liquidation de Ben Laden par Obama en 2011, a pour effet de "prouver" que le retrait (bidon) des troupes américaines de Syrie n'affaiblit pas la position des USA, et de détourner un peu (très peu) l'attention des attaques continuelles des trumpophobes. Il est probable que l'impact de cette opération de com' sera oublié dès la semaine prochaine.

31 octobre 2019 - Après avoir mené à huis-clos et en secret leur "impeachment inquiry" pendant plusieurs semaines, sans consultation du Congrès (voir un peu plus haut 8.10.19), les Démocrates acceptent finalement de faire voter la Chambre (où ils ont la majorité depuis un an). C'est un vote qui "légitime" a posteriori une inquisition parfaitement illégale et fixe les conditions dans lesquelles elle va se poursuivre. Les Républicains seront toujours défavorisés, ils ne pourront exercer leurs droits (en particulier celui de citer des témoins à décharge et d'émettre des injonctions) que si la majorité démocrate donne son accord au cas par cas.

Tous les députés républicains votent contre, de même que deux des représentants démocrates, mais comme les trumpophobes ont une trentaine de sièges d'avance, la résolution passe. Cette "victoire" illustre le pur sectarisme de l'entreprise. On veut destituer Trump non pas pour ses manquements ou ses "crimes" mais parce que c'est Trump. D'ailleurs, on voulait déjà son "impeachment" avant même qu'il ne soit à la Maison Blanche - voir page précédente - novembre 2016.

Au nombre des Démocrates ayant approuvé la résolution, on trouve Tulsi Gabbard, la coqueluche des sites alternatifs (voir plus haut 30.7.19). Elle aurait pu voter contre, comme ses deux collègues, ou à la rigueur s'abstenir pour montrer qu'elle se distingue de la mafia partisane qu'elle dénonce. Mais dans ce cas les gens qui financent sa campagne présidentielle n'auraient pas du tout apprécié. Autre signe de l'hypocrisie de Gabbard : elle accrédite la théorie complotiste officielle du 11 septembre en accusant le gouvernement (c'est-à-dire Trump) de ne rien faire contre... l'Arabie Saoudite - détails.

1er novembre 2019 - Dans l'affaire de l'Ukraine Hoax qui sert de fondement à la prétendue "enquête" anti-Trump, le "whistleblower" (voir plus haut 1.10.19) n'est plus anonyme. Il s'agit d'un certain Eric Ciaramella dont le nom trahit la profession. CIAramella travaille en effet pour la Centrale de Langley depuis l'ère Obama, en tant que "spécialiste" de l'Ukraine - détails.

C'est pour cela qu'Adam Shit l'a choisi et coordonné avec lui sa fausse déposition. De plus, il est probable que Ciaramella a aidé Biden à faire ce dont on accuse Trump (25.9.19). Toujours est-il que ce fameux témoin sur qui tout repose, a subitement décidé de ne plus témoigner. Dans un régime démocratique, toute cette affaire bidon s'écroulerait instantanément. Mais comme les trumpophobes ont pour eux la majorité à la Chambre et la quasi-totalité des merdias, ils n'ont aucune raison de stopper la procédure. Ils savent que le Sénat (où ils n'ont pas la majorité) mettra fin à ce cirque. Peu importe, ce qui compte c'est d'alimenter toujours plus l'agitation et la haine anti-Trump.

8 novembre 2019 - Tandis que les merdias continuent de faire comme si l'identité du dénonciateur Ciaramella n'était pas connue depuis une semaine, les convocations du tribunal de l'Inquisition se multiplient. La plupart des collaborateurs de la Maison Blanche ou du gouvernement que l'on a cités à comparaître (toujours à huis-clos) refusent d'obéir en attendant qu'une injonction, voire une décision de "justice", les y oblige (peut-être). La liste publiée par Trumpophobipédia est de plus en plus longue.

Evidemment, les pressetitués ne font état que des dépositions volontaires ; elles ne manquent pas, on sait que l'administration Trump est truffée de traîtres. Mais ces dépositions n'ont aucune valeur en soi. Untel signale avoir entendu dire que Trump aurait menacé Zelenski pour qu'il enquête sur Biden. Peu importe que Zelenski ait toujours affirmé le contraire. Et surtout, pas un mot sur ce qu'a fait Biden... L'expression à la mode est maintenant "quid pro quo", ce qui aux USA n'est pas synonyme de malentendu mais de donnant-donnant (je te verse l'aide américaine si tu rouvres le dossier Biden). Le "quid pro quo" ukrainien est l'équivalent de la "collusion" avec la Russie de ces trois dernières années. S'il s'effondre lui aussi, la mafia démocrate inventera autre chose : corruption, fraude fiscale, abus sexuel, etc...

10 novembre 2019 - Le black-out sur l'identité du whistleblower continue, comme on dit en bon français. Facebook et Twitter bloquent les comptes des gens qui ont repris l'information. Motif : c'est pour protéger l'anonymité du dénonciateur... dont personne ne sait qu'il s'appelle Eric Ciaramella.

Les Républicains veulent d'ailleurs le convoquer (avec quelques autres) devant la fameuse commission "d'enquête" pour qu'il dépose à visage découvert. Mais Adam Shit refuse : démocrasserie américaine dans toute sa splendeur. On apprend aussi que ce même Adam Shit a ordonné aux "témoins" convoqués de ne pas répondre à certaines questions que leur poseraient les partisans de Trump, si jamais ces derniers sont autorisés à en poser.

13 novembre 2019 - Premières "dépositions" publiques de deux "témoins" qui n'ont eux-mêmes rien vu ni rien entendu de manière directe : l'ambassadeur américain en Ukraine, Bill Taylor, et un fonctionnaire des Affaires étrangères, George Kent. En fait de "dépositions", ils se contentent de lire d'une voix monotone un papier préparé d'avance (et de toute évidence autorisé par Adam Shit). Les Démocrates ont plus de temps à leur disposition pour interroger les "témoins" que n'en ont les Républicains. Ces derniers parviennent à faire confirmer par l'ambassadeur que Zelenski a démenti avoir subi des pressions de la part de Trump. D'autre part, ils mettent en évidence le peu de connaissances juridiques des "témoins"... qui en fait ne savent pas très bien de quoi ils parlent. Bref, une première session ennuyeuse et peu suivie par les téléspectateurs, d'autant plus que certaines chaînes comme CNN préfèrent parler d'autre chose lorsque c'est au tour des Républicains de poser des questions (pour le cas où ces questions seraient gênantes pour les partisans de l'Ukraine Hoax).


Deux journalistes honnêtes de Fox News résument bien la situation :

Sean Hannity : il n'y a pas eu de donnant-donnant de la part de Trump, contrairement à Biden.
Tucker Carlson : les audiences en vue de la destitution n'intéressent pas l'Américain moyen.

15 novembre 2019 - Avec le "témoignage" public de l'ancienne ambassadrice en Ukraine, Marie Yovanovitch, on s'enfonce encore un peu plus. Sept heures durant, cette prétendue "diplomate" que le président a virée en mai 2019 (c'est son droit et privilège) pleurniche face aux caméras à la manière d'une pauvre #MeToo violée elle aussi par l'abominable Donald. En la voyant, on a du mal à l'imaginer à la tête d'une ambassade américaine ; il est vrai que ce ne sont pas vraiment les ambassadeurs qui dirigent le "travail" des ambassades, mais plutôt les chefs locaux de la CIA. Toujours est-il qu'elle ne dit pas grand-chose, se contentant de répondre par oui ou par non aux questions préfabriquées que lui pose le "procureur" démocrate. S'est-elle sentie intimidée lorsqu'elle a appris son renvoi ?  Oui...  S'est-elle sentie menacée ?  Oui...  A-t-elle éprouvé des craintes pour sa sécurité ?  Oui...

Donald Trump, sans attendre la fin de la représentation, twitte son mépris pour cette piètre accusatrice en quête de vengeance, qui essaie de camoufler son incompétence professionnelle : partout où elle a été en poste, de la Somalie à l'Ukraine, les choses ont mal tourné. Aussitôt, pour mieux accabler le président, les merdias inventent un nouveau chef d'accusation, l'intimidation de témoin, qui vient s'ajouter à ceux de corruption et d'activité criminelle - rien que ça...

Les députés républicains (qu'il n'a pas été possible d'exclure de la session publique, si ce n'est à la télévision) règlent son compte à Yovanovitch en moins de trente secondes en lui posant les questions qu'il faut - détails. On sait depuis le début que le "dossier" de l'inquisition est vide. Mais ça n'a aucune importance, l'essentiel c'est l'image qu'en donnent les merdias...

Le même jour, on revient aussi aux "témoignages" à huis-clos, avec un certain David Holmes qui aurait entendu (en écoutant aux portes) des bribes de conversation téléphonique entre l'ambassadeur US auprès de l'UE, Gordon Sondland, et Donald Trump. Le premier aurait dit au second que Zelenski fera tout ce qu'on lui demande.  Un "témoignage" qui montre bien le niveau auquel on évolue...

Pendant la séance publique, Adam Shit interrompt constamment les députés républicains en invoquant les règles de procédure (qu'il a lui-même modifiées pour l'occasion) et donne force coups de maillet pour montrer qu'il est à fois le procureur et le juge dans cette affaire. Il dénie aux partisans de Trump le droit de convoquer le dénonciateur "anonyme" Ciaramella, prétendant que la chose ferait "double emploi" - voir ici.

Dans l'ensemble, les éléphants républicains protestent peu et se laissent malmener par les ânes démocrates - comme chaque jour depuis l'élection de 2016.



Pauvres petites bêtes sans défense(s)...




QUAND TOUT REPOSE SUR LE OUÏ-DIRE :

De Donald Trump à Adam Shit en passant par le "whistleblower" (l'homme au sifflet)
c'est ainsi que circulent les "informations" censées permettre de destituer le président.

19 novembre 2019 - Le cirque de Washington continue avec des "dépositions" de plus en plus vaseuses effectuées par des gens sans importance. Dès qu'un député républicain pose une question "sensible" qui risquerait de remettre les choses en place ou de dévoiler l'identité du dénonciateur Ciaramella, que tout le monde fait semblant d'ignorer, Adam Shit s'agite et coupe la parole au "fauteur de troubles". Vivement Noël, qu'on ait une petite pause...

21 novembre 2019 - Dans cet article Israel Shamir évoque la récente "reconnaissance" par le président américain de la souveraineté israélienne sur les colonies juives de Cisjordanie (après Jérusalem-Est en décembre 2017 et le Golan syrien en mars 2019). Ce cadeau électoral à son maître Satanyahou intervient alors même que la chasse aux sorcières déchaînée contre Trump aux USA est menée par l'innommable mafia.

Shamir cite le quotidien israélien Ha'aretz : "La farce de l'impeachment, c'est avant tout une affaire juive... L'âme et le cerveau de la procédure de destitution contre le président, c'est Adam Schiff, dit 'Shifty Schiff le sournois' dans la langue fleurie de Trump. Son nom nous ramène à l'institution bancaire juive des Schiff, le sommet de l'aristocratie juive de l'argent et des médias. Le deuxième, dans l'histoire, c'est Goldman le Rapace, autrement dit Daniel Sachs Goldman, le magistrat instructeur des audiences. Sachs Goldman ou Goldman Sachs, autre nom juif d'une banque juive éminente. Le troisième juif* qui est au cœur de la procédure, c'est l'infâme George Soros..."

* N'oublions pas le quatrième : Jerrold Nadler, président démocrate de la commission des Affaires judiciaires de la Chambre - voir plus bas 1.12.19.

Et Shamir poursuit : "Ha'aretz pourrait ajouter que les témoins capitaux à l'origine des poursuites sont également des juifs, le très bizarre Gordon Sondland [à qui Trump avait d'abord interdit de "témoigner" - voir plus haut 8.10.19] ou Alexander Vindman l'espion [un lieutenant-colonel "américain" né en URSS et à qui le régime de Kiev avait offert le poste de ministre ukrainien de la "Défense"]. Trump n'aurait jamais osé s'apercevoir de cette coïncidence remarquable, conclut Ha'aretz. Il n'y aurait que les antisémites pour le faire..."

Le problème, depuis le début, c'est que les zélus contrôlent les deux camps, sans oublier les merdias et tout le reste. Finalement, le seul point de son programme que Donald Trump aura pu implémenter conformément à ses promesses, c'est celui qui concerne Israël. Même si pour le moment, la grande guerre juive par procura-sion (contre l'Iran, la Syrie et le Liban) n'est pas encore en vue - mais ça, c'est parce que le président américain est antisémite.


Officiel : Trump est le plus grand antisémite de notre temps :

Quand on est juif, on le sait une nanoseconde après l'avoir entendu.


27 novembre 2019 - Contraint et forcé, le président signe une loi antichinoise soutenant les émeutiers de Hong Kong, loi adoptée à l'unanimité au Sénat et avec seulement une voix contre à la Chambre, celle du député républicain Thomas Massie du Kentucky, Ce dernier s'était également opposé à la loi antirusse de juillet 2017 - voir page précédente 25.7.17.

La situation actuelle est d'ailleurs un copié-collé de ce qui s'était produit il y a deux ans et demi. Trump agit par crainte d'être isolé chez lui mais veut ménager "son ami" Xi ; il espère que la Chine ne prendra aucune mesure de rétorsion. Rien à redouter de ce côté-là, Pékin n'a rien fait depuis six mois pour regagner le contrôle de sa région administrative spéciale (voir ici) et ce n'est pas aujourd'hui que les choses vont changer.




POLITIQUE INTÉRIEURE : IL SUFFISAIT D'Y PENSER

L'idée géniale de Trump : il décide de soutenir la procédure
de destitution, obligeant ainsi les Démocrates à s'y opposer.


1er décembre 2019 - Retour aux choses sérieuses : Jerrold Nadler (président démocrate de la commission des Affaires judiciaires de la Chambre des Repésentants) et son complice Adam Shiff (président démocrate de la commission du Renseignement de la Chambre) ont envoyé à la Maison Blanche deux ultimatums (un chacun), mettant le président en demeure de leur faire savoir, avant le 1er décembre pour l'un et avant le 6 décembre pour l'autre, s'il comptait participer à la procédure de destitution. Nul ne sait d'ailleurs pourquoi deux sessions distinctes sont prévues à deux dates différentes.

La réponse du conseiller juridique de la Maison Blanche, Pat Cipollone, qui avait déjà répondu à Nancy Pelosi le 8.10.19, expose clairement les raisons pour lesquelles le président refuse de se prêter à cette farce qui lui dénie les droits élémentaires d'une procédure équitable (due process).

Sachant pertinemment que Donald Trump est en visite à Londres cette semaine (réunion de l'OTAN), Nadler le convoque néanmoins à l'Impeachment Circus le 4 décembre. Les "témoins" ne sont toujours pas connus, pas même les quatre premiers dont on sait seulement qu'ils vont se livrer à une "discussion académique" abstraite sans aborder le fond du sujet, et trois d'entre eux seront démocrates pour un seul républicain. Pour ce qui est des "crimes" imputés au président, ils restent encore à préciser et vont probablement englober le Russia Hoax que l'on croyait abandonné faute de preuves et de substance. Malgré toutes ces lacunes, Trump aurait dû s'engager à l'aveuglette et signer un chèque en blanc. C'est du Kafka pur...

La Maison Blanche n'acceptera éventuellement une "invitation" ultérieure que si ses droits sont respectés, notamment celui de nommer des témoins sans que le procureur-juge ne les récuse, de contre-interroger les témoins de l'accusation, d'être assisté à tout moment par des conseillers juridiques, d'avoir son mot à dire en matière de procédure et de bénéficier de débats publics, etc... Tout cela comme lors de la tentative de destitution de Bill Clinton en 1998.

3 décembre 2019 - Adam Shit publie un soi-disant rapport d'enquête dans lequel figurent par avance toutes les conclusions futures de la procédure de destitution à laquelle Donald Trump a été sommé d'assister.

Pour Sean Hannity de Fox News, "le rapport du menteur congénital Adam Schiff ne contient rien d'autre qu'un ramassis de théories conspirationnistes, de considérations gauchistes, de spéculations, de ouï-dire, de ragots, de plaintes concernant la politique étrangère de Donald Trump de la part de gens qui se croient plus importants qu'un président dûment élu, et enfin d'une grande quantité de mensonges purs et simples."

Les Démocrates veulent en finir avant Noël, du moins à la Chambre, car au Sénat c'est une autre paire de manches...

4 décembre 2019 - CNN et les autres merdias célèbrent ce qu'ils considèrent comme une "victoire" dans le "débat académique" mis en scène par les trumpophobes (voir quelques lignes plus haut - 1.12.19). En effet, les trois professeurs nommés par eux ont "dominé" face à l'unique professeur concédé aux Républicains - en nombre et non par la valeur de leurs "arguments".

Entre-temps, les Républicains ont rendu public leur contre-rapport sur les "preuves" présentées dans l'affaire ukrainienne par la majorité démocrate de la Chambre : un document de 123 pages que personne ne lira, mais l'introduction (six premières pages) est suffisante pour nous éclairer. (Personne ne lit non plus les élucubrations haineuses des trumpophobes, surtout pas les trumpophobes eux-mêmes, mais dans ce combat biaisé, cela n'a aucune incidence. L'important c'est de contrôler l'information la désinformation.)

6 décembre 2019 - En réponse au second ultimatum expirant aujourd'hui (voir plus haut 1.12.19) Pat Cipollone envoie à Jerrold Nadler une lettre à la fois courte et bien torchée : "Comme vous le savez, votre enquête en vue de la destitution est absolument infondée et viole les principes de base d'une procédure équitable et impartiale. Néanmoins, la présidente de la [majorité démocrate de la] Chambre [Nancy Pelosi] a ordonné aux Démocrates de la Chambre de formuler l'acte d'accusation avant même que votre commission ait entendu le moindre début de preuve..."  -  La Maison Blanche refuse de participer à cette comédie.

7 décembre 2019 - Encore un "rapport final", de Nadler celui-ci et aussi "pertinent" que tout ce que les Démocrates ont concocté jusqu'à présent - détails.

Au lieu de s'emmerder à rédiger un texte de 52 pages, les trumpophobes aurait pu se contenter d'une seule ligne : "Pour que le président soit destitué, il suffit qu'il s'appelle Donald Trump."

10 décembre 2019 - Nadler publie l'acte d'accusation en vue de la destitution de Donald Trump (articles of impeachment). Deux chefs d'accusation ont été retenus : l'abus de pouvoir et l'entrave au Congrès - détails.

Il ne fait aucun doute que la majorité démocrate à la Chambre va dans les prochains jours entériner l'impeachment. Mais pour que le président soit effectivement destitué, il faut ensuite que le Sénat, réuni en "tribunal", lui fasse un "procès" et le condamne à la majorité des deux tiers, c'est-à-dire avec les voix d'au moins 67 sénateurs sur 100. Etant donné que les Républicains disposent au Sénat d'une majorité de 53:47, une condamnation est peu probable - à moins que les Démocrates ne parviennent à "convaincre" ou acheter les vingt sénateurs régicides manquants.

Selon cet article de ZeroHedge le problème semble être ailleurs. Les vrais partisans de Donald Trump ne veulent pas seulement que le président soit "acquitté" par un vote à la va-vite. Ils ont l'intention de mettre à nu les manigances des comploteurs en les faisant comparaître devant ce qui deviendrait un véritable tribunal (sans guillemets). Les Schiff, Adler, Pelosi, et autres Ciaramella devraient alors rendre des comptes. Et le cœur de l'affaire (le scandale Biden) serait dévoilé au grand public qui n'entend depuis trois ans que les mensonges des grands merdias - aucune chaîne ne pourrait se permettre de censurer les débats.

Et c'est justement pour cette raison que les trumpophobes font tout ce qu'ils peuvent pour pousser un certain nombre de sénateurs républicains à opter pour une méthode "plus douce" qui consisterait à renoncer aux débats. Comme il faut une majorité simple pour décider des témoins à convoquer, il suffit de retourner quatre sénateurs républicains pour empêcher la convocation de témoins gênants. Il ne devrait pas être trop difficile de les trouver parmi ceux dont le siège est remis en jeu en novembre 2020. Ces candidats à la trahison (trahison douce mais trahison quand même) se diront qu'il vaut mieux sauver Trump en bâclant un peu les choses, que de s'offrir un beau feu d'artifice à n'importe quel prix. On voit que Trump ne contrôle toujours pas son parti et qu'il risque fort d'être privé d'une authentique victoire au Sénat.

11 décembre 2019 - Encore cette satanée recrudescence de l'antisémitisme présidentiel : Trump Accused of Antisemitism for Executive Order Protecting Jews.

Croyant bien faire, Trump a signé un décret demandant aux agences fédérales américaines d'appliquer aux Juifs les dispositions figurant au titre VI de la loi sur les droits civiques qui interdit toute discrimination basée sur "la race, la couleur ou les origines nationales". De Jew York à Hollyjood, les protesta-sion-s se sont mises à fuser. Car comme chacun sait, il n'existe ni race juive, ni couleur juive, ni nationalité juive. Seulement des trumpophobes juifs et - hélas - des trumpophiles juifs.

12 décembre 2019 - Le cas Horowitz, dont on parle ces jours-ci (exemple), illustre la futilité des contre-attaques politiques de Donald Trump face à ses ennemis de l'intérieur - quand contre-attaques il y a.

Michael Horowitz est Inspecteur général (IG) du ministère de la Justice depuis avril 2012 (ère Obama). C'est un de ces nombreux hommes de l'ancien régime que le président a gardés pour son malheur. En mars 2018, le ministre William Barr (en principe un partisan de Trump) a chargé Horowitz d'ouvrir une enquête sur le scandale du FBI-Gate (page précédente 31.1.18). Il s'agissait d'écoutes illégales dont avait été victimes le candidat Trump et ses collaborateurs en octobre 2016. Après plus d'un an et demi d'enquête bidon, Horowitz publie un rapport de 480 pages qui arrive à la conclusion qu'il y a eu des "pannes" et des "erreurs" de la part du FBI, mais aucun parti pris politique (sic).

Le même Horowitz avait d'ailleurs fait et dit la même chose en juin 2018 à l'ssue de son "enquête" ouverte en janvier 2017 sur les manigances de James Comey (alors directeur du FBI) et de Hillary Clinton pendant la campagne de 2016. Conclusion là aussi : pas de parti pris politique anti-Trump.

Michel Horowitz est toujours au ministère de la Justice, bien sûr, de même d'ailleurs que Bruce Ohr, un intrigant notoire hostile au président (voir le lien 'FBI-Gate' un peu plus haut).

Finalement, en dehors de ses discours de campagne et de ses tweets, toujours très combatifs, le président n'a rien fait de notable en trois ans pour contrer efficacement ses ennemis.

[Voir également plus haut 15.04.19.]


HORROR-WITZ COMMUNIQUE :

La créature du marais conclut dans son rapport que le marais n'y est pour rien.


13 décembre 2019 - Sans surprise, les 23 représentants démocrates de la Commission des Affaires judiciaires de la Chambre approuvent l'acte d'accusation (articles of impeachment) contre les voix des 17 repésentants républicains. La Chambre au grand complet devrait voter la semaine prochaine.

17 décembre 2019 - La veille du vote à Chambre, Donald Trump envoie à l'Honorable (sic) Nancy Pelosi une lettre d'un peu plus de cinq pages qui constitue un excellent résumé de l'Impeachment Hoax - texte intégral en anglais.

18 décembre 2019 - La majorité démocrate moins quatre députés approuve l'impeachment - détails. Tous les députés républicains sont contre. Ce vote digne d'une reality show que les merdias qualifient d'historique, ne l'est en fait que parce que c'est la première fois dans l'histoire américaine qu'un président élu est confronté à un acte d'accusation absolument vide.

Une chose que Russ Fulcher, député républicain de l'Idaho, a parfaitement bien illustrée dans son allocution au cours des "débats" : "Je vais utiliser le temps de parole qui m'est imparti pour énumérer en détail tous les crimes et méfaits commis par le président des Etats-Unis d'Amérique..."  Et il demeure silencieux pendant tout le reste de son temps de parole.

Autre citation (de Zombie Pelosi, présidente de la Chambre que les gauchistes ont forcée dans la voie de l'impeachment) : "Nos efforts pour destituer Donald Trump sont comparables à ceux déployés par nos troupes pendant la bataille des Ardennes durant la Seconde Guerre mondiale."  Pourquoi seulement cette bataille, et pas le débarquement de Normandie ou la bombe d'Hiroshima ?...



"Tous avec moi !  Nous allons gagner la guerre !..."


19 décembre 2019 - Blague du jour : avant de transmettre l'acte d'accusation bidon au Sénat pour que Donald Trump y soit "jugé", Zombie Pelosi exige de Mitch McConnell (sénateur républicain du Kentucky et chef de la majorité sénatoriale) qu'il lui garantisse un "procès impartial" (a fair trial - sic), c'est-a-dire exactement le contraire de ce que les Démocrates ont fait jusqu'à présent.

Le gang Pelosi-Schiff-Nadler aimerait bien, avec l'aide des Républicains qu'il insulte à longueur de journée, obtenir que le Sénat convoque les "témoins" (comme l'avocat Giuliani ou l'ancien conseiller Bolton ou encore le chef de cabinet Mick Mulvaney) qui ont su jusqu'à présent se soustraire aux injonctions démocrates, appuyés en cela par le président en vertu de son privilège exécutif. Pour le moment, Mitch McConnell refuse de donner suite à cette revendication honteuse.

3 janvier 2020 - Conformément aux vœux des néocons qui le contrôlent, Trump relance la guerre en Irak. Il fait d'abord bombarder les milices pro-iraniennes de ce pays majoritairement chiite (30 morts), puis lorsque les Irakiens ripostent par des manifestations devant l'ambassade US de Bagdad (avec seulement quelques dégâts mineurs), il fait assassiner le général iranien Qassem Soleimani qui commande le Corps des Gardiens de la Révolution Islamique (CGRI).

Satanyahou a dû promettre à l'homme de la Maison Blanche que l'Iran ne réagirait pas à cet acte de guerre, du moins pas de façon sérieuse.

Trump est certes agressif, mais pas plus que ses adversaires qui se félicitent de ce coup porté au régime de Téhéran... tout en reprochant au président de l'avoir porté.  La palme de l'hypocrisie revient à Tulsi Gabbard, candidate "de gauche" aux primaires démocrates et chouchoute des opposants "alternatifs" (voir plus haut 30.7.19). Elle déclare : "Personne ne conteste à quel point Soleimani était malfaisant, mais son élimination finira par mettre en danger la sécurité nationale des USA..." (source)

5 janvier 2020 - Non content d'avoir fait assassiner le général Soleimani, Trump interdit à Téhéran d'envisager des représailles, sous peine de destruction immédiate de 52 cibles iraniennes, y compris des sites culturels, dont la liste lui a été fournie par ses maîtres israéliens. En fait bien sûr, les psychopathes de l'Etat terroriste juif bombardent déjà en rêve dix, cent ou mille fois plus.

Al Trumpone menace également l'Irak qui réclame maintenant le retrait des troupes américaines. Officiellement, il y aurait 5.000 militaires US des forces "régulières" dans le pays et un nombre inconnu de mercenaires "privés" (peut-être trois fois plus). Comment réagit le président ? Pour commencer, il envoie des renforts en Irak (3 ou 4.000 soldats), reproche aux Irakiens de ne pas rembourser leurs "dettes" (qui résultent de la construction et de l'entretien des bases américaines illégales) et annonce des "sanctions" contre les récalcitrants. Tout cela ne manque pas de piquant quand on sait que depuis trente ans, les Américains en Irak n'ont pas cessé de bombarder, détruire, massacrer, piller et voler. On voit que Donald Trump, malgré son "antisémitisme" (voir plus haut 21.11.19), a parfaitement assimilé la morale talmudique de ses professeurs.

Ce qui peut paraître paradoxal dans cette affaire, c'est que la cote de popularité de Trump aux USA va sans doute remonter. Dans un pays où pratiquement tout le monde croit les mensonges permanents de la propagande belliciste, "faire quelque chose" contre les "terroristes iraniens" est un geste qui paie...

8 janvier 2020 - En bon goy du samedi (et des autres jours de la semaine), Trump "justifie" dans un discours l'assassinat sur son ordre du général Soleimani. S'efforçant en vain de ressembler à un vrai chef d'Etat, il récite bêtement les "arguments" que ses conseillers sionistes ont affichés sur son prompteur : menace iranienne, soutien au terrorisme, bombe atomique, etc... Au passage, il décoche une flèche aux Démocrates en reprochant à Obama d'avoir "donné" aux Iraniens des dizaines, sinon des centaines de milliards de dollars pour qu'ils s'achètent toutes ces armes abominables avec lesquelles ils tuent par milliers les pauvres GIs innocents. On connaît ces conneries présidentielles depuis l'époque maintenant lointaine où l'on pouvait encore espérer que Trump se ressaisirait plus ou moins vite - hélas, on se trompait lourdement...

Le plus cocasse aujourd'hui, c'est d'entendre les adversaires du président lui demander de présenter des preuves de l'urgence qu'il y avait, selon lui, à éliminer le général iranien. Des preuves aussi probantes que celles présentées par eux lors de l'impeachment ?...

Au fait, qu'est-il devenu, cet impeachment ?... C'est pas parce qu'on pisse plus loin que les ayatollahs qu'on va y renoncer...

10 janvier 2020 - Le président décrète de nouvelles "sanctions" contre l'Iran - depuis le temps qu'il le fait, on se demande ce qu'il y a encore à sanctionner. Ses ennemis de l'intérieur le sanctionnent lui ausi à la Chambre des Représentants en lui interdisant de faire la guerre contre l'Iran sans leur accord. En réalité, bien sûr, ils n'ont rien contre la guerre, c'est juste pour emmerder Trump. Ils lui en veulent d'être mieux placé qu'eux pour défendre les intérêts de leur cher Israël.

12 janvier 2020 - Maintenant que Téhéran a avoué avoir abattu par erreur un avion civil ukrainien, tout est devenu possible en Iran, même sans guerre ouverte. On peut y envoyer tous les contrôleurs, enquêteurs, agitateurs que l'on veut, et le régime n'a plus le droit de refuser. Trump est au septième ciel, c'est grâce à lui que tout cela arrive... Il se voit déjà l'égal de Lincoln dans les livres d'histoire, pas moins...




15 janvier 2020 - Signature à la Maison Blanche de la première phase d'un accord commercial avec la Chine, accord tout à l'avantage des USA. Pékin annule les rares mesures de rétorsion prises après les "sanctions" américaines et s'engage à acheter en plus aux Etats-Unis l'équivalent de deux ou trois années d'importations. Washington se contente d'annuler une partie de ses tarifs douaniers punitifs et menace ouvertement la Chine si elle ne tient pas ses promesses. Le boycott à l'encontre de Huawei demeure, de même que les poursuites contre ses dirigeants. Pékin cède pour avoir la paix, peut-être avec l'intention de se dédire en appliquant une cause de retrait vaguement esquissée mais dont on ne sait rien de concret.

Quoi qu'il en soit, les Chinois font le jeu de Donald Trump en envoyant à Washington une délégation à la fois moins nombreuse et de moindre niveau. Le président américain les contraint à assister à un show de politique intérieure qui n'a pas grand-chose à voir avec l'accord, et ces idiots de Chinois applaudissent. Un spectacle humiliant pour quiconque possède un grain d'amour-propre, mais les délégués de Pékin ne semblent pas s'en apercevoir. La Chine, puissance mondiale ? Quelle blague !...

16 janvier 2020 - Dans le cadre de l'Impeachment Circus, la Chambre des Représentants transmet l'acte d'accusation au Sénat. Les 100 sénateurs (53 Républicains, 47 Démocrates) constituent le jury d'un "tribunal spécial" appelé à "juger" Donald Trump. Le juge est le président de la Cour Suprême, John Roberts. Ce dernier a été nommé à ce poste par George W. Bush en 2005. Il est conservateur mais pas spécialement favorable au président actuel.

21 janvier 2020 - Après des heures de "débats" entre les sept "impeachment managers" (accusateurs délégués par la majorité de la Chambre) et le groupe d'avocats de la Maison Blanche, le Sénat approuve (par 53 voix contre 47) la marche à suivre pour la semaine à venir et rejette les demandes démocrates (pas moins de onze) de convoquer de nouveaux témoins (leurs témoins). D'un côté, les trumpophobes prétendent que la "culpabilité" du président est "parfaitement établie" ; de l'autre, ils veulent tout recommencer depuis le début, c'est-à-dire rejouer au Sénat la comédie qui a eu tant de succès ces derniers temps à la Chambre des Représentants.

Incapables au cours des quatre derniers mois de présenter à visage découvert de véritables témoins à charge, les Démocrates exigent maintenant que les Républicains les aident à le faire pour eux. Mais ce qu'ils considèrent toujours comme un tabou, ce sont les témoins à décharge : ils risqueraient de détruire les mensonges sur lesquels est bâti cet impeachment et de prouver que c'est en fait le clan Biden qui s'est rendu coupable de ce qu'ils reprochent à Trump (voir plus haut 25.9.19).

Chaque camp dispose à présent de 24 heures (réparties sur trois jours) pour exposer ses arguments au Sénat - détails. Ce qui promet trois jours de propagande anti-Trump ininterrompue sur presque toutes les chaînes - encore pire que d'habitude...

Commentaire du président depuis Davos : "Ces impeachment managers, en particulier Schiff et Nadler, sont des raclures de première" (major sleazebags).

27 janvier 2020 - Après que les trumpophobes aient utilisé en totalité (ou presque) les 24 heures de temps de parole qui leur étaient imparties, c'est au tour des avocats républicains de présenter la défense du président. Dès le départ, ils renoncent à une partie de leur dû, se contentant d'une dizaine d'heures en tout. Le principe est contestable, vu qu'il prive d'antenne un parti déjà très défavorisé en temps normal.

Malgré tout, le public aura eu l'occasion d'entendre un certain nombre d'arguments passés sous silence par la presse, notamment sur Burisma et le Bidengate (voir plus haut 25.9.19), sur le véritable contenu de la fameuse conversation téléphonique entre Trump et Zelenski dont le texte intégral avait déjà été publié fin septembre (voir plus haut), et enfin sur le fait que les deux chefs d'accusation retenus ne constituent en aucun cas un motif de destitution (beaucoup de présidents, à commencer par George Washington, ont été accusés d'abus de pouvoir sans qu'il y ait eu impeachment car la Constitution ne le permet qu'en cas de crime ; d'autre part, le simple exercice d'une prérogative présidentielle pour empêcher une déposition ou la présentation d'un document ne représente pas une entrave au Congrès, sinon aucun président ne pourrait gouverner).

Pour compenser leur obligation purement commerciale de faire preuve d'un peu d'objectivité en diffusant le point de vue des orateurs républicains, les merdias multiplient les "débats" de propagande pendant les pauses et après les séances. Dernière trouvaille : Bolton, le conseiller congédié par Trump le 10.9.19, aurait écrit un livre dans lequel il révèle tout ce qu'il sait. Personne ne l'a encore lu, à l'exception du New York Times, de l'éditeur et du "ghostwriter", mais on sait déjà que le contenu va avoir l'effet d'une bombe : Ci-Haine-Haine ne donne pas cher de la peau du président...

28 janvier 2020 - Trump reçoit Satanyahou à la Maison Blanche pour y célébrer le "deal du siècle" - détails. S'il espérait ainsi détourner l'attention de ses problèmes internes, l'opération est ratée.

29 et 30 janvier 2020 - Double marathon de questions-réponses au Sénat (deux fois huit heures). Chaque sénateur ou groupe de sénateurs peut poser par écrit une question destinée à son propre camp, au camp adverse ou aux deux à la fois. Ces questions ont pour but de clarifier un point particulier... ou de répéter pour la énième fois le même argument ou le même mensonge. Le juge-président John Roberts lit la question à haute voix et l'intéressé (un des "impeachment managers" de la Chambre ou un des avocats de l'équipe présidentielle) y répond en quelques minutes.

Dans cet étrange "procès", les accusateurs, qui font tout pour mériter le qualificatif de "sleazebags" dont les affuble Donald Trump (voir quelques lignes plus haut), se comportent en politiciens au sens le plus péjoratif du terme et se fichent complètement de l'aspect juridique de l'affaire. Les défenseurs, au contraire, sont presque exclusivement fixés sur cet aspect juridique (c'est leur métier) mais certains d'entre eux (comme Patrick Philbin) savent allier les deux domaines et communiquer avec clarté. Ils convaincront sans doute davantage le public que le Sénat qui les écoute en silence.

Pour les cent sénateurs, les règles sont très strictes : présence obligatoire d'un bout à l'autre de chaque séance, silence complet de tous les instants, pas de téléphones, pas d'ordinateurs, pas de journaux, les seuls documents écrits autorisés sont ceux qui se rapportent à l'impeachment lui-même.

31 janvier 2020 - Les Démocrates, après avoir interrogé 18 témoins à la Chambre, en secret et sans possibilité de contre-interrogatoire de la part des Républicains, veulent à tout prix en convoquer d'autres au Sénat, avec l'aide de ces mêmes Républicains. C'est surtout Bolton qui les intéresse : il en veut au président de l'avoir viré et dira tout ce qu'on lui demandera de "révéler". Mais pour obtenir qu'il dépose, il faut que 51 sénateurs soient d'accord, donc quatre Républicains en plus des 47 Démocrates.

Malgré tous leurs efforts (pressions massives sur les hésitants, publication par le New York Times d'extraits du manuscrit imputé à Bolton), les trumpophobes ne parviennent à retourner que deux sénateurs républicains : Susan Collins (Maine) et Mitt Romney (Utah). C'est insuffisant, et le Sénat rejette la motion des "sleazebags" par 51 voix contre 49.

Pour ne pas prolonger les "débats" de façon interminable, les Républicains renoncent également à convoquer les témoins qui leur auraient permis de passer à l'attaque contre le clan Biden - voir plus haut 10.12.19.

3 février 2020 - Le coup d'envoi des primaires démocrates dans l'Iowa tourne à la catastrophe. Trente-six heures après la fermeture des bureaux, il est encore impossible, "pour des raisons techniques", d'obtenir le moindre résultat. La nouvelle appli mobile utilisée pour communiquer les données ne fonctionne pas du tout. Malgré cela, Pete Buttigieg, le plus enculé de tous les enculés du Parti Démocrate - PD (voir plus haut 16.4.19), annonce sa "victoire". En d'autres termes, le candidat sodomiste a été choisi comme "gagnant" par les organisateurs du spectacle électoral.

Et comme par hasard, derrière la société qui a fourni le programme informatique foireux (Shadow Inc.), on trouve le milliardaire israélien Seth Klarman, un des principaux soutiens de Buttigieg - détails.

Commentaire de Donald Trump : "Ces bons à rien de Démocrates ne sont même pas capables de gérer une petite primaire dans un petit Etat. Et ils ont la prétention de gouverner les Etats-Unis..."

4 février 2020 - Comme chaque année à la même date, le président prononce devant le Congrès son discours sur l'état de l'Union. Rien de bien nouveau : tout a été dit sur le bilan politique de Donald Trump. Seul intérêt de ce show : il révèle l'état de désunion entre le président et la patronne de la Chambre, Zombie Pelosi, qui a pris place avec le vice-président Mike Pence derrière l'homme de la Maison Blanche. Au début de la cérémonie, après qu'il lui ait remis un exemplaire de son discours, Pelosi lui tend la main mais Trump l'ignore et tourne le dos à celle qui a cautionné le cirque de l'impeachment. 78 minutes plus tard, pour se venger, Pelosi déchire ostensiblement le discours présidentiel. Entre-temps, elle a dû applaudir à de nombreuses reprises les paroles du président, parfois même debout : mais comment faire autrement quand Trump appelle à soutenir Israël ou à condamner "le terrorisme iranien", pour ne citer que deux exemples parmi beaucoup d'autres où le consensus est parfait...


 


5 février 2020 - Le Sénat se prononce contre la destitution de Donald Trump, par 52 voix contre 48 pour ce qui est du premier chef d'accusation (abus de pouvoir) et par 53 contre 47 pour le second (entrave au Congrès). La voix manquante dans le premier cas est celle de Mitt Romney (sénateur républicain de l'Utah).

C'est une défaite aussi cuisante que prévisible pour les trumpophobes, mais ils ne songent pas pour autant à en tirer les conséquences. Au contraire, ils s'engagent à poursuivre leur campagne de haine et de harcèlement. Charles Schumer (chef de la minorité démocrate au Sénat) annonce même la préparation d'un nouvel impeachment pour le cas où Trump serait réélu en novembre. En attendant, le président savoure sa victoire.



7 février 2020 - Donald Trump congédie Gordon Sondland (ambassadeur américain auprès de l'UE) et Alexander Vindman (membre du Conseil de Sécurité Nationale de la Maison Blanche). Les deux hommes avaient "témoigné" contre lui dans le cadre de l'Impeachment Hoax - voir plus haut 21.11.19.

24 février 2020 - En voyage officiel en Inde, le président américain est reçu comme un rock star à Ahmedabad, grande ville de l'Etat de Gujarat (nord-ouest du pays, au nord de Bombay). 125.000 personnes remplissent le stade de cricket Motera. Trump y fait l'éloge de ce "grand et beau pays" et de son Premier ministre Narendra Modi (natif du Gujarat). Si les Indiens pouvaient voter en novembre 2020, Donald Trump serait réélu avec 90 % des voix. A défaut de cela, il espère engranger les suffrages des Américains originaires de l'Inde et aussi - c'est le but de son voyage - récolter de juteux contrats d'armement.

On peut se demander au passage pourquoi Trump n'a jamais essayé de tenir ses meetings électoraux dans de grands stades américains. Certes, aucun n'a la capacité du Motera Stadium, mais il en existe beaucoup qui peuvent accueillir 60 ou 80.000 personnes. Jusqu'à présent, Trump s'est contenté d'arènes de 10 à 20.000 places, obligeant beaucoup de ses fans à rester dehors... ou chez eux.

Autre question, qu'on se pose depuis longtemps en rapport avec la "First Lady" Melania Trump (bien entendue présente en Inde). Née en Slovénie (alors yougoslave) en 1970, elle y est restée jusqu'en 1993. Arrivée aux Etats-Unis en 2001, elle a obtenu la nationalité américaine en 2006 ; elle est mariée à Donald Trump depuis 2005. Le slovène étant sa langue maternelle, et sachant que cette langue est assez proche d'autres langues slaves parlées dans les pays de l'UE comme la Croatie, la Pologne, la Bulgarie, la Tchéquie, la Slovaquie (les gens se comprennent entre eux même lorsque chacun s'exprime dans sa propre langue), il est clair que Melania Trump, si son mari le permettait et s'il cessait de l'enfermer dans un rôle traditionnel où elle ne brille guère (son anglais n'est pas terrible et lui vaut de nombreuses moqueries), Melania Trump, donc, pourrait ouvrir au président de nombreuses portes non seulement à Ljubljana mais aussi dans des capitales européennes où la dictature bruxelloise n'est pas spécialement appréciée.

Finalement, le président a laissé passer plus d'une chance dans des domaines où il n'avait aucun blocage à attendre de la part de l'Etat profond. Too bad ! comme il a l'habitude de le dire...


Après Ahmedabad, le Taj Mahal d'Agra:
 
- Ici ils ne parlent pas le slovène mais c'est bien quand même...
- Ouais, mais c'est moins spectaculaire que mon Taj Mahal d'Atlantic City.


8 mars 2020 - Du côté démocrate, la situation pré-électorale semble se décanter. Sauf surprise à venir, il ne reste plus que deux candidats à la candidature : Joe Biden et Bernie Sanders. Le premier s'adapte comme il peut à la situation après que les autorités sanitaires aient déconseillé les poignées de mains pour cause de coronavirus. Sanders, lui, veut exclure de son parti les militants qui déshonorent le drapeau en le brandissant à l'envers.

  

11 mars 2020 - Corona Hoax (voir également ici)

Dans cette affaire cousue de fil blanc, Donald Trump a d'abord intuitivement flairé la supercherie qui consiste à mettre sur le compte d'un "nouveau virus" toutes les maladies et tous les décès ayant en réalité une autre cause : grippe saisonnière, pneumonie, etc... Mais les choses étant ce qu'elles sont, les pressions exercées sur lui l'ont conduit à "agir", c'est-à-dire à s'aligner sur ses conseillers.

Résultat dans un premier temps : une interdiction faite aux ressortissants de certains pays européens d'entrer aux Etats-Unis, et ce pour une durée de 30 jours. Mais comme souvent, quand Trump interdit ou "sanctionne", le diable est dans les détails.

26 pays sont touchés, dont 22 membres de l'UE sur 27. Les cinq pays exonérés sont l'Irlande (on comprend, Trump a un golf-hôtel dans ce pays) mais aussi (on se demande pourquoi) la Roumanie, la Bulgarie, Chypre et la Croatie (pas la Slovénie de son épouse). Parmi les pays européens hors UE, quatre sont frappés d'interdit (la Suisse, le Liechtenstein, la Norvège et l'Islande) tandis que tous les autres ne le sont pas (pour le Royaume-Uni on comprend, mais pas pour la Russie, l'Ukraine, la Moldavie et quelques autres - si des citoyens de ces pays ont un visa d'entrée pour les USA, ils ne tombent pas sous le coup de l'interdiction, ce qui est pour le moins illogique). Bref, Trump a encore une fois semé le chaos... en attendant de tout modifier/annuler/réformer dans les prochains jours.

Ses adversaires politiques l'accusent d'incompétence. La veille, ils lui reprochaient son inaction. Ils savent que le point fort du président, jusqu'à présent, a été l'économie et surtout la bourse. Avec cette hystérie virale, ils espèrent bien en faire son point faible...

En novembre 2016, lorsque Trump a été élu, le Dow Jones était à 18.000. Le 12 février 2020, il était passé à 29.500 (une augmentation de 64 %). Le 12 mars 2020, après un mois de folie coronale, l'indice américain retombe à 21.200, soit un recul de 28 % par rapport à son maximum, mais encore 18 % au-dessus du niveau de novembre 2016.


"Ils m'ont pas eu avec leur Russia Hoax, ils m'ont pas eu avec leur Impeachment,
et maintenant, avec c'connard-là d'virus, ils veulent m'attraper par les bourses...
"

14 mars 2020 - En attendant de l'avoir par les bourses (on en est encore assez loin puisque le Dow Jones est remonté de 10 % le 13 mars, et pourtant c'était un vendredi), en attendant, donc, les ennemis de Donald Trump l'attrapent par le corona. Ils l'obligent à passer un test de dépistage (test bidon apparu en même temps que la maladie). Et comme le résultat est négatif et que ça ne veut pas dire grand-chose, certains continuent de réclamer la mise en quarantaine du président. Pour ainsi dire un impeachment sanitaire qui devrait durer non pas 40 jours mais 40 semaines, jusqu'aux élections, avec bien sûr une interdiction totale de parler, même avec un masque, car ça favorise la contagion.

A défaut d'en arriver là, c'est quand même la fin des meetings électoraux de 20.000 personnes, maintenant que le délire coronal s'est emparé des Etats-Unis. Non seulement Trump capitule devant l'hystérie générale, mais il essaie d'en faire plus que les autres. Au passage, il interdit aussi aux Britanniques et aux Irlandais d'entrer aux USA (voir un peu plus haut 11.3.20). On ignore si la pénurie qui se dessine çà et là a déjà atteint la Maison Blanche (probablement pas). En tout cas, on apprend que les stocks de PQ de Donald Trump ne sont pas encore épuisés. Son dernier tweet : "Les gauchistes me font chier, mais je tiens bon..."

Pourquoi on ne trouve plus de papier toilette dans les magasins

La bonne nouvelle du jour : les journaux imprimés, en tête desquels le New York Times, ont vu leurs ventes augmenter de 850 %. Les experts se demandent pourquoi...

18 mars 2020 - La bourse continue de chuter (Dow Jones à moins de 20.000 aujourd'hui). Mauvais pour Trump, on approche du niveau de novembre 2016. Les centaines, voire les milliers de milliards de dollars (billions - en anglais "trillions") dont la Fed inonde Wall Street pour "soutenir l'économie" (en fait pour alimenter les bulles sur le point d'éclater) ne servent strictement à rien. Une gigantesque crise financière s'annonce, camouflée derrière un coronavirus dont on sait maintenant qu'il a été fabriqué dans ce but.

Le demi-tour subit opéré par Trump il y a tout juste une semaine et son soutien total et inconditionnel au cirque de la pandémie, a des conséquences désastreuses pour les Etats-Unis, avec la paralysie et la dégradation de vastes secteurs de l'économie : industrie, commerce, transports, tourisme, restauration, loisirs, sports, etc... Mais on ne peut pas reprocher au président de ne pas comprendre de quoi il retourne, puisque même parmi les "influenceurs" pratiquement personne ne comprend - à moins d'être payé pour couvrir les fauteurs de crise. Toujours est-il que Donald Trump va être tenu pour responsable des millions d'emplois perdus. Son bonus économique s'effondre en dépit des aides promises pour compenser les effets du virus - des sommes elles aussi astronomiques qui iront en très grande partie enrichir encore plus les riches profiteurs.

A moins que la "découverte" rapide d'un vaccin ne vienne tout arranger (mais pourquoi les architectes du désastre le permettraient-ils ?) on ne voit pas comment Trump pourrait s'en sortir. En face de lui, du côté démocrate, les manipulateurs du casting électoral ont décidé que Biden (au début, le plus minable de tous les candidats) serait désormais plus populaire que Sanders. On peut leur faire confiance, ils savent compter. Et ils comptent les voix aux primaires aussi bien qu'ils comptent les cas de coronavirus.

19 mars 2020 - La candidate démocrate "de gauche" Tulsi Gabbard (voir plus haut 30.7.19) quitte le cirque des primaires et se désiste en faveur de Biden (!)  Ses partisans doivent apprécier... Elle ne pouvait pas appeler à voter Bernie Sanders, vu que ce dernier est lui aussi sur le point de se retirer de la course, également au profit de Sleepy Joe. Céder sa place à un candidat soi-disant mieux placé est une spécialité de Sanders, c'est pour ainsi dire inscrit dans son ADN. Il l'avait déjà fait en 2016, en échange d'une "indemnité" de 600.000 dollars. Cette année, il peut espérer toucher un million...

24 mars 2020 - Même si les dessous de la crise du coronavirus restent encore cachés aux yeux du monde, on commence à se douter que le but recherché par ses promoteurs était de frapper les Etats-Unis (en passant d'abord par la Chine, l'Iran et l'Europe). Car c'est seulement en prenant toute son ampleur aux USA, en y provoquant un nouveau 11 septembre pire que le premier, que cette crise ouvre toutes les possibilités, à commencer par l'instauration de la loi martiale pour raisons sanitaires. Et une fois que la chose se sera imposée outre-Atlantique, aucun autre pays ne pourra s'y soustraire.

Tout est fin prêt pour le cas où le gouvernement serait paralysé et dans l'impossibilité de gouverner (il l'est déjà depuis le premier jour, mais c'est une autre affaire). Un général prendrait le pouvoir à la place de Donald Trump (qui n'a pratiquement aucun pouvoir). En attendant, la plupart des Etats des USA décrètent des mesures plus ou moins dictatoriales au nom de la lutte contre le coronavirus.

Signe symbolique : l'Etat et la ville de New York sont les plus touchés. Normal, puisque la "Big Apple" est le nombril du monde. Plus de sept milliards d'humains tremblent en voyant les images de Times Square attaqué par l'abominable virus, comme ils ont tremblé 19 ans plus tôt (ils étaient moins nombreux) en voyant les images du World Trade Center attaqué par l'abominable homme des cavernes afghanes. Dans son grand succès New York, New York, Frank Sinatra chantait : "If you make it there, you'll make it everywhere..."  C'est vrai, pour que tout le monde soit convaincu (con vaincu), il faut que ça se passe dans cette capitale du globalisme, la ville la plus importante de la planète après Jérusalem, comme dirait Jacob Attali.

Le gouverneur démocrate de l'Etat de New York, Andrew Cuomo, en profite pour se mettre sur le devant de la scène et de CNN. "Nous sommes votre avenir", pleurniche-t-il en boucle. "Ce qui nous arrive aujourd'hui vous arrivera demain, dans une, deux ou trois semaines..." Au train où vont les choses, on ne serait pas étonné si l'Etat profond choisissait le futuriste Cuomo comme candidat à la présidentielle à la place du nullissime Biden, bien que Cuomo n'ait jamais été en lice, mais ce n'est pas un obstacle...

Trump, lui, se débat comme il peut, annonce que les conséquences économiques (désastreuses) de la crise auront disparu dans deux ou trois semaines (après Pâques). En fait, il ne sait même pas ce qui se passera dans vingt-quatre heures. Pour le blogueur américain Jon Rappoport, le vrai président des Etats-Unis est maintenant le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et maladies infectieuses.

Rappoport : "Fauci est aux commandes depuis le début. La dévastation économique délibérée qui frappe à présent les USA suite aux mesures de confinement dont personne ne sait combien de temps elles vont durer, c'est lui... Si Fauci et ses cohortes du CDC [autorités sanitaires américaines] et de l'OMS [Organisation mondiale de la Santé] disent que « l'épidémie » va encore durer deux mois, la dévastation durera deux mois. S'ils disent six mois, elle durera six mois. Et s'ils disent un an, elle durera un an...  Fauci prime Trump. Trump a pratiquement été mis à l'écart..."

Mais le président a quand même réussi à faire passer une loi qui, sans empêcher la dévastation économique, "indemnise" les pertes qui en résultent - mais pas pour tout le monde, faut quand même pas exagérer, ce sont surtout les grandes entreprises qui en ont besoin. La somme annoncée est de 2.000.000.000.000 de dollars. Si on partageait cet argent équitablement entre tous les citoyens, chacun (du nouveau-né au centenaire) toucherait 6.000 dollars.

En réalité, ceux qui ont la chance de remplir certains critères (difficiles à déterminer, surtout pour un non-Américain, car enfouis dans un texte de 880 pages) recevront dans le meilleur des cas un chèque de 1.200 dollars, une somme avec laquelle il leur faudra vivre tout le temps que durera la crise (3 mois, 6 mois, un an ?) et encore cela ne concerne que les gens qui paient des impôts sur le revenu. Ceux qui ne sont pas imposables parce que trop pauvres repartiront les mains vides. Le tableau suivant donne une idée de la répartition des deux billions d'aide (2.000 milliards - en anglais "2 trillion").



532 milliards pour le big business, 61 pour les compagnies aériennes, 377 pour les PME (ce qui fait déjà 970 milliards), 290 pour les particuliers chanceux, 290 pour les réductions d'impôt (pour qui ?), 260 pour l'assurance chômage (près de 4 millions de nouveaux chômeurs en quelques jours dans un pays où les indemnités sont versées moins longtemps qu'en Europe), et 150 milliards pour les aides locales (pour qui ?). On arrive à un total de 1.960 milliards. Ça ne fait pas tout à fait deux billions, mais il y a un "supplément" de 385 milliards "divers", dont 126 milliards pour les hôpitaux et les soins médicaux aux militaires, 45 pour la FEMA (et ses camps de concentration sanitaires), 31 pour l'éducation, 27 pour les stocks de vaccins de Big Pharma, 25 pour l'infrastructure (une goutte d'eau, alors que Trump voulait tout remettre en état), et enfin 131 milliards d'autres dépenses (pour qui ?).

Donald Trump est particulièrement fier de cette "aide" et multiplie les conférences de presse pour s'en vanter. Conférences de presse où les gens sont entassés les uns sur les autres, alors que les règles sanitaires officielles interdisent les rassemblements de plus de deux personnes et exigent une distance minimum de six pieds entre les individus...  Ils vont tous la choper, cette grippe saisonnière...

31 mars 2020 - Donald Trump joue à fond la carte de la panique, se fiant à 100 % aux données bidon que lui fournit son nouveau supérieur hiérarchique Anthony Fauci (voir un peu plus haut 24.3.20). Selon ces chiffres, le coronavirus aurait tué 4.000 personnes aux USA, ce qui résulte probablement d'un décompte à l'italienne, le bilan réel étant sans doute 50 ou 100 fois plus faible (à rapprocher également des 23.000 morts américains de la grippe 2019-20 dont personne ne parle, sauf le site LiveScience). Selon Trump (ou plutôt selon son ventriloque Fauci) l'épidémie de Corona va faire jusqu'à 240.000 morts rien qu'aux USA - pourquoi pas 250.000 ou 3.333.000 ?...

Les Etats-Unis comptent 330 millions d'habitants (350 avec les illégaux). Le taux annuel de mortalité y est de 0,8 % (inférieur au taux italien). Chaque année 2.800.000 personnes meurent (environ 7.700 par jour). De quoi ces gens meurent-ils ? Quand ce n'est pas dû aux accidents, aux meurtres, aux catastrophes naturelles ou à la drogue, ils meurent de maladies diverses dont certaines affectent les voies respiratoires. Personne ne s'intéresse aux gens décédés de pneumonie, de tuberculose, de la grippe, des suites de la pollution ou de la vaccination, ou morts d'une infection contagieuse contractée à l'hôpital. Et là, subitement, on nous raconte que tous ces gens sont des victimes du coronavirus, y compris ceux qui sont tout simplement morts de vieillesse ou ceux que le système le plus "libéral" du monde a refusé de soigner parce qu'ils n'avaient pas d'assurance maladie ou que leur couverture était insuffisante.

Donald Trump, qui est loin, très loin d'être un imbécile à la George W. Bush (le président du 11 septembre), sait tout cela ou du moins il s'en doute, mais il n'y peut rien... Il continue de parler beaucoup mais n'a plus grand-chose à dire, à tel point que ses ennemis font campagne pour que toutes les chaînes de télé boycottent ses conférences de presse. Maintenant qu'il obéit au doigt et à l'œil, tout est permis et tout est possible.



Fauci : Comme vous pouvez le voir, là juste devant moi, je suis The President of the United States...
Trump : Ecoutez-le et faites ce qu'il dit. Et si vous avez perdu votre emploi, ne vous inquiétez pas,
vous aurez peut-être la chance de vous retrouver parmi les 240.000...

2 avril 2020 - Nouvelle vague de licenciements : 6 millions cette semaine, soit en tout 10 millions en quinze jours. Et ce n'est qu'un début... On aimerait savoir ce qu'en pensent les partisans de Trump - s'il en a encore...

Tous les meetings électoraux sont annulés, ce qui vaut sans doute mieux pour le président que de se faire huer en public. Pour les Démocrates, ça ne change pratiquement rien, vu que personne n'allait les voir, et surtout pas avec Biden comme candidat. Nul ne sait combien de temps va durer cette crise préfabriquée, mais il est question de remplacer les conventions des deux partis (prévues pour juillet) par des "événements" en ligne. Avec une appli mobile comme celle du 3.2.20 (voir plus haut), on risque de bien rigoler. Même chose si l'élection du 3 novembre a lieu uniquement via Internet, sans bureaux de vote, à cause du virus.

Al-Coronaïda et le terrorisme sanitaire   -   Corona et crise financière

11 avril 2020 - Près de 7 millions de nouveaux chômeurs en une semaine, 17 millions en tout en trois semaines. Trump a de bonnes raisons de paniquer. Il aimerait bien lever le confinement et remettre l'économie en marche aux alentours du 1er mai. Mais il ne faut pas y compter, et ce pour plusieurs raisons : 1) les corona-comploteurs ne se sont pas donné toute cette peine pour renoncer si vite à leurs plans - 2) la "task force sanitaire" qu'ils ont mise en place avec Fauci à sa tête ne va pas se laisser déposer comme ça - 3) la plupart des ordres de confinement émanent des gouverneurs d'Etat ou des maires de grandes villes. Trump ne peut pas les annuler et d'ailleurs, en près de quatre ans, il n'a pas été capable de résister victorieusement à toutes les saletés de moindre ampleur imaginées par ces gens : immigration illégale, villes sanctuaires, recours aux tribunaux pour stopper sa politique.

Avant de retourner à ce qu'ils appellent "la normale", qui n'a rien à voir avec ce que Donald Trump entend par là, les responsables de cette crise de terrorisme sanitaire ont déjà fait connaître par leurs "think tanks" (American Enterprise Institute, Center for American "Progress", Safra Center for "Ethics") à quelles conditions terrifiantes ils comptent lever (partiellement) le confinement actuel - The terrifying reports that tell the truth about how lockdown ends (Daily Mail) : géolocalisation, traçage et surveillance électroniques de masse, tests médicaux à une échelle inimaginable, réinstauration du couvre-feu et des fermetures à tout moment "en cas de besoin", généralisation du télétravail, interdiction permanente des rassemblements de plus de x personnes, etc, etc...

Avec au bout du compte, quand un vaccin produit en assez grande quantité le permettra, la vaccination obligatoire universelle voulue par Bill Gates et Big Pharma. On sait déjà par d'autres déclarations que pour pouvoir participer à une vie redevenue "normale", il faudra - comme en Chine - avoir le feu vert des autorités sous forme d'un certificat d'immunité ou de quelque chose de similaire.

Les initiateurs de cette terreur sanitaire sont certainement surpris de voir avec quelle facilité et quelle rapidité la population se plie à leurs volontés. Il est vrai que depuis le 11 septembre 2001, les gens sont particulièrement crédules. Ils ont accepté sans broncher les pires absurdités qu'on leur a imposées, comme par exemple d'enlever leurs chaussures avant de prendre l'avion. A présent, il n'y a plus du tout d'avions à prendre. Il y a encore des chaussures, mais le jour où le gouvernement leur ordonnera d'aller pieds nus, à cause du virus, tous les Américains obéiront (les Européens aussi).

Cette docilité inattendue est très prometteuse. Elle facilitera les mesures ultérieures, elles aussi dans les cartons, par exemple la confiscation (sanitaire ou autre) des avoirs et des biens (comptes, fonds de retraite, maisons, voitures...) de centaines de millions de moutons de Panurge rien qu'aux Etats-Unis, pays de la "liberté" s'il en est. Tant qu'il n'y aura pas de résistance, et il n'y en aura probablement pas, on s'enfoncera toujours plus dans l'horreur...

16 avril 2020 - Plus de cinq millions de nouveaux chômeurs aux Etats-Unis en une semaine. Total au cours des quatre dernières semaines : 22 millions. Ceux qui ont la chance de conserver leur emploi risquent de connaître bientôt une forme moderne d'esclavage. Le blog ZeroHedge signale en effet que les usines Ford dans le Michigan vont imposer aux travailleurs le port d'un bracelet électronique qui donne l'alerte chaque fois que l'intervalle minimum de six pieds entre les personnes n'est pas respecté. Le syndicat de l'industrie automobile UAW a donné son accord. Il va de soi que ce bracelet permettra aussi de suivre en temps réel chaque déplacement - pour ne pas dire chaque mouvement - de tous ces esclaves que Ford n'a pas encore remplacés par des robots.

En dehors des usines, la résistance au confinement (voir quelques lignes plus haut) semble se manifester par endroits (voir ici) mais de manière encore très modeste, ce qui facilite la répression de l'Etat policier.


   
Bas les pattes (Gadsden Flag)  -  Mettez fin au confinement  /  Arrêtez cette folie, c'est juste le virus du rhume !  Pour notre bien à tous, mettez fin aux fermetures !

C'est là que la Gestapo sanitaire intervient et procède à l'arrestation d'une dangereuse terroriste d'Al-Coronaïda.


Comme toujours, Donald Trump est très en retrait par rapport à "la rue" qui le soutient. Il évite à tout prix d'encourager ses partisans qui disent ce que lui-même disait quelques semaines plus tôt avant d'être mis au pas par ses "conseillers"...

Mais le président considère qu'il a tout de même remporté une grande victoire : son nom va figurer sur les chèques que l'administration enverra aux particuliers dans le cadre de l'aide fiscale - voir plus haut.

18 avril 2020 - Epidémie de fièvre caphteuse parmi les bovins new-yorkais : New Yorkers can report social distancing violations by texting photos to authorities. De Blasio, le maire démocrate de la ville, a demandé à ses veaux de dénoncer immédiatement toute violation de la règle de "distanciation sociale", par exemple dans les files d'attente des supermarchés, ou - pire encore - s'il y a quelque part "une foule" de plus de deux suspects, surtout quand ils brandissent des pancartes hostiles au confinement. Envoyez votre message de dénonciation avec la preuve photographique au 311-692, vous sauverez des vies... Le problème à l'heure actuelle, c'est que l'appli de traçage automatique n'est pas encore installée partout. Il y a même des gens qui n'ont pas de smartphone...

23 avril 2020 - L'hystérie du confinement ("lockdown") et la destruction de l'économie se poursuivent inexorablement : 4,5 millions de nouveaux chômeurs en huit jours, soit 26,5 millions en cinq semaines. Les protestations commencées une semaine plus tôt continuent un peu partout, mais à un niveau très bas, quelques centaines de personnes par ci par là, rarement un millier, ce qui est bien insuffisant pour stopper quoi que ce soit. Trump lui-même semble avoir totalement capitulé face à la "task force" qui le manipule. Il désapprouve même ouvertement la décision du gouverneur républicain de Géorgie, Brian Kemp, de lever (très) partiellement le confinement - détails. Et pourtant, les mesures prises par Kemp sont plus que modestes, à la limite de l'absurde : les cinémas, les salles de sport, les salons de coiffure et les restaurants ont le droit d'ouvrir mais en respectant la règle des six pieds. Il n'est pas précisé si les clients des restaurants devront garder leur masque anti-Corona pour manger, comme le font les femmes saoudiennes voilées. Et pour ce qui est des coiffeurs, même Edward va avoir du mal à respecter les consignes...

Certains gouverneurs républicains, comme Doug Ducey (Arizona), refusent toute levée - même partielle - du confinement. On voit donc des électeurs républicains manifester contre ces dirigeants du même parti qu'ils considèrent comme des traîtres. Bien entendu, les merdias ne s'étendent pas trop sur le sujet, si ce n'est pour dénigrer et insulter les rares personnes lucides que compte encore le pays. Comme il se doit, Ci-Haine-Haine mène la danse. A Phoenix (capitale de l'Arizona), ils ont déniché une infirmière de l'unité de soins intensifs (ICU), peut-être aussi réelle que celle de Koweït en 1990, et en font une "héroïne" qui a osé braver toute seule (en silence) les méchants confinophobes de la ville. Chris Cuomo, journalope de la chaîne fake news et frère du gouverneur de l'Etat de New York (voir plus haut 24.3.20), est d'autant plus fier de l'accueillir qu'il est lui-même un soi-disant rescapé du soi-disant Covid-19.


Les merdias utilisent à fond le Corona pour attaquer Trump du matin au soir, l'accusant de soutenir les adversaires du confinement (si ça pouvait être vrai !) et de "nier la science", c'est-à-dire de n'être ni (tout à fait) du même avis que les pseudo-scientifiques payés par Big Pharma, ni (du tout) d'accord avec les climato-fétichistes... CO2 et Corona - même combat, même tireurs de ficelles...  Vive le CO2RONA !...

On commence à se douter que la situation "sanitaire" va perdurer au moins jusqu'à la fin de l'année et que la présidence Trump n'y survivra pas. Car enfin, même sans fraude massive de la part de l'Etat profond et de ses créatures, qui voudra encore réélire un homme qui a tout fait - consciemment ou inconsciemment - pour que ses partisans le lâchent ?...

Après avoir laissé filer sa dernière chance de reprendre les choses en mains, l'impuissant et pathétique "patron" de la Maison Blanche, au cours des six mois qui lui restent jusqu'à l'élection de novembre, risque de devoir lui aussi rester confiné, quoique de manière moins désagréable que le commun des mortels. Finis les voyages à l'étranger, seules occasions de repirer plus de vingt-quatre heures au milieu de gens qui ne lui sont pas systématiquement hostiles. L'Inde (voir plus haut 24.2.20) aura été, sans doute, la dernière et la meilleure de ces occasions. Finis aussi les bains de foule avec ses supporters - combien lui en reste-t-il ?...  Trump n'est même pas certain de pouvoir encore se déplacer à l'intérieur des Etats-Unis. Mais il ne peut s'en prendre qu'à lui-même, lui qui s'est livré pieds et poings liés au criminel Fauci.

Pour donner le change, le président aime s'en prendre à la Chine qu'il accuse de tous les maux dans cette affaire, alors que le rôle exact de ce pays dans la machination globale du Corona est loin d'être clair. Il n'est d'ailleurs pas impossible que Pékin ait, depuis le début, discrètement collaboré avec les (ir)responsables du Deep State américain, en occultant "l'homme le plus puissant de la planète". Les mêmes mesures dictatoriales et tout à fait dans la ligne de l'agenda mondialiste ont été prises de part et d'autre - et ce n'est certainement pas une coïncidence - voir  La Chine et le coronavirus.

27 avril 2020 - Deux jours plus tôt, Donald Trump avait signalé via Twitter qu'il en avait assez des questions systématiquement hostiles posées au cours des conférences de presse de la Maison Blanche par les représentants des médias Fake News, et du refus tout aussi systématique de ces gens de s'en tenir aux faits. "Ça n'en vaut pas la peine, c'est du temps perdu..." s'était plaint le président.

Chose connue depuis longtemps... On s'est toujours demandé pourquoi Trump n'a pas mis fin à ce cirque dès 2017, ou du moins pourquoi il n'a pas viré les provocateurs. Toujours est-il que sa sortie du 25 n'a pas été suivie d'effet : les conférences de presse ont lieu comme si de rien n'était, le président le plus masochiste de toute l'histoire des Etats-Unis va se faire fouetter quotidiennement par les merdias pervers.

Aujourd'hui, une certaine Olivia Nuzzi du New York Magazine, lance au président : "Pensez-vous que vous méritez d'être réélu, sachant que le nombre d'Américains morts du coronavirus dépasse déjà le nombre de soldats US tués pendant la guerre du Viêt-Nam ?..." (environ 50.000). A quoi le nullard de la Maison Blanche répond : "Oui, nous avons perdu beaucoup de monde, mais si vous prenez les projections initiales (2,2 millions), nous nous en sortons bien grâce aux mesures prises. Nous allons probablement vers les 60-70.000 morts, même si c'est beaucoup trop. Même un seul mort est un mort de trop..."

Chaque année, selon ce tableau du CDC, les maladies cardiaques tuent 13 fois plus d'Américains que la guerre du Viêt-Nam en 10 ans. Comparé à une année de guerre, cela donne en moyenne 130 fois plus. Pour le cancer c'est 120 fois plus, pour les accidents 34 fois plus, pour les maladies respiratoires chroniques 32 fois plus, pour les attaques cérébrales 30 fois plus, pour la maladie d'Alzheimer 24 fois plus, pour le diabète 16 fois plus, pour la grippe et la pneunomie 11 fois plus, pour les maladies rénales 10 fois plus, et pour les suicides 10 fois plus également - des chiffres éloquents qu'on peut se procurer en deux clics, même quand on est président - ce que Trump ne fait pas.

L'homme de la Maison Blanche s'est tellement laissé manœuvrer dans cette impasse du Corona Hoax, qu'il n'y a plus aucun espoir qu'il revienne un jour à son intuition première et dénonce la super-supercherie dans l'intérêt de ses concitoyens et dans son intérêt à lui... Dans ces conditions, la réponse à la question posée par Nuzzi est : Non, il ne mérite vraiment pas d'être réélu !...

30 avril 2020 - 3,8 millions de nouveaux chômeurs cette semaine, plus de 30 millions en tout en six semaines. Et encore, les chiffres réels sont plus élevés - même la presse américaine l'admet et parle de 40 millions - car beaucoup de ceux qui ont perdu leur emploi ne se font pas enregistrer pour une raison ou pour une autre.

Donald Trump pense s'en tirer en attaquant violemment la Chine qu'il accuse d'avoir répandu le virus aux Etats-Unis et dans le monde entier. La réalité, que le président ne connaît pas ou ne veut pas connaître, est sensiblement différente : La Chine et le coronavirus. La question n'est pas tant de savoir qui a lâché ce virus, en fait pas plus dangereux que celui de la grippe, mais de comprendre qui aux Etats-Unis s'est entendu ou arrangé avec qui en Chine pour lancer en commun, et naturellement à l'insu du président, un virus autrement plus redoutable : celui de la terreur sanitaire qui ravage l'économie et détruit la société, surtout aux USA.


Les adversaires du "lockdown" commencent à bouger. A Lansing, la capitale du Michigan, plusieurs centaines de citoyens montrent à la gouverneure démocrate ce qu'ils pensent de la prolongation du confinement qu'elle vient de décréter. Par la même occasion, ils lui font savoir où elle peut se mettre son masque et sa règle des six pieds. Un groupe de manifestants envahit même le Capitole de l'Etat, certains d'entre eux sont armés. On comprend pourquoi "la gauche" veut à tout prix désarmer les gens. On risque de bien rigoler lorsque Bill Gates essaiera de les faire vacciner de force.


 

 

 

 


Lansing est seulement une ville parmi des douzaines et des douzaines d'autres. Les mêmes scènes se reproduisent un peu partout aux USA. Dans le New Hampshire on rappelle la citation de Benjamin Franklin ("Quiconque est disposé à abandonner une partie de sa liberté au nom d'une prétendue sécurité, ne mérite ni l'une ni l'autre") et on met en garde les coronaristes ("Ma liberté ne s'arrête pas là où commence ta frayeur"). Dans l'Oregon on recommande de "désinfecter le gouvernement" (bonne idée). Ailleurs, quel scandale, on se serre la main comme avant la Grande Peur du Corona Hoax... Bien sûr, tout cela reste malgré tout très limité - ce qui ne serait pas le cas si la censure, la propagande et la répression n'étouffaient pas d'avance toute violation de la pensée unique, et si le gouvernement "non désinfecté" de Washington ne s'était pas rangé du côté des faussaires... Quel gâchis !...


Trump n'a aucune raison de ne pas faire confiance à sa
Task Force Covid-19 (dirigée par Anthony Fauci et Deborah Birx)



De gauche à droite : Fauci, Bill Gates, Bill Gates, Birx


Histoire de calmer l'impatience qui se manifeste sur la banquette arrière, Birx sort de sa boîte à gants un nouveau "modèle scientifique" qui prédit pour bientôt 134.000 morts aux USA (pas 133 ni 135, c'est dire si c'est sérieux et précis). A comparer aux 60-70.000 que Trump annonçait l'autre jour (27.4.20) ; c'est qu'il n'avait pas tenu compte de la deuxième vague*. Eh oui, le Corona, c'est comme ça : quand tu crois que c'est fini, ça recommence. D'où la nécessité de toujours garder les yeux fixés sur le compteur et de ne pas déconfiner trop vite.

* D'accord, un mois plus tôt Donald Trump parlait de 240.000 morts (31.3.20). Mais ça n'a aucune importance car personne ne regarde les conférences de presse de la veille et encore moins celles du mois précédent. Et puis, chacun sait que l'homme le puissant de la planète répète toujours ce que lui souffle Fauci-Fauça...

"Déconfiner" ne signifie pas lever le confinement et revenir à la situation d'avant le Corona Hoax. Non, "déconfiner" c'est annuler une toute petite partie des restrictions existantes et les remplacer par d'autres dix fois pires. Tu peux aller de nouveau dans telle ou telle église, dans tel ou tel musée ou jardin botanique, mais seulement à condition de te faire enregistrer en ligne une semaine à l'avance en communiquant toutes tes données personnelles pour que l'église ou le musée ou le jardin en question puisse s'assurer, après consultation des services compétents, que tu es digne de bénéficier de ce "déconfinement". Et si c'est le cas, ils te rappelleront pour te dire le jour et l'heure de ta visite. Petit à petit, on fera la même chose pour les restaurants, les plages, les parcs d'attraction, les salles de sport, etc... Même si ça risque de prendre un certain temps et même si on ne sait pas encore comment on fera pour contôler le respect des règles de distanciation. Mais grâce aux drones et à la délation sanitaire anonyme, nul doute qu'on parviendra à surmonter cette période floue où la surveillance en ligne de tout un chacun ne sera pas encore garantie 24h/24.

Finalement, dans quelque temps (pas en 2020 ni peut-être même en 2021), quand tout le monde aura l'appli qu'il faut sur son téléphone (avec le certificat numérique de vaccination volontaire obligatoire) et que Trump ne sera plus qu'un mauvais souvenir, on pourra faire mine de "revenir à la normale". Mais bien sûr, il y aura toujours de nouvelles vagues de virus (3ème, 4ème, 5ème... énième) comme il y a toujours eu des attentats islamistes après le 11 septembre...

3 mai 2020 - Donald Trump, qui se considérait déjà comme l'égal d'Abraham Lincoln, vient de prouver aujourd'hui qu'il ne lui arrive pas à la cheville (il manque encore plusieurs mètres) :


Avec Fox News au Lincoln Memorial de Washington

7 mai 2020 - 3,2 millions de chômeurs supplémentaires cette semaine, soit au total 33,5 millions en sept semaines (chiffres officiels inférieurs à la réalité). Simultanément, les statisques officielles indiquent un taux de chômage (bidonné) de 14,7 % calculé de la façon suivante : chômeurs 23,1 millions divisé par la population "active" (c'est-à-dire en âge de travailler) 156,5 millions (23,1 m de chômeurs + 133,4 m ayant encore un emploi) le tout multiplié par 100.

Malheureusement, il n'y a pas 23,1 millions de chômeurs au total, mais 33,5 millions de nouveaux chômeurs (ce qui représente 21,4 % de 156,5 millions) + le socle de 3,6 % (5,6 millions) qui existait avant le début de la crise, donc un taux de chômage effectif de 25 % (39 millions). En tenant compte des chômeurs non inscrits, le taux réel doit se situer autour de 30 % (47 millions), le double de ce que prétend le tableau.

Aucun gouvernement américain de ces 240 dernières années n'a jamais coulé aussi vite le "marché du travail"... Bravo Donald, continue de faire confiance à tes "conseillers sanitaires", tu es sur la bonne voie...


Woodstock Occurred in the Middle of a Pandemic  par Jeffrey Tucker.  Il y a plus de 50 ans, une épidémie de grippe (dite de Hong Kong), bien plus grave que la pandémie bidon de 2020, tuait 100.000 personnes aux USA et 1.000.000 dans le monde. Qui s'en souvient aujourd'hui ? Pratiquement personne... Pas étonnant, vu que même les jeunes de l'époque, trop occupés au festival de Woodstock (août 1969), ignoraient son existence. A la limite, ils en avaient vaguement entendu parler par leurs parents ou grands-parents. Aucun commerce n'était fermé, aucune usine arrêtée, les transports fonctionnaient normalement, les voyages n'étaient pas interdits, personne n'était confiné à domicile et encore moins jeté en prison pour avoir mis le nez dehors. Pas de panique ni d'hystérie générale du matin au soir. Pas de masque obligatoire ni de distanciation à la con. Tout continuait comme avant - y compris la guerre du Viêt-Nam, hélas...


Egalement le 7 mai, fin (provisoire ?) de l'affaire Flynn - détails. Le général Michael Flynn, éphémère chef du Conseil de Sécurité Nationale de la Maison Blanche, avait été "démissionné" au bout de trois semaines dans des conditions particulièrement louches (voir page précédente 12-16 février 2017). Ce limogeage d'un des plus loyaux soutiens du président avait marqué le début du basculement de la politique de Donald Trump.

Trahi et lâché par le président, Flynn avait ensuite été inculpé pour avoir "menti au FBI" dans le cadre de l'enquête bidon du Russia Hoax (1er décembre 2017). Contraint de plaider "coupable", il n'avait pourtant jamais été condamné, la "Justice" ayant toujours reporté sa décision. On apprend aujourd'hui que les fausses accusations portées contre lui vont être abandonnées.

C'est le moment que choisit Donald Trump pour déclarer :  "Michael Flynn était un homme innocent. Maintenant, à mes yeux, c'est un guerrier encore plus grand. Il a été ciblé par l'administration Obama, et il a été ciblé pour essayer de faire tomber un président. J'espère que beaucoup de gens vont payer le prix fort, parce que ce sont des gens malhonnêtes et corrompus. Ce sont des ordures... [They're human scum] "

Et cela après avoir lui-même permis le scandale en conservant dans son administration les résidus trumpophobes de l'ère Obama, après avoir personnellement déclenché l'affaire sous la pression de ses ennemis, et après s'être tu pendant plus de trois ans alors qu'il avait le pouvoir de stopper cette "chasse aux sorcières" (une expression qu'il utilise fréquemment)...  C'est tout simplement lamentable - bien que sans grande importance quand on songe aux effets désastreux d'une lâcheté présidentielle cent fois plus grave face au Corona Hoax...

10 mai 2020 - Les manifestations contre la pandémie planifiée ou PLANDEMIC se poursuivent partout aux USA, dans les capitales d'Etats, comme par exemple devant le Capitole de l'Oregon à Salem ou celui de la Californie à Sacramento ou encore celui du Massachusetts à Boston. La plupart du temps, les protestataires soutiennent Trump - mais Trump, malheureusement, ne les soutient pas.

Quiconque participe à ces rassemblements est automatiquement un extrémiste de droite, un nazi, un raciste du Klu Klux Klan et un suprémaciste blanc. Les merdias et leurs inspirateurs le disent et le répètent jour et nuit. Ces cons-là ont beau avoir inventé le Corona Hoax, ils n'ont certainement pas inventé l'eau chaude...


Ici, un goy noir payé par le Jew York Times nous "explique"
qu'on ne peut pas séparer la véhémence des protestations anti-
lockdown de la "blanchitude" de leurs auteurs, et que ceux qui
veulent redémarrer l'économie ignorent le fait que "beaucoup"
de victimes du Corona appartiennent à d'autres groupes raciaux.
["Beaucoup" comme dans tous les domaines...]

12 mai 2020 - Le faussaire Fauci "témoigne" par vidéoconférence devant la commission sénatoriale sur la Santé : "Les conséquences pourraient être très graves si un Etat, une ville ou un comté décidait de rouvrir son économie avant que les conditions nécessaires ne soient réunies" (comprenez : avant que Faufaux n'ait donné son feu vert). Le paniqueur en chef répète pour la énième fois qu'il va y avoir une deuxième vague de virus, une troisième, une quatrième, etc. et que les enfants sont eux aussi menacés. Mais on peut quand même rester optimiste car le vaccin salvateur est pour bientôt (Bill Gates nous l'a promis).


En attendant, portons le nouveau masque
encore plus efficace et plus élégant que l'ancien...



et respectons les nouvelles règles de distanciation

à la maison...



et dans la rue.


N'empêche que grâce aux statistiques de Fauci, les gens sont de plus en plus nombreux aux USA à mourir du coronavirus, même les dompteurs de Las Vegas quand ils se font attaquer par leurs tigres...

14 mai 2020 - 3 millions de chômeurs de plus cette semaine, soit au total 36,5 millions en huit semaines. En réalité 42 millions, pour ne pas dire 50 - voir plus haut 7 mai 2020. Si l'on mettait tous ces gens les uns derrière les autres avec six pieds d'intervalle pour obéir à la Lex Faucica, on obtiendrait une file de 90.000 km, plus de deux fois le tour du monde - mais ce serait vachement difficile à réaliser, à moins que Donald Trump ne leur apprenne à marcher sur l'eau...


Et pendant ce temps-là banksters et merdias continuent de mentir,
"prédisant" que le taux de chômage "pourrait" grimper à 25 %
comme pendant la Grande Dépression des années 1930...

... alors que ce taux est déjà de 27 % au moins, et probablement de 32 % (voir le tableau du 7 mai)




Donald Trump est-il en train de perdre ses plus fidèles supporters ?

Après que le président ait déclaré vouloir mobiliser l'armée pour inoculer de force à la population un vaccin
dont la production n'a même pas encore commencé, Alex Jones le supplie de ne pas trahir sa base.


21 mai 2020 - 2,4 millions de chômeurs supplémentaires cette semaine, près de 39 millions en neuf semaines - en tout 44,5 millions (28,5 %) avec les gens déjà au chômage avant le début de la crise, et même 53 millions (34 %) en y ajoutant les sans-emploi qui n'ont pas déposé de demande (voir plus haut : 7 mai et 14 mai 2020).






DONALD TRUMP ET SON POISSON D'AVRIL DU 24 MAI :


28 mai 2020 - 2.125.000 chômeurs de plus cette semaine, soit 41 millions en dix semaines. Avec les 5,6 millions déjà au chômage avant le début du Corona Hoax, on arrive à un total d'environ 46,5 millions (30 %) auquel il faut ajouter les millions de sans-travail non inscrits (voir plus haut : 7 mai).

Le déconfinement bidon décrété çà et là n'apporte aucune amélioration sur le "marché du travail". Mais les merdias sont heureux de constater que le nombre de chômeurs de la semaine est moins élevé que celui des semaines précédentes - on se console comme on peut : l'augmentation est en diminution...  Et puis, la bourse, alimentée par "l'argent gratuit" de la Fed et totalement déconnectée de la réalité économique, récupère peu à peu ce qu'elle avait perdu après le 11 mars. Le Dow Jones est de nouveau au-dessus de 25.000 et ne devrait pas tarder à retrouver son niveau le plus élevé (près de 30.000).


Dans le monde réel, à Minneapolis, un flic blanc (un certain Derek Chauvin) tue un suspect noir (George Floyd) arrêté lors d'un contrôle. La victime est plaquée au sol, un genou du policier lui écrasant le cou. Il ne peut plus respirer, le dit au flic ("I can't breathe") mais celui-ci l'ignore ou pense que ce n'est pas si grave puisque le gars peut encore parler. La scène est filmée et diffusée partout, à la suite de quoi les protestations violentes se multiplient et tournent à l'émeute, avec pillages et incendies criminels.




 

 
Le mouvement pro-démocratie du Minnesota entre en action (comme on dit à Hong Kong).

Petit intermède : Trump vs Twitter

Depuis qu'il est à la Maison Blanche, Donald Trump écrit et envoie chaque jour une douzaine de messages, généralement le matin, sans jamais être inquiété par la mafia innommable qui gère ce réseau "social" (contrairement à des milliers d'autres utilisateurs).

Or, il se trouve que le 27 mai, un tweet présidentiel dénonçant le vote par correspondance et/ou par procuration que ses ennemis démocrates tentent d'imposer pour l'élection de novembre sous prétexte de coronavirus (en réalité pour faciliter la fraude), est affublé par Twitter de la mention dégradante Vérifiez les faits - autant dire Attention, Fake News.

Donald Trump, qui n'a jamais rien fait au cours de ces dernières années quand la censure frappait les autres, se réveille brusquement et publie un décret (détails) par lequel il supprime l'immunité conférée aux réseaux "sociaux" par la section 230(c) de la loi dite "Communications Decency Act" lorsque ces réseaux, quand ils effacent des contenus "indécents", ne se cantonnent pas à l'apologie de la violence et à la pédophilie, mais censurent également les opinions politiques qui leur déplaisent, violant ainsi la liberté d'expression garantie par la Constitution. Le président veut mettre fin à ce scandale qui résulte d'un privilège injustifié.

Les arguments avancés dans la première partie du décret sont solides malgré l'obligatoire digression antichinoise. Il est clair toutefois que la mesure voulue par Trump n'a aucune chance d'aboutir pour au moins deux raisons : 1) la coopération du Congrès est nécessaire pour amender une loi, ce qui est exclu dans les conditions actuelles - 2) le complexe mafieux Twitter-Facebook-Google-YouTube a tous les avocats et tous les juges qu'il faut pour bloquer l'action de la Maison Blanche.

A peine Trump a-t-il signé son décret, que Twitter récidive et censure un message dans lequel le président qualifait les émeutiers de Minneapolis de "malfrats (thugs)", ce qui constitue paraît-il une incitation à la violence (sic) contraire aux conditions d'utilisation.

29-30 mai 2020 - Emeutes de Minneapolis (suite)

Les émeutiers mettent le feu à un commissariat de police que les flics, courageux mais pas téméraires, avaient évacué à temps. La garde nationale est appelée à la rescousse... CNN et consorts font preuve d'une extrême complaisance à l'égard des "protestataires", présentés comme des victimes innocentes de la brutalité policière. Cette attitude des merdias contraste fortement avec celle qu'ils affichent quand ce sont les adversaires du Corona Hoax qui descendent dans la rue (sans exactions ni violences).

Les désordres s'étendent à de nombreuses autres villes des Etats-Unis : d'abord Saint-Paul, la cité jumelle de Minneapolis, puis New York, Newark, Philadelphie, Cleveland, Columbus, Détroit, Chicago, Los Angeles, Oakland, San José, Albuquerque, Dallas, Atlanta, Miami, Pensacola, Louisville, Baltimore* et même Washington, où les émeutiers s'en prennent à la Maison Blanche - logique, puisque tout ce qui arrive est imputable à Donald Trump et à ses suprémacistes blancs... Ce qui semblait spontané au départ est de toute évidence coordonné depuis un centre plus ou moins occulte mais pas forcément noir.

* Il est clair que Baltimore la Magnifique ne pouvait pas se tenir à l'écart des événements - voir plus haut 27.7.19.  Elijah Cummings est mort entre-temps, mais les rats se portent bien...

31 mai 2020 - Les émeutes continuent de plus belle, accompagnées de pillages et d'incendies criminels d'un bout à l'autre des USA, malgré le couvre-feu. Des dizaines de nouvelles villes sont touchées en plus de celles déjà mentionnées plus haut. Au moins trois morts dans l'Indiana, et les flics n'y sont pour rien. Echaudés par Minneapolis, ils auraient plutôt tendance à faire profil bas, laissant la garde nationale essayer de rétablir l'ordre à leur place. Quand on ne met pas le feu à leurs véhicules ou à leurs commissariats, on les accueille avec des pancartes "ACAB" (All Cops Are Bastards), très populaires ces derniers temps. A Jacksonville (Floride) un flic a été poignardé - il le méritait sûrement...

A Nashville, à défaut d'un poste de police, les émeutiers ont incendié la mairie. A Beverly Hills, ils ont pillé les boutiques de luxe. A Fayetteville (Caroline du Nord), un "manifestant pacifique" à qui personne n'avait appris à se servir d'un cocktail Molotov, s'est enflammé lui-même. Un peu partout dans les Etats "sudistes" (Virginie, Carolines, Mississippi) les "protestataires" détruisent ou vandalisent les monuments historiques confédérés qui avaient échappé à la rage des trois dernières années. A Louisville (Kentucky) les racistes de BLM - Black Lives Matter (en français : les vies noires comptent, les autres pas - une organisation financée par Soros) vandalisent la statue de Louis XVI et lui coupent la main droite (mais pas la tête, ils sont trop cons pour savoir qui était Louis XVI). Sur le socle, ils barbouillent leur slogan "Tous les flics soutiennent le suprémacisme blanc" (aucun rapport) et un peu plus loin leur fameux "ACAB" (voir quelques lignes plus haut). Louisville est nommée ainsi en l'honneur de ce roi de France qui aida les Américains dans leur guerre d'indépendance contre les Anglais (Lafayette).

Donald Trump désigne ouvertement les manipulateurs (blancs) derrière toutes ces violences : la "gauche" radicale et les "antifas". Le président a l'intention d'inscrire ces derniers sur la liste des organisations terroristes interdites aux USA. Voilà qui va faire beaucoup de peine à Mister $✡R✡$ qui les finance eux aussi.  Quoi qu'il en soit, on comprend mieux à présent pourquoi les merdias servent de porte-voix aux émeutiers.

Le tsunami parti de Minneapolis a d'ores et déjà deux avantages pour les maîtres de l'Amérique :  1) plus personne ne parle des 46 ou 50 ou 55 millions de chômeurs (28.5.20) - 2) plus personne ne manifeste contre le confinement, source de chômage et de destruction de l'économie.  On pourrait penser que les initiateurs de l'opération ont habilement profité de l'occasion qui se présentait à eux, mais il n'en est rien. Les "incidents" comme celui de Minneapolis sont monnaie courante aux Etats-Unis. On n'en compte pas moins d'un millier par an, trois par jours. Si la télé n'en parle pas, ce n'est pas parce qu'ils sont moins choquants. En fait, le meurtre rapporté par la presse ne semble plus scandaleux que les autres, dont nous ne savons rien, que parce que les merdias l'ont monté en épingle, dans le but justement d'obtenir le résultat voulu que nous voyons se dérouler sous nos yeux. Et puis, il n'est pas impossible qu'on nous dise bientôt que le relâchement des sacro-saintes règles sanitaires (le masque et les six pieds) pendant les émeutes et les pillages, va "malheureusement" entraîner une deuxième vague de coronavirus. On n'y peut rien, on vous avait prévenus...



" Je ne suis pas un émeutier, juste un facho 'antifa' chargé de contrôler que tout s'est bien passé. ...
Comme vous pouvez le voir, je suis très discipliné : on m'a dit de porter un masque, je porte un masque...
"


1er juin 2020 - Les émeutes se poursuivent, encouragées par les merdias qui ne cessent de les justifier en parlant de "manifestations pacifiques". Le culte de George Floyd se développe, on vend même des T-shirts I can't breathe, bien entendu noirs, mais ils existent aussi en rose, pour ainsi dire en version Pink Floyd - ah non, faut pas dire ça, c'est raciste-suprémaciste.

A Minneapolis et ailleurs, des flics manifestent contre les violences policières ou s'humilient en se mettant à genoux pour demander pardon. Tout cela, bien sûr, sur ordre de leur hiérarchie contrôlée par les meneurs de jeu. Comme on peut le voir sur les photos, les policiers portent bien gentiment le masque imposé par le Corona Hoax et s'efforcent de respecter les intervalles de six pieds - pas tous, il va falloir prendre des sanctions... En attendant, pillards et pyromanes peuvent s'en donner à cœur joie, ce ne sont pas les flics qui viendront les déranger dans leurs activités pacifiques. Il reste encore la garde nationale, mais elle reçoit ses ordres des gouverneurs, dont beaucoup ont capitulé ou font cause commune avec les émeutiers (et préfèrent de toute façon sévir contre les covidés désobéissants). L'armée fédérale est-elle tout ce qui reste à Donald Trump pour empêcher le chaos général ?... A la limite, il faudra faire appel aux Nations Unies. Mais instaurer une "no-fly zone" au-dessus des USA est inutile, car il n'y a plus de trafic aérien.

Dallas 2016 - Tony Timpa tué par les flics dans des conditions qui rappellent l'affaire George Floyd : "Timpa a été asphyxié par la police durant son arrestation. Il hurla « vous allez me tuer », et c'est ce qui s'est passé. Alors qu'il gisait sans vie, les officiers, hilares, balançaient des blagues. Pas d'émeute, pas d'emballement médiatique. Vous n'avez même jamais entendu son nom. Il était blanc..." Et les coupables n'ont jamais été condamnés...  L'article mentionne aussi d'autres cas scandaleux, comme le meurtre commis en juillet 2017 à Minneapolis (déjà !) par l'officier de police noir Mohamed Noor, qui abattit d'une balle dans la poitrine une femme blanche, Justine Damond, qui venait d'appeler la police pour signaler un viol.

En 2020, si un Blanc mourrait étouffé par la police après avoir dit qu'il ne pouvait pas respirer, il serait automatiquement déclaré "mort du Covid-19". La chose est peut-être même déjà arrivée et nous n'en savons rien...


LE RÔLE DE LA TÉLÉ :


Grâce aux courroies de transmission dont ils disposent dans les pays étroitement contrôlés par l'Empire, les groupes subversifs sponsorisés par Soros (fascistes "antifa" et racistes noirs BLM) organisent des manifestions "spontanées" dans différentes villes du monde : Montréal, Calgary, Berlin, Bruxelles, Gand, Zurich, Paris, Bordeaux, Amsterdam, Londres, Manchester, Dublin et même Auckland en Nouvelle-Zélande. Ce qui prouve bien, s'il en était besoin, que ce cirque est effectivement téléguidé depuis un centre unique.

2-3 juin 2020 - Après une semaine d'émeutes "pacifiques", y compris devant la Maison Blanche ou à proximité, la question de l'intervention de l'armée se pose de manière aiguë. Trump est pour, du moins en paroles. Mais comme bien souvent quand il annonce quelque chose, la réalisation tarde à venir ou est vite oubliée. Dans ce cas précis, il faudrait qu'il exerce les pouvoirs que lui confère l'Insurrection Act, et qu'il le fasse sans attendre. Or, il se trouve que son ministre de la Défense, Mark Esper, le désavoue publiquement en s'opposant au déploiement de l'armée. Esper, qui occupe ce poste depuis juin 2019, a pourtant été choisi par le président - un bien mauvais choix, et ce n'est pas le premier. James Mattis, un autre ministre de la Défense de Trump, un ancien, "démissionné" en décembre 2018 (voir plus haut 21.12.18), critique également Trump mais de manière plus virulente.

 
A un jet de pierre du Bureau ovale, le président est confronté à ces trois slogans de ses ennemis :
Fuck Trump, ACAB (All Cops Are Bastards) et FTP (Fuck The Police).
Imagine-t-on une chose pareille près de l'Elysée ou du 10 Downing Street ?


4 juin 2020 - 1,9 millions de nouveaux chômeurs cette semaine, soit près de 43 millions en onze semaines. Avec le socle de 5,6 millions existant déjà avant le début de la fausse pandémie, on arrive à un total de 48,5 millions (31 %) auquel il faut ajouter les millions de chômeurs non enregistrés (voir plus haut : 7 mai).

Les flics du Minnesota formés par les forces israéliennes aux techniques de contention (Steve Sweeney/La Cause du Peuple).

Israelis Trained the Minnesota Cop How to Kill  (Paul Craig Roberts).

Nombreuses photos des émeutes et pillages "pacifiques" à Washington, New York, Philadelphie, Boston, Chicago, Los Angeles  (Daily Mail).

All Rioters, Arsonists, Looters in St. Louis Freed from Jail Without Charges. Tous les émeutiers, pyromanes et pillards arrêtés à St-Louis ont été libérés sans inculpation. Même chose à New York et à Washington (et sans doute ailleurs). A Minneapolis, il est question de démanteler le Police Department (détails) ou du moins de resteindre ses domaines d'intervention (pourchasser les adversaires du confinement, c'est OK ; inquiéter les émeutiers, les fachos "antifa" et les activistes MLB, c'est du racisme-suprémacisme).

Comme les services religieux sont toujours interdits en Californie pour cause de Corona, le site humoristique Babylon Bee conseille aux fidèles qui veulent assister à une messe clandestine, de se déguiser en émeutiers. Si vous entrez dans une église avec un cocktail Molotov à la main, aucun flic ne vous arrêtera...  Autre méthode très efficace pour contourner les interdictions sanitaires dans les églises : déclarer qu'on rend hommage à George Floyd.

5 juin 2020 - Les émeutes de Minneapolis : Candace Owens accuse Soros.  Candace Owens (31 ans) est une militante afro-américaine proche du parti républicain, qui dit les choses suivantes :

"Les questions raciales sont amenées dans le débat politique par les Démocrates à des fins électorales pour éviter de se concentrer sur les vrais problèmes... Les Noirs aux Etats-Unis sont manipulés... Les voyous d'Antifa sont à l'origine de la plupart des destructions et utilisent les Noirs et la mort de George Floyd comme bouclier pour leur anarchie... D'abord, les Démocrates ont brûlé notre économie, appauvrissant des millions de personnes par le mensonge de la virulence du coronavirus. Maintenant, ils soutiennent l'incendie de villes entières. Cette année a été un acte de guerre contre Donald Trump et les gens qui ont voté pour lui... Les Démocrates utilisent les Noirs contre les Blancs pour provoquer une guerre de civilisation, tout ça dans le seul but de nuire au président et pour l'empêcher de gagner les prochaines élections... L'Open Society Foundation de George Soros distribue de l'argent aux Noirs américains pour qu'ils se révoltent. Cette organisation qui répand la haine et divise l'Amérique est une honte, et Soros lui-même est une saleté absolue à mes yeux..."

Ses prises de position valent à la militante noire d'être traitée de "raciste" et de... "suprémaciste blanche" (sic) - voir ici.

African Immigrant to BLM Protesters : 'Black Lives Matter Is a Joke - You Are The Racists'. Une autre Afro-Américaine, Nestride Yumga, affronte dans la rue un groupe de "protestataires" de BLM :

"Black Lives Matter est une vaste plaisanterie, les racistes c'est vous... Vous êtes des hypocrites, vous refusez de reconnaître la croissance exponentielle des crimes Noirs-contre-Noirs, particulièrement à Chicago et dans d'autres villes démocrates [Baltimore !]... Quand des Noirs tuent des Noirs, vous ne venez pas semer tout ce bordel. C'est seulement quand un Blanc tue un Noir... Allez à Chicago, ils n'ont pas d'écoles et ils meurent tous les jours [rien que pendant le long week-end du Memorial Day du 23 au 25 mai, 24 tués par balles et 60 blessés]. Mais vous vous en foutez parce que vous ne pouvez en tirer aucun profit... Bande d'hypocrites, allez dans les quartiers de Southeast DC et Northeast DC [partie est de Washington]. Si les vies noires comptent pour vous, elles devraient compter partout. Pas besoin d'un flic blanc qui tue un Noir pour que ça compte..."


C'EST QUOI "ANTIFA" ?
 
C'est ça : Shalope Israël + LGBiToQ + Terrorisme "de gauche"



BLM OU BNM ?

Ne soyons pas méchants, gardons le sigle BLM :
Black Looters Matter




Soros : "Bien joué, les gars !..."



En France aussi, on adore BLM : Blacks Love Macrotte


6 juin 2020 - Malgré l'auto-humiliation de nombreuses "autorités" blanches face à la dictature BLM (sénateurs à genoux pour demander pardon), malgré l'écœurante pleurniche du maire juif de Minneapolis, Jacob Frey, aux obsèques de Floyd, malgré les mesures prises dans plusieurs villes pour paralyser la police (limitation des cas dans lesquels elle a le droit d'intervenir, interdiction d'immobiliser les suspects, interdiction d'utiliser des gaz lacrymogènes), malgré le fait que Trump a désormais abandonné toute intention de faire usage de l'armée, les organisateurs des manifestations-émeutes trouvent que tout cela ne va pas assez loin. Ils exigent de supprimer le financement de la police (c'est-à-dire de supprimer la police elle-même, les gangs BLM-"Antifa" se feront un plaisir de prendre le relais... et l'argent). C'est tellement grotesque que même le maire de Minneapolis refuse (autant émigrer tout de suite en Israël) et se fait jeter d'une manif (rassurez-vous, ce n'est pas de l'antisémitisme)...

Bref, le chaos s'instaure peu à peu, et il ne prendra fin - probablement - que lorsque Trump sera parti de la Maison Blanche. Après, évidemment, tout rentrera dans l'ordre. Mais tout ne redeviendra pas comme avant : le racisme anti-Blancs, déjà courant aux USA (voir plus haut 5.8.19 ce qu'en dit Paul Craig Roberts), sera obligatoire et institutionnalisé dans tous les domaines. La communauté élue des "Blancs de Blancs", qui œuvre avec son représentant Soros à accélérer cette mutation, devra faire attention si elle ne veut pas elle-même en pâtir (voir le maire de Minneapolis). Inutile de préciser que l'immigration illimitée voulue par les ennemis de Trump, facilitera le processus.

Ce que l'on ne sait pas encore pour le moment, c'est de quelle manière les deux projets globalistes lancés depuis peu (Corona Hoax et émeutes anti-Trump) se développeront dans les prochaines semaines et les prochains mois. En partie contradictoires et antagoniques, ils promettent d'augmenter le désordre.

Le président, assis sur son siège éjectable, attend le 3 novembre et ne semble plus se préoccuper de ses (anciens) supporters. On ne voit vraiment pas ce qu'il pourrait encore leur offrir, à part ses tweets pathétiques - quand ils ne sont pas censurés ou effacés.

7 juin 2020 - Au conseil municipal de Minneapolis, le maire Jacob Frey est attaqué pour son refus de mettre fin au financement de la police. Le "pauvre" n'a pas compris que le geste que BLM attend de lui n'est pas celui de la photo de gauche mais l'autre :

 


Quand on joue avec le feu, on se brûle...


8 juin 2020 - Retour sur les monuments détruits ou vandalisés dans les Etats "sudistes" (voir plus haut 31.5.20). La même chose s'est produite en Martinique, où la version locale de BLM s'est défoulée sur la statue de Victor Schœlcher, l'homme politique (blanc) qui fit abolir l'esclavage aux Antilles françaises en 1848.

La statue de Schœlcher à Fort-de-France avant et après le passage des barbares noirs ignorants.

Voir également : L'esclavage dans les colonies françaises d'Amérique.



LE SIGNE DISTINCTIF DES MARIONNETTES DE $✡R✡$ :
  
C'est la marque de fabrique de toutes les "révolutions colorées"
et de toutes les "oppositions" téléguidées de ces vingt dernières années.
(voir ici)


10 juin 2020 - La folie destructrice des gangs BLM-"Antifa" continue, tant dans les Etats "sudistes" (à Richmond, Virgine, ils abattent une statue de Christophe Colomb et la jettent dans un lac) que dans les Etats "nordistes" (à Boston, Massachusetts, ils décapitent le célèbre navigateur). A Washington DC, les talibans de Mister Soros vandalisent la statue de Mahatma Gandhi qui se trouve devant l'ambassade indienne. Ne pouvant accéder au mémorial Lincoln de la capitale américaine pour le démolir, ils se vengent sur la statue londonienne de ce président.  Et puisque Colomb, Lincoln, Schœlcher et Gandhi sont devenus d'abominables racistes et suprémacistes blancs, personne ne s'étonnera que le film Autant en emporte le vent ait été censuré pour le même motif. Si le livre de Margaret Mitchell n'est pas encore interdit, c'est parce que les amputés du cerveau de Black Shit Matters ne savent pas qu'il existe.

A Seattle (Etat de Washington), la racaille gauchiste occupe le quartier de Capitol Hill (haut lieu de la communauté enculturelle LGBiToQ) et le déclare "zone autonome sans flics" (cop-free Capitol Hill Autonomous Zone - CHAZ). Les flics, échaudés, laissent faire et abandonnent le commissariat local situé au centre de la zone : on les comprend... Les revendications des occupants : annulation complète du financement de la police, confiscation des fonds de retraite des policiers, abolition de la justice pénale, amnistie totale pour tous les illégaux, etc. etc...

Dans une interview à Fox News, Donald Trump déclare : "Nous n'allons pas laisser les anarchistes occuper Seattle. Si la mairesse et le gouverneur ne redressent pas la situation, c'est nous qui le ferons..."  On aimerait bien voir ça ... Trump ne parvient même pas à contrôler sa propre boutique. Et s'il comptait vraiment envoyer l'armée faire le ménage à Seattle, c'est râpé : Le Pentagone est contre lui (Réseau Voltaire).


L'anarchie sorosienne, c'est pas fait pour les chiens :

(SPD = Seattle Police Department)

Les milices gauchistes menacent de créer beaucoup d'autres "CHAZ"
partout aux USA - tant que Soros les finance, autant en profiter...

Apparemment, les initiateurs du projet "table rase" se sont inspirés de la "révolution culturelle" chinoise des années 1960. Pour consolider son pouvoir face aux cadres récalcitrants du parti communiste, son chef Mao Tsé-Toung s'était servi de la jeunesse ("Gardes rouges") pour tout chambouler et créer une décennie de chaos, le tout au nom d'une idéologie aussi extrême que débile. La Chine ne s'en était jamais remise du vivant de Mao (mort en 1976). Aujourd'hui, on a au moins la certitude que tout se calmera avec le départ de Donald Trump (probablement dès le 4 novembre 2020).

11 juin 2020 - 1,5 millions de nouveaux chômeurs cette semaine, soit 44,2 millions en douze semaines. Avec le socle de 5,6 millions déjà existant avant le Corona Hoax, on arrive à un total de près de 50 millions (32 %) auquel il faut ajouter les millions de chômeurs non inscrits (voir plus haut : 7 mai). La réouverture bidon de l'économie crée bien entendu infiniment moins d'emplois que le lockdown (toujours réel) n'en détruit semaine après semaine. La différence se traduit tout juste par un ralentissement (très relatif) du rythme de croissance du chômage.

12 juin 2020 - A Seattle, la "Zone autonome de Capitol Hill" (Capitol Hill Autonomous Zone - CHAZ) vient de bénéficier d'un "upgrade" politico-diplomatique. C'est désormais une République populaire (People's Republic of Capitol Hill - PRCH - ne pas confondre avec People's Republic of China - PRC).


Frontière entre la PRCH et les USA. La devise du nouvel Etat est ACAB (All Cops Are Bastards)
et son code numérique 1312 (1ère, 3ème, 1ère et 2ème lettre de l'alphabet).
BLM et "Antifa" savent compter jusqu'à trois, c'est déjà ça...



Aussi populaire que la Chine mais un peu plus petite, la PRCH n'est pas assez profonde
pour y mettre un Etat profond. Soros se serait-il fait niquer ?...



En attendant la mise à jour du drapeau, on utilise encore celui de la veille
(rose comme les anciens résidents du quartier, noir comme les nouveaux).
Les parapluies sont une allusion au climat (il pleut un jour sur deux)
et un clin d'œil à une autre révolu-sion de Soros,
celle des parapluies de Hong Kong.


13 juin 2020 - A Atlanta (Géorgie), un voyou noir alcoolisé, un certain Rayshard Brooks, bloque l'entrée d'un drive-in de la chaîne Wendy's et empêche le passage des clients. A l'arrivée de la police, le délinquant résiste, vole le taser d'un des policiers et le menace avec cette arme. Le flic tire et blesse grièvement Brooks qui meurt peu après - source.

C'est un incident mortel impliquant la police comme il s'en produit tous les jours aux USA - et on ne parle pas des innombrables Noirs tués par des gangsters noirs. Qu'à cela ne tienne, les merdias s'emparent de l'affaire et créent un nouveau martyr. Atlanta est une ville majoritairement noire, avec une mairesse noire, une cheffe de la police noire et des flics le plus souvent noirs. Mais bizarrement, on ne sait pas si le policier qui a tiré était noir ou blanc*. Aucune importance, c'est suffisant pour relancer les émeutes et incendier le Wendy's (géré par un Noir) ainsi qu'une douzaine de voitures appartenant également à des Noirs.

* Le lendemain on apprend que le policier flingueur et son collègue sont blancs. Mais on ne saura jamais qui a mis le feu au quartier : comme toujours en pareil cas, il n'y aura pas d'enquête. D'ailleurs qui devrait enquêter ?  La police ?...

Pour la petite histoire : il existe à Atlanta une secte "chrétienne" entièrement noire qui a pour nom Israel United in Christ. Voilà qui explique certaines choses. Plus de 150 ans après l'abolition de l'esclavage, les descendants d'esclaves sont toujours aussi obéissants vis-à-vis de leurs maîtres juifs - y compris quand ces derniers leur disent d'aller manifester contre le "suprémacisme blanc".

Les manifestations, organisées à l'échelle internationale par les sbires de Soros, sont particulièrement virulentes en Angleterre, où toutes les statues sont menacées, même celles de Winston Churchill et de Nelson Mandela (!) mais où une partie de la population résiste aux attaques des talibans noirs... et se fait insulter par le Premier ministre Boris Johnson qui fait semblant de ne pas remarquer l'omniprésent racisme anti-blanc.

BoJo continue d'ailleurs de soutenir l'absurdité de la "distanciation", sauf quand elle est massivement violée par les voyous BLM-"Antifa", comme ici à Brighton, au sud de Londres. Même chose à Paris où les merdias du service public donnent des conseils pour contourner les interdictions sanitaires quand c'est pour la "bonne cause". Paris où l'on résiste également à la dictature raciste anti-blanche importée des Etats-Unis sous couvert d'anti-racisme. Mais il est clair que la racaille au service du pouvoir, protégée par la police qu'elle prétend combattre, ne saurait tolérer #WhiteLivesMatter qu'elle considère comme une insulte.

15 juin 2020 - Recrudescence du vandalisme BLM. Les tarés noirs s'en prennent à tous les symboles historiques américains, sans faire la moindre distinction entre sudistes et nordistes, entre esclavagistes et abolitionnistes. Ils s'attaquent aux pères fondateurs des Etats-Unis (statue de George Washington vandalisée à Chicago, statue de Thomas Jefferson déboulonnée à Portland, Oregon) et même aux monuments anti-esclavagistes, par exemple le Shaw Memorial de Boston qui rend hommage aux soldats noirs de l'armée nordiste pendant la Guerre de Sécession, la statue de Matthias Baldwin à Philadelphie, un industriel opposé à l'esclavage 30 ans avant son abolition, et celle de John Greenleaf Whittier à Whittier, petite ville de Californie qui porte le nom de ce poète de la communauté religieuse des Quakers, farouche défenseur de l'abolitionnisme trois décennies avant Lincoln, etc. etc...

Ce que les gangs de Mister Soros sont en train de détruire, c'est toute l'histoire américaine. Et malheureusement, presque personne ne s'y oppose. Les adversaires du chaos se taisent, paralysés par la peur. Critiquer publiquement les voyous BLM-"Antifa" est devenu aussi dangereux que de dénoncer les crimes sionistes.


LE NOUVEAU MASQUE DE $✡R✡$ :




ILS DOMINENT LA RUE :


16 juin 2020 - Capitulant face aux émeutiers, Trump annonce une "réforme" de la police... qui est aussitôt critiquée comme "insuffisante" par les sponsors de ces mêmes émeutiers.

Le président signe également un décret portant sur le "retrait" d'une petite partie des troupes américaines basées en Allemagne, pays occupé depuis 1945. Evidemment, chacun sait que ces troupes seront "retirées" de la même façon qu'ont été "retirées" celles qui occupent la Syrie, l'Irak et l'Afghanistan. Le plus drôle, c'est que Trump présente ce "retrait", qui serait tout à fait positif s'il était réel, comme une mesure censée punir l'Allemagne pour ne pas avoir augmenté ses dépenses d'armement (comme décidé unilatéralement par Trump au sommet de l'OTAN deux ans plus tôt - voir page précédente 11.7.18) et pour ne pas avoir mis fin au contrat gazier Nordstream avec la Russie (voir le même lien).

Parmi les alliés de Washington, plus personne n'accorde la moindre importance à ce que dit ou fait Donald Trump. On attend tout simplement que son "règne" s'achève. Et si, contre toute attente, ce n'était pas le cas en novembre, le chaos ne ferait que croître. Avec la rage destructrice artificiellement entretenue ces derniers temps par les ennemis du président, qui sait si la capitale fédérale porterait encore longtemps le nom de cet horrible suprémaciste blanc ?... (vu à Chicago)


Après Chicago, c'est au tour de Portland (Oregon) - en attendant les autres villes :
 
Les "manifestants pacifiques" brûlent un drapeau américain qu'ils ont placé sur la tête de George Washington, puis ils renversent et souillent la statue,
tandis que la police se planque. Comment rebaptiseront-ils Washington DC : BlackShitCity, FafaAntifaTown ou Sorosville ?...


18 juin 2020 - 1,5 millions de nouveaux chômeurs cette semaine, soit 45,7 millions en treize semaines (trois mois). Avec le socle de 5,6 millions qui existait auparavant, on arrive à un total de 51,3 millions (33 % - un Américain sur trois) sans compter les millions de chômeurs non inscrits (voir plus haut 7.5.20).

Que fait-on en pareil cas quand on s'appelle Trump ?... Le plus simple, c'est de décréter de nouvelles "sanctions" contre la Chine. Là au moins, tout le monde est d'accord, et ça fait oublier les vrais problèmes pendant 24 heures.

Le 20 juin, le président veut organiser un meeting électoral à Tulsa (Oklahoma). Ce serait le premier de ce genre depuis longtemps. Ses ennemis protestent, l'accusant de vouloir provoquer une "deuxième vague" de coronavirus. Par contre, les innombrables émeutes et manifs sponsorisées par ces mêmes ennemis, ne présentent à leurs yeux aucun risque sanitaire - ce qui est vrai, bien sûr, mais pas au sens où l'entendent ces covidiots inutiles.

20 juin 2020 - Selon Breitbart, le nombre de participants au meeting de Tulsa est inférieur au nombre de places de la salle (BOK Center). Il y a donc moins de 19.000 personnes, peut-être 15.000*, alors que 800.000 s'étaient paraît-il inscrits en ligne. Car à présent, quand on va quelque part, il faut obligatoirement se faire enregistrer : vive la nouvelle "liberté"...

* Dans cet autre article, Breitbart écrit plus tard que le BOK Center était seulement à moitié plein et que la plupart des inscriptions en ligne étaient bidon et émanaient d'adversaires de Trump qui voulaient lui faire croire qu'il retrouverait les foules d'antan.  Et encore plus tard, toujours Breitbart, qu'on ne peut soupçonner d'être anti-Trump, parle de 6.000 personnes.

Pire encore : les organisateurs du meeting ont exigé de tous les participants qu'ils "signent" (virtuellement) une décharge de responsabilité par laquelle ils s'engagent à ne pas poursuivre en justice l'équipe de campagne de Donald Trump en cas de contamination par le virus. C'est ridicule, bien sûr, et les trumpophobes en font des gorges chaudes. Mais d'un autre côté, leurs avocats (communautaristes) préparent déjà les plaintes dont il veulent inonder le président, car il y aura des contaminés et des morts (ne demandez pas de quoi ils mourront) et on trouvera toujours un juge pour déclarer la décharge nulle et non avenue. D'autre part, chaque "signataire" de ce document en ligne a dû évidemment communiquer ses données personnelles. De cette façon-là, les autorités sanitaires et autres (CDC, FBI, NSA...) savent exactement qui surveiller...

On voit que la position très ambiguë* de Donald Trump sur la question du virus, fait qu'il perd encore plus de supporters. Breitbart signale que 500.000 fans ont suivi son discours sur YouTube - 500.000 sur les 63.000.000 qu'il avait en 2016 !...  Après ce fiasco, on se demande s'il y aura encore d'autres meetings...

* D'un coté, on fait comme si le Corona était une menace réelle, en contrôlant la température des participants à l'entrée, en leur faisant signer une décharge et en accusant la Chine d'être responsable du fléau. De l'autre, on contribue à dénoncer la covidarnaque pour ce qu'elle est, en permettant ce rassemblement, signe de liberté retrouvée sans masques ni distanciation, et en qualifiant la maladie de "Flu" (grippe), plus précisément de "Kung-Flu" - un calembour qui équivaut à dire : pas bien terrible, cette grippette, mais c'est quand même ces salauds de Chinetoques qui nous l'ont refilée...

Autre exemple : Trump a parfaitement raison quand il souligne que plus on effectue de tests Covid-19, et plus le nombre de "malades" augmente (prenez un kilo de papayes et vous aurez mille "cas" supplémentaires). Malheureusement, quelques minutes plus tard, un conseiller de la Maison Blanche vient le désavouer en prétendant qu'il plaisantait.

Bref, les gens ne savent plus sur quel pied danser, et si en plus ils ont subi de plein fouet les effets "secondaires" de cette contradiction (45 millions de nouveaux chômeurs), il n'est pas difficile de comprendre pourquoi ils partent en masse, ni de deviner ce qu'ils feront le 3 novembre.


22 juin 2020 - A Washington DC, près de la Maison Blanche, les terroristes BLM-"Antifa" vandalisent l'église St-Jean qu'ils avaient déjà partiellement incendiée trois semaines plus tôt. Ils tentent ensuite de renverser la statue équestre d'Andrew Jackson (président de 1829 à 1837) dans le Parc Lafayette (entre la Maison Blanche et l'église) et d'établir, comme à Seattle, une zone "libérée" qu'ils baptisent "BHAZ" (Black House Autonomous Zone).

Sans armes et menacés de prison s'ils font leur travail, les policiers ont toutes les peines du monde à contenir les agresseurs. La police locale est secondée par l'USPP (Police des Parcs nationaux).  Surréaliste : Des flics "suprémacistes blancs" noirs face aux pauvres Noirs blancs "persécutés". Un peu partout aux Etats-Unis, les policiers se font porter malades ou donnent leur démission quand ils peuvent se le permettre - avec 20 ou 30 ans de service, ce n'est évidemment plus possible.

Pathétique, Donald Trump met en garde les émeutiers : la loi dite "Veteran's Memorial Preservation Act" punit de dix ans de prison les dégradations de monuments historiques. Comme s'il se trouvait encore un seul juge aux USA susceptible d'appliquer la loi contre les hordes de Mister Soros... L'homme de la Maison Blanche (ou Maison suprémaciste Blanche ou Maison Noire) le sait parfaitement mais il annonce quand même qu'il va signer un décret pour "obliger" les villes et les Etats à protéger des vandales le patrimoine historique américain. Voilà qui va vachement faire avancer le schmilblick...

23 juin 2020 - Behind the Veil of the Protest Movement, the War on the American People Is Gaining Pace  (par Mike Whitney) - Sous le voile du mouvement protestataire, la guerre contre le peuple américain s'amplifie. Et derrière tout cela, on trouve le Jew York Times et son "Projet 1619", une entreprise de falsification "racialiste" (raciste anti-Blancs) lancée en août 2019, à l'occasion du 400ème anniversaire de l'arrivée des premiers esclaves noirs dans les colonies anglaises d'Amérique. (Le dossier du quotidien sioniste oublie évidemment de préciser qui étaient les marchands d'esclaves - faudrait quand même pas être antisémite...)

"Les émeutes, pillages et vastes destructions du tissu urbain auxquelles nous assistons, ont leur origine dans ce document qui postule que le pays a été fondé sur la haine et l'exploitation raciales. En d'autres termes, le "Projet 1619" fournit la parfaite justification idéologique pour le chaos et la violence qui déchirent les Etats-Unis depuis un mois."

"L'idée de départ, selon laquelle les racines de l'Amérique sont celles d'un Etat esclavagiste et raciste, doit se retrouver dans toutes les rubriques du journal : actualité, affaires, sport, voyages, etc. L'intention du projet est d'exporter ce "recadrage" de l'histoire des Etats-Unis jusque dans les écoles, où l'on doit enseigner aux jeunes Américains blancs qu'ils sont les descendants racistes de propriétaires d'esclaves. Un enfant blanc qui subit ce lavage de cerveau destiné à culpabiliser les Blancs et à leur enlever toute capacité de défense, doit 'comprendre', dès qu'il est en âge de lire le texte en question, que l'esclavage a formé l'histoire de l'Amérique. Autrement dit, le New York Times fait de l'esclavage la seule caractéristique de ce pays..."

Et comme le NYT est le merdia de référence pour tous les autres merdias des USA et du monde, il est clair que cette idéologie de "rééducation" est reprise absolument partout.

25 juin 2020 - Encore 1,5 millions de nouveaux chômeurs cette semaine, soit 47,2 millions en quatorze semaines. Avec les 5,6 millions d'avant la crise, on arrive à un total de 52,8 millions (près de 34 %) auxquels il faut ajouter, comme d'habitude, les millions de non inscrits (voir plus haut 7.5.20).

Tout est fait pour que l'économie ne redémarre pas. Au contraire, les mesures de "déconfinement" et de "réouverture" sont de la poudre aux yeux. Les transports aériens, le tourisme, l'hôtellerie, la restauration, les spectacles et le sport, quand ils ne sont pas au point mort, tournent à 10 % de leurs capacités ou moins. Trump se vante d'avoir "réactivé" 2,5 millions d'emplois, mais cela ne veut rien dire, sinon que le total des sans-travail se situerait autrement à 55,3 millions au lieu de 52,8 - la belle affaire...  Et puis, la deuxième vague de coronavirus, pratiquement déjà là grâce au Dr Fauci, va encore gonfler ces chiffres désastreux.

30 juin 2020 - A Saint-Louis (Missouri), les suprémacistes juifs veulent faire déboulonner la statue de Saint Louis (Louis IX, roi de France de 1226 à 1270) car ce monarque qui a donné son nom à la ville* était un affreux zantisémite, parfaitement... La preuve : il a fait brûler le Talmud, sous prétexte que cette compilation de la haine hébraïque insulte Jésus, entre autres choses (voir ici et ).

* La ville de St-Louis a été fondée en 1764 et se trouvait à l'époque en Louisiane française (vendue par Bonaparte aux Américains en 1803 - voir ici).

Mais bien entendu, enlever la statue de cet arrière-arrière-grand-père d'Adolf Hitler ne suffira pas. Il faudra par la même occasion changer le nom de la ville. Quant à la cathédrale, il sera d'autant plus facile de la transformer en synagogue, qu'elle porte déjà fièrement sur son fronton une inscription en hébreu (יהוה - Jéhovah). Il n'y aura plus qu'à enlever l'abominable croix qui dépare l'ensemble.

Comme le signale l'article en annexe, Saint Louis est mort à Tunis à son retour de croisade mais, contrairement à ce que disent les livres d'histoire, il n'aurait pas succombé à la peste. Il est sûrement mort du Covid-19...

1er juillet 2020 - A Boston, la racaille BLM-"Antifa" qui contrôle la municipalité va faire raser le mémorial qui représente Abraham Lincoln émancipant un esclave. Motif : l'homme noir libéré est agenouillé devant le président blanc, ce qui est une position humiliante. En fait, la statue exprime exactement le contraire : Lincoln libère l'esclave et lui permet ainsi de se relever. Ce qui est humiliant et honteux, depuis quelques semaines, c'est de voir tous ces Blancs soumis et dociles qui s'agenouillent pour satisfaire leurs maîtres.

La destruction de l'héritage américain se poursuit avec le consentement de ces nouveaux esclaves. A l'initiative du gouverneur républicain, l'Etat du Mississippi va modifier son drapeau qui intégrait le pavillon de la Confédération sudiste. Interdire le drapeau des anciens Etats du Sud, ce que le Nord s'était bien gardé de faire après sa victoire, c'est un peu comme si l'on bannissait la fleur de lys en France (et au Québec) parce qu'elle symbolise l'ancien régime. (Et le château de Versailles ?)

La guerre contre la police continue elle aussi. A Los Angeles, on supprime le Police Department pour le remplacer par du personnel de "gestion de crise" non armé, dont le rôle consistera à résoudre de manière non violente les conflits de voisinage. Excellente nouvelle pour les gangs criminels qui écument le secteur...

2 juillet 2020 - Un peu moins de 1,5 millions de nouveaux chômeurs cette semaine, soit 48,7 millions en quinze semaines. Avec les 5,6 millions d'avant la crise, on arrive à un total de 54,3 millions (34,7 %) auxquels il faut ajouter les millions de non inscrits (voir plus haut 7.5.20).

Ça, ce sont les chiffres hebdomadaires à peu près réels, rarement mentionnés par les merdias car ils traduisent la profondeur de la crise. Ils sont fournis chaque jeudi par le Department of Labor (ministère du Travail, pour ne pas dire ministère du Chômage) et représentent les nouvelles demandes d'indemnisation (initial jobless claims). Comme ces chiffres ne sont pas "présentables", on a mis au point une autre statistique, mensuelle, publiée par le BLS (Bureau of Labor Statistics). Les données sont tellement trafiquées qu'on arrive à un taux de chômage absolument surréaliste de 11,1 % fin juin. Ne demandez surtout pas comment il a été calculé.

Trump est fier des 4,8 millions d'emplois soi-disant "créés" le mois dernier, alors que cela signifie tout simplement que parmi les innombrables Américains licenciés depuis le mois de mars, un sur dix seulement a été réembauché quand le "déconfinement" l'a permis. Pas de quoi pavoiser... En bonne logique, les trumpophobes devraient en profiter pour accuser le président de mentir, comme ils le font cent fois par jour sur les sujets les plus divers. Mais là, ils préfèrent garder le silence car ils sont aussi responsables que lui et cela risquerait de leur retomber dessus.

3 juillet 2020 - La veille de la fête nationale, Donald Trump est en visite au Mont Rushmore (Dakota du Sud). Dans un discours prononcé devant les sculptures géantes des quatre présidents George Washington, Thomas Jefferson, Theodore Roosevelt et Abraham Lincoln, il promet de les protéger du vandalisme politique et dénonce "le nouveau fascisme d'extrême gauche qui se répand dans les écoles, les salles de rédaction et même dans les conseils d'administration des entreprises. Si vous ne participez pas à leur révolution culturelle gauchiste [à la chinoise - voir plus haut 10.6.20], vous serez censuré, banni, boycotté et sanctionné. Si vous ne parlez pas leur langage, si vous n'adoptez pas leurs rituels, si vous ne récitez pas leurs mantras, vous serez puni... Ce totalitarisme, étranger à notre pays, attaque nos libertés et détruit notre culture... "

Quand ils ne font pas exactement ce que le président leur reproche de faire, ses ennemis l'accusent de disséminer le virus (pas de masques ni de distanciation au Mont Rushmore) ou de vouloir réécrire l'histoire à son profit ou encore d'être carrément mégalomane. Même le feu d'artifice final est une abomination à leurs yeux. Un pressetitué du merdia MSNBC prétend : "Ce spectacle est une attaque contre les peuples indigènes..."  Pauvre con, quelqu'un devrait lui expliquer que le mot "indigènes" est un terme raciste par lequel les colonialistes désignaient autrefois les colonisés, les "sauvages" quoi...

4 juillet 2020 - Fête nationale américaine très différente des années précédentes (voir plus haut 4.7.19).


Garden party de la Maison Blanche : un des rares endroits à l'abri des gangs sorosiens.



VOUS AVEZ DIT « FÊTE NATIONALE » ?
Dans quel autre pays du monde peut-on brûler le drapeau ce jour-là sous les yeux de la police indifférente ?
Les flics ne laissent pas encore la racaille BLM-"Antifa" incendier la Trump Tower, mais c'est tout juste.
Ceux qui tirent les ficelles pourront-ils stopper les émeutiers lorsque Trump sera parti ?


Nightmare in New York : How Covid-19, BLM protests and a liberal mayor are turning the city into a no-go zone as murders skyrocket, shops are looted and 500,000 middle-class residents flee (Daily Mail) - Cauchemar à New York : le Covid-19, les gangs BLM et le maire démocrate ont transformé la ville en zone de non-droit où le nombre de meurtres grimpe en flèche, les magasins continuent d'être pillés et 500.000 résidents aisés ont pris la fuite.

En juin 2020, avec les émeutes et les attaques contre la police entre-temps paralysée, traînée dans la boue et privée de financement, les fusillades ont augmenté de 150 % par rapport à l'année précédente, les cambriolages de 120 % et les vols de voitures de 50 %. Les gens, sans travail et sans ressources, ne prennent plus les transports en commun et désertent le centre. Les gratte-ciel sont vides, et les soupes populaires toujours plus fréquentées. Des adultes de trente ans et plus se voient forcés de retourner vivre chez leurs parents.


Depuis sa victoire éphémère dans l'affaire de l'Impeachment (5.2.20), Trump est confronté à deux fléaux majeurs que ses ennemis ont déchaînés contre lui et qu'il ne maîtrise absolument pas. Le premier, celui du Corona (pas l'inexistante maladie mais l'usage qu'en font les auteurs de cette gigantesque supercherie), est en soi suffisant pour lui casser les reins. Ayant accepté dès le premier jour, ou presque, le dogme élaboré par la mafia sanitaire Fauci-Gates-CDC-Big Pharma, tout retour en arrière lui est impossible. Il aurait dû, dès le départ, mobiliser ses partisans et les appeler à se soulever contre le confinement destructeur de l'économie et de la société. Il ne l'a pas fait parce que ce n'est pas son style. En quatre ans, il ne s'est jamais appuyé sur des forces extérieures au monde dans lequel il évolue, laissant ses conseillers, presque toujours mal choisis, lui imposer une ligne politique souvent désastreuse. C'est moins par envie de trahir ses électeurs que parce qu'il a toujours été seul et isolé en tant que président. Avec qui aurait-il pu discuter sérieusement ces problèmes ?... Ses prédécesseurs Obama et Bush fils ne connaissaient pas ce genre de dilemme : étant de purs produits de l'Etat profond qui les avait choisis, ils se contentaient d'exécuter les ordres.

Et pour le cas où le Corona Hoax ne suffirait pas pour venir à bout de Donald Trump, ses ennemis, Soros en tête, lui ont envoyé les émeutes raciales de BlackShitMatters mâtinées de fascisme "Antifa". Là, le président a réagi aussitôt et comme il le fallait... mais seulement en paroles, pas en actes. Il est toujours bon de savoir ce qu'il faut faire dans une situation donnée, mais à ce niveau-là il ne faut pas seulement savoir, il faut aussi donner suite. Malheureusement, Trump en est bien incapable, il l'a prouvé à de multiples reprises : marais de DC, purge des services infestés par l'ancien régime, enquêtes du ministère de la Justice, mur frontalier, immigration, OTAN, retrait des forces militaires, etc...

9 juillet 2020 - 1,3 millions de nouveaux chômeurs cette semaine, soit 50 millions en seize semaines. Avec les 5,6 millions d'avant la crise, on arrive à un total de 55,6 millions (35,5 %) auxquels il faut ajouter les millions de non inscrits (plus haut 7.5.20).

Mais qu'on se rassure, comme le 2 juillet, on va encore nous raconter que plus des deux tiers de tous ces chômeurs ont retrouvé un emploi. Bien sûr, puisque le taux fictif de 11 % de la population "active" de 156 millions, représente seulement 17 millions de sans-travail. Donc la différence de 38 millions et quelque s'est forcément évaporée. Magique...

On voit que dans la vie politique américaine de 2020, les chiffres ne veulent plus dire grand-chose, que ce soit le chômage, le Covid-19 ou les prochaines élections...

11 juillet 2020 - Le serment d'allégeance au drapeau des Etats-Unis  qui, comme le rappelle fort justement Wikipédia, est un serment d'allégeance au drapeau des Etats-Unis (j'ai vérifié, c'est vrai), va être jeté à la poubelle dès lundi prochain.

Ce texte d'un autre âge est en effet politiquement déplacé (incitation au racisme-suprémacisme blanc) et sanitairement malsain. A la place, les écoliers réciteront tous les matins (via Internet, car les écoles restent fermées jusqu'à nouvel ordre) le nouveau Serment d'Allégeance au Masque :


JE JURE ALLÉGEANCE AU MASQUE
de l'Organisation mondiale de la Santé et
aux Nations Unies qu'il représente, un monde uni
sous confinement, avec vaccination obligatoire pour tous.


Amen !

#BlackMaskMatters


15 juillet 2020 - Si Donald Trump porte enfin le masque prescrit par le Dr Fauci, son concurrent et futur successeur Joe Biden ne sait toujours pas comment s'y prendre. Il faut dire qu'il est légèrement gaga. Mais ce n'est pas grave car il n'est là que pour garder la place du vrai président (ou de la vraie présidente) dont le nom ne sera connu qu'après le 3 novembre. En tout cas, le programme que l'on attribue au candidat qui devait depuis longtemps faire un bide (voir plus haut 27.4.19), est en très grande partie copié sur celui de l'éternel louseur "de gauche" Bernie Sanders et inspiré par Miss AOC (plus haut 3.7.19 et 17.7.19).


La seule classe qui fonctionne encore comme avant le Corona Hoax.


16 juillet 2020 - encore 1,3 millions de nouveaux chômeurs cette semaine, soit 51,3 millions en 17 semaines. Avec les 5,6 millions d'avant le Covid-19, on arrive à un total de près de 57 millions (36,4 %) auxquels il faut ajouter les millions de non inscrits (plus haut 7.5.20).

Avec le reconfinement qui se manifeste quasiment partout dans le sillage de la "deuxième vague", l'économie va de plus en plus mal. Mais il n'y a pas lieu de s'inquiéter pour au moins trois raisons : 1) presque tout le monde porte un masque, même Biden entre-temps - 2) les chiffres du chômage corrigés des variations printanières vont bientôt montrer que plus de deux Américains sur trois ont "retrouvé" du boulot (on le savait déjà le 9.7.20) - 3) le Dow Jones continue de grimper en direction de son maximum d'avant la fausse pandémie.

17 juillet 2020 - Les barbares BLM-"Antifa" s'en prennent à présent aux églises catholiques un peu partout aux USA* et vandalisent ou détruisent plusieurs statues de Jésus et de la Vierge Marie, comme par exemple à Chattanooga (Tennessee), à Boston, à Miami, à Queens (New York), etc... A Ocala (Floride), ils incendient une église. Même chose à San Gabriel et dans d'autres localités de Californie. Pour ces amputés du cerveau, Jésus est un suprémaciste blanc, du moins le Jésus catholique, pour le Jésus protestant on ne sait pas encore. Il se pourrait que les suprémacistes juifs, qui sont les instigateurs de ces destructions, ne soient pas prêts à attaquer de face leurs meilleurs soutiens de la communauté chrétienne, les sionistes évangéliques. Mais tout cela peut changer très vite. En attendant, le fanatique noir BLM Shaun King (probablement athée comme ses patrons) veut "enlever immédiatement toutes les statues, fresques et vitraux qui représentent un Jésus européen blanc".

* Pas seulement aux USA - voir l'incendie criminel de la cathédrale de Nantes.

A Seattle, où la "zone autonome" (voir plus haut 10.6.20) a été entre-temps "reconquise" (en fait, les "autorités" l'ont étendue à toute la ville), Jenny Durkan, mairesse blanche "de gauche", envoie ses fonctionnaires blancs, directeurs d'école, policiers et responsables de la culture, suivre des cours d'anti-racisme (sic) "pour mettre fin à la supériorité raciale intériorisée et à la blancheur" de ces individus - détails.

Etant donné que Durkan se vante d'être "la première mairesse lesbienne de Seattle", on se demande si elle est disposée à s'agenouiller devant ses maîtres noirs comme doivent désormais le faire tous les esclaves blancs et toutes les esclaves blanches du pays. Il faudra bien qu'elle s'y habitue si elle veut rester à la tête de la mairie. C'est bel et bien la fin des nuits suprémacistes blanches à Seattle...

Mais la situation n'est pas très différente dans les autres villes tenues par les Démocrates. A Portland (Oregon), depuis plus d'un mois et demi, l'anarchie "Antifa" et la violence règnent dans les rues. Tandis que les flics se cachent, la Homeland Security se contente de répertorier les "incidents" sans intervenir. A San Francisco, la préfecture de police oblige tous les commissariats à exhiber les affiches de Black Lives Matter dans leurs locaux. Les flics (ceux qui sont encore là) ne sont pas très chauds mais ils n'ont pas le choix, surtout les blancs. Presque partout ailleurs, les autorités, qu'elles soient démocrates ou républicaines, préfèrent pourchasser les gens qui ne portent pas de masque.


Corona Hoax : pisser dans un violon ou écrire une lettre ouverte à Donald Trump, comme le fait ici Jon Rappoport, c'est un peu la même chose. Et pourtant, chaque mot est vrai :

"Rendre moins fréquentes les apparitions publiques de Tony Fauci, comme vous envisagez de le faire, ne diminuera pas son influence auprès des gouverneurs et des maires. Il faut le renvoyer de votre Task Force. Il ne suffit pas de dire que vous n'êtes pas d'accord avec lui. Envoyez-le paître... Ne croyez pas un mot de ses déclarations soi-disant scientifiques, ce sont des armes de sabotage... Envoyez des troupes (ou le FBI) dans les Etats et les villes, avec l'ordre formel de rouvrir de force l'ensemble de l'économie américaine. Une fois pour toutes, et pour empêcher que les autorités locales ne continuent d'imposer leur confinement ou leurs restrictions à la LIBERTÉ du peuple. Parce que ceci est une guerre, et que c'est l'ennemi qui est aux commandes en ce moment - et certainement pas vous..."

"Je suis sûr que vous avez quelques personnes brillantes qui travaillent pour vous, des gens qui ne vous espionnent pas en secret et n'agissent pas pour les globalistes. Réunissez-les et dites-leur que vous êtes ouvert à toute suggestion ou opération qui permettrait d'éviter l'envoi de troupes. Ecoutez-les attentivement et voyez si leurs solutions sont dignes d'être retenues. Je ne parle pas ici de changements cosmétiques qui auraient pour seul but de rehausser votre prestige, ni de pure gesticulation face à l'ennemi. Je parle de plans comme en temps de guerre, qui offriraient une vraie chance de succès..."

"Exposez clairement au public les effets désatreux du lockdown sur l'économie et sur la vie humaine. Ne prenez pas de gants. Le peuple doit savoir ce que sont les véritables coûts de cette guerre... Près d'un tiers des foyers américains locataires n'ont pas été en mesure de payer leur loyer pour le mois de juillet. Et les 'experts' sanitaires leur recommandent de 'rester à la maison'. Un slogan qui prend toute sa signification perverse avec la catastrophe humanitaire qui se dessine : 28 millions de personnes aux USA sont menacées d'expulsion et vont perdre leur toit dans un avenir immédiat... C'est le vrai visage de cette guerre, Monsieur Trump, et aucune rhétorique creuse ne pourra empêchez la catastrophe..."

"La fraude du décompte des cas de Covid, un scandale de proportions gigantesques, gonfle les chiffres pour justifier le confinement, les fermetures d'usines, le chômage, les faillites d'entreprises - toutes ces attaques vicieuses contre la survie même des Américains... Voulez-vous tourner le dos à tout cela ?  Voulez-vous laisser les responsables de la santé publique détruire le pays avec leur folie obscène qui consiste à semer l'épouvante pour un germe pathogène comparable à celui de la grippe saisonnière ?  Fauci, avec sa mélodie morbide, va précipiter le pays du haut de la falaise. Êtes-vous en transe, Mr. President ?... Ne pouvez-vous pas vous ressaisir et voir ce qui se passe ?  Et ensuite AGIR en conséquence ?  Toute cette affaire de Covid est loin d'être un accident. C'est une forme de guerre économique planifiée depuis le début. Cette histoire de virus dont on nous matraque est tout simplement l'outil qui sert à réaliser le plan."

"Beaucoup de médecins et de scientifiques éminents ont prouvé le caractère immensément exagéré de cette histoire. Ils ont essayé de vous joindre, mais les médias et autres traîtres ont su les en empêcher. Vous êtes enfermé dans une bulle, Mr. President... Si demain tout le monde enlevait son masque et cessait de respecter les intervalles de six pieds, si tout le monde disait non aux tests bidon et au traçage, si tout ce qui a été fermé de force rouvrait subitement, rien de dangereux ne se passerait. Ce serait tout simplement une autre de ces grippes annuelles - comme vous l'avez vous-même supposé au départ...  Vous savez tout cela. Et tout en le sachant, allez-vous rester sur la touche et permettre que le pays s'effondre dans le chaos ?..."

"Qu'allez-vous faire ?...  Il y a un train arrêté sur la voie ferrée en contrebas. Des hommes entourent la locomotive. Dans sa cabine, le mécanicien est terrifié. Les hommes lui ont dit que s'il redémarrait, le train entier pourrait exploser.  Vous vous tenez sur la colline qui surplombe le train. Vous êtes le général, votre armée est derrière vous. Que faites-vous ?...  Vous envoyez vos soldats disperser les hommes qui bloquent le train. Un de vos officiers monte dans la cabine, pousse le mécanicien de côté et remet la machine en marche. Le mécano retrouve ses esprits. Le train peut repartir."


Si Trump écoutait les conseils de Rappoport, on pourrait en faire un superbe tableau que l'on accrocherait à côté du fameux Washington traverse le Delaware au Metropolitan Museum de New York. Il existe d'ailleurs une version moderne Trump traverse le Delaware et même un Trump traverse le marais de DC. Mais comme il y a aussi cet autre tableau (pour les détails, voir page précédente 20.1.17) et encore celui-ci (voir 8.6.18), sans oublier ces deux-là (plus haut 24.6.19), le mieux serait de construire un nouveau musée entièrement dédié au Général Trump.

On pourrait aussi consacrer à cet épisode glorieux un film (muet ?) dans le style du Mécano de la « General » de Buster Keaton. On l'appellerait Le Général et le mécano. Il passerait uniquement dans les salles de cinéma (de nouveau ouvertes au public sans inscription en ligne).

Soit dit en passant, après avoir lu l'article de Wikipédia, on se demande pourquoi le film de Buster Keaton n'est pas interdit entre-temps. Ce mécano est un affreux suprémaciste blanc qui n'hésite pas, pendant la Guerre de Sécession, à se ranger dans le camp sudiste. Horreur !...

20 juillet 2020 - Comme pour illustrer la futilité d'une lettre ouverte au président (voir quelques lignes plus haut), Donald Trump twitte :


"Il est patriotique de porter un masque... Et personne
n'est plus patriote que moi, votre président préféré.
"

Aussi désolant que soit ce message, il contient une petite part de vérité : pour trois mois encore, Trump reste le préféré de tous les présidents américains... actuellement en exercice. Et il le resterait même s'il opérait un virage à 180 degrés dans l'affaire du "réchauffement climatique", le seul domaine où il n'ait pas encore retourné sa veste. On se demande d'ailleurs pourquoi ses ennemis ne profitent pas de l'occasion pour le forcer à abjurer cette dernière hérésie. En y mettant suffisamment de pression, on obtient de lui à peu près tout ce qu'on veut - il l'a clairement prouvé...

21 juillet 2020 - A intervalles réguliers, en fonction du nombre de citoyens américains vivant dans chaque Etat, on corrige la répartition des sièges à la Chambre des Représentants de Washington. Or, certains Etats dominés par les Démocrates assimilent les immigrés illégaux aux citoyens. En Californie, par exemple, il y a 2,2 millions, soit 6 % de clandestins. Clandestins qui ne le sont pas vraiment puisqu'ils ne se cachent même plus depuis que les villes sanctuaires leur donnent des papiers et les encouragent à faire comme s'ils avaient la nationalité US - détails.

Pour mettre fin à ce scandale, le président, toujours optimiste, signe un décret... qui ne sera jamais appliqué, soit parce que le juge de paix de Dodge City l'annulera, soit parce qu'il finira comme tous les autres au fond d'un tiroir du Bureau ovale. Même chose pour les tentatives présidentielles d'empêcher le vote par correspondance ou en ligne, cet autre vecteur de fraude électorale massive. Mais il faut avouer que ces stratagèmes ne sont pas du tout nécessaires pour éliminer Trump. Avec la descente aux enfers qu'il a entamée début mars en se soumettant au Corona Hoax, il s'est éliminé lui-même...

23 juillet 2020 - 1,4 millions de nouveaux chômeurs cette semaine, soit 52,7 millions en 18 semaines. Avec les 5,6 millions d'avant le Covid, on arrive à un total de près de 58,3 millions (37,2 %) plus les millions de non inscrits (plus haut 7.5.20). A ce rythme, on sera à 50 % de chômeurs à la fin de l'année. Mais grâce à la baguette magique des statisticiens (voir plus haut 16.7.20 et 9.7.20) ce taux sera divisé par trois ou quatre, à moins qu'on ne déduise tout simplement l'âge du capitaine...

Dans un autre domaine, recrudescence de l'hystérie antichinoise, avec fermeture du consulat de Houston et expulsion des diplomates dans un délai de trois jours. Le consulat chinois de San Francisco est également menacé. Par mesure de rétorsion, Pékin ferme le consulat américain de Chengdu (Sichuan, centre). Trump, qui ne maîtrise pratiquement plus rien, n'a pas non plus le contrôle des relations avec la Chine.

On se demandait, après le fiasco de Tulsa (plus haut 20.6.20), si Trump organiserait encore d'autres meetings électoraux. On sait à présent qu'il ne le fera pas. Après avoir annulé, début juillet, un rassemblement dans le New Hampshire pour cause d'ouragan imaginaire, le président supprime maintenant la convention républicaine qui devait avoir lieu en août en Floride pour confirmer sa nomination. Elle sera remplacée par une "cérémonie" en ligne. Tout cela, c'est bien entendu "la faute au Corona" - la non-réélection de Trump aussi.

24 juillet 2020 - Le passé esclavagiste du Parti démocrate US  (Réseau Voltaire) :

"A la demande de la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi (Démocrate, Californie), diverses statues devraient être retirées du Congrès au motif que ces hommes avaient volontairement servi les armées confédérées durant la guerre de Sécession. Pelosi assimile les Confédérés (opposés aux droits de douane fixés par le gouvernement fédéral*) à l'esclavagisme selon une compréhension erronée de la guerre de Sécession aujourd'hui prévalente..."  Or, parmi les statues à retirer figurent celles de personnalités du Parti démocrate, le parti de Pelosi.

"Louie Gohmert (Républicain, Texas) n'a pas manqué de le relever. Allant plus loin dans la polémique, il vient de déposer une proposition de loi visant à interdire le Parti démocrate en raison de son rôle historique en faveur de l'esclavage..."  et de la ségrégation raciale (suivent de nombreux exemples de la période 1840-1964).

Le Parti républicain est le parti d'Abraham Lincoln (élu président en 1860, quelques mois avant le déclenchement de la guerre de Sécession, réélu en 1864, assassiné en 1865, cinq jours après la capitulation sudiste). A la présidentielle de 1860, le Parti démocrate (candidat Breckinridge) arrivait en tête dans le Sud esclavagiste.

* En 1861, les Etats du Sud firent sécession non pas à cause de l'esclavage mais pour échapper au carcan des droits de douane imposés par le Nord. Ces droits ruinaient leur économie en les empêchant de commercer directement avec l'Europe - tout comme les droits de douane imposés par l'Angleterre à ses 13 colonies d'Amérique près d'un siècle plus tôt ruinaient celles-ci, ce qui conduisit à la guerre d'Indépendance. C'est ce deux poids, deux mesures des Nordistes (partisans de la liberté en 1776, oppresseurs en 1861) qui a poussé le Sud à la sécession. Le Nord industriel ne voulait en aucun cas renoncer aux richesses du Sud agricole (coton, sucre) ni perdre ce lucratif débouché pour ses produits finis. Les esclaves ne l'intéressaient que dans la mesure où ils représentaient un réservoir potentiel de main-d'œuvre "libre" pour son industrie en pleine expansion et une réserve de chair à canon pour son armée. D'ailleurs, après la victoire nordiste et l'interdiction de l'esclavage en 1865, il faudra attendre un siècle avant que les Noirs n'obtiennent partout les mêmes droits que les Blancs.

25 juillet 2020 - Michael Horowitz, Inspecteur général du ministère de la Justice (nommé par Obama et trempé jusqu'au cou dans les affaires anti-Trump - voir plus haut 12.12.19), continue ses attaques contre le président... qui a été assez stupide pour garder cet individu dans son administration.

Le traître Horrorwitz vient d'ouvrir une enquête contre les agents fédéraux qui feraient soi-disant usage de force excessive contre les émeutiers de Portland (plus haut 17.7.20). En réalité, ces agents ne font que protéger l'édifice du Tribunal fédéral que la racaille BLM-"Antifa", soutenue par les autorités locales et les merdias, s'efforce d'incendier. Les seules armes "létales" que les Fédéraux utilisent contre les assaillants sont des gaz lacrymogènes. Détails dans cet article de Paul Craig Roberts.

L'auteur conclut : "Franchement, il n'y a plus aucun espoir pour l'Amérique..."  Bye-bye Trump !...

11 août 2020 - Joe Biden, le candidat sénile du Parti démocrate, que l'Etat profond a choisi comme prochain président, aura pour vice-présidente une certaine Kamala Harris, qui s'était présentée aux primaires de son parti à l'époque où il y avait encore des primaires (c'était avant le Corona Hoax) mais avait dû jeter l'éponge. La seule raison pour laquelle Harris a été désignée pour la fonction de vice-présidente, c'est qu'elle est née de mère indienne et de père jamaïcain, ce qui la protège de tout soupçon de "suprémacisme blanc". Un "détail" important, vu qu'elle devra remplacer Sleepy Joe à la Maison Blanche dès que l'incapacité de ce dernier aura été officiellement constatée.

La future "Madam President" a été élue sénatrice de Californie en 2016 après avoir a été procureure générale de cet Etat depuis 2010. Et c'est là que le bât blesse. Au cours d'un débat aux primaires en août 2019, son bilan catastrophique à ce poste lui a valu d'être éliminée en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. C'est à Tulsi Gabbard qu'on doit cette éviction - le seul mérite réel de la candidate dite "de gauche" (voir plus haut 19.3.20).

La brillante exécution de Harris par Gabbard devant les caméras de CNN (vidéo) n'a pris que quelques dizaines de secondes. Il faut dire que le palmarès de celle qui est maintenant une revenante, valait vraiment le détour. En tant que procureure de Californie, Kakamama Harris a fait emprisonner 1500 personnes pour délit de marijuana, alors qu'elle-même, plus tard, se contentait de rire quand on lui demandait si elle avait déjà fumé un joint ; elle a fait disparaître des preuves innocentant un condamné à mort ; elle a laissé en prison des gens qui avaient déjà purgé leur peine, tout simplement pour que l'Etat de Californie dispose d'une main-d'œuvre bon marché...  La méthode Harris qui consiste à punir sévèrement les petits délinquants a durement frappé la minorité noire. Cette femme est un monument d'hypocrisie...

Et pendant ce temps-là, Trump, qui avait à juste titre dénoncé le vote massif par correspondance comme source de fraude (voir plus haut 21.7.20), explique aujourd'hui pourquoi. Ce ne sont pas tant les Démocrates qui veulent ainsi s'emparer de millions de bulletins pour modifier le résultat (qui leur serait probablement favorable même sans fraude). Non, les voleurs de bulletins, ce sont les Russes et les Chinois !...






Pourquoi Harris préfère-t-elle se faire appeler "Kakamama" ?

Parce que "Kamala" est trop horrible - du moins en Finlande...



Horrible ou pas, les partisans de Trump (il paraît qu'il en a encore)
ont trouvé un nouveau slogan pour le duo de l'Etat profond : Joe and the Hoe
en espérant qu'il les aidera à faire réélire leur champion (le tout c'est d'y croire) :


Le T-shirt qui va avec existe en deux versions :
en blanc (bien entendu "suprémaciste") pour les fans de Donald
et en noir BLM-Kakamama pour les trumpophobes masochistes
(lynchage garanti dans toutes les zones démocrates de non-droit).


12 août 2020 - A Chicago, dans l'espoir de mettre fin aux destructions et aux pillages dont sont victimes les commerces de luxe du centre-ville, la mairesse noire Lori Lightfoot (alias Baby Bigfoot) et son préfet de police noir Mr. Brown (pas Black) font lever les ponts sur la Chicago River et bloquer les sorties d'autoroutes. Comme si cela pouvait stopper la pègre BLM... Une (ir)responsable de ce gang mafieux justifie les pillages en disant qu'il s'agit d'une forme de "réparations" et que "de toute façon, ils sont assurés" - détails.

19 août 2020 - Convention démocrate à Milwaukee : c'est le nom que les spécialistes de la Virtual Reality ont donné au nouveau jeu en ligne distribué gratuitement pour accompagner la consécration officielle de Joe and the Hoe (en fait : The Hoe and Joe). Nul ne saurait dire si les personnages que l'on voit sur les écrans, ont été filmés en direct ou s'il s'agit de pures images de synthèse. En tout cas, les dialogues sont les mêmes que ceux que l'on entend depuis quatre ans... C'est aussi passionnant qu'un match de foot sans spectateurs à l'ère du Corona Hoax.

Pourquoi se donner tant de peine, alors qu'il serait beaucoup plus simple de passer directement à l'élection virtuelle entérinant la défaite de Trump ?  Ah oui, j'oubliais, le spectacle, toujours le spectacle...


VIRTUAL JOE S'ADRESSE À SES FANS :

"Vous vous demandez peut-être pourquoi tous ces drapeaux. C'est pour que chacun de vous puisse en avoir un à brûler, pas seulement le jour de la Fête nationale...
Et surtout n'oubliez pas : je suis le seul candidat capable de battre Ronald Reagan à la présidentielle...
"


25 août 2020 - Après les Démocrates, c'est au tour des Républicains de tenir leur convention bidon (RNC), en partie à Charlotte en Caroline du Nord, et en partie à Washington. Ce spectacle, bien que moins en ligne que celui de l'opposition, est tout aussi ennuyeux. Pour "mobiliser" ses électeurs, le président fait intervenir sa famille (ses fils, sa fille, son épouse) et des orateurs aussi "convaincants" que la néo-conne Nikki Haley. Donald Trump et Mike Pence se félicitent mutuellement de tout ce qu'ils ont fait pour Israël et de tout ce qu'ils feront dans les autres domaines au cours des quatre prochaines années (mais n'ont pas fait au cours des quatre dernières).

Pour couronner le tout, le président s'enlise encore un peu plus dans les sables mouvants du Corona Hoax. Les invités présents en personne à la RNC et les employés travaillant pour elle doivent tous se faire "tester" comme de vulgaires papayes. Le Dr Fraudci l'exige et Trump est trop lâche pour dire non.

Entre-temps, émeutes et pillages ont repris dans les villes administrées par les Démocrates protecteurs de la racaille. La ville de Kenosha, dans le Wisconsin (au nord de Chicago, sur le lac Michigan) est en passe de devenir aussi tristement célèbre que Portland et Minneapolis. Là aussi, le prétexte invoqué est la violence policière à l'encontre d'un délinquant noir lui-même connu pour sa violence, y compris un viol - détails.



Depuis Kenosha, un pressetitué noir de CNN (aucun Blanc ne s'était porté volontaire)
nous apprend que les "protestations" sont vives mais dans l'ensemble "pacifiques" (sic).

Si l'on en croit Trump, les violences cesseront s'il est réélu (totalement improbable). Si l'on en croit ses ennemis, elles cesseront s'il est battu (possible à condition que Soros, les Démocrates et les merdias lâchent les casseurs BLM-"Antifa"). En attendant, ces mêmes merdias passent totalement sous silence les meurtres les plus abjects quand ils ne cadrent pas avec leur agenda, comme par exemple le cas de cet assassin noir de Wilson (Caroline du Nord) qui a récemment tué d'une balle dans la tête un enfant blanc de cinq ans sous les yeux de ses sœurs âgées de sept et huit ans. Le petit "suprémaciste" blanc avait roulé par inadvertance avec son tricycle sur la pelouse du meurtrier noir. Dans des circonstances inverses (tueur blanc d'un enfant noir de cinq ans), les merdias se seraient aussitôt emparés de l'affaire pour fomenter une nouvelle vague de pillages, d'émeutes et d'incendies criminels à Wilson (en anglais politiquement correct : "peaceful protests").

27 août 2020 - Donnant l'impression (peut-être pour la dernière fois) qu'il se libère de la dictature du Corona Hoax, le président prononce son discours de nomination devant 2000 personnes massées dans les jardins de la Maison Blanche sans masques ni distanciation. Le temps d'un beau spectacle avec feu d'artifice... et les covidiots inutiles qui dominent l'administration reprennent les rênes. Seule chose pertinente à retenir de l'allocution de Donald Trump : la description du chaos et de l'anarchie que ses ennemis déchaînent dans le pays. Tout le reste, bilan et promesses, est à pleurer... Détail grotesque : Trump va envoyer "la première femme sur la Lune". Pourquoi seulement une, pourquoi pas quatre ?  (voir plus haut 20.7.19)

15 septembre 2020 - Donald Trump fête ce qu'il appelle la plus grande victoire diplomatique de son mandat : la capitulation officielle des Emirats Arabes Unis et de Bahrain face à Israël. Ces deux pays, en "normalisant" leurs relations avec l'Etat terroriste juif, font désormais au grand jour ce qu'ils faisaient jusqu'alors en cachette. Bizarrement, l'Arabie Saoudite n'a pas encore franchi le pas. Son dictateur craint peut-être d'être renversé s'il trahit ouvertement ce qui était autrefois considéré comme la "cause arabe".

En tout cas, toutes les victimes récentes de la politique présidentielle, les dizaines de millions de chômeurs, les cohortes de sans-abri, les confinés de force, les condamnés au port du masque à perpétuité, sans oublier les déçus du mur frontalier et de l'assèchement du marais, tous ces gens vont sûrement voter en masse pour Trump à la pensée que le Mossad a maintenant les coudées franches dans deux pays arabes de plus...

SUCCÈS MAJEUR DE LA DIPLOMATIE EN TRUMP-L'ŒIL :

Jared Kushner (le gendre de Donald Trump) plus un Israélien,
cela fait au moins deux Juifs sur trois. Pour le troisième
(l'émir) on ne sait pas trop, personne n'est allé vérifier.


26 septembre 2020 - Suite au récent décès de Ruth Bader Ginsburg, juge à la Cour Suprême, Donald Trump nomme Amy Coney Barrett pour la remplacer et veut faire confirmer ce choix par le Sénat (où les Républicains disposent de la majorité) avant l'élection du 3 novembre. En temps normal, le processus dure plusieurs mois ; on comprend donc que les Démocrates soient furieux. Comme ils l'avaient fait pour les deux nominations précédentes (Neil Gorsuch en janvier 2017 et Brett Kavanaugh en juillet 2018) les trumpophobes préparent une campagne de diffamation contre Amy Barrett. Le problème, c'est qu'ils peuvent difficilement l'accuser de viol. Enfin, on ne sait jamais... En attendant, ils lui reprochent d'être catholique, ce qui est presque aussi grave.

Jusqu'à présent, les deux juges nommés par Trump ne lui ont été d'aucune utilité. Ce ne sera probablement pas différent avec la troisième. Si cette nouvelle nomination s'avère utile, ce sera après le changement de président. On dit que Barrett est contre le désarmement de la population. Mais d'un autre côté, elle prône le confinement illimité et la vaccination forcée - détails.

29 septembre 2020 - A Cleveland, débat télévisé inutile entre Donald le Terrible en quête de réélection et Sleepy Joe dopé pour tenir le coup. Avant de monter sur le ring, Trump exige un contrôle antidopage pour les deux candidats, mais Biden en rejette l'idée, et pour cause. Il refuse également de se laisser examiner pour voir s'il porte une oreillette grâce à laquelle on pourra lui souffler ses réponses. Le débat a lieu en atmosphère stérile, pratiquement sans spectateurs.

Trump malmène verbalement son concurrent factice et l'interrompt fréquemment. Celui-ci réplique par des insultes ("Ta gueule !...") ou utilise l'expression "ce mec" quand il parle du président. Biden ne fait pas le poids mais il est protégé par le "modérateur", un certain Chris Wallace de Fox News, une chaîne que l'on croyait plus neutre. Mais Wallace veut sans doute préserver son avenir dans l'ère après-Trump qui s'annonce. Il s'en prend donc au président et fait comme s'il s'agissait d'un débat Trump-Wallace. Bien souvent, tout le monde crie en même temps, de sorte qu'on ne comprend absolument rien. On se demande si un seul électeur "indécis" peut encore se laisser convaincre par un tel spectacle.

Les ennemis du président sont exaspérés de voir que Trump ne se plie pas à leurs règles. Il refuse de leur confirmer qu'il ne mettra pas en doute le résultat de l'élection, leur résultat, celui qu'ils proclament dès maintenant. Mais d'un autre côté, ils disent eux-mêmes que le résultat du 3 novembre au soir "risque" de favoriser Donald Trump en attendant que le vote par correspondance (avec la fraude massive qu'il implique) ne donne la victoire à Biden quelques semaines plus tard.

Trump refuse aussi de condamner, comme on le lui demande, ses supporters "suprémacistes blancs". Mais s'il ne condamne pas ses partisans, il ne les défend pas non plus, il ne s'appuie par sur eux. Il ne l'a jamais fait au cours des quatre dernières années.

Le pire est évidemment l'alignement inconditionnel du président sur la thèse criminelle de la "pandémie" de Covid-19, source de l'actuelle catastrophe économique et sociale. On comprend un peu mieux chaque jour qu'il aurait suffi d'une prise de position ferme et conséquente de la part de Donald Trump, pour mettre à bas tout l'édifice du Corona Hoax. Mais pour cela, il aurait fallu qu'il s'appuie sur sa base et qu'il l'incite à descendre dans la rue pour briser la conspiration. Trump n'a jamais eu le courage de se placer à la tête de "ses troupes". Il les excite à coup de mots d'ordre radicaux et les démobilise en prenant la fuite dès qu'elles veulent entrer en action.

1er octobre 2020 - Après que Hope Hicks, une des conseillères du président, ait été testée positive au virus de la fausse pandémie, il est question de mettre Donald Trump en quarantaine. Les journalopes de Ci-Haine-Haine ont du mal à cacher leur joie. Vite, une injection mortelle...

2 octobre 2020 - Quelques heures à peine après sa conseillère, c'est au tour de Donald Trump lui-même d'être testé papaye+. Evidemment, la mafia sanitaire qui s'est emparée de la Maison Blanche n'allait pas le déclarer négatif. Ce qui peut paraître étonnant, même s'il est étonnant qu'on s'en étonne, c'est la rapidité avec laquelle le résultat bidon de ce test bidon a été obtenu. En temps normal, il faut au minimum plusieurs jours. Ici, de toute évidence, le seul nom du "patient" a permis d'accélérer la procédure à l'extrême. On n'arrête plus le progrès...  On ignore encore comment la situation va évoluer et si c'est là le coup de grâce - mérité - pour le président. Quel besoin avait-il de s'embarquer sur cette galère covidienne après une courte période de lucidité initiale ?...

Pour comble d'ironie, Trump, qui avait tenu bon deux jours plus tôt face à Wallace, condamne maintenant les suprémacistes blancs, cette catégorie inexistante inventée pour calomnier l'ensemble de ses partisans.  La présidence Trump, encore positive au début de l'année, est en train de se terminer dans la honte et la lâcheté. Et le retour de manivelle risque d'être très dur...

3 octobre 2020 - Donald Trump est hospitalisé avec - soi-disant - de la fièvre et des difficultés respiratoires. Isolé, il n'a plus qu'à s'en remettre à ses docteurs Diafoirus qui lui veulent beaucoup de "bien". Vont-ils le faire mourir pour lui apprendre à vivre et le punir de n'avoir pas appliqué assez vite leurs conseils "scientifiques" ?  Plus rien ne nous surprendra...

6 octobre 2020 - Apparemment pas si malade que ça, Trump échappe à ses geôliers en blouse blanche et retourne au Bureau ovale faire ce qu'il a toujours fait depuis quatre ans : tweeter. Auparavant, devant l'hôpital, il se montre à ses fans mais sans quitter sa voiture blindée.  Les "experts médicaux" de Ci-Haine-Haine assurent que cette courte sortie en voiture et sa fuite de l'hôpital vont avoir des conséquences absolument désastreuses sur son entourage, sur les gens qui se trouvaient dans les parages et, de manière plus générale, sur les Etats-Unis et la planète entière. Ils ne lui donnent plus que quelques jours avant sa prochaine rechute qui se terminera vraiment très mal. Sa doctoresse préférée l'attend de pied ferme.

Pendant ce temps, on organise un débat bidon entre le vice-président Mike Pence et Kakamama Harris. Impossible de dire qui en est sorti "vainqueur" ; pour cela il aurait fallu le regarder et, là vraiment, personne n'est masochiste à ce point.

8 octobre 2020 - Prenant prétexte de la "maladie" de Donald Trump, le camp de Joe Biden veut imposer pour le deuxième débat un format virtuel sans aucun contact direct entre les trois protagonistes (les deux candidats et le "modérateur"). Tout se ferait à distance, ce qui permettrait évidemment de couper la parole au président chaque fois qu'on en aurait envie. Pour le moment, Trump est opposé à cette formule qui ne profiterait qu'à son adversaire. A la limite, on pourrait même remplacer celui-ci par un hologramme et pré-enregistrer ses "interventions".

Simultanément, l'Etat profond, agissant pour le compte des trumpophobes et de la mafia covidienne, invente de toutes pièces un "complot" dont aurait été victime la gouverneure démocrate du Michigan, Gretchen Whitmer. Connue pour sa férocité à pourchasser les adversaires du confinement, elle devait paraît-il être enlevée par un groupe de miliciens suprémacistes blancs et punie pour ses méfaits (ou "bienfaits" en se plaçant de son point de vue). Ces méchants zextrémistes avaient été particulièrement actifs à Lansing (la capitale du Michigan) au moment de la première vague de Corona Hoax - voir plus haut 30.4.20. Six mois plus tard, la vengeance de l'Etat policier s'abat sur eux. Un avertissement à tous ceux qui osent encore critiquer la dictature sanitaire et, par la même occasion, un petit coup de pouce électoral pour le 3 novembre, en supposant que le vote ait encore une quelconque importance. Trump critique mollement la cinglée du Michigan, mais sans défendre les militants accusés. Il revendique même pour son administration le mérite d'avoir "déjoué le complot". Ce type est vraiment irrécupérable...

12 octobre 2020 - Donald Trump est testé négatif plusieurs jours de suite, ce que le Dr Fraudci trouve scandaleux : "Ils n'ont même pas pris les bonnes papayes... Et puis d'abord, pour être valable, un test doit être répété au moins quatre fois par jour..."

Le président ne tient aucun compte de ces sages conseils et repart en campagne électorale, à l'aéroport d'Orlando en Floride, avec bain de foule, sans distanciation, sans masque sur le visage, sans entonnoir sur la tête et sans plume de paon dans le cul. Mais qu'on se rassure, tout va certainement rentrer dans l'ordre dès demain matin.

18 octobre 2020 - Comme il fallait s'y attendre, la rébellion de Trump contre la dictature sanitaire ne va pas bien loin. Après le tarmac d'Orlando, c'est sur ceux de Des Moines (Iowa), de Muskegon (Michigan) et de Janesville (Wisconsin) qu'il va à la rencontre de ses supporters. Les localités sont de plus en plus petites, de même que les foules autorisées. Au lieu d'envoyer carrément promener les manipulateurs du Corona Hoax, il se plie plus ou moins à leurs consignes tout en faisant semblant de leur tenir tête, comme un môme de quatre ans qui tire la langue avant d'obéir.

Pour ce qui est du débat initialement prévu pour le 15 octobre, il a été remplacé par des interviews séparées des deux candidats, Joe Biden étant ménagé par un pressetitué d'ABC, Donald Trump agressé par une journalope de NBC. Alors que partout dans le monde, un chef d'Etat digne de ce nom choisit soigneusement son intervieweur, Trump prend toujours le plus pervers qui soit et tombe évidemment sur un os. Mais il n'en a même pas conscience et estime être sorti vainqueur de cet affrontement inutile. Le site satirique The Babylon Bee lui "donne raison" : 2:0 pour Trump contre les "modérateurs". Après avoir été de son côté pendant des années, ils s'amusent maintenant, eux aussi, à ses dépens. The End is Nigh - La fin est proche...

19 octobre 2020 - Ce que Trump ne dirait jamais en public :

Cela prouve deux choses : 1) Trump, qui voulait drainer le marais, n'a jamais été capable de nettoyer sa propre boutique qui est toujours sur écoutes et/ou pleine de mouchards payés pour rapporter ses moindres propos aux merdias hostiles - 2) S'il avait le courage de ses opinions, il aurait depuis longtemps attaqué de face les fossoyeurs de son pays et viré "tous ces idiots" en s'appuyant sérieusement sur "les gens qui en ont marre"...

22 octobre 2020 - Nombreux meetings de campagne de Donald Trump, à Erie (Pennsylvanie), Macon (Géorgie), Prescott (Arizona) et dans bien d'autres villes, parfois au rythme de deux ou trois par jours, toujours plus ou moins "adaptés" aux exigences du Corona Hoax : en plein air, sur le tarmac de l'aéroport, avec un nombre limité de participants. Néanmoins, Joe Biden pourrait s'estimer heureux de voir autant de monde, lui que personne ne va jamais applaudir sans y être contraint et forcé...

Puis, douze jours avant l'élection, "dernier débat" télévisé à Nashville (Tennessee), plus calme que le premier mais infiniment plus ennuyeux. Sleepy Joe, bourré d'amphétamines, est gonflé à bloc et parvient à lire sans trop bafouiller le texte affiché sur son prompteur. Trump est souvent interrompu par la "modératrice", toujours par "manque de temps" et toujours quand le "débat" menace de décoller ou d'embarrasser son adversaire. On se demande pourquoi il a accepté de se plier aux conditions drastiques de cette rencontre (notamment micro coupé quand l'orateur a dépassé son temps de parole). Le président a beaucoup critiqué auparavant la "commission indépendante" qui organise les "débats", mais il a quand même cédé : typique...

Cela étant, Trump n'a vraiment rien de nouveau à apporter. Tout a été dit depuis longtemps, surtout depuis qu'il a capitulé face à la mafia sanitaire tout en faisant semblant de vouloir mettre fin à toute forme de confinement. De temps à autre, il lâche une phrase intelligente, ou qui pourrait l'être si elle était suivie d'effet : "La cure imposée est plus nocive que la maladie..."  Biden, de son côté, promet de relancer l'économie en aidant financièrement les restaurants à mettre en place des cloisons en plexiglas pour respecter la distanciation sociale, un peu comme dans les écoles de Thaïlande. Génial, réservez vite vos tables pour le réveillon de la Saint Sylvestre...

L'utilité de ce "débat" présidentiel est d'autant plus douteuse que le vote est déjà en cours, soit personnellement dans les bureaux ouverts depuis quelque temps, soit par correspondance. 50 millions d'électeurs - présumés - auraient déjà voté de cette manière. Tout est fait pour encourager la fraude...

26 octobre 2020 - Par 52 voix contre 48, le Sénat confirme la nomination d'Amy Coney Barrett à la Cour Suprême, ce que les Démocrates avaient tenté d'empêcher depuis un mois (voir plus haut 26.9.20).

30 octobre 2020 - Dernières promesses électorales des deux candidats. A Tampa (Floride), le président déclare à ses fans : "America will never lockdown again..." (L'Amérique ne sera plus jamais mise en confinement). Mais il se garde bien d'expliquer que c'est seulement son gouvernement (fédéral) qui s'abstiendra de prendre une telle mesure. Ce que feront les Etats, les comtés et les villes est une autre affaire...  Et d'ailleurs, si Trump avait eu la volonté et le pouvoir de supprimer tout confinement, il l'aurait fait depuis longtemps.

Joe Bidon, lui aussi, montre à ses partisans ce qu'il fera au niveau sanitaire pour leur rendre la vie plus agréable :


"J'imposerai un masque plus efficace, couvrant non seulement
la bouche et le nez, mais également les yeux et les oreilles...
"


1er novembre 2020 - A Opa-Locka (près de Miami), à l'occasion d'un de ses derniers meetings électoraux (un des cinq de la journée, dans cinq Etats différents), Donald Trump répond à la foule qui scandait "Virez Fauci ! Virez Fauci ! Virez Fauci !..."


"Merci pour le conseil, mais laissez-moi
un peu de temps jusqu'après l'élection...
"

Selon vous, que va-t-il se passer après l'élection ?
A - Trump sera lui-même viré avant d'avoir eu le temps de virer Fraudci
B - Trump va virer Fraudci comme il a enfermé Hillary Clinton en 2017


Election présidentielle 2020

Le lendemain de l'élection, le 4 novembre vers 8 heures du matin heure de la côte est, on ne sait pas encore qui est le vainqueur. (Sur le principe du déroulement du vote, voir la page précédente - novembre 2016).

Depuis plusieurs heures, les merdias attribuent 224 grands électeurs à Biden, et 213 à Trump (total : 437). Comme il y a en tout 538 grands électeurs à désigner (majorité 270), il en manque encore 101 qui se répartissent entre divers Etats où le dépouillement est toujours en cours, notamment la Pennsylvanie, le Michigan, le Wisconsin, la Géorgie, la Caroline du Nord, l'Arizona et le Nevada.

Sachant que des dizaines de millions de bulletins ont été envoyés par la poste (et le sont probablement encore), et sachant également qu'ils pourront être décomptés plus tard (certains tribunaux l'ont confirmé), on peut s'attendre à de sérieux retards. En 2016 (voir le lien précédent), on comptait encore les voix 39 jours après l'élection (9,22 millions de suffrages supplémentaires pendant ce laps de temps). Et le plus intéressant, en 2016, c'est que près de deux sur trois de ces voix tardives ont été attribuées à Clinton, une sur trois seulement à Trump.

5 novembre 2020 - Les merdias donnent maintenant un résultat de 253 grands électeurs pour Biden contre 213 pour Trump. Quoi qu'il en soit, Trump a annoncé qu'il saisirait la Cour Suprême. Ses arguments : le décompte des bulletins parvenus trop tard, le vote de millions d'étrangers illégaux (absence de contrôle de citoyenneté), la fraude du vote par correspondance.  En effet, d'innombrables bulletins vierges ont été envoyés au petit bonheur à des gens qui n'en avaient pas fait la demande : un correspondant allemand en poste à Washington en a reçu trois (un adressé à l'ancien locataire de son appartement, un autre au propriétaire décédé, et le troisième à sa veuve résidant entre-temps à Porto-Rico). Inversement, des milliers de bulletins remplis ont fini à la décharge dans des quartiers comptant de nombreux partisans de Trump, etc. etc...

Alors qu'en 2016, le comptage des voix après la date limite n'avait pas eu d'incidence sur le nombre de grands électeurs revenant à chacun des partis (seul le vote populaire en faveur de Clinton s'en était trouvé gonflé), il en va différemment en 2020 : c'est même pour cela que le vote par correspondance, jusqu'alors limité à des cas précis, a été permis sans aucune justification et plus que décuplé par rapport à 2016 - au profit de Biden et au détriment de Trump.

Pour ce qui est de l'élection à la Chambre des Représentants, les résultats complets se font également attendre : les Démocrates ont provisoirement 204 sièges sur 435, les Républicains 190 (41 sièges encore contestés). Même chose au Sénat : Démocrates 48 sièges sur 100, Républicains également 48, contestés 4. Inutile de préciser que ces chiffres sont aussi "fiables" que ceux de la présidentielle.

La différence, au niveau de la fraude, entre cette élection et toutes les précédentes depuis novembre 2000, c'est que les machines à voter de l'électro-nique électorale ne semblent plus jouer qu'un rôle secondaire, détrônées par le vote illégal des immigrés et le vote par correspondance sous couvert de Corona Hoax.


UNITED BANANA REPUBLIC OF AMERICA - quelques exemples parmi beaucoup d'autres :

A Detroit (Michigan, un "swing state" revendiqué par Biden) les observateurs républicains sont exclus de la salle où s'effectue le dépouillement.

Dans le Wisconsin (également un Etat pivot soi-disant remporté par Biden) on annonce un taux de participation de 89 % (contre 67 % en 2016 et même 58 % en 1996, la dernière élection honnête).

Comment voler l'élection en fabriquant des centaines de milliers de votes.  Dans le Wisconsin et le Michigan, où Trump est en tête, on interrompt le comptage au milieu de la nuit, et quand on le reprend, Biden a subitement 200.000 voix de plus (WI) ou 138.000 voix de plus (MI). Le score de Trump, lui, n'a pas bougé.

Election volée : les preuves s'accumulent  par Paul Craig Roberts.

En Pennsylvanie, au moins 21.000 morts sont inscrits sur les listes électorales  (Breitbart).

Dans le Nevada, plus de 3.000 personnes ont voté bien qu'elles n'habitent plus dans cet Etat... et ont probablement déposé un second bulletin dans leur nouvel Etat de résidence.

6 novembre 2020 - Selon Fox News, Biden aurait 264 grands électeurs, Trump 214, en suspens 60 (total 538). Pour cette chaîne (la seule qui ne soit pas systématiquement anti-Trump), le Michigan et le Wisconsin sont tombés dans l'escarcelle de Biden. Il reste encore cinq Etats "indéterminés" : Pennsylvanie (20), Géorgie (16), Caroline du Nord (15), Nevada (6), Alaska (3).  Le bourrage d'urnes continue à l'abri des regards gênants.

Les merdias censurent ou déforment tout ce que disent ou font Trump et ses partisans. Google filtre plus que jamais, Facebook et Twitter, quand ils n'effacent pas tout simplement, affichent une bannière de mise en garde. ABC, CBS et NBC cessent de transmettre une conférence de presse du président dès que celui-ci se met à dénoncer la fraude électorale. Ils étaient venus dans l'espoir de l'entendre concéder sa "défaite" ; il leur faudra patienter...

Concrètement, le président ne fait pas grand-chose. Il se plaint et annonce des actions en justice, comme la veille mais au niveau local - Donald Trump Declares Election Fraud, 'If You Count the Legal Votes I Win'  (Breitbart).  Jusqu'à présent, "la rue" ne bouge guère, du moins celle qui a voté Trump, car dans l'autre camp, la racaille BLM-"Antifa" continue de sévir et de brûler des drapeaux américains, notamment à Portland (Oregon) et à Denver (Colorado).

Quant aux élus républicains, à de rares exceptions près comme le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, ils se gardent bien de dénoncer la fraude, aplatis qu'ils sont devant les merdias - GOP Slammed for Silence amid Election Chaos : Cowering to the 'Media Mob'. Certains d'entre eux (dont le gouverneur Larry Hogan du Maryland, le représentant Will Hurd du Texas et son collègue Adam Kinzinger de l'Illinois) n'hésitent pas à attaquer ouvertement "leur" président - détails. Les rats se dépêchent de quitter le navire...

7 novembre 2020 - Dans ses "meetings", Biden n'a pas été capable de rassembler plus de dix personnes ne travaillant pas pour lui, mais il recueillerait quand même le plus grand nombre de voix de tous les temps pour un candidat à la présidence ?...  Jamais de la vie !  Bull$hit !...

Joe Bidon à Philadelphie (Pennsylvanie) : infiniment moins de gens dans la salle que d'étoiles sur le drapeau. Et on nous raconte qu'il vient de "remporter" cet Etat...

Fraude démocrate massive  (Egalité et Réconciliation).

2020 : année de la pire arnaque électorale aux Etats-Unis depuis que le pays existe...


Bon, mais comme dit Trump...

Vous n'avez pas encore vu le meilleur !


Les recours en justice de l'équipe Trump : du bricolage sans aucune stratégie d'ensemble :  A look at Trump campaign election lawsuits and where they stand.

Chaque plainte concerne un cas précis de fraude, toujours facile à rejeter et n'ayant pratiquement aucune chance d'aboutir, sauf sur des points de détail sans importance, mais permettant à une armée d'avocats des deux camps de se remplir les poches.

Il y a quelques jours, Alex Jones, un fan de Donald Trump de la première heure (que le président n'a jamais écouté) suppliait son idole de se proclamer vainqueur et d'appeler ses supporters à célébrer immédiatement cette victoire (dans la rue et par dizaines de millions) "afin de faire échec à la nouvelle tentative des globalistes de détruire le pays".

Mobiliser ses troupes ?  C'est exactement ce que Trump n'a jamais fait et ne fera jamais...

A présent, les paris sont ouverts : dans combien de temps le président reconnaîtra-t-il sa "défaite" ?...


Toujours le 7 novembre, dans la soirée, les merdias déclarent Joe Bidon "gagnant" avec 279 grands électeurs contre 214, voire 290 contre 214. Selon le cas, il en manque encore 45 ou 34, de quoi parfaire la "victoire" du futur "président", le plus nul de toute l'histoire des USA (à côté de lui, George W. Bush fait figure de génie). Mais finalement, les chiffres n'ont plus aucune importance* : le putsch électoral est parfait.

* On ne connaîtra jamais les chiffres réels, mais on remarquera que même les voleurs d'élection gratifient Donald Trump de 73 millions de voix (résultat provisoire) contre soi-disant 78,5 millions pour le candidat de l'Etat profond. En 2016, Trump avait recueilli 63 millions de suffrages (chiffre définitif). Ce qui représente pour lui une augmentation de 16 %. Bien sûr, en quatre ans, le nombre d'électeurs (légaux et illégaux) a augmenté lui aussi, mais pas à ce point. Ce phénomène est d'autant plus étonnant que la politique désastreuse de l'homme de la Maison Blanche depuis sa capitulation face au Corona Hoax début mars 2020, aurait dû lui coûter des millions et des millions de voix. Si ça n'a pas été le cas - ou en partie seulement - c'est que le candidat adverse était cent fois pire.

Si Trump n'avait pas bêtement et lâchement avalisé la supercherie du Covid-19(84), ses ennemis n'auraient pas pu imposer le vote par correspondance, et la fraude (électro-nique) n'aurait probablement pas (trop) dépassé le niveau des élections précédentes, ce qui lui aurait permis de remporter haut la main son second mandat.


Quoi qu'il en soit, Donald Trump, avant d'aller jouer au golf en Virginie, annonce qu'il saisira les tribunaux dès lundi 9 novembre. Apparemment, il a oublié que c'est déjà fait (voir le lien quelques lignes plus haut). Ou alors, il vient de dénicher un juge impartial, pas trumpophobe pour un sou - ce qui serait étonnant...

9 novembre 2020 - Les merdias nous apprennent que le "président élu" fête sa "brillante victoire" :

Comment Joe Bidon a appris qu'il avait "gagné"   -   Le bureau de vote où il a fait son meilleur score   -   Une tranche d'âge qui a voté massivement pour le tricheur

Sans son bonus de dix millions de voix magiques, le gâteux du Delaware aurait fait un sacré ......

La liste (interminable) des fraudes démocrates (Comité Trump France).


LE NOUVEAU SLOGAN :


10 novembre 2020 - Les putschistes électoraux et leur prétendue "équipe de transition" illégale, essaient de s'emparer "en douceur" de la Maison Blanche et des principales administrations, et de mettre la main sur les ressources financières correspondantes. Pour cela, il leur faut le feu vert de l'Administration des services généraux (General Services Administration - GSA). Heureusement, la directrice de la GSA, Emily Murphy, refuse de les laisser faire ; elle applique tout simplement la loi et reste loyale vis-à-vis du gouvernement légitime. Les merdias trépignent de rage...

On ne sait pas où se trouve le président, en tout cas pas à la Maison Blanche, pratiquement assiégée depuis une semaine par la racaille BLM-"Antifa". Pas ou peu de contre-manifestants en vue dans les parages. Les gens qui protestent contre la fraude le font de manière très calme, comme ici dans le Montana.

Les responsables républicains sont de plus en plus nombreux à s'écarter de Donald Trump, ils ont peur de couler avec lui. Certains ne lui pardonnent pas d'avoir "conquis" leur parti par surprise en 2016. Fox News aussi a cessé de soutenir le président, même si la chaîne est encore loin, très loin, de la virulence de Ci-Haine-Haine.

La meilleure : Satanyahou a félicité Joe Bidon pour sa "victoire". C'était bien la peine que Trump se casse le cul pour devenir le plus pro-israélien de tous les présidents...

Pas mauvaise non plus : comme le rappelle Breitbart, lors du premier débat présidentiel du 29.9.20 (voir plus haut), le président-élu-par-les-merdias avait affirmé qu'il ne se proclamerait pas vainqueur avant que le résultat de l'élection n'ait été certifié de manière indépendante : I will Not Declare Victory Until the Election Is Independently Certified.

11 novembre 2020 - Trump fait sa réapparition au cimetière d'Arlington, près de Washington, pour rendre hommage aux combattants américains de la Première Guerre mondiale - du moins on suppose que c'est lui.

Quoi qu'il en soit, les tweets présidentiels se multiplient. Et comme ils dénoncent tous la fraude électorale, ils sont censurés pour "conspirationnisme", c'est-à-dire pour refus de s'aligner sur les mensonges des conspirateurs. La fermeture pure et simple du compte Twitter de Donald Trump ne devrait pas tarder.

13 novembre 2020 - Comme s'il voulait dissuader ceux de ses partisans encore assez naïfs pour voir en lui un adversaire du Corona Hoax, Donald Trump, dans une conférence de presse, fait l'éloge du vaccin mis au point par Pfizer, cimentant ainsi la supercherie du siècle. Et pour bien montrer quels intérêts il défend, le futur ex-président des Etats-Unis donne la parole à un certain Moncef Slaoui*, représentant de GlaxoSmithKline (GSK), autre joyau de Big Pharma. Slaoui, l'homme aux trois passeports (Maroc, Belgique, USA) qui parle aussi bien l'anglais que la First Lady, a été nommé par Trump "chef de l'opération 'Warp Speed'** dont l'objectif est de développer un vaccin à grande échelle" (Wikipédia) et surtout à grande vitesse.

* Quand un Arabe accède à une telle position, c'est que le lobby innommable n'est pas loin. Ou alors, le bonhomme est peut-être en réalité un juif séfarade détenteur d'un quatrième passeport.

** "Warp speed" est un terme inventé par Hollywood pour désigner une vitesse supérieure à celle de la lumière (sic), à laquelle se déplacent les vaisseaux de la série "Star Trek". C'est dire si c'est scientifique...


Conclusion : ce qu'il lui aurait fallu, à Donald, ce n'est pas un Slaoui mais des glaouis.  Ça oui...

14 novembre 2020 - Tandis que les merdias créditent le président-élu-par-les merdias de 306 grands électeurs contre 232, les partisans de Trump, à Washington, protestent par centaines de milliers contre le vol des élections (Stop the Steal) - on les voit ici devant la Cour Suprême.  Dans la caravane présidentielle venue se joindre à la protestation, Donald Trump à bord de sa voiture blindée, salue les manifestants.  Autres photos :  une  -  deux  -  trois  -  quatre  -  cinq.

Si au cours des quatre dernières années, Trump avait encouragé ses partisans à occuper plus souvent la place publique au lieu d'abandonner la rue à la racaille gauchiste, les choses auraient peut-être évolué différemment. Aujourd'hui, dans la capitale américaine, les casseurs BLM-"Antifa" qui s'en étaient pris à la manif, ont été mis en fuite, mais ils sont revenus lorsque les gens finissaient de se disperser. On compte de nombreux blessés.

17 novembre 2020 - Donald Trump ne joue pas seulement au golf, il purge le Pentagone  par Thierry Meyssan.

Trump vient de virer son ministre de la "Défense", Mark Esper, qui sabotait la politique présidentielle et bloquait le retrait des troupes américaines d'Afghanistan. Il l'a remplacé par Christopher Miller, qui devient ainsi le quatrième chef du Pentagone en quatre ans. Egalement limogés : le chef de cabinet du ministre, le directeur de la politique de Défense, le sous-secrétaire chargé du Renseignement et de la Sécurité, et l'agent de liaison avec l'OTAN. Personne ne sait si les nouveaux venus valent mieux que leurs prédécesseurs - en supposant que cela ait encore la moindre importance. Et puis, ce n'est pas en novembre 2020 mais en janvier 2017 qu'il fallait choisir des gens dignes de confiance.

Autre coup de balai aussi tardif qu'inutile : Trump licencie Christopher Krebs, directeur de l'agence pour la Cybersecurité dépendant du ministère de la Sécurité intérieure (Homeland Security). Cette agence, soi-disant chargée de protéger le processus électoral, prétend n'avoir constaté aucune ingérence ni vol d'élection. Pas étonnant quand on sait que Krebs a travaillé pour Microsoft avant d'être embauché par le président.

20 novembre 2020 - En Géorgie, après recomptage des voix, Joe Bidon est aussi "gagnant" qu'avant. Pas étonnant, puisqu'on n'a fait que recompter les bulletins envoyés par la poste, sans vérifier leur validité. Comme ils ont été séparés de l'enveloppe et du formulaire rempli et signé qui les accompagnaient, il est impossible de savoir s'ils ont été reçus à temps, ni si l'expéditeur est inscrit sur les listes électorales, ni s'il est citoyen américain, ni s'il a voté plusieurs fois.

Bien entendu, les avocats de Trump, qui ont demandé le recomptage non seulement en Géorgie mais aussi en Pennsylvanie, dans le Wisconsin et le Michigan, sont parfaitement au courant de ce problème. On se demande pour qui ils travaillent en réalité.

L'organisation Judicial Watch qui comptabilise les irrégularités électorales, a constaté, entre autre, l'existence de 1,8 million d'électeurs "fantômes" dans 353 comtés de 29 Etats - détails. Apparemment, les avocats du président n'ont rien fait de ce côté-là.

22 novembre 2020 - Non seulement l'équipe juridique de Donald Trump n'obtient aucun résultat tangible dans l'affaire de la fraude électorale, mais elle commence à s'entredéchirer.  Rudi Giuliani, l'avocat qui la dirige, vient en effet de déclarer que sa collègue Sidney Powell n'en fait plus partie. Ces derniers jours, Powell avait annoncé à grand fracas qu'elle allait présenter des preuves de l'implication de la société Dominion Voting Systems dans le "transfert" illégal de voix de Trump vers Biden. Elle n'en a rien fait.

Sur le terrain, une plainte pour fraude en Pennsylvanie a été rejetée par une cour de Harrisburg (la capitale de l'Etat). Giuliani dit qu'il va saisir la Cour d'appel de Philadelphie. S'il tarde à le faire ou si ce tribunal prend son temps, tout risque d'être terminé sans qu'il ait pu s'adresser à la Cour Suprême de Washington. Et même s'il gagne à Philadelphie, cela ne suffira pas pour empêcher la fausse "victoire" de Joe Bidon.

L'annonce faite par Trump le 5.11.20 (voir plus haut) ne veut pas dire grand-chose car il est impossible, dans le contexte donné, de saisir directement la Cour Suprême. De là à penser que les avocats du président s'y sont pris comme des pieds, il n'y a qu'un pas...  (Mais la réalité est sans doute pire : sabotage délibéré, peut-être même avec le consentement du président qui cherche une porte de sortie).

23 novembre 2020 - Moins de trois semaines après l'élection américaine la plus frauduleuse de tous les temps, Donald Trump capitule sournoisement. Il remercie Emily Murphy, directrice de la GSA (voir plus haut 10.11.20) et lui "recommande, dans l'intérêt du pays, de faire ce qui doit être fait" [pour la passation des pouvoirs aux fraudeurs]. Et le président le plus lâche de tous les temps ajoute qu'il a ordonné à son équipe de faire la même chose.

C'est une gifle monstrueuse à ses 73,9 millions de partisans (chiffre concédé par ses ennemis qui s'attribuent 80 millions de voix).

26 novembre 2020 - Trump gracie Michael Flynn, son ancien chef du Conseil de Sécurité Nationale qu'il avait limogé en février 2017 sur ordre de l'Etat profond trois semaines à peine après son entrée à la Maison Blanche (voir page précédente) et laissé inculper pour "mensonge au FBI" (voir plus haut). Flynn n'avait jamais été condamné, mais l'épée de Damoclès de la "Justice" était toujours suspendue au-dessus de sa tête. Ainsi prend fin, semble-t-il, un épisode honteux de la présidence Trump - le tout premier, en fait, et il y en a eu beaucoup d'autres.

Pas moins honteux : tout en faisant semblant de ne pas "concéder sa défaite", Donald Trump permet à Joe Bidon de "bénéficier" des briefings du Renseignement comme s'il était véritablement le président élu. (Ce n'est pas que ces briefings aient une quelconque valeur...)

27 novembre 2020 - Il est des jours où l'on s'estime heureux de ne pas faire partie des 73,9 millions de cocus :


Un détail insignifiant que Trump semble "oublier" :
Si dans un Etat la victoire est attribuée au parti de la fraude, la totalité des grands électeurs réservés à cet Etat
(répartition 2016) revient aux fraudeurs et se retrouve ainsi au collège électoral... qui vote pour le "président" fraudeur.


Plus simplement :

"Je vous assure que je quitterai la Maison Blanche
si Joe Bidon déclare qu'il a gagné...
"


Ou encore :

"Je quitterai la Maison si Joe Bidon me dit qu'elle est Blanche..."


Soyons concis :

"Si Blanche donc Bidon, tontaine tonton..."


29 novembre 2020 - Dans une interview à Fox News Donald Trump se plaint de la passivité du ministère de la Justice (et du FBI qui en dépend) dans l'affaire de la fraude électorale 2020 et dans d'autres enquêtes plus ou moins en suspens depuis des années (par exemple contre l'ancien directeur du FBI James Comey ou son adjoint Andrew McCabe - voir plus haut 12.12.19).

Pauvre Donald, t'as vraiment pas de pot, la vie est dure... Ah si seulement tu pouvais être président des Etats-Unis, avec un superbe bureau ovale... Il te suffirait d'appeler le ministre de la Justice de ton gouvernement. Et le gars (disons qu'il s'appellerait William Barr) ferait le nécessaire en moins de cinq minutes. Parce que le POTUS (ce serait toi) est quand même le mec le plus fort et le plus respecté de tous les USA.

1er décembre 2020 - Le ministre de la Justice n'est plus seulement passif comme le lui reprochait Trump deux jours plus tôt. A présent, il contredit ouvertement son "patron", niant qu'il y ait eu fraude à une échelle affectant le résultat global de l'élection. Un certain nombre d'élus républicains disent la même chose et font cause commune avec le camp démocrate - voir ici.

5 décembre 2020 - Meeting électoral de Donald Trump sur le tarmac de l'aéroport de Valdosta (Géorgie) avec la participation de plusieurs milliers de personnes, en vue du second tour des élections sénatoriales dans cet Etat. Normalement, le vote à deux tours est chose rare aux USA, mais comme la Géorgie a une loi électorale particulière et qu'aucun des candidats n'a obtenu la majorité absolue le 3 novembre (il y avait plus de deux partis), il va falloir revoter le 5 janvier 2021.

Pour le moment, le rapport de forces au Sénat est de 50 républicains contre 48 démocrates. Si le parti de Joe Bidon remporte les deux sièges manquants, on en sera à 50:50, et comme dans un tel cas, le vice-président (ou la vice-présidente) vote pour départager les sénateurs, la dernière ligne de défense du GOP tombera. Joe and the Hoe (voir plus hoe haut) domineront à la fois la Maison Blanche et les deux chambres du Congrès.

Trump vient donc soutenir les deux candidats républicains, un geste compréhensible dans des conditions normales (absence de fraude électorale généralisée et absence de capitulation du vainqueur à la présidentielle). Malheureusement les conditions sont loin d'être normales. Mais bon, Donald est le champion du monde en matière de campagne électorale. Personne ne prétend qu'il sait défendre une élection gagnée, et encore moins qu'il est capable d'exploiter une victoire une fois qu'elle est acquise. En fait, il est en campagne ininterrompue depuis plus de cinq ans. Donc aucune raison de s'arrêter maintenant.

Petit problème : le gouverneur républicain de Géorgie est un trumpophobe. Les deux candidats sénateurs le sont peut-être aussi, mais comme Trump se décarcasse pour eux, ils ne le montrent pas (pour le moment). Il sera toujours temps après le 5 janvier s'ils sont battus. Avec la fraude c'est d'ailleurs assez probable, sans compter qu'un certain nombre de sympathisants républicains dégoûtés par la réaction molle et ambiguë du président face à sa prétendue "défaite", s'abstiendront d'aller voter.

8 décembre 2020 - Que fait la Cour Suprême des Etats-Unis (SCOTUS) dans l'affaire de la fraude électorale ?  Jusqu'à présent, elle a été saisie à deux reprises :

1)  Après le rejet, à Harrisburg, de la plainte en première instance concernant la Pennsylvanie (voir plus haut 22.11.20), l'équipe juridique présidentielle a fait appel à Philadelphie. Cet appel ayant également échoué, elle a saisi la SCOTUS de Washington. Celle-ci, sans rejeter l'affaire elle-même, nie qu'il y ait urgence en la matière - détails.  Mais en laissant l'affaire suivre son cours, peut-être pendant plusieurs mois, on ne pourra plus renverser le fait accompli créé par les fraudeurs.

2)  Le Texas (Etat républicain) a déposé avec le soutien de la Louisiane (autre Etat républicain) une plainte contre la Géorgie, le Michigan, la Pennsylvanie et le Wisconsin devant la SCOTUS. Motif : dans le but d'autoriser de manière incontrôlée le vote par correspondance, ces quatre Etats ont violé la constitution américaine en modifiant leur loi électorale, cette mesure arbitraire ayant été prise par l'exécutif local sans consultation de l'assemblée législative - voir ici.  (Dans un tel cas de figure impliquant plusieurs Etats, il est permis de saisir directement la SCOTUS.)

Le lendemain, le Missouri et 16 autres Etats républicains se joignent à la plainte déposée par le Texas - détails  Alors que la problématique est connue depuis au moins un an et que l'élection a eu lieu il y a cinq semaines, on peut se demander pourquoi les plaignants ont attendu si longtemps pour agir. De plus, la plainte déposée par le Texas demande à la SCOTUS d'ordonner que les grands électeurs des quatre Etats concernés ne soient pas du tout pris en compte, ce qui est tout à fait sans précédent, pour ne pas dire utopique - voir ici. Vu que le rôle de la Cour Suprême ne consiste pas à élaborer des solutions politiques, mais à trancher en répondant par oui ou par non, sa réponse risque d'être décevante pour les supporters de Donald Trump. A suivre...

11 décembre 2020 - Par sept voix contre deux, la Cour Suprême rejette la requête du Texas. Parmi les sept juges se trouvent les trois nouveaux désignés par Trump (Neil Gorsuch, Brett Kavanaugh et Amy Coney Barrett). Est-ce un coup de poignard dans le dos du président ou tout simplement la conséquence logique d'une plainte tardive et bâclée ?... Les deux juges favorables à un examen approfondi de la requête sont Clarence Thomas et Samuel Alito (nommés respectivement par Bush père et Bush fils). Leurs sept collègues estiment qu'un tel examen n'est pas nécessaire car le Texas n'a pas prouvé qu'il avait qualité pour agir dans une affaire concernant la manière dont d'autres Etats organisent leurs élections.

Allen West, chef du GOP du Texas, condamne la décision de la SCOTUS et déclare : "Peut-être que les Etats respectueux des lois devraient s'allier et former une Union d'Etats qui respecteraient la Constitution..."  Chiche !

Vu sur le site Egalité & Réconciliation :

Il flotte au-dessus de tout cela une forte odeur de sabotage...

12 décembre 2020 - Manifestation contre la fraude électorale à Washington  (autre photo - encore une). Dans la soirée, affrontements avec la racaille gauchiste : quatre partisans de Trump sont poignardés, des banderoles BLM brûlent tandis que retentissent les cris de "Fuck Antifa"  Dans de nombreuses autres villes américaines, des rassemblements ont lieu également, parfois armés comme ici à Atlanta.

S'agit-il des premiers signes de la guerre civile annoncée par certains ?...  Ce serait trop beau...

Donald Trump, lui, semble se tenir à l'écart de tout cela. Peut-être fait-il déjà ses valises... Quoi qu'il en soit, en guise de cadeau de départ à son Etat terroriste juif préféré (qui a depuis longtemps reconnu la "victoire" de Joe Bidon), le président a arrangé une "normalisation" des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël. En échange, la dictature de Rabat obtient la reconnaissance officielle par les Etats-Unis de son annexion illégale du Sahara occidental.

14 décembre 2020 - Les quatre "bonnes nouvelles" du jour :

1)  Après avoir touché ses trente deniers, William Barr peut démissionner de son poste de ministre de la "Justice". Il garde ses lunettes spéciales qui lui permettent de se déplacer dans le marais de DC sans voir les dix ou douze millions de faux bulletins.

2)  Le collège électoral mis en place par les faussaires avec la complicité des tribunaux déclare Joe Bidon "vainqueur" par 306:232 sans prolongations. La cérémonie officielle de consécration du président-élu-par-les-merdias est prévue pour le 6 janvier 2021. Poutine félicite l'impétrant et ajoute : "Aux USA c'est comme en Russie, la fraude électorale n'existe pas..."

3)  Bien que la fête de Noël soit déjà plus ou moins rayée du calendrier pour cause de Covid-19(84), on signale que le cadeau le plus demandé cette année est la panoplie Ma première protestation pacifique, qui va rapporter un max de fric au fabricant Fisher-Price. Grâce à elle, vos enfants apprendront dès le plus jeune âge à incendier les maisons des suprémacistes blancs, à commencer par la vôtre, en beuglant des slogans de terroristes BLM-"Antifa". La valeur pédagogique de ce jouet dépasse de loin tout ce que pourrait leur apporter l'école - si l'école n'était pas elle aussi en voie de disparition.

4)  Histoire de prouver qu'il a bien compris que le Corona Hoax (qui a largement contribué à sa chute) est tout ce qu'il y a de plus sérieux, Donald Trump pousse à la vaccination. S'il pouvait faire piquer tout le monde* avant de quitter la Maison Blanche, ce serait pour lui la plus grande victoire de sa présidence. Il faut dire qu'il y a vraiment urgence, le compteur de "cas" est sur le point d'exploser :

Si vous avez vomi dans votre masque en voyant ça, c'est qu'il est déjà trop tard...

* Tout le monde à quelques exceptions près.

15 décembre 2020 - Mitch McConnell, chef de la majorité républicaine au Sénat, reconnaît la "victoire" de Joe Bidon.  Ite, missa est...

18 décembre 2020 - Avant de partir, Trump prend de nouvelles "sanctions" contre la Chine, interdisant aux entreprises de ce pays l'accès aux marchés financiers américains. Simultanément, son ministre des Affaires étrangères, Mike Pompeo, accuse pour la énième fois la Russie de cyberattaques contre le gouvernement US. Inutile de dire que Pékin et Moscou se réjouissent du prochain changement d'administration, tout en sachant que le répit ne sera que de courte durée.

23 décembre 2020 - Tandis que l'An de grâce (ou de crasse) 2020 touche à sa fin, Donald Trump gracie plusieurs personnes, dont Paul Manafort et George Papadopoulos (membres de son équipe de campagne 2016 - voir page précédente 30.10.17), Roger Stone (conseiller informel) et Charlie Kushner (père de son gendre Jared).

Les trois premiers (surtout Stone) ont été victimes de la chasse aux sorcières du Russia Hoax, laquelle aurait pu être évitée si Trump avait eu le courage d'agir à temps. Mais bon, on ne peut pas attendre d'un président incapable de se protéger lui-même de ses ennemis, qu'il fasse le nécessaire pour protéger ses alliés.

Parmi les autres graciés, on trouve quatre mercenaires de Blackwater responsables de crimes de guerre en Irak, dont un ayant tué 17 civils à lui tout seul.

29 décembre 2020 - Dernières batailles parlementaires de Donald Trump :

■  Il y a quelques jours, le président avait refusé de promulger une loi semblable à celle de mars 2020 (voir plus haut) mais de 980 milliards "seulement", loi visant à compenser l'impact financier du Covid. Le texte voté par les Démocrates et de nombreux Républicains, prévoyait une aide individuelle de 600 $ par adulte (500 €), montant ridiculement bas que Trump voulait porter à 2.000 $ (1.600 €). La Chambre des Représentants a revu le texte, accepté les 2.000 $ mais pas les autres demandes de changement formulées par Trump, et voté la loi amendée par 275 voix contre 134 ; le Sénat doit encore se prononcer. Pour le président, c'est un succès (grâce à lui, les Américains, dont il se veut le défenseur, toucheront plus). Naturellement, les trumpophobes et leurs merdias présentent la chose autrement (Trump, avec son veto que nous avons annulé, a prouvé qu'ils ne voulait rien vous donner ; le chèque de 2.000 $, c'est à nous que vous le devez).

■  Autre texte que le président a refusé de promulguer : la loi dite "2021 National Defense Authorization Act" qui ne contient aucun des points voulus par lui (retrait des toupes d'Afghanistan, suppression de l'exemption automatique de responsabilité pour les grandes entreprises d'armement, refus de rebaptiser les bases militaires portant des noms de généraux ou hommes politiques sudistes). Renvoyé devant la Chambre, le texte a été confirmé par 322 voix contre 87, avec l'aide de plus de la moitié des élus républicains, renversant ainsi le veto présidentiel (pour cela 2/3 des voix étaient nécessaires). Même chose au Sénat (vote 81:13).  Là, il s'agit sans conteste d'une défaite de Donald Trump, et elle prouve bien que le GOP n'est plus son parti.

30 décembre 2020 - Encore une grâce présidentielle, cette fois en faveur de Jonathan Pollard. Cet espion juif américain avait transmis au Mossad, au début des années 1980, une liste d'agents de la CIA en URSS, liste que Tel Aviv fit suivre à Moscou afin d'obtenir du Kremlin l'émigration vers Israël d'un plus grand nombre de Juifs soviétiques. A la suite de quoi, la plupart des espions américains en Russie furent arrêtés et exécutés. Cas rarissime aux USA, le traître sioniste Pollard fut condamné, en 1985, à la réclusion perpétuelle (il méritait la peine de mort). En 2015, il fut placé en liberté conditionnelle avec l'obligation de porter un bracelet électronique. Grâce au président le plus judéolâtre de toute l'histoire américaine, Pollard peut à présent aller jouer les martyrs en Israël.

4 janvier 2021 - On savait déjà que le gouverneur républicain de Géorgie (Brian Kemp) était ouvertement anti-Trump (voir plus haut 5.12.20). Désormais, on peut ajouter le Secretary of State (ministre de l'Intérieur) de cet Etat (Brad Raffensperger) à la liste des RATs (Republicans Against Trump), ces traîtres qui s'étaient manifestés au début de sa présidence mais avaient fini par se calmer en attendant de pouvoir ressortir de leurs trous.

Au courant du mois de décembre, Trump avait téléphoné à Raffensperger pour lui demander de régler le problème de la fraude électorale en Géorgie. C'était une chose tellement évidente, que le ministre aurait dû s'en occuper spontanément, sans attendre qu'on l'invite à faire son travail. Mais les choses étant ce qu'elles sont, non seulement Raffensperger n'a rien fait contre la fraude, il l'a couverte et peut-être même facilitée. En tout cas, il a enregistré la conversation téléphonique avec le président et a transmis l'enregistrement au Washington Post, un des principaux merdias trumpophobes.

Dans un pays un tant soit peu démocratique, le RAT de Géorgie se retrouverait en prison. Heureusement pour lui que les USA sont une république bananière. Plusieurs de ses complices dans le bien mal nommé camp "démocrate" ont déjà demandé au FBI d'ouvrir une enquête criminelle... contre Donald Trump.

5 janvier 2021 - Second tour des sénatoriales en Géorgie. Comme il fallait s'y attendre, le parti des fraudeurs se voit attribuer les deux sièges ; la lassitude des partisans de Trump y est aussi pour quelque chose. La répartition des forces au Sénat est donc désormais de 50:50 (voir plus haut 5.12.20). Vu qu'une bonne partie des sénateurs républicains a déjà retourné sa veste (voir un peu plus haut), il ne sera même pas nécessaire de faire intervenir la "vice-présidente" pour départager les ex æquo et imposer la ligne du futur régime.

Fausse insurrection au Capitole

6 janvier 2021 - Procédure de certification des grands électeurs par les deux chambres du Congrès réunies au Capitole en session commune présidée par Mike Pence. Les 50 Etats sont appelés par ordre alphabétique, chacun d'eux remettant sa liste officielle de grands électeurs signée par le gouverneur. Si des objections sont présentées pour un Etat donné, par écrit et avec le soutien d'au moins un représentant et un sénateur, la séance est interrompue. Chambre des représentants et Sénat se séparent alors et débattent deux heures durant avant de voter pour accepter ou rejeter les objections. Etant donné que les Démocrates et leurs complices RATs républicains disposent d'une confortable majorité dans les deux chambres, les objections ne risquent pas d'être acceptées. A l'issue de la discussion, représentants et sénateurs retournent en session commune et reprennent la liste alphabétique là où ils l'avaient laissée.  Le premier Etat au résultat controversé est l'Arizona (troisième de la liste). Les suivants sont la Géorgie, le Michigan, le Nevada, la Pennsylvanie et le Wisconsin. On n'a retenu que les cas les plus criants, sinon le processus se prolongerait jusqu'à l'automne.

Devant la Maison Blanche (à plus de deux kilomètres du Capitole), les partisans de Trump se rassemblent pacifiquement pour ce qu'ils appellent la Save America March en présence du président dont c'est peut-être la dernière apparition en public. Donald Trump assure qu'il n'acceptera pas la fraude dont il est victime et qu'il ne concèdera rien. En même temps, il conjure son vice-président Mike Pence de tout faire pour empêcher la certification du vote frauduleux. Pence (au Capitole) déclare qu'il n'a pas le pouvoir de faire cela et que jamais, dans l'histoire des USA, aucun vice-président n'a eu ce pouvoir.

Peu après, à l'extérieur du Capitole, où la procédure de certification a commencé, la foule force les barrages de police et pénètre à l'intérieur de l'édifice. La séance est ajournée, les parlementeurs prennent la poudre d'escampette, on leur distribue des masques à gaz et des caleçons de rechange. Les forces de sécurité résistent vaillamment, comme en 1812 quand les Anglo-Canadiens avaient attaqué. C'est d'autant plus facile que les "envahisseurs" ne sont pas bien méchants. Certains veulent juste se faire photographier dans le bureau de Zombie Pelosi, d'autres s'intéressent à son pupitre. Il y en a aussi qui se défoulent gentiment ou montrent leurs talents d'alpinistes déjà remarqués un peu plus tôt.

"Le pire", c'est ce drapeau confédéré vu dans les salons du Capitole, disent les Démocrates. Ces cons-là ont oublié qu'ils sont - historiquement - le parti sudiste et que Lincoln était républicain (voir plus haut 24.7.20). 

Quoi qu'il en soit, cet épisode n'a rien de comparable avec ce que l'on avait vu à Hong Kong en 2019 ni même avec les destructions des gangs BLM-"Antifa".

Pas de quoi parler d'insurrection encouragée par Trump, comme le fait Ci-Haine-Haine. Le président n'a rien à voir avec les victimes de la journée (il y aurait quatre morts dont une femme tuée par la police). D'ailleurs que fait-il ?  Il demande à ses supporters de rentrer chez eux...

Malgré cette reculade, les merdias se déchaînent, lui reprochant d'avoir du sang sur les mains, et réclament sa destitution immédiate sans attendre le 20 janvier. Rien ne sert d'être lâche, il faut partir à point...

Quand le calme est revenu, la procédure de certification reprend et s'accélère car aucun sénateur républicain ne soutient plus les objections formulées par la Géorgie, le Michigan et le Nevada. L'Arizona tombe rapidement. Pour la Pennsylvanie et le Wisconsin, on fait encore semblant de discuter un peu mais le résultat est connu d'avance. Le président-élu-par-les-merdias avec plus de dix millions de voix volées devient officiellement le nouveau locataire de la Maison Blanche.

Pour couronner cette mémorable journée, Donald Trump assure que la passation des pouvoirs du 20 janvier se déroulera dans l'ordre. On connaissait déjà la capitulation sans conditions ; le président sortant vient d'inventer la capitulation sans concession...  Pauvre Amérique !



LE MUR DU ÇON...

... est franchi aujourd'hui par le site trotskiste WSWS, alias BSBS.


7 janvier 2021 - Non seulement Donald Trump capitule honteusement, mais il s'en prend à ceux qui l'ont soutenu jusqu'au bout.

Les "visiteurs" du Capitole arrêtés par la police et bientôt condamnés par la "Justice" et jetés en prison*, pourront toujours applaudir quand ce sera au tour de leur idole déchue de subir le même sort.

* Ils risquent jusqu'à 10 ans de prison en vertu d'un décret de... Donald Trump sur la protection des monuments historiques. Ce texte, jamais appliqué contre les vandales BLM-"Antifa", le sera contre les patriotes trahis par leur président. Ceux d'entre eux que les flics n'ont pas encore arrêtés, sont activement recherchés par le FBI qui les qualifie d'émeutiers. C'est le ministre de la Justice par intérim, le sioniste Jeffrey Rosen, qui a annoncé la nouvelle. On se demande s'il poursuivra aussi son co-élu Aaron Mostofsky qui est un des "émeutiers" du Capitole mais aussi et surtout le fils de Shlomo Mostofsky, juge de Brooklyn et membre éminent de la communauté orthodoxe juive.

Des manifs de protestation, plus calmes qu'à Washington DC, ont également eu lieu dans de nombreuses capitales d'Etats, comme par exemple à Olympia (Etat de Washington - autre photo), Salt Lake City (Utah), Santa Fe (Nouveau-Mexique), etc...

8 janvier 2021 - Donald Trump annonce qu'il n'assistera pas à la cérémonie d'investiture du 20 janvier.

Ses ennemis des deux partis préparent un second Impeachment, ayant bon espoir que cette fois, il ne sera pas repoussé par le Sénat comme le premier (voir plus haut 5.2.20).  Le but n'est pas tant de se débarrasser de Trump, dont le mandat expire de toute façon dans douze jours, mais de l'humilier et de se venger pour les quatre ans qu'il leur a fait perdre. Le motif invoqué cette fois serait d'avoir "fomenté une insurrection" (sic). Ce sont les auteurs et complices du putsch électoral qui le disent, ces mêmes ordures qui ont aussi organisé, financé, justifié et couvert les émeutes bien réelles de la racaille BLM-"Antifa". Belle inversion orwellienne !

Grâce à leur monopole sur les moyens de désinformation, les vrais putschistes peuvent tout se permettre sans risquer d'être contredits. D'ailleurs, après avoir fréquemment censuré Trump ces derniers temps sur les réseaux sociaux, ils le bannissent définitivement de Twitter, Facebook, Instagram et YouTube, pour le cas où il aurait encore quelque chose à communiquer. Donald Trump aura été le président le plus malmené de toute l'histoire des Etats-Unis. Et comme il le dit lui-même : Vous n'avez pas encore vu le meilleur.

9 janvier 2021 - Arrêtez de défendre Trump : regardez ce qu'il a fait à notre Capitole !

11 janvier 2021 - Les Démocrates présentent à la Chambre des Représentants une résolution demandant à Mike Pence d'invoquer le 25ème amendement constitutionnel pour écarter Donald Trump, car ce dernier serait "dans l'incapacité d'exercer les pouvoirs et de remplir les devoirs de sa charge"... comme par exemple de reconnaître qu'il a "perdu" l'élection.

Cette résolution étant provisoirement bloquée par les Républicains, les putschistes en déposent une autre en vue d'obtenir la destitution (impeachment) de Trump qu'ils accusent d'avoir "incité à l'insurrection après sa tentative manquée de subversion et d'obstruction de la certification électorale".

La chasse aux sorcières s'instaure un peu partout contre les soutiens du président. Les banques de Wall Street bloquent les fonds de campagne des candidats républicains pro-Trump et menacent de les placer sur une liste noire - détails. La censure et les fermetures de comptes s'étendent sur les réseaux sociaux, le réseau alternatif Parler doit cesser ses activités du jour au lendemain. Les arrestations de prétendus "émeutiers" se multiplient, de même que les appels à la délation. La liberté d'expression n'existe plus dans les universités, on raye du barreau les avocats conservateurs, on liencie des gens pour avoir assisté à des meetings du président. La dictature progresse à pas de géant, tandis que les (anciens) partisans de Trump sont réduits au silence. La guerre civile tant évoquée ces derniers temps ne risque pas d'avoir lieu, car pour cela il faut deux camps, et le camp de "la droite" (des patriotes), miné par la trahison et démoralisé, n'existe pratiquement plus.

Il faut bien sûr se demander - et beaucoup le font - dans quelle mesure les putschistes "de gauche" à présent à l'œuvre, ont donné un petit coup de pouce lors de la "prise du Capitole" du 6 janvier, dans le but d'obtenir l'effet voulu et pour justifier le coup d'Etat silencieux qui se déroule sous nos yeux. On a ouvert certaines portes pour laisser entrer les "émeutiers", on a ordonné à la police de se retirer discrètement, on a fait intervenir des provocateurs "Antifa", etc... Et des photographes professionnels étaient sur place pour documenter "l'insurrection"...


Un des derniers soutiens de Donald Trump semble être Mike Pompeo. Quelques instants avant le déclenchement du siège éjectable, le ministre des Affaires étrangères du pays le plus terroriste de tout l'Univers (à égalité avec Israël) place Cuba et la résistance houthiste du Yémen sur la liste des "Etats et organisations terroristes". Pratiquement, ça ne change rien...  Pompeo a également obtenu (conjointement avec Jared Kushner) que le Soudan "normalise" ses relations avec Israël (et remercie l'Etat voyou juif de lui avoir volé le sud du pays en 2011 - voir ici), le tout en échange d'une "aide financière" (définition classique de la corruption).

Ces gestes ultimes ne sauveront pas Trump. Le ministre aurait mieux fait de préparer le départ en exil de son patron, soit vers les Trump Heights du Golan occupé (voir plus haut 16.6.19), soit vers l'île de Jersey, où Minus Pompe-de-Haut jouit d'une telle popularité, qu'il a même une rue à son nom.


" Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! "

12 janvier 2021 - Dernier déplacement présidentiel : Donald Trump est à Alamo, dans le sud du Texas à la frontière mexicaine, où il inaugure un tronçon de son fameux mur. Pas de quoi pavoiser : en quatre ans, à peine 600 km ont été construits ou renforcés, sur un total de plus de 3.000 km. A ce rythme, il aurait fallu que Trump soit réélu quatre ou cinq fois de suite avant de pouvoir crier victoire... juste avant de fêter son 100ème anniversaire. Mais tout cela est connu depuis longtemps (voir plus haut 21.7.19).

Mike Pence refuse d'invoquer le 25ème amendement, sans doute moins par loyauté envers Trump que par refus de porter seul l'entière responsabilité du coup d'Etat : en acceptant de tirer les marrons du feu, il serait devenu président pour une semaine avant d'être remercié par les putschistes. Comme Pence le fait fort justement remarquer, le but de cet amendement n'est pas de satisfaire les vengeances politiques, mais d'assurer la continuité en cas de maladie ou d'accident.



ET ENCORE UNE RÉSOLUTION À LA CON...

... dans le but de "censurer" Donald Trump (ils ne font rien d'autre depuis quatre ans)
et de le condamner pour avoir "tenté d'inverser le résultat de l'élection" (sic) -
un texte orwellien déposé par les pires fraudeurs de tous les temps.

13 janvier 2021 - La Chambre des Représentants vote la résolution d'impeachment (voir un peu plus haut 11.1.21) par 232 voix contre 197. Dix RATs (Republicans Against Trump) font cause commune avec les Démocrates. Mais même les 197 "fidèles" sont d'accord pour condamner "l'insurrection". Le Sénat devrait se prononcer dans les prochains jours.

14 janvier 2021 - Pour justifier leur coup d'Etat et la répression qui l'accompagne, les putschistes gonflent à l'extrême le "danger" qu'aurait présenté la "prise du Capitole" du 6 janvier (voir plus haut). Après les photos d'agences (Getty, Reuters) prouvant exactement le contraire, ils nous sortent avec une semaine de retard des vidéos floues et trafiquées illustrant "des scènes de violence". Une photo qu'ils ne nous montrent pas, c'est celle-ci où l'on voit les méchants zinsurgés faire bien gentiment la queue à l'intérieur du "saint des saints" :


Il y a un siècle, Lénine se moquait des révolutionnaires allemands de 1918 qui achetaient un ticket de quai avant d'aller occuper une gare. Les "révolutionnaires" américains de 2021, eux, prennent bien soin de rester entre les cordons de velours qui servent en temps normal à canaliser les visiteurs. Curieuse "insurrection", sans dégâts notables à part deux vitres brisées et trois meubles endommagés. Pas d'incendies, pas de graffitis... Et au bout de quelques heures, comme si de rien n'était, retour complet à la normale... Est-ce un hasard si le merdia Ci-Haine-Haine avait déjà imposé l'usage du mot insurrection avant même que les agents de "sécurité" n'aient invité la foule à pénétrer dans le Capitole ?...

Il est évident que tout cela a été préparé d'avance pour empêcher les 74 millions* d'électeurs de Trump privés de voix de se faire entendre. L'armée et la garde nationale investissent maintenant la capitale pour tuer dans l'œuf toute tentative de protestation le 20 janvier, lorsque le président-élu-par-les-merdias sera intronisé avec la complicité de toute la caste politique. L'état d'urgence (approuvé par Trump !) permettra aussi de masquer l'absence de soutien populaire pour l'imposteur ; les gangs BLM-"Antifa" ne sont pas le peuple mais des sections d'assaut de l'Etat profond financées par Soros.

* En fait beaucoup plus. 74 millions est le nombre concédé à Donald Trump par ses ennemis. Il faut y ajouter les millions de suffrages illégalement transférés de Trump à Biden, et les soustraire des 81 millions soi-disant recueillis par ce dernier. A soustraire également les millions de voix frauduleuses (immigrés illégaux, personnes décédées, votes multiples). Si l'élection avait été honnête, le résultat aurait probablement été de 80 millions pour Donald Trump contre 70 pour Joe Bidon. Et cela malgré la catastrophe économique due au Corona Hoax. On imagine ce qui se serait passé si le président n'avait pas bêtement endossé la supercherie covidienne...

Quoi qu'il en soit, les 80 millions de trumpistes - trahis par Trump - sont à présent des "domestic terrorists", pour employer le jargon officiel des putschistes et de leurs merdias. Voici à quoi ressemblent ces "terroristes de l'intérieur"* condamnés par leur chef, le chef le plus lâche qu'on ait jamais vu de mémoire de Viking...

* Le 31 mai 2020 (voir plus haut), Trump avait manifesté son intention de placer les vrais terroristes de l'intérieur, les "antifas", sur la liste des organisations interdites aux USA (mais pas BLM, la chose aurait été trop "raciste", pour ne pas dire "blanco-suprémaciste"). Inutile de préciser que cette bonne intention n'a jamais été suivie d'effet. Si l'on mettait bout à bout toutes les déclarations d'intention et tous les décrets présidentiels restés lettre morte, on pourrait faire dix fois le tour de la Maison Blanche.

19 janvier 2021 - Quelques heures avant son départ, Donald Trump gracie 73 personnes, dont Steve Bannon, ancien chef stratège de la Maison Blanche trahi et renvoyé par le président au début de son mandat (voir page précédente 5.4.17) et inculpé plus tard sous un prétexte futile. Le limogeage de Bannon, comme celui de Flynn (voir plus haut 26.11.20) avait marqué la dérive présidentielle face à l'Etat profond.

Les Démocrates, pourtant pressés d'en finir avec leur Impeachment voté à la va-vite à la Chambre de Représentants le 13.1.21 (plus haut), n'ont toujours pas fait suivre le dossier au Sénat. Le bruit court qu'ils ont l'intention de le faire après le départ de Trump. Pourquoi pas ?  Un pays qui tue un chef terroriste déjà mort depuis longtemps (Ben Laden) peut aussi bien destituer un président qui a quitté sa fonction. Que la méthode soit contraire à la Constitution n'a aucune importance : on a vu ces derniers temps que ce texte n'avait plus qu'une valeur récréative.

L'après-Trump

20 janvier 2021 - Pour la dernière fois, Donald Trump prend l'avion présidentiel en direction de Mar-a-Lago en Floride, où il aura désormais beaucoup de temps libre pour jouer au golf et penser à l'élection volée. Trois heures plus tard, dans la capitale du marais, une poignée de créatures triées sur le volet assistent à la fausse investiture du faux président Joe Bidon. Deux images à retenir de cette parodie de cérémonie : le règne de l'Etat policier à DC et, le plus grotesque, des milliers de petits drapeaux pour suggérer une présence populaire en ce lieu d'où l'on a chassé le peuple.


Lettre ouverte aux supporters de Trump  par Gregory Hood  -  Extraits :

Donald Trump est parti. Pas de soulèvements, pas de règlements de comptes, aucun plan n'était prévu... A la place, on a entendu Joe Biden marmonner quelques platitudes que la plupart des gens ont aussitôt oubliées, y compris Biden lui-même. On nous raconte que la cérémonie d'investiture fut historique et dramatique. Elle fut banale et ennuyeuse, une célébration de la médiocrité, à peu près aussi exaltante qu'une cérémonie de remise du permis de conduire, laquelle a au moins une signification personnelle pour l'intéressé.

Tout le monde a une opinion très marquée, positive ou négative, concernant Donald Trump. Mais il est difficile de ressentir quoi que ce soit à propos de Joe Biden. Très peu de gens ont assisté à ses meetings ou les ont regardés en ligne. Il a mené une campagne très statique, adaptée à l'époque, tandis que les médias et Big Tech censuraient toute opposition. Biden n'était qu'un accessoire, un spectateur de sa propre marche au pouvoir.

Les amis supposés de Donald Trump - de son ancien avocat Michael Cohen à son ex-conseiller Anthony Scaramucci - se sont retournés contre lui, faisant étalage de leur infamie présentée comme de l'héroïsme. Paul Ryan, Mitch McConnell et d'autres Républicains, heureux que Trump les ait aidés quand ils en avaient besoin, l'ont laissé tomber une fois son utilité disparue. On nous dit que le président des Etats-Unis est l'homme le plus puissant de la planète. Aujourd'hui, il ne peut même plus poster un simple tweet.

Si vous avez soutenu Trump jusqu'au bout, et éventuellement au-delà, vous risquez de vous apercevoir qu'il vous a trahi. Il a fait davantage pour Kim Kardashian que pour vous. Les gens qui ont pris des risques pour lui ne seront pas graciés, mais le père de Jared Kushner l'a été.

Le fait est que si le président avait demandé à ses supporters de marcher sur Washington, ils l'auraient fait. Après des années d'échecs, de compromissions, de trahisons et de faiblesses de sa part, ils étaient encore prêts à affronter la force armée en son nom, et une personne au moins est morte pour lui. Biden, pour sa part, a prêté serment sous la protection de troupes auxquelles il ne fait pas confiance. Le FBI a examiné à la loupe chacun des 25.000 hommes affectés à sa garde, pour s'assurer qu'il n'y avait pas de "suprémacistes blancs" parmi eux. Les gens qui nous racontent que les murs frontaliers sont inefficaces, se sont eux-mêmes entourés de murs et de barbelés. Les agents fédéraux qui ont laissé incendier des villes tout l'été, arrêtent et humilient à présent ceux qui ont osé pénétrer dans le "temple de la démocratie".

Mais qu'est-ce que Donald Trump a fait au juste en tant que président ? Pas grand-chose... Après 2016 et sa campagne la plus remarquable, la plus improbable et la plus miraculeuse de toute l'histoire américaine, Trump a gouverné comme un Républicain "normal". Il n'a pas expulsé les illégaux, n'a pas fait de l'anglais la seule langue officielle et n'a pas taxé les transferts d'argent vers le Mexique. Il n'a pas aboli le droit du sol en matière de citoyenneté. Il n'a pas été un "suprémaciste blanc" et n'a pas même supprimé la discrimination raciale pratiquée à l'encontre des Blancs et des Asiatiques.

Le président Trump a été plus tolérant que Bill Clinton vis-à vis des criminels, et plus faible que George Bush père vis-à-vis des émeutiers. Trump ne quitte pas le pouvoir comme un président fort, mais comme un président faible. Il n'a pas affronté "le marais", il n'a même pas été capable d'affronter son gendre...




Pour paraphraser un ancien dissident polonais

AVEC TRUMP, C'EST COMME AVEC LE COMMUNISME :
LE PIRE, C'EST CE QUI VIENT APRÈS...


Alors que Donald Trump avait mis des semaines pour choisir ses ministres, et encore plus pour les faire confirmer, Joe Bidon n'a aucun problème de ce côté-là. Grâce à un régime "ami", son cabinet (au sens "propre" du terme) est à pied d'œuvre avant même que l'imposteur ne soit entré à la Maison Blanche.




Rassurez-vous, le lobby LGBiToQ n'a pas été oublié :


4 février 2021 - La plus grande chasse aux sorcières a débuté aux USA  (Réseau Voltaire). Une de ses victimes, et non des moindres, est Marjorie Taylor Greene, représentante de Géorgie élue en novembre 2020. Les Démocrates et leurs collabos essaient de la faire destituer, mais il leur manque encore la majorité des deux tiers. En attendant, ils l'ont expulsée, avec la complicité de 11 rats républicains, des deux commissions parlementaires où elle devait siéger (Education/Travail et Budget).

Ce que l'on reproche à Marjorie, c'est d'avoir dénoncé la théorie complotiste officielle du 11/9 et soutenu la politique de Donald Trump jusqu'au bout et même au-delà. Il suffisait de regarder son masque pour s'en rendre compte : Trump a gagné, Halte au vol électoral, Liberté d'expression, Non à la censure. Si le président déchu avait fait preuve d'autant de courage que cette élue, il serait toujours à la Maison Blanche. Mais tandis qu'elle s'efforçait de mobiliser sa base, lui faisait tout pour décourager ses électeurs.

Malheureusement, et cela illustre tristement la situation post-Trump aux USA, Marjorie Taylor Greene porte comme tout le monde le masque-muselière imposé par les coronazis, même si elle l'agrémente à sa façon. En outre, elle a dû "s'excuser" pour certains de ses propos et condamner QAnon, un mouvement "révolutionnaire" de droite probablement créé par les services secrets pour capter la dissidence et lui faire croire que Trump allait frapper un grand coup contre ses ennemis.

9 février 2021 - Au Sénat, ouverture du "procès" contre Donald Trump, que ses ennemis avaient initié à la Chambre le 13.1.21 (voir plus haut). Avec ce nouvel Impeachment Circus, les Démocrates espèrent chasser de la Maison Blanche - pour le cas où il y serait encore, on ne sait jamais - l'homme à qui ils doivent quatre années de cauchemars. S'ils y parviennent, ils pourront ensuite destituer tel ou tel autre président républicain mort depuis longtemps. Bonne chance...

Trump ayant refusé de "témoigner" à son "procès", les Démocrates menacent de le "punir". Ses avocats ont néanmoins rédigé un mémorandum de 75 pages où ils expliquent pourquoi la procédure est contraire au droit et à la Constitution. Comme si tout cela avait encore la moindre importance...

On remarquera au passage que l'essentiel fait défaut dans ce texte, à savoir que l'élection a été volée au président légitime et que les incidents du 6 janvier au Capitole n'ont été qu'une provocation destinée à "justifier" le putsch des imposteurs. Mais finalement, personne n'attend des avocats qu'ils se montrent plus combatifs que leur client.

Un détail qui explique sans doute pourquoi ils ne le sont pas : lors de la première séance du "procès", un des trois "défenseurs", Bruce Castor, fait l'éloge des "Impeachment managers" de la Chambre des Représentants ("Ils ont fait un bon travail") et déclare ensuite : "Le peuple américain vient de se prononcer pour un changement d'administration... Le public est assez intelligent pour choisir un nouveau gouvernement quand le précédent lui déplaît, et c'est ce qu'il a fait..." Trump ne peut plus s'exprimer sur Twitter mais on croit savoir qu'il serait "révolté par ces propos" - source.

13 février 2021 - Après une procédure écourtée (pas de dépositions de témoins), le "procès en incitation" se termine par un vote du Sénat : 57 sénateurs (50 Démocrates + 7 RATs) déclarent Trump "coupable". Les 43 autres Républicains votent "non-coupable". Vu qu'on est loin de la majorité des deux tiers (67 voix), Trump est "acquitté". Personnellement il est satisfait : deux fois "jugé", deux fois "acquitté".

Pour les trumpophobes, au contraire, les "débats" ont montré sa "culpabilité". A quand la troisième tentative ?  Après l'échec, il y a un an, de la fumisterie baptisée "abus de pouvoir et entrave au Congrès", après le fiasco aujourd'hui de l'Incitement Hoax, quelle nouvelle accusation pourrait-on bien inventer ?  Le refus de reconnaître "l'absence de fraude électorale", peut-être ?  Ci-Haine-Haine répète en boucle que Donald Trump est "le seul président de l'histoire américaine à avoir été 'impeaché' deux fois..." Alors pourquoi pas trois, quatre, cinq, dix fois ? Avec le temps, on commence à acquérir de la routine. En principe, il ne devrait pas être trop difficile de lancer une nouvelle procédure chaque semaine.



Le président le plus acquitté de toute l'histoire
aura-t-il l'occasion d'améliorer son record ?

Vengeance tardive : Donald Trump inculpé

3 avril 2023 - Plus de deux ans après son départ forcé de la Maison Blanche, le dernier président légitime est inculpé au pénal pour une affaire passablement tordue. Ses ennemis de la mafia démocrate, téléguidés par l'Etat profond, l'accusent d'avoir versé 130.000 dollars à une prostituée (officiellement : une actrice porno, "Stormy Daniels") en 2016 (en pleine campagne électorale) pour acheter son silence à propos d'une "relation" qu'il aurait eue avec elle dix ans plus tôt. Indépendamment du fait que Trump était alors fraîchement marié avec Melania et qu'il n'avait nul besoin "d'aller aux putes", il est clair qu'il s'agit d'un chantage à retardement comme on en a vu des milliers dans la foulée de l'Opération #MeToo, mais pour une somme ridiculement basse compte tenu des circonstances.

De plus, le paiement n'a pas été effectué directement mais par l'intermédiaire de Michael Cohen, l'avocat véreux du candidat Trump (voir page précédente 22.8.18). Il est d'ailleurs possible que Cohen ait alors agi de son propre chef, sans demander l'avis de son client qui lui faisait (encore) confiance. Malheureusement, Cohen a plus tard trahi cette confiance et livré Trump à ses ennemis du FBI. Il est probable également que ces derniers aient fait pression sur "Stormy Daniels" pour qu'elle accuse Trump, tout comme ils avaient fait pression sur Cohen.

On a donc la situation suivante : ce n'est pas celle qui s'est rendue coupable de chantage qui est inculpée, mais au contraire la victime de ce chantage. Et le prétendu "délit" dont il est question frise le ridicule. Mais on espère que ce qui n'avait pas suffi pour destituer politiquement le président Trump, sera suffisant pour le jeter en prison. Sinon, on a déjà sous la main d'autres dossiers du même ordre de "gravité".

Pourquoi cette vengeance tardive ? C'est tout simplement parce que Donald Trump veut se représenter en 2024. Il croit réellement, après qu'on lui ait volé sa réélection de 2020 et truqué les résultats de 2022, qu'on va le laisser gagner l'année prochaine. Etonnante naïveté - à moins que sa candidature ait pour seul but d'emmerder ses ennemis. Quoi qu'il en soit, ils veulent à tout jamais le réduire au silence...


4 avril 2023 - Avec la comparution de l'ancien président devant le grand jury du district de Manhattan, qui décide de sa mise en accusation, on constate qu'il ne s'agit pas seulement d'une simple extorsion d'argent à l'initiative du FBI. Parmi les 34 chefs d'accusation inventés par les comploteurs trumpophobes, il est question de "pots-de-vin destinés à étouffer les déclarations qui pouvaient nuire à la candidature de Trump" ainsi que d'un "plan illégal visant à identifier et à supprimer les informations négatives qui auraient pu saper sa campagne présidentielle". Et ainsi de suite sur les seize pages que compte l'acte d'accusation.

C'est le procureur raciste noir Alvin Bragg, un "gauchiste BLM" du Parti démocrate, qui conduit les opérations à ce stade. Il est connu pour sa complaisance vis-à-vis des "petits" criminels ayant la même couleur de peau que lui et pour son acharnement anti-Trump (il a fait condamner l'entreprise familiale Trump Organization à 1,6 million de dollars d'amende pour prétendue fraude financière). Cette ordure prétend que "personne n'est au-dessus de la loi" - sauf lui-même et ses potes, bien entendu.

"Théoriquement, le grand jury peut agir de façon indépendante du procureur, mais c'est extrêmement rare" écrit Wikipédia, qui précise que "ses membres sont tirés au sort" - probablement parmi un panel "politiquement correct" choisi au préalable. On ignore combien de jurés appartiennent à la même communauté sectaire que Bragg, suffisamment en tout cas pour exclure toute indépendance réelle du grand jury. Mais bon, c'est le système américain...

Le procès proprement dit aura lieu en décembre. Mais d'autres accusations similaires sont prévues d'ici là. Les "révélations" de Cohen sur son client permettront sans doute de poursuivre ce cirque pendant des mois et des mois.


Début juin 2023 : Nouvelle inculpation de Donald Trump, cette fois devant un tribunal fédéral de Miami, pour "détention illégale de documents classifiés". Il s'agit de notes officielles conservées par le président après son départ forcé de la Maison Blanche, alors qu'elles auraient dû, soi-disant, y rester pour des raisons de sécurité nationale. Le ministre américain de la "Justice", Merrick Garland, ne prend même pas la peine de cacher que cette inculpation est purement politique : "Etant donné les développements récents, notamment l'annonce de la candidature à la prochaine élection présidentielle de l'ex-président, j'ai décidé qu'il était de l'intérêt du public de nommer un procureur spécial", lequel procureur spécial - un certain Jack Smith - a pour mission de faire condamner Trump avant l'élection.


Début août 2023 - Jamais deux sans trois : Le dernier président légitime des Etats-Unis est accusé par les comploteurs qui lui ont volé l'élection de novembre 2020, d'avoir lui-même "tenté d'inverser le résultat en propageant de fausses allégations de fraude" [sic] et d'avoir en outre "comploté contre l'Etat américain et entravé la procédure officielle".

Dans ce contexte, on reproche à Trump d'avoir "incité" ses partisans à "prendre d'assaut le Capitole" le 6.1.21, alors qu'on sait qu'il n'y a pas eu d'assaut et que le président avait tout fait pour décourager ceux qui voulaient le pousser à résister (voir plus haut). Si l'on en croit les merdias, Trump encourt 50 ans de prison, de sorte qu'il ne pourrait pas se représenter avant 2076, à l'âge de 130 ans - si les Etats-Nazis d'Amérique existent encore, ce qui n'est pas du tout certain...


Mi-août 2023 - Comique de répétition : Donald Trump encore inculpé pour la énième [4ème] fois. A présent c'est l'Etat de Géorgie qui accuse l'ex-président américain et 18 autres personnes (dont Rudi Giuliani) de "tentatives illicites pour obtenir l'inversion du résultat de l'élection de 2020 dans cet Etat" et d'au moins cinq "complots" différents en vue d'y parvenir.


Début octobre 2023 - numéro 5 : Deux gangsters démocrates essaient de voler les biens immobiliers de Donald Trump par Paul Craig Roberts. Il s'agit de Letitia James, une raciste noire que l'argent de George Soros a placée au poste de procureure générale de New York, et de Arthur Engoron, juge trumpophobe qui doit sa fonction à des démocrates de New York également hostiles à l'ancien président. Ces deux individus conspirent en vue de déposséder Trump de son empire immobilier, y compris de sa propriété de Mar-a-Lago en Floride.

On reproche au dernier président américain légitime d'avoir surestimé la valeur de ses biens dans des demandes de crédit adressées à diverses banques. Or aucune banque n'a été lésée, à en juger par la liste des plaignants - une "liste" qui n'existe pas dans le cas présent, la seule "plaignante" étant en fait Letitia James. D'ailleurs, comme l'explique Roberts, l'évaluation d'un bien immobilier est toujours subjective. Dans le cas de Mar-a-Lago, la sorosienne de service prétend que Trump a "triché" car il n'aurait pas dû déclarer plus de 18 millions de dollars, quand bien même Forbes estimait la valeur de la propriété à 350 millions.

D'autre part, le juge Engoron a proclamé la "culpabilité" de Trump avant même le début du procès : belle "Justice" américaine...


Fin décembre 2023 - numéro 6 : Fascisme démocrate : Trump jugé inéligible par un deuxième Etat (E&R). Une semaine après le Colorado, le Maine annonce que le nom de Donald Trump ne figurera pas sur les bulletins de la primaire républicaine en vue de l'élection présidentielle de novembre 2024. Motif : sa prétendue implication dans l'assaut bidon du 6.1.21 contre le Capitole. Les deux Etats en question sont aux mains des Démocrates.  Trump condamne cette décision qu'il qualifie de "tentative de vol de l'élection" et de "privation du droit de vote de l'électeur américain". A Moscou, Poutine se marre... mais prépare déjà son message de félicitations à Joe Bidon pour sa réélection avec 800 millions de voix d'avance.


Fin janvier 2024 - numéro 7 : Donald Trump condamné à payer 83 millions de dollars à une folle, une certaine Jean Carroll qui l'accuse de l'avoir "doigtée" en 1996.


A suivre...





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