Nous avons demandé au professeur Kagan Khazarowitz, président de l'Institut de Hasbara appliquée de l'Académie talmudico-tribale Nick-Légoÿz de Tel Aviv, de démolir sous nos yeux le plus grand faux antisémite de tous les temps.
UN
DEUX
TROIS
QUATRE
CINQ
SIX
Marché de l'art : depuis les Guggenheim, chacun sait que l'art, et surtout l'art moderne, c'est nous qui l'avons inventé. Alors vous pensez bien qu'on n'allait pas laisser des goyim antisémitiques haineux contrôler à notre place cette manne inépuisable. Malheureusement, je ne peux pas me permettre de vous faire un exposé de plusieurs heures pour illustrer notre influence dans le domaine de l'art moderne. Regardez tout simplement ici :
Jews are dominant in virtually all controlling facets of the modern art world.
Ce sont nos ennemis qui le disent, mais ils le font de façon fort intelligente, j'ai presque honte de l'avouer. Je soupçonne quelque Juif honteux de les avoir aidés à compiler cette montagne de données authentiques.
SEPT
■ La télévision financière Bloomberg appartient à Michael Bloomberg, également maître de la mairie de New York.
Après avoir modernisé le nom du journal, nous avons rajeuni sa fameuse devise. Au lieu de "Toutes les nouvelles qui méritent d'être imprimées", c'est maintenant "Tout ce que les Juifs croient utile d'imprimer". (En anglais c'est beaucoup plus frappant - forcément, le français est une langue antisémite.)
"Nous les Juifs, nous sommes une drôle de race... Nous aimons nous vanter de chaque acteur juif, de chaque réalisateur, de chaque auteur, de chaque politicien juif... Nous sommes très communautaristes, et pas seulement dans le domaine de l'art. Nous avons l'AIPAC, qui a été créé pour réaliser notre agenda à Washington. Ça fonctionne admirablement et nous en sommes fiers..."
Bien que le centre de gravité de notre pouvoir médiatique se situe aux Etats-Unis, il ne faut pas croire que nous négligeons les autres pays. En France, pour ne citer que deux exemples, nous avons le bien-nommé Erik Izraelewicz, directeur de publication du journal Le Monde, alias L'Immonde ou encore . D'autre part, notre ami israélien Edouard de Rothschild, propriétaire de Libération, un titre anciennement de gauche. Ce journal, que certains appellent L'Aberra-sion, nous rend de fiers services dans notre travail de mise en condition du public. Sans lui et les dizaines de milliers d'autres médias similaires dont nous disposons, il serait plus difficile de préparer nos prochaines guerres juives :
"Les collaborateurs juifs du Panorama de France Culture exagèrent un peu tout de même : d'une part ils sont à peu près quatre sur cinq à chaque émission, ou quatre sur six ou cinq sur sept, ce qui, sur un poste national ou presque officiel, constitue une nette surreprésentation d'un groupe ethnique ou religieux donné ; d'autre part, ils font en sorte qu'une émission par semaine au moins soit consacrée à la culture juive, à la religion juive, à des écrivains juifs, à l'Etat d'Israël et à sa politique, à la vie des juifs en France et de par le monde, aujourd'hui ou à travers les siècles."
...on l'avait alors traité de "pétainiste" - à croire que le mot "antisémite" n'avait pas encore été inventé... Moi personnellement, ce que je trouve vraiment scandaleux dans cette affaire, c'est qu'un collaborateur sur cinq, ou deux sur six ou deux sur sept, ne soient pas des nôtres... En ce qui concerne "l'émission par semaine", j'espère que c'est une par semaine pour chacune des catégories citées, c'est-à-dire une par jour en alternance - et à condition, bien sûr, que chacune d'elles ne dure pas moins de six heures. C'est un peu ce que fait ARTE aujourd'hui, sauf qu'ils font alterner les journées thématiques consacrées aux Juifs homosexuels avec celles dédiées aux homosexuels juifs. C'est notre ami BHL (au conseil de surveillance de la chaîne) qui veille à ce que les programmes soient conformes à la cacheroute et à l'idéologie du genre.
HUIT
■ Il y a aussi PayPal, le système de paiement en ligne fondé par deux des nôtres (Max Rafael Levchin et Peter Thiel). On y trouve aussi David Sacks et George Zachary. Ce qui est génial chez PayPal, c'est que quand un participant est déclaré antisémite (rien de plus facile, c'est nous qui décidons), on bloque son compte et on se partage le fric que ses clients lui ont envoyé. Faut-il qu'ils soient meshugge, ces shmocks - forcément ils ne sont pas juifs, eux...
NEUF
DIX
ONZE
Nous dominons la science depuis le jour où une équipe de physiciens en grande majorité juifs (Robert Oppenheimer, Niels Bohr, Richard Feynman, Felix Bloch, Edward Teller, Leo Szilard, Lise Meitner, Otto Frisch, etc...) a permis la mise au point de la bombe atomique grâce à laquelle on a pu holocauster d'un seul coup (ou presque) 300.000 antisémites japonais malfaisants. Et nous sommes la nation qui, sous peu, utilisera de nouveau cette bombe, mais avec cette fois des résultats bien plus impressionnants.
DOUZE
TREIZE
Voulez-vous que je vous parle aussi des ONG, par exemple l'ACLU (American Civil Liberties Union, ma préferée) : sur six membres dirigeants, trois sont des nôtres (Nadine Strossen, Steven Shapiro, Geri Rozanski) et le reste nous obéit au doigt et à l'œil. Etc... etc... etc... La société civile, c'est nous, et pas seulement aux USA...
Mais puisque nous nous intéressons surtout aux Etats-Unis, ce grand Etat juif (en comparaison du "petit" que constitue Israël), il faudrait rendre hommage à l'esprit inventif de nos communautés. Je ne citerai qu'un exemple, celui des érouvim. Je suppose que vous savez ce qu'est un
érouv
(version Wikipédia). En fait, c'est beaucoup plus que ça. Regardez ce que nous faisons au Canada, cette annexe des USA :
La vie quotidienne dans les territoires occupés de Montréal.
S'ils veulent comprendre les commentaires et la légende, les goyim québécois sont obligés d'apprendre l'hébreu. C'est, avec l'anglais, la langue officielle de l'érouv. Et merde pour le français, autrefois obligatoire à Montréal. Soit dit en passant, l'église Saint-Viateur (comme d'ailleurs quelques autres) se trouve à l'intérieur du périmètre. Il serait grand temps que nous fassions venir des bulldozers israéliens pour mettre fin à ce scandale...
QUATORZE
En France, nous influençons fortement tous les partis - quand nous ne les dominons pas tout simplement. Chacun connaît la fameuse boutade concernant la LCR, une ligue qui n'était bien entendu ni communiste ni révolutionnaire. On disait, dans les années 1970-80, que si les discussions à la tête de la LCR ne se déroulaient pas en yiddish (la langue des Juifs ashkénazes), c'était uniquement parce qu'un des dirigeants, Daniel Bensaïd, était séfarade.
QUINZE
Personnellement, je suis persuadé qu'il existe également des Juifs extraterrestres :
SEIZE
Pour vous montrer à quel point nous manipulons les musulmans (sans le moindre complot), je voudrais évoquer un thème qui a secoué la campagne présidentielle française de 2012 : celui de la viande halal et de l'abattage selon le rite islamique. Comme l'a signalé avec justesse notre ennemi Alain Soral, le commerce du halal en France n'est nullement aux mains des musulmans. Au contraire, il est contrôlé par des groupes juifs :
Zaphir a pour PDG l'homme d'affaires juif Jean-Daniel Hertzog ; Casino, l'homme d'affaires juif Jean-Charles Naouri ; LDC appartient à la famille Lévy-Lambert. En résumé, comme dit Soral (et il a raison) : "Le commerce halal est en fait 'casher'... Quand on attaque le halal (pour attaquer le communautarisme musulman), les sionistes sont contents. Taper sur la gueule des musulmans, c'est bon pour Israël. Mais d'un autre côté, leur taper trop sur la gueule à travers le halal, c'est mauvais pour le business [juif]..."
DIX-SEPT
DIX-HUIT
Soit dit en passant, nous sommes la preuve vivante de l'existence de D... (je n'ai pas le droit d'écrire son nom en toutes lettres). En effet, si D... n'existait pas, il n'aurait pas pu nous élire dans ce qui fut l'élection la plus démocratique de tous les temps :
RÉSULTATS OFFICIELS DE LA DIVINE ÉLECTION
DIX-NEUF
VINGT
Quant à la Troisième Guerre, c'est ridicule. Demandez à nos penseurs néo-cons, ils vous confirmeront qu'elle est terminée depuis longtemps et que nous l'avons gagnée (c'était la Guerre froide). Ce que nous voulons maintenant, c'est la Quatrième Guerre, celle qui effraie tant Fidel Castro. (Ce goy antisémite implicitement négationneur met en garde contre "un holocauste nucléaire", comme si le mot était dans le domaine public. Un holocauste, ça n'existe pas, il n'y a que l'Holocauste® - le seul, l'unique, le vrai, l'authentique, l'exclusif, l'inégalable, l'incomparable. D'ailleurs, Fidel Castro le sait parfaitement ; nous l'avons acheté depuis longtemps -
notre lobby ratisse large.)
VINGT ET UN
Mais cette monstrueuse recrudescence ne représente que la pointe de l'iceberg. En France les
agressions antisémites que les antisémites qualifient de 'bidon'
sont de plus en plus nombreuses. Aux Etats-Unis également
(voir ici - 30 novembre 2011 et 18 janvier 2012).
VINGT-DEUX
VINGT-TROIS
VINGT-QUATRE
CONCLUSION
LES PROTOCOLES DE LA HAINE ANTISÉMITE
- Une réfutation point par point -
- Avant de commencer, cher professeur, nous aimerions vous poser une question, si vous le permettez.
- Faites, faites...
- Pourquoi faut-il réfuter les Protocoles ? Tout le monde sait qu'ils sont faux, on apprend ça dès l'école maternelle...
- C'est vrai, mais on ne le dira jamais assez. En ces temps de douloureuse recrudescence de l'antisémitisme universel, il est nécessaire de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour faire avancer notre Hasbara. Il y va de la survie du peuple juif qui ne tient plus qu'à un fil.
- Le peuple juif ne tient plus qu'à un fil ?...
- Non, c'est la survie qui ne tient plus qu'à un fil... Mais ça fait déjà deux questions, je vais être obligé de vous décompter un supplément.
- Bon, si vous estimez que c'est indispensable pour assurer la survie du peuple juif... Mais nous allons en profiter pour vous poser une question de plus. Vous n'aurez qu'à nous faire un forfait...
- Allez-y.
- Voilà... Comment connaissez-vous si bien le contenu des Protocoles de la Haine ? Les avez-vous lus ?...
- Bien sûr que non. Vous savez bien que c'est interdit - sauf dans les pays arabes.
- Mais alors, comment savez-vous ce qu'ils contiennent ?
- Tout le monde le sait. Parce que c'est une évidence, une certitude, un fait notoire, incontestable, irréfutable, manifeste, avéré et reconnu comme tel...
- Ah bon ?...
- Vous en doutez ?...
- Pas du tout... Combien y a-t-il de protocoles dans les Protocoles ?
- Exactement 24.
- Vous les avez comptés ?
- Bien sûr que non ! Vous cherchez à me provoquer ?...
- Absolument pas, c'était une simple question... Mais pourquoi 24 ?
- Parce que c'est le double de 12. L'antisémite qui a rédigé les Protocoles en prétendant qu'ils étaient de nous, a voulu montrer qu'il était deux fois plus malin que nos 12 tribus.
- Plutôt pervers, le type...
- Je ne vous le fais pas dire... Mais si vous permettez, je vais passer à ma réfutation.
- Je vous en prie, cher professeur, j'allais vous le demander.
RÉFUTA-SION ACADÉMIQUE ET SCIENTIFIQUE DES PROTOCOLES DE LA HAINE
Protocole :
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
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15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de dominer le monde de la finance.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous dominons déjà depuis longtemps.
Nous occupons plus de 80 % de tous les postes réellement importants à Wall Street, qu'il s'agisse des banques, des sociétés financières, des hedge funds, des compagnies d'assurance ou des organismes qui gèrent la bourse. Goldman Sachs, le joyau du district financier, c'est notre ami Lloyd Blankfein (PDG). Henry Paulson a lui aussi été PDG de Goldman avant de devenir ministre des Finances et chef du Trésor. Même chose pour Robert Rubin, Tim Geithner, Lawrence Summers et un tas d'autres
conseillers d'Obama.
Je ne vais pas les énumérer tous, on serait encore là demain matin.
Parmi ceux qui "ne font pas de politique", tout le monde connaît le conglomérat Rothschild (avec ce cher Richard Katz, pour n'en nommer qu'un parmi des centaines) ; ou George Soros, qui a gagné son premier milliard de dollars en spéculant contre la livre sterling au début des années 1990 ; ou John Paulson, le financier le mieux "payé" du monde (jamais moins de trois milliards de dollars nets par an) ; ou James Simons (presque aussi riche que Paulson) ; ou Steve Feinberg, patron du hedge fund Cerberus ; ou David Tepper, autre patron de hedge fund (7 milliards de dollars de bénéfices en pleine crise de 2009) ; ou Maurice Greenberg, patron de l'assureur AIG ; ou Alan Schwartz (ex-PDG de Bear Stearns) qui prouve, s'il en était besoin, qu'une faillite bancaire est au moins aussi lucrative qu'une affaire qui marche ; ou Richard Fuld (ex-PDG de Lehman Bros) qui a fait encore mieux que Simons ; ou Fred Goodwin, qui a presque réussi à couler la Royal Bank of Scotland ; ou Michael Bloomberg (avec une petite partie de l'argent gagné à Wall Street, il s'est offert la mairie de New York) ; ou Bernard Madoff, que les antisémites ont jeté en prison ; ou Ezra Merkin, partenaire financier de Madoff et patron de la banque de General Motors ; ou Barry Tannenbaum, le mini-Madoff sud-africain ; ou Scott Rothstein, le mini-Madoff de Floride ; ou les dirigeants de la Commission de contrôle des opérations de bourse SEC (Mary Schapiro, Arthur Levitt, Harvey Goldschmid), ou ceux du Fonds de garantie des dépôts bancaires FDIC (Sheila Bair), ou encore ceux de la Commision des opérations à terme sur matières premières CFTC (Gary Gensler) ; etc. etc... Partout, on agit et on se contrôle soi-même... Comme le faisait remarquer un journaliste juif à l'occasion d'une assemblée de financiers de Wall Street : avec tout ce beau monde, on se croirait à une bar mitzva.
Ah pardon, j'avais oublié le directeur de la notation pays de Standard & Poor's, qu'il me pardonne, ce cher David Beers (David comme dans Etoile de David, et Beers comme dans De Beers, la plus grande entreprise diamantaire du monde, propriété de Nicholas Oppenheimer, le plus grand milliardaire juif sud-africain). Ce petit David n'a l'air de rien, mais il fait trembler les chefs d'Etat. En 2011, il n'a pas hésité à rétrograder les USA, c'est vous dire sa puissance - notre puissance...
Et au sommet de la pyramide financière, bien sûr, vous avez la Réserve fédérale. Là, c'est du cinq sur cinq pour nous au niveau directoire, avec bien entendu ce bon vieux Ben Shalom Bernanke. (Avant lui, faut pas croire, il y a eu Alan Greenspan, Paul Volcker et quelques autres.)
Voilà pour les USA... Quant au reste du monde, il n'est pas moins intéressant, à quelques fâcheuses exceptions près. Même en Islande, pays d'à peine 300.000 habitants, nous contrôlons la crise et le reste, notamment grâce à Dorrit Moussaieff, "First Lady" de Reykjavík, épouse du premier ministre Ólafur Ragnar Grímsson (triple nationalité israélienne-britannique-islandaise), et aussi grâce à Robert Tchenguiz, milliardaire juif britannique d'origine iranienne et principal emprunteur de la Kaupthing Bank. Alors, vous imaginez ce que ça peut donner ailleurs, à commencer par l'UE et la zone euro (patron de la BCE jusqu'en 2011 : notre ami Jean-Claude Trichet, ensuite remplacé par un ancien de Goldman Sachs - ça reste dans la famille).
Comme dit
Jacob Attali*,
mon sioniste "de gauche" préféré, dans son livre Les Juifs, le monde et l'argent (2002) : "Les Juifs ont inventé le capitalisme... Ils ont toutes les raisons d'être fiers de cette partie de leur histoire..." Et n'oublions pas que depuis des décennies, pratiquement tous les Prix Nobel d'économie sont juifs eux aussi. Et à Washington, jusqu'à une date récente, nous avions Dominique Strauss-Kahn, comme patron du FMI (dommage que ce
pauvre DSK
ait trébuché sur sa queue). Toujours à Washington, notre cher Robert Zoellick est chef de la Banque mondiale. Je ne cite que les principaux...
* Attali nous raconte ici (vidéo)
la fameuse blague juive du pantalon à une jambe,
qui selon lui "résume mieux qu'aucune théorie économique ce qui se passe aujourd'hui".
L'histoire fait intervenir Shlomo, David, Jonathan, Shaoul, Moshé et, tout en bas de la chaîne alimentaire, Christian, qui comme son nom l'indique est un goy bien crédule.
Et Attali conclut : "Vous avez tout compris quand vous avez compris cette histoire..."
C'est vraiment de toute beauté... Chapeau, Jacob ! ou plutôt : Kippa !...
Le principe évoqué par Attali est développé dans
ce livre.
Compte tenu de tout cela, pourquoi devrions-nous conspirer ?... Conspirer contre qui, je vous le demande... Contre nous-mêmes ?...
(Entre parenthèses : quand les zantisémites prétendent que nous délaissons le secteur industriel pour celui de la finance, qui rapporte infiniment plus, je leur rappelle que nous dominons largement les industries de luxe : diamants, or, parfums, haute couture, etc... Sans oublier quelques autres industries moins prestigieuses mais plus classiques, comme le pétrole et le gaz. Pour ne citer qu'un exemple, je vous signale que tout le gaz naturel du Turkménistan - un pays situé sur la rive est de la Caspienne - est sous le contrôle exclusif du groupe israélien Merhav que dirige Yosef Maiman, agent du Mossad et un des hommes les plus influents de notre pays - et du leur... Il est heureux qu'Israël n'ait pas laissé ce gaz aux mains des goyim : quand ils ont du gaz, on sait ce qu'ils en font...)
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de provoquer la crise et l'effondrement des marchés.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous provoquons déjà.
La
crise financière qui sévit depuis 2008, c'est bien grâce à nous qu'elle a lieu, quand même, il faudrait être bouché pour ne pas s'en apercevoir. Et comme disait notre ami Cohn-Bendit il y a fort longtemps : ce n'est qu'un début...
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue d'attiser la spéculation.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous attisons déjà. Et nous faisons même plus qu'attiser, comme on peut le voir depuis le début de la crise. Sans Goldman Sachs et nos autres fleurons de Wall Street, la spéculation n'aurait jamais atteint son niveau actuel. Il serait d'ailleurs plus honnête de parler de spécula-sion, mais je ne suis pas sûr que ces crétins de goyim apprécieraient.
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de dominer Hollywood.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous dominons déjà depuis une éternité.
Le magazine juif Moment :
"Hollywood est dirigé par des Juifs - et alors ?"
(Sois fier de tes privilèges, mais crie à l'antisémitisme
chaque fois qu'un vulgaire goy ose les mentionner.)
Pourquoi voulez-vous que nous conspirions, puisque tous les studios sont à nous. Prenez par exemple Paramount, c'est notre ami Brad Grey. Ou Sony Pictures, que les goyim crédules prennent pour une entreprise japonaise, c'est Michael Lynton. Ou Disney, c'est Mike Eisner et Bob Iger. Ou Warner, c'est Barry Meyer. Ou MGM, c'est Harry Sloan. Ou NBC Universal, c'est Jeff Zucker. Ou CBS, c'est Leslie Moonves. Ou News Corp., c'est Peter Chernin. Ou Weinstein Co, comme son nom l'indique ce sont les frères Weinstein. Et je ne mentionne que les gens que je connais personnellement et dont parle Joel Stein (Juif un peu honteux sur les bords) dans son article :
How Jewish is Hollywood ?
Bien sûr que l'ADL (la ligue anti-diffamation que nous avons créée pour qu'elle diffame les goyim à tour de bras), bien sûr que cette ligue déclare dix fois par jour que tout cela n'est pas vrai. Pardi, ils sont payés pour le faire. Leur plus beau coup, c'est quand ils ont écrit que "les gens à qui appartiennent les studios d'Hollywood et ceux qui y font des films sont des hommes et des femmes dont un certain nombre est juif, mais beaucoup ne le sont pas. Ces Juifs travaillent dans l'industrie cinématographique en tant qu'individus et non en tant que représentants de leur groupe religieux ou dans un but conspiratif." Voilà un texte que je recommande à tous nos cercles d'études de la Hasbara (propagande ou hasbaratin, comme disent nos ennemis). Quatre mensonges (pieux) en moins de trois lignes, c'est parfait. Des femmes propriétaires de studios ou réalisatrices à Hollywood ? Elle est bien bonne, il ne manquerait plus que ça. Ils voulaient certainement parler des secrétaires et des femmes de ménage... Un certain nombre est juif, mais beaucoup ne le sont pas ? Oui, bien sûr, 95 sur 100, c'est un certain nombre, et 5 % c'est beaucoup quand on n'arrive pas à s'en débarrasser... Groupe religieux ? C'est pas parce qu'on met une kippa le samedi et qu'on se montre à la synagogue, qu'on est religieux... Pour ce qui est du but conspiratif (parfaitement étranger aux Juifs d'Hollywood), c'est le seul point où nos co-élus de l'ADL ont raison - c'est ce que j'essaie de développer ici.
Les patrons de studios et les réalisateurs, c'est une chose, mais on rencontre au moins autant de gens de chez nous parmi les producteurs, les distributeurs, les scénaristes et les dialoguistes - sans oublier les acteurs. Comme dit Woody Allen : "Ma fête juive préférée, c'est la cérémonie des Oscars..." Mazel Tov, Woody...
Bien sûr que nous dominons Hollywood... mieux encore, depuis que Samuel Goldwyn et Louis Mayer y ont établi leurs premiers studios, nous sommes Hollywood... La loi devrait punir tout goy qui ose dire le contraire. Sans nous, Hollywood n'existerait pas. Prétendre que nous ne dominons pas Hollywood, c'est un peu comme soutenir que l'ADL ou le Mossad ne sont pas des organisations juives. C'est tout simplement ridicule, et nous le savons tous. Mais j'avoue que l'argument a du bon pour museler les goyim antisémiteux.
Ce que je préfère, personnellement, dans la production hollywoodienne (films, séries policières, etc.), ce sont les prénoms de la plupart des personnages : Rebecca, Sarah, Rachel, Deborah, Myriam, Maxine, Abigail, David, Benjamin, Jacob, Simon, Jared, Nathan, Ethan, Ruben...
Ma citation favorite à propos d'Hollywood est de Mark Green (élu comme nous tous) : "Les trois règles de base dans ce milieu : 1) Les Juifs sont au sommet de la chaîne alimentaire hollywoodienne - 2) Une fois qu'ils y sont, ils y restent - 3) N'oublie jamais les règles 1 et 2."
Vous avez sans doute remarqué que nos petits gars d'Hollywood dénoncent sans arrêt toutes les mafias du monde (l'italienne, la russe, l'ukrainienne, la serbe, la tchétchène, la colombienne, la mexicaine, la cubaine, la birmane, la chinoise, la japonaise, etc. etc. etc...) mais jamais notre mafia à nous. Génial, vous ne trouvez pas ?...
Ce qui m'a particulièrement réjoui en 2011, c'est notre nouvelle série télévisée Good Christian Bitches sur ABC. Quand j'ai le cafard, pour me remonter le moral, j'essaie d'imaginer ce qui se passerait si des goyim annonçaient la sortie d'une série grand public intitulée Belles salopes juives...
Et si vous me demandez quel film d'Hollywood je préfère, je vous répondrai : Independence Day. Pas la
première version,
non, mais
celle où nous gagnons à la fin.
Mon personnage préféré de série télévisée juive, c'est le Dr Lightman (Lie to Me). Formidable, ce type. Il est à la psychologie ce que DSK est à la finance, BHL à la philosophie, Avigdor Lieberman à la diplomatie et Israël à la Lumière parmi les Nations. Bien sûr, les antisémites prétendent que Ligthman représente la brutalité, la goujaterie et l'arrogance du soudard "élu". Moi, je dis qu'il est le symbole de notre écrasante supériorité.
Mais il ne faut pas croire que nous nous limitons aux seuls Etats-Unis. Nos producteurs sont partout, notamment en France, avec Marin Karmitz, Alain Chabat, Samuel Hadida, Alain Benguigui, Christine Gozlan, Thierry Aflalou, Yael Fogiel et Claude Berri (Langmann, de son vrai nom). Et même
en Inde, c'est un des nôtres, Solomon Moses, qui a fondé Bollywood.
Pour ce qui est du reproche qu'on fait parfois à Hollywood de n'honorer que des films américains ou à la rigueur anglo-saxons, je ne citerai que deux exemples pour le démentir :
1 -- En 2012, le film français au titre français The Artist, du réalisateur juif français Michel Hazanavicius, produit et tourné à Hollywood par nos amis juifs américains, a obtenu l'Oscar du meilleur film et du meilleur réalisateur. C'est un grand honneur que nous avons fait à la France - du moins c'est ce que pensent ces cons de Français. Pour faire encore plus français, nous avons suggéré à Monsieur Vicious d'appeler son film Le Artist, avec l'article français Le, que nous utilisons toujours quand nous voulons suggérer que quelque chose est français. Mais pour une raison qui m'échappe, le réalisateur a refusé. Quel ingrat...
2 -- En 1975 - c'est bien loin, je sais - nous avons honoré un film d'Allemagne de l'Est, Jakob le menteur, non pas par un Oscar - faut quand même pas exagérer - mais par une nomination. Vous vous demandez peut-être pourquoi tant d'honneur fait aux cocos. C'est tout simplement parce que l'histoire se passait dans un ghetto juif de Pologne pendant l'occupation nazie, et que Jurek Becker (le scénariste et adaptateur de son propre livre) était juif, de même d'ailleurs que plusieurs des acteurs. D'accord, Becker était aussi communiste (et sans doute même, à l'époque, plus communiste que juif). D'accord, il n'employait pas une seule fois le mot Holocauste®, mais il avait une excuse : c'était trois ans avant que ce mot ne soit inventé. Le principal, c'est que de cette façon, nous avons réussi à placer un premier coin (très modeste) entre l'Allemagne de l'Est et les Russes, mais aussi et surtout entre les Juifs est-allemands et les cocos. Jusque là, quand ils parlaient de la Deuxième Guerre mondiale, ils ne faisaient même pas la distinction entre Juifs et goyim... (Plus tard, en 1999, nous avons refait Jakob le menteur, en version 100 % casher cette fois.)
Les antisémites prétendent que nous utilisons systématiquement l'Holocauste® en vue d'asseoir notre domination.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous n'utilisons rien, nous et notre domination sommes assis depuis longtemps.
D'abord, le mot Holocauste®, c'est nous qui l'avons inventé (en 1978, plus de trente ans après la fin de la guerre) pour faire oublier que les nazis ont tué cinq fois plus de goyim que de Juifs (30 millions contre 6). Alors, quand on invente quelque chose, on a le droit de l'utiliser. Demandez à n'importe quel avocat de Jew York, il vous le dira : on serait en droit de réclamer de l'argent à tous les goyim antisémites haineux qui utilisent le mot Holocauste® qui ne leur appartient pas et dont ils nient l'existence par-dessus le marché, sales négationnistes. Déjà, le fait qu'ils soient négationnistes (un mot dans lequel on trouve la racine sionistes) est un scandale en soi, parce qu'ils ne nous ont jamais versé le moindre sou - du moins, pas pour ça...
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de dominer le monde de la culture, de l'art, du jeu, du spectacle, de l'industrie musicale et du sport.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous dominons déjà.
D'abord, le mot CULTURE est un mot hébreu.
Il vient de CUL, comme nous l'explique ici Sarah Silverman :
"Kiss my Jewish ass, goy..."
ou, comme on dit chez nous : "SHALOPE ISRAËL !..."
Autre exemple illustrant les
SPLENDEURS ET MERVEILLES
DE NOTRE BELLE ENCULTURE JUIVE :
Steven Cohen
"Ce danseur sud-africain juif et homosexuel qui prend à son compte l'extermination
des juifs pour la reconduire sous une forme artistique démesurée" (Le Monde)
se produit en juillet 2012 au Festival d'Avignon (poil au fion)
L'art moderne (comme d'ailleurs d'autres formes d'expression culturelle) est un puissant outil de transformation des bases morales de la société. Le tout, c'est de transformer dans le bon sens... "L'art et le cochon, c'est casher", a dit un de nos grands poètes... Quand on pense que ce con d'Adolf croyait tout savoir sur "l'art dénégéré". Il n'a qu'à revenir aujourd'hui, et il verra ; nous sommes à son service...
L'industrie du jeu et ses casinos : c'est une machine à imprimer les dollars. D'accord, elle n'est peut-être pas aussi efficace que la Fed et les banques de Wall Street, mais quand même... C'est aussi un excellent moyen de blanchir l'argent sale que nous gagnons ailleurs. Dans ce domaine, nous perpétuons la tradition de Bugsy Siegel, Joseph Sacher et Meyer Lansky, qui ont été les premiers élus à prendre pied à Las Vegas, où la concurrence italienne nous a donné du fil à retordre. Aujourd'hui, heureusement, plus personne ne nous égale. En 50 ans, non seulement nous avons surmonté la perte de Cuba, que nous sommes d'ailleurs en train de récupérer, mais nous avons conquis de nouveaux marchés (par exemple, grâce à Sheldon Adelson, Macao, Singapour et
l'Espagne).
Avant la disneytisation de Las Vegas dans les années 1990-2000, nous étions déjà bien positionnés dans cette ville, avec Nate Jacobson et Jay Sarno (Caesar's Palace et Circus Circus), Moe Dalitz, Morris Kleinman et Sam Tucker (Desert Inn), Jake Factor, Allen Glick, Allan Sachs et Frank Rosenthal (Stardust), Sidney Wyman, Al Gottesman, et Jake Gottleib (Dunes), Gus Greenbaum, Moe Sedway et Charlie Resnick (Flamingo), Ben Goffstein, Willie Alderman et David Berman (Riviera), Milton Prell (Sahara), Hyman Abrams, Carl Cohen et Jack Entratter (Sands), Michael Milken (Golden Nugget), Ben Jaffe et Phil Kastel (Tropicana), Bernie Rothkopf (MGM), etc...
Maintenant, nous avons aussi Steve Wynn (Mirage), notre bon vieux Sheldon Adelson (Venitian) et Arthur Goldberg (Park Place Entertainment et ses 29 casinos un peu partout dans le monde). Le maire de Las Vegas, depuis 1999, est Oscar Goodman, ex-président de la synagogue Beth Sholom et ancien avocat de la pègre (notre pègre).
Mais il n'y a pas que Vegas... Kenny Shapiro règne en maître à Atlantic City. Sol Kerzner, lui, est à Sun City (alias Sin City - la ville du péché, en Afrique du Sud) mais aussi dans diverses réserves indiennes des Etats-Unis, aux Bahamas, à l'Ile Maurice, aux Maldives, à Dubai, etc... Un autre homme à nous que l'on retrouve à Sun City, c'est l'Israélien Shabtai Kalmanovitch, qui a été autrefois conseiller économique du "président" du Bophuthatswana, un bantoustan de l'apartheid sud-africain. Kalma rêve de faire la même chose dans les bantoustans palestiniens de Cisjordanie.
Il y aurait également beaucoup de choses à dire sur les casinos en ligne, une industrie que nous contrôlons étroitement, comme l'explique un Juif honteux dans cet article :
Israeli-Based Online Casinos are a Scam.
Beaucoup de ces casinos, soi-disant basés en Europe ou dans les Caraïbes, se trouvent en réalité en Israël. Devinez qui gagne à tous les coups...
Puisque nous avons évoqué Oscar Goodman, je pourrais aussi vous parler de tous les autres avocats juifs au service de notre mafia, mais je crains que le temps nous manque, il y en a tant...
(En 2012, avec le naufrage du Costa Concordia au large de l'Italie, l'actualité nous rappelle que nous dominons aussi le marché des croisières, c'est-à-dire des casinos flottants. La société Costa fait en effet partie du groupe Carnival Cruise International, qui appartient majoritairement aux Arison, une famille de milliardaires juifs. En 2005-2006, lors de la catastrophe de La Nouvelle-Orléans, grâce à Michael Chertoff, patron américano-israélien de la Homeland Security américaine, Carnival Cruise a décroché un marché de 236 millions de dollars pour l'hébergement provisoire, sur trois de ses bateaux ancrés sur place, de sinistrés de l'ouragan Katrina. 7.100 couchettes ont été réservées par une durée de six mois, ce qui correspond à un prix de 185 dollars par couchette et par nuit : le double de ce que coûte une croisière aux Antilles au départ de Miami. Carnival Cruise, en tant que société enregistrée au Panama, était déjà taxée, en temps normal, à un taux préférentiel ; avec Katrina, pour la remercier de participer à une "action humanitaire", Chertoff l'a totalement exonérée d'impôts. C'est ce que j'appelle gagner le jackpot...)
Musique et spectacles musicaux : EMI, c'est David Kassler ; Live Nation Entertainment (concerts, tournées, spectacles, billetterie), c'est Irving Azoff, Arthur Fogel et Michael Rapino (pas de mauvaises plaisanteries sur son nom, svp) ; Sony Music, c'est Rolf Schmidt-Holtz, Kevin Kelleher, Doug Morris et Clive Davis ; Universal Music (Vivendi), c'est Lucian Grainge et Zach Horowitz ; Warner Music, c'est Edgar Bronfman Jr, Lyor Cohen et Michael Fleisher ; l'Alliance of Artists and Recording Companies (AARC), c'est Mike Stern et Bree Dietrich ; l'American Association of Independent Music (AAIM), c'est Jim Cooperman, Dan Hoffman et Tom Silverman ; l'American Federation of Musicians (AFM), c'est Bill Skolnik ; White & Case (droits musicaux), c'est Fred Koenigsberg ; l'Agence Harry Fox (également droits musicaux), c'est Gary Churgin et Michael Simon ; la National Academy of Recording Arts and Sciences (NARAS), c'est Neil Portnow ; Top40-Charts, c'est Scott Goldman ; la National Association of Recording Merchandisers (NARM), c'est Jim Donio et Holly Rosum ; J&R Music World, c'est Rachelle Friedman ; la National Music Publishers Association (NMPA), c'est Leeds Levy, David Renzer et David Israelite (il s'appelle vraiment comme ça) ; la Recording Industry Association of America (RIAA), c'est Mitch Bainwol et Cary Sherman ; la Society of European Stage Authors & Composers (SESAC), c'est Stephen Swid, Freddie Gershon et Ira Smith ; SoundExchange, c'est John Simson, Michael Huppe et Barrie Kessler ; etc. etc...
Les antisémites disent que la lutte contre la piraterie musicale a pour but principal de protéger nos intérêts financiers. Entre nous, lorsque je vois cette liste, je dois confesser qu'ils ont raison - mais n'allez surtout pas le répéter... Quoi qu'on en pense, nos jérémiades sont excellentes pour le business, dans le domaine des droits musicaux comme dans beaucoup d'autres : demandez à nos industriels de l'Holocauste®...
A propos de musique, tiens, j'allais oublier : j'ai lu récemment une citation du compositeur grec
Mikis Theodorakis
qui disait que "les sionistes contrôlent 99 % de la vie musicale globale".
Bien entendu, c'est vrai, mais qu'un vulgaire goy nous sorte ça, faut quand même pas exagérer... 99 %, c'est vraiment une information inquiétante. Je vais prendre contact avec nos gens pour qu'ils fassent le nécessaire dans les meilleurs délais. Il faut absolument trouver ce 1 % restant et l'éliminer.
Production de spectacles, séries et formats télévisés :
mon groupe préféré, dans ce domaine, c'est Endemol, basé dans notre colonie des Pays-Bas, mais financé par Goldman Sachs. C'est eux qui produisent Big Brother, Loft Story, Star Academy et tous les autres détritus dont se nourrit la goyosphère qui nous nourrit. Ils ont des filiales partout dans le monde, et comme disait récemment un antisémite :
En France même les miss doivent être juives
(le pire, c'est qu'il a raison - c'est d'ailleurs pour ça qu'il est antisémite...)
Notre ami Jacques Essebag, dit Arthur, a été responsable d'Endemol-France - j'en parle parce que je le connais personnellement, mais je pourrais encore vous citer des douzaines de noms de gens de chez nous qui ont leur mot à dire dans ce groupe.
Autres producteurs : Jerry Bruckheimer (producteur de CSI, Cold Case et d'un million d'autres séries policières ou médicales plus merdiques les unes que les autres) ; Lee Aronsohn (Two and a Half Men - Mon oncle Charlie, The Big Bang Theory) ; Chuck Lorre, (coproducteur de Two and a Half Men, qui a explosé en mars 2011, lorsque l'acteur Charlie Sheen - juif lui aussi - a "révélé" que Lorre s'appelait en réalité Chaïm Levine) ; Donald Bellisario (ce producteur de l'israélissime Navy CIS adore se faire passer pour un Italien) ; Jesse Ikeman ("Canadien" et patron de Sudden Storm Productions) ; etc. etc. etc... Notre position prédominante dans le domaine de la production TV garantit que ce qui passe sur les écrans est casher, que le sujet traité correspond à notre agenda politique du moment, et que les postes intéressants sont partagés équitablement entre Juifs homosexuels et Juifs normaux - le tout sans aucune nécessité de conspirer.
Sports : le milliardaire juif américano-russe Mikhaïl Prokhorov, qui s'est enrichi sous Boris Eltsine en "reprenant" pour une bouchée de pain de vastes secteurs de l'industrie russe du nickel, du palladium et de l'or, est propriétaire de l'équipe professionnelle de basketball (NBA) des New Jersey Nets, rachetée à un autre Juif (Bruce Ratner). En 2012, Prokhorov est aussi notre candidat à la présidence russe.
Autres propriétaires juifs d'équipes professionnelles américaines de basketball (NBA) :
Mark Cuban (Dallas Mavericks), Dan Gilbert (Cleveland Cavaliers), Steve Belkin (Atlanta Hawks), William Davidson (Detroit Pistons), Leslie Alexander (Houston Rockets), Jerry Reinsdorf (Chicago Bulls), Howard Schultz (Seattle SuperSonics, également PDG de Starbucks),
David Stern et Larry Weinberg (Portland Trail Blazers), etc... David Stern est le patron de la NBA, Adam Silver et Joel Litvin sont ses adjoints.
Propriétaires juifs d'équipes professionnelles de football américain (NFL) :
Arthur Blank (Atlanta Falcons), Al Davis (Oakland Raiders), Daniel Snyder (Washington Redskins), Randy Lerner (Cleveland Browns), Stan Kroenke (Saint Louis Rams), John Mara et Steve Tisch (New York Giants), Malcom Glazer (Tampa Bay Buccaneers), Gene Klein (San Diego Chargers), Robert Kraft (New England Patriots), Carroll Rosenbloom (Baltimore Colts et Los Angeles Rams), Stephen Ross (Miami Dolphins), Sonny Werblin (New York Jets), Zygi Wilf (Minnesota Vikings), Jeffrey Lurie (Philadelphia Eagles), etc... Jeffrey Pash et Eric Grubman sont vice-présidents de la NFL.
Allan "Bud" Selig est le patron de la MLB, l'organisation nord-américaine de baseball professionnel. Robert Manfred est son adjoint. Don Garber est le président de la MLS (soccer ou foot professionnel).
Hockey sur glace : Gary Bettman est le président de la ligue NHL. Larry Tanenbaum est le principal actionnaire de la société Maple Leafs Sports and Entertainment, qui vaut 1,75 milliard de dollars canadiens. Cette société est propriétaire de l'équipe de hockey des Maple Leafs de Toronto (NHL), ainsi que de l'équipe de basketball des Raptors (également Toronto, NBA) et du club de soccer (foot) Toronto FC (MLS).
Activités d'affaires et autres en marge du sport : Lonnie Cooper est président de Career Sports & Entertainment ; Richard Lovett est président de la Creative Artists Agency ; Jeff Schwartz est président d'Excel Sports Management ; Theodore Forstmann est président de l'International Management Group (IMG) ; Gary Uberstine est président de Premier Sports and Entertainment ; Mark Bartelstein est président de Priority Sports and Entertainment ; Drew Rosenhaus est président de Rosenhaus Sports ; Casey Wasserman est président du Wasserman Media Group ; David Berson et Rob Correa sont vice-présidents de CBS Sports ; George Bodenheimer et John Skipper dirigent ABC Sports ; John Wildhack, Russell Wolff, John Kosner et David Preschlack sont à ESPN ; David Hill, Eric Shanks et Ed Goren sont à Fox Sports, Ross Greenburg, Rick Bernstein et Mark Taffet sont à HBO Sports ; Dick Ebersol, Mark Lazarus, Jon Litner, Gary Zenkel, Jon Miller, Peter Diamond et Ken Schanzer sont à NBC Sports ; Ken Hershman est à Showtime Sports ; David Levy, Lenny Daniels, Jon Diament et Walker Jacobs sont à Turner Sports ; etc...
Sachez déchiffrer le logo des J.O. de Londres :
2012 = ZION
Epreuve de nata-sion :
Si les zantisémites ne cherchaient pas à nous disqualifier,
nous remporterions toutes les médailles...
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de dominer la télévision, la radio, la presse écrite, les maisons d'édition et la publicité.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous dominons déjà.
Regardez :
■ NBC (groupe General Electric et - depuis décembre 2009 - majoritairement Comcast) a pour PDG notre cher Jeff Zucker. Comcast lui-même (câblo-opérateur) a pour dirigeants Brian Roberts et David Cohen.
■ CBS (groupe Westinghouse, entre-temps fusionné avec Viacom) a pour PDG Sumner Redstone (de son vrai nom Rothstein). Redstone dirige également Viacom conjointement avec Philippe Dauman. Font partie du groupe : MTV, VH1 et la télévision homosexuelle LogoTV, toutes trois présidées par Brian Graden. Redstone est également propriétaire de Blockbuster Videos ainsi que des studios Paramount et DreamWorks.
■ ABC (groupe Disney) a pour PDG Bob Iger. Principaux actionnaires de Disney : Sidney Bass et ses frères, également de chez nous.
■ CNN (alias ZNN, avec un Z comme dans Zionist) appartient à Time-Warner que contrôle la famille Bronfman (Seagram, Congrès juif mondial). Le Time Magazine fait partie de ce groupe de presse (PDG : Jeffrey Bewkes).
■ Le Washington Post appartient à la famille Meyer-Graham.
■ Fox News et le Wall Street Journal (ou Jewrnal) appartiennent à Rupert Murdoch (ou Merdoch).
■ Le New York Times (ou Jew York Times) appartient à la famille Sulzberger, qui exerce également une influence prépondérante sur l'Université Columbia (Columbia Jewniversity).
■ US News & World Report (US Jews & World Report) appartient à Mortimer Zuckerman.
■ Quant à Newsweek (maintenant Jewsweek) :
Les milliardaires juifs Harman l'ont racheté pour 1,00 $ (comme dit un vieux proverbe khazar : "Mieux vaut posséder ce qu'on domine que dominer ce qu'on ne possède pas")
■ News Corp. (évidemment Jews Corp.) avec Rupert Merdoch, Peter Chernin, Arthur Siskind et quelques autres, est propriétaire du Times, du Sun, de News of the World (malheureusement fermé pour cause de scandale), du New York Post, du Weekly Standard et d'une douzaine de magazines britanniques et américains, de pratiquement tous les journaux importants d'Australie et des environs (Nouvelle-Zélande, Fidji, Papouasie-Nouvelle-Guinée), de diverses maisons d'édition (dont HarperCollins), de nombreux studios et réseaux de télévision en Australie, aux USA, en Grande-Bretagne, en Italie, en Espagne, en Pologne, en Bulgarie, en Serbie, en Turquie, en Inde, en Indonésie, au Mexique, au Brésil et dans d'autres pays d'Amérique latine. Sans oublier une vingtaine de chaînes sportives un peu partout dans le monde.
Cette liste est loin d'être complète. Le fait qu'un organe de presse plus petit ne nous appartienne pas encore ou ne soit pas encore administré par nous, ne signifie nullement qu'il puisse échapper à la ligne fixée par notre lobby.
Pour ce qui est des maisons d'édition, outre HarperCollins mentionné plus haut, nous avons aussi : Random House Publishing (propriété de Samuel Newhouse), Simon & Shuster Publishing (PDG Gerald Levin), etc...
La Newspaper Guild (syndicat de la presse), c'est nous également (Bernie Lunzer, Carol Rothman), comme d'ailleurs beaucoup d'autres syndicats.
Radio : ABC News Radio, c'est Steve Jones et Andrew Kalb ; CBS Radio Network, c'est Dan Mason, Scott Herman et David Goodman ; Citadel Broadcasting, c'est Judy Ellis et John Sander ; Citadel Media Networks, c'est Edwin Rivera-Searles ; ESPN Radio, c'est Traug Keller ; National Public Radio, c'est Vivian Schiller, Mitch Praver et Debra Delman ; Radio Disney, c'est Carolina Lightcap ; Sirius XM Radio, c'est Mel Karmazin, James Meyer et Scott Greenstein ; Talk Radio Network, c'est Mark Masters ; le Triton Media Group, c'est Neal Schore et Richard Wolff ; United Stations Radio Networks, c'est Nicholas Verbitsky et Andy Denemark ; Westwood One, c'est Norman Pattiz, Rod Sherwood, Steven Kalin et David Hillman ; etc. etc...
Publicité : l'Interpublic Group, c'est Michael Roth, Frank Mergenthaler et Philippe Krakowsky ; Omnicom, c'est Randall Weisenburger ; Publicis, c'est Maurice Lévy, Elisabeth Badinter (née Bleustein-Blanchet) et Jean-Yves Naouri ; Saatchi & Saatchi, c'est Maurice Nathan Saatchi et son frère Charles ; WPP, c'est Martin Sorrell, Philip Lader et Orit Gadiesh ; AdCouncil, c'est Jon Fish et Barbara Leshinsky ; l'Advertising Research Foundation (ARF), c'est Bernard Bradpiece ; l'American Advertising Federation (AAF), c'est Erik Lohmeier ; l'American Association of Advertising Agencies (AAAA), c'est Nancy Hill ; l'American Marketing Association (AMA), c'est Michael Kullman et Dave Reibstein ; l'Association of National Advertisers (ANA), c'est Rebecca Saeger ; le Council of Better Business Bureaus (BBB), c'est Alan Cohen et Andrea Levine ; la Direct Marketing Association (DMA), c'est Lawrence Kimmel, Steven Dapper et Susan Goodman ; l'Interactive Advertising Bureau (IAB), c'est Randall Rothenberg et David Doty ; l'International Advertising Association (IAA), c'est Alan Rutherford, Michael Lee et Sandy Kornberg ; le Radio Advertising Bureau (RAB), c'est Louise Kramer et Scott Herman ; etc. etc...
OUI, les Juifs contrôlent bien les médias
Source
"Mais quand des gens que nous considérons comme antisémites ou anti-israéliens nous disent que les Juifs contrôlent les médias ou que les Juifs contrôlent Washington, alors nous nous insurgeons, nous publions des articles contre eux, nous lançons des campagnes pour les anéantir, nous faisons tout ce que nous pouvons pour les priver de travail. Nous avons créé des organisations
[de lobbying]
dans le seul but de convaincre le monde que les Juifs
[ne font pas de lobbying, qu'ils]
ne contrôlent rien, ni les médias ni Washington, rien... Est-ce que quelqu'un (je ne parle pas des fanatiques) saisit l'ironie de tout cela ?..."
"Soyons honnêtes avec nous-mêmes, amis Juifs. Oui, nous contrôlons bien les médias. Nous avons tellement de gars à nous dans les bureaux de direction des grandes compagnies d'Hollywood, que c'en est presque obscène. Pratiquement tous les films et toutes les productions télévisées fourmillent d'acteurs, de réalisateurs, de scénaristes juifs. Saviez-vous que les huit plus grands studios sont dirigés par des Juifs ?... Mais ce n'est pas tout : nous contrôlons aussi la pub qui accompagne tout cela à la télé..."
"Et n'oublions pas l'AIPAC, c'est pour ainsi dire l'équivalent des Sages de Sion..."
Même Goebbels nous envie
notre fameuse Hasbara :
"Alors là, je m'avoue battu. Verdammt !..."
Deux titres que nous avons repris récemment :
(anciennement anarchiste)
(anciennement communiste,
ressuscité
par nos soins)
Deux mots encore sur la télé française. Non, non, rassurez-vous, je ne vais pas vous embêter avec Elkabbach et Putejadas. Parlons seulement de deux chaînes de désinformation en continu :
■ I-Télé, qui peut se résumer à quelques noms de chez nous : Laurence Haïm, Mikaël Guedj, Alexandre Adler, Olivier Benkemoun, Jean-Bernard Lévy...
■ BFM TV, où vous ne serez pas non plus dépaysé : Ruth Elkrief, Nathalie Lévy, Thomas Misrachi, Alain Weill...
Je simplifie, mais tous les détails et tous les noms
sont là.
Et pour ce qui est du service public (télévision et radio), je vous dis pas...
Il y a une vingtaine d'années, quand l'écrivain Renaud Camus avait constaté la chose suivante :
En Grande-Bretagne, mon journal juif préféré est The Independent (drôle de nom). Il appartient à l'oligarque "russe" Alexandre Lebedev (fortune de 3 milliards de dollars en 2008), qui l'a racheté en 2010 pour la somme de 1 £. A ceux qui disent que c'était trop cher, je réponds que The Independent on Sunday était offert par la même occasion. Notre cher Alex est également propriétaire de l'Evening Standard et du tabloïde The I, ainsi que du journal russe Novaya Gazeta (conjointement avec Gorbatchev, le liquidateur de l'URSS).
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de dominer l'Internet.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous dominons déjà.
Jugez vous-mêmes :
■ Wiki ou le chaos contrôlé
(notre ennemi Israël Shamir analyse le fonctionnement de
Sionipédia, cette merveilleuse encyclopédie en ligne créée et dirigée par nos chers amis Larry Sanger, Jimmy Wales, Ben Kovitz, Jeremy Rosenfeld et Seth Cohen).
■ Comcast (opérateur Internet) a été fondé par Daniel Aaron et Julian Brodsky.
■ Google est également à nous, grâce à Larry Page (dont la famille vit en Israël), Sergeï Brin (qui aime bien se faire passer pour un Russe), Craig Silverstein, Sheryl Sandberg, Elliot Schrage, Ethan Beard, Udi Manber, Larry Brilliant, Susan Wojcicki et sa petite sœur Anne ("Sœur Anne, sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? – Je vois que Jewgle fait la loi pendant que notre fortune croît...") Avec Google Street View, plus rien ne nous reste caché. Et avec le piratage systématique des bibliothèques (nous préférons parler de "sauvetage culturel"), nous pourrons soutirer de l'argent aux propriétaires d'ouvrages "menacés" chaque fois qu'ils voudront consulter ce qui leur appartient - il fallait y penser... (Je ne parle même pas ici du fait que toutes les recherches effectuées par les utilisateurs sont sauvegardées pour le cas-z-où ; que nous filtrons tous les sujets sensibles presque aussi souvent que les Chinois mais plus discrètement ; et que nous plaçons toujours en tête des résultats les pages sionistiquement correctes.)
■ Fesses-Bouc nous appartient également - c'est Mark Zuckerberg, Dustin Moskovitz, Justin Rosenstein, Jim Breyer, Marc Andreessen et Eduardo Saverin. Grâce à eux, on soutire des mégatonnes de données personnelles à des cons de goyim qui ne demandent que ça. Et avec une petite partie de l'argent gagné, on peut financer la subversion en Iran, en Syrie et dans d'autres pays musulmans... Je connais bien Eduardo Saverin. C'est un petit malin qui, selon son humeur du jour, se fait passer pour un Brésilien, un Etats-Unien ou un Singapourien. Mais il reste toujours égal à lui-même. Pour moi, il est celui qui illustre le mieux l'idée des
nations-hôtels
de notre cher Jacob Attali...
■ Sans oublier eBay, qui est d'ailleurs lié à PayPal ; là, c'est Jeff Skoll qui est aux commandes. Et puis Yahoo (Terry Semel, David Goldberg, Andreï Broder). Et encore MySpace (Brad Greenspan, Josh Berman, Tom Anderson, Richard Rosenblatt, Travis Katz). Et Twitter (Noah Glass). Et LinkedIn (Jeff Weiner). Etc...
■ Côté téléphonie mobile, c'est pareil. Les smartphones sont encore plus faciles à espionner, aucune raison de s'en priver. Un exemple parmi d'autres : Viber, qui appartient à notre ami Talmon Marco. Nous faisons croire au public que c'est une entreprise américaine basée à Chypre, alors qu'en réalité tout vient d'Israël - et y retourne, je veux parler des données personnelles des utilisateurs. Sans qu'ils s'en doutent, nous écoutons leurs communications, lisons leurs messages, regardons leurs photos et vidéos, voyons quelles applications ils utilisent et récupérons leur liste de contacts. Et ils nous remercient parce que c'est gratuit... Ah les cons... Pardon... Je deviens politiquement incorrect : il ne faut pas dire "les cons" mais "les goyim"...
Avec tous ces outils, comment voulez-vous que quelque chose d'important nous échappe ? Notre problème serait plutôt l'excès d'informations confidentielles. Mais avec les programmes adéquats, nous en viendrons à bout. Nos informaticiens sont les champions de l'extraction intelligente de données ; ils nous concoctent des algorithmes de data mining de plus en plus raffinés.
Bien sûr, tout n'est pas parfait sur la Toile. A moins de tout boucler - ce qui ne sera réalisable qu'en cas de crise mondiale véritablement grave -, il est impossible de faire taire les dissidents. Mais ce qui n'est pas contrôlable, peut très bien être marginalisé. Notre travail, c'est de maîtriser les sources d'information alternatives. Alternatif est un mot que j'adore... Prenez par exemple le site AlterNet (avec Sara Frankel et Robert Greenwald). Il attire des tas de jobards qui recherchent quelque chose de "différent" et pensent l'avoir trouvé. Récemment, AlterNet a publié un article sur les théories conspirationnistes antigouvernementales de droite (une de mes expressions préférées) qui circulent à propos du 11/9, de l'arme climatique, des projets d'instauration de la loi martiale, des programmes de réduction de la population, etc... On leur raconte que tout cela est paranoïaque - sans entrer dans les détails évidemment, on risquerait de se casser le nez. La plupart du temps, ça marche... Il va de soi qu'AlterNet et beaucoup d'autres blogs similaires ont aussi pour rôle de corriger l'impression qu'ont les gens que les USA roulent pour Israël et font les guerres sionistes par procuration.
J'aime aussi beaucoup Slate (que certains traduisent par
Slut),
C'est le site "alternatif" le plus rentable financièrement et idéologiquement. Il est dirigé par nos co-élus David Plotz et Jacob Weisberg.
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de dominer l'industrie de la pornographie.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous dominons déjà le porno depuis longtemps.
Notre ami Nathan Abrams, qui enseigne à l'Université d'Aberdeen (Ecosse) a écrit un article à ce sujet dans le Jewish Quarterly :
Jews in the American porn industry.
Il y évoque le rôle joué dans ce domaine, dès 1890, par certains immigrants juifs allemands et décrit la place éminente occupée, dans les années 1970, par Reuben Sturman, "Walt Disney du porno" et inventeur de la cabine vidéo, qui ne se contentait pas de contrôler cette industrie mais en était l'incarnation même. Le successeur actuel de Sturman a pour nom Steven Hirsch, le "Donald Trump du porno". Comme dit Abrams, la pornographie juive n'est pas seulement une excellente source d'enrichissement. "Poussée vers de nouveaux extrêmes" et motivée par "le désir évident de choquer", elle permet aussi "d'affaiblir par la subversion morale la culture dominante en Amérique" - pas seulement en Amérique...
Aujoud'hui, nos rois du porno sont Ron Braverman, John Bone, Wesley Emerson, Paul Fishbein, Herbert Feinberg (alias Mickey Fine), Hank Weinstein, Lenny Friedlander, Bobby Hollander, Rubin Gottesman, Fred, Marci et Steven Hirsch (mentionné plus haut), Paul "Norman" Apstein, Steve Orenstein, Jack Richmond, Theodore "Redstone" Rothstein, David et Reuben Sturman (mentionné plus haut), Ron Sullivan, Jerome Tanner, Armand, Sam et Mitch Weston, etc...
Et comme disait Al Goldstein, éditeur de la revue Screw (Tringler) : "85 % des acteurs porno sont juifs."
Bonus :
Pornography as a secret weapon - La San Fernando Valley (au nord de Los Angeles), centre mondial de l'industrie pornographique, est encore plus juive qu'Hollywood. On y trouve tous nos amis cités plus haut, et même quelques autres comme Irving Slifkin, Barry Rosenblatt et Eli Cross (= Lacroix - le patronyme antisémite que je préfère). Et pour ce qui est de la pornographie enfantine, inutile de dire que dans ce domaine également nos petits gars sont les champions du monde. Normal, puisque la pédophilie est
couverte par notre Talmud.
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de promouvoir partout la pédérastie.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous promouvons depuis longtemps.
Vous croyez que les quelques tapettes goyiques qui se faisaient enculer en secret dans leurs chambrettes de San Francisco dans les années 1950, auraient d'elles-mêmes eu la force et surtout l'intelligence de fonder un lobby ?... Heureusement que nous les avons aidées, ces misérables travelures à trois shekels la passe... Nous nous sommes sacrifiés corps et âme... Les goys, euh... les gays nous doivent tout. (Les goys aussi, d'ailleurs, mais ils n'ont pas encore compris, ces antisémites...)
"Si c'est bon pour mon cul, c'est bon pour Israël..."
Mais vous me direz qu'il y a des rabbins qui prétendent que la pédérastie est contraire à l'enseignement de D... (je n'ai pas le droit d'écrire son nom en toutes lettres) et qu'il ne faut pas oublier Sodome et Gomorrhe, etc... Foutaises, tout cela, ces rabbins sont des antisémites. Et puis, nous avons 500 bombes atomiques, sans compter les 10.000 et quelque dont les Américains nous ont confié la garde. Alors D..., avec ses tours de magie homophobiques, il ne nous fait pas peur.
En attendant, la plus grande chaîne de télé homosexuelle du monde, Logo TV, c'est nous (Sumner Redstone, Matt Farber, Brian Graden, Lisa Sherman). Nous sommes les inventeurs du nouveau format de la boîte à images : le format JPG (Juifs - Pédés - Gouines). Et nous l'avons fait sans avoir eu besoin de conspirer.
Quelques-unes de nos plus belles organisations homo-sionistes :
■ Act-Up (avec son "gourou" Larry Kramer) et la Queer Nation (fondée par Alan Klein et Jonathan Katz)
■ L'incontournable Gay and Lesbian Alliance Against Defamation (GLAAD), copiée sur l'ADL (avec Arnie Kantrowitz, Meg Moritz, Jennifer Einhorn, William Weinberger, Judy Gluckstern, Ilene Chaiken, Tanya Grubich, Mark Reisbaum, Carol Rosenfeld, Steve Seidmon, Jeffrey Sosnick, Jeff Soukup, Steven Rozencraft, Jennifer Oritz, Jillian Waldman)
■ Le Gay Liberation Caucus (ou Circus) d'Israël Fishman et le GLBT* de Len Hirsch
■ L'association Parents and Families of Lesbians and Gays - PFLAG (avec Ron Schlittler, Craig Ziskin, Lara Schwartz, Carole Benowitz, Dody Goldstein, David Horowitz, Rebecca Shiff, Daniel Tepfer)
■ La National Gay and Lesbian Task Force (avec Jeff Soref, Marsha Botver, Roberta Achtenberg, Loren Ostrow, Paula Redd Zenan, Michael Aller, Allan Horowitz, Sandi Greene, Roberta Sklara, Monique Hoeflinger, Becky Levin, S.T. Cohen, Philip Leber, Alex Breitman, Todd Kimmelman, Shavla Sellars)
■ La Human Rights Campaign - HRC, qui n'a rien à voir avec les droits de l'homme mais tout avec les "droits" de l'homo (avec Joe Solomonese, Mike Berman, Marty Lieberman, Andy Linsky, Dana Perlman, Scott Weiner, Lara Schwartz, Jay Oppenheimer, Hilary Rosen, Andrea Sharrin, Fritz Beesemyer, AJ Bockelman, Cathy Ebert, Don Epstein, Patty Fink, Glen Freedman, Christopher Stenger, Brian Stranghoner, Brian Suber, Michael Lappin, Lisa Zellner, Molli Levin)
* aussi appelé LGBT, plus tard LGBiToQ.
C'est notre co-élu sodomite Frank Kameny qui a poussé l'Association Psychiatrique Américaine, en 1973, à retirer l'homosexualité de la liste des maladies mentales socio-destructives (mais guérissables) pour la redéfinir comme un "choix". Nous pouvons vraiment être fiers de son action - et de la nôtre. En quelques décennies, nous avons réussi à transformer ce qui n'était qu'une perversion repoussante et marginale en expression "normale" voire préférentielle d'un mode de vie "nouveau" et "moderne". Dans les esprits, bien entendu, pas sur le terrain, ce qui serait difficile. Mais dans l'image qu'en donnent les médias (nos médias), c'est tout comme. En 30 ou 40 ans, nous avons réduit au silence la masse des gens normaux, leur faisant craindre de passer eux-mêmes pour des malades mentaux atteints d'une phobie (imaginaire) pour laquelle nous avons inventé un nouveau vocable : "l'homophobie". C'est absolument génial. Jamais auparavant personne n'était parvenu à saper en si peu de temps, les bases morales et culturelles de toute la société. Il est vrai que cela vaut surtout pour l'Occident. Dans le monde arabe et musulman, avec son fort attachement aux valeurs traditionnelles et religieuses, nous avons encore beaucoup à faire.
Laissez-moi préciser que la sodomie n'est pas une fin en soi. C'est seulement l'outil - extrêmement efficace, il faut l'avouer - qui permet de détruire plus vite le vieux monde. Si la sodomie s'avérait insuffisante, on pourrait aussi bien promouvoir ouvertement la pédophilie, l'inceste, la polygamie, la zoophilie, la nécrophilie ou le cannibalisme. Comme dans le cas de la pédérastie, il ne serait pas difficile de trouver des précédents historiques pour justifier ces "orientations".
Si je devais faire la synthèse ou le résumé de notre programme humaniste de rénovation des mœurs, je me contenterais de présenter le film
Borat,
pour lequel j'ai personnellement beaucoup d'admiration. Il symbolise dans toute sa splendeur la supériorité de nos valeurs. Que des millions et des millions de goyim acérébrés se soient précipités (et nous aient donné leur argent) pour voir et déguster ce magnifique étron de notre brillante enculture sioniste (un parmi des milliers d'autres), me remplit de joie et d'espoir - mais aussi d'une certaine tristesse, car ce merveilleux chef-d'œuvre est encore interdit à Riyad et à Téhéran.
Mon pédé-gé juif préféré :
Lloyd Blankfein, chantre (ou chancre) de la goldman-sachsodomisation
Pourquoi nous sommes les champions de l'adoption homosexuelle :
Source
Synthèse réussie de deux idéologies
au service d'une troisième : la nôtre
Quand pédés et fascistes de gôche roulent pour nous,
on appelle ça "mouvement antifa"...
(En réalité, bien sûr, "antifa" ne signifie pas "antifasciste" mais "antifamille")
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de dominer l'enseignement, la science et la médecine.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous dominons déjà.
De la Stanford Jewniversity à la Columbia Jewniversity, en passant par les plus modestes établissements du Kansas ou de l'Iowa, nous contrôlons tout. Même les universités catholiques, comme DePaul (Saint-Vincent de Paul) à Chicago, d'où nous avons fait virer Norman Finkelstein, ce Juif honteux qui ose dire à haute voix ce que nous savons tous sur l'Industrie de l'Holocauste® et le Shoah Business®.
Le président de l'American Federation of Teachers (enseignants) est notre ami Ted Kirsh. Celui de l'American Library Association (bibliothèques) est Leslie Burger. A la National Academy for Science, c'est Harvey Fineberg le patron. Etc... etc...
On donne des cours d'histoire de l'Holocauste® dans toutes les écoles, on organise à tout bout de champ des conférences et des séminaires sur le sujet. Les musées de l'Holocauste® poussent partout comme des champignons. Bien sûr, les jeunes ne savent pas exactement où se trouve Israël (les vieux non plus, d'ailleurs) ; la plupart des Américains croient que c'est un
pays européen. Pas grave, le principal c'est qu'ils aient retenu que l'Etat juif est "le seul pays démocratique" de sa région et que les islamistes antisémites haineux veulent le détruire.
Si j'avais le temps, je vous raconterais aussi comment nous avons réécrit les livres d'histoire de tous les pays du monde. En France, des générations d'écoliers ont profité du savoir-faire de nos amis Malet et Isaac.
Bien entendu, les principes d'éduca-sion formulés par nos plus grands pédagogues* ne reposent pas seulement sur l'enseignement de l'holocaustologie ; la pédérastophilie offensive est presque aussi importante à nos yeux - voir le
protocole n° 10.
(Quand je dis presque j'exagère, car il va de soi que rien ne saurait égaler ni même approcher notre Saint Holocauste®.)
* Vous remarquerez au passage que l'étymologie du mot pédagogues (pédales + gogues) justifie pleinement cette vue des choses.
Toujours est-il que, grâce à nous et sans complot aucun, l'enseignement de la "théorie du genre" prend partout une place primordiale... Comme je vois que vous êtes vous-même trop vieux pour avoir eu le privilège d'apprendre à l'école les détails de cette belle théorie, permettez-moi de la résumer pour vous : il existe deux genres, mais il ne s'agit pas de ceux que vous croyez ; non, ces deux genres sont le genre pédéraste et le genre gouinard. (Je n'ose pas mettre ce mot au féminin - féminin ça fait dépassé, politiquement incorrect et... très mauvais genre.)
Donc, pour faire la synthèse de ce qui précède, je dirai avec nos détracteurs (que j'approuve secrètement) qu'il est aussi important pour nous de bourrer le crâne des jeunes générations que de leur bourrer le cul. Voilà, je l'ai dit, mais n'allez surtout pas le répéter...
Et qui dit enseignement et université, dit aussi
RECHERCHE SCIENTIFIQUE :
Ce n'est pas que nos cerveaux soient plus développés que ceux des goyim,
mais nous savons sur qui il faut faire pression pour rafler tous les prix Nobel.
Et puis, c'est une affaire de coopta-sion. Pareil pour la physique et surtout pour l'économie...
( Soit dit entre parenthèses, s'il y avait un Nobel pour
le vol et le trafic d'organes,
nous l'aurions
à coup sûr. Et nous régnons déjà sans partage dans les domaines les plus lucratifs de la médecine,
voyez la chirurgie esthétique que nous avons inventée. Comme nous inventons sans arrêt de nouvelles
maladies pour lesquelles nous fournissons thérapies et médicaments, pas vrai Big Pharma ?.. Mais le
plus profitable pour nous, en termes d'argent et de pouvoir, c'est la fabrication de nouvelles menaces
sanitaires, de virus bidon et de pandémies imaginaires - voir notre fabuleux
Corona Hoax. )
Dans un autre domaine réputé scientifique, celui du
réchauffement climatique,
la présence massive de nos amis prouve que cette théorie est très rentable. Je ne citerai ici que Joseph Romm (Center for American Progress) ; Stephen H. Schneider (Stanford Jewniversity) ; Michael Mann (Pennsylvania State Jewniversity), l'inventeur de la fameuse "crosse de hockey" climatique (voir le lien précédent à "Manipulateurs") ; Gavin Schmidt (NASA Goddard Institute for Space Studies) ; Benjamin Santer (Lawrence Livermore National Laboratory) ; Todd Stern (délégué spécial des Affaires étrangères pour le changement climatique - un des innombrables
conseillers juifs
de notre
singe savant
de la Maison Blanche) ; Richard Sandor, fondateur de la bourse climatique de Chicago (Chicago Climate [Change] Exchange - CCX) ; Ignacy Sachs, professeur à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) et créateur du développement du râble (l'idée lui est venue un beau matin en contemplant l'arrière-train de sa bobonne) ; Nicholas Stern, (London School of Economics - LSE) ; etc. etc...
Et puisque nous parlons de pseudo-sciences, évoquons aussi la psychanalyse de notre cher Sigmund Freud. Elle est un peu en perte de vitesse ces derniers temps et doit prendre des formes moins voyantes pour éviter de disparaître. Mais elle reste pour moi l'alchimie des temps modernes, c'est-à-dire l'art de transformer de la merde en or : une de nos plus belles trouvailles... Ne me dites pas le contraire, sinon je vous envoie suivre une thérapie...
(Il est évident que la domination des secteurs-clés mentionnés plus haut entraîne automatiquement le contrôle de ce que les gens croient et pensent. Les zantisémistes parlent de "pensée unique" - entre nous, ils n'ont pas tout à fait tort... Bien entendu, goyim et Juifs honteux ne croient pas et ne pensent pas toujours de maniere politiquement correcte. Mais il suffit qu'ils fassent semblant : la seule chose que nous leur demandons, c'est de fermer leurs gueules quand ils ont des idées tordues... De temps à autre, l'alcool aidant, ils se laissent aller. Nous les punissons alors impitoyablement - voir le cas du couturier John Galliano (un exemple parmi beaucoup d'autres). Sous prétexte qu'il est juif et pédé, cet idiot se sentait doublement à l'abri dans le quartier le plus juif et le plus pédé de Paris. Quel inconscient... La prochaine fois, il n'aura qu'à s'en prendre aux Arabes ou aux musulmans, c'est sans risques et ça ne coûte rien...)
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de dominer les organisations internationales.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous dominons déjà.
A l'ONU, depuis plus de 60 ans, nous faisons bloquer toutes les résolutions qui condamnent Israël et empêchons l'admission de la Palestine en tant qu'Etat. Evidemment, ce n'est pas pour nos beaux yeux que les pays, grands ou petits, votent comme nous l'exigeons, mais parce que notre inexistant lobby sait utiliser à bon escient le puissant levier que représentent les Etats-Unis et leurs alliés. Inversement, quand il s'agit de condamner ou de sanctionner les pays qui ne partagent pas notre idéal démocratique, nous savons être convaincants, même si ça ne fonctionne pas toujours du premier coup (voir la Syrie). Parfois, comme dans le cas de la Libye, nos "philosophes" supplantent les décideurs politiques.
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de dominer le gouvernement américain afin de le pousser à financer Israël et à faire la guerre pour notre compte.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous dominons et nous poussons déjà.
L'argent des goyim américains coule à flot depuis des décennies, toujours plus chaque année. Si l'Oncle Sam arrêtait de payer pendant quinze jours, Israël ferait faillite. Je ne vois là aucune conspiration.
Et les Etats-Unis font depuis longtemps les guerres que notre pauvre petit Etat hébreu est incapable de faire lui-même. Comme l'a dit le Juif semi-honteux Uri Avnery, nous sommes un montreur d'ours qui tient au bout de sa chaîne un animal dressé beaucoup plus grand et plus puissant que lui mais néanmoins docile et obéissant, et exécutant pour notre divertissement tout ce que nous lui commandons de faire, et même davantage. Sauf que l'ours en question est la première puissance du monde. Un bateleur a-t-il besoin de comploter pour faire danser son ours ?... Vous voyez bien que nous ne sommes que d'innocents artistes.
Le gouvernement américain et la Maison Blanche avec ses innombrables
conseillers juifs,
c'est nous. Pareil pour le Congrès des Etats-Unis, au cœur des Territoires occupés de Washington. Nous contrôlons à 100 % cette Knesset américaine, mais avec seulement 8 % des sièges (pour 2 % de la population). Devrions-nous conspirer pour obtenir un taux de contrôle supérieur à 100 % ?...
Comme s'il fallait comploter pour attacher ensemble
les drapeaux des deux principaux Etats juifs de la planète...
Notre principe, c'est de contrôler toutes les organisations qui comptent, qu'elles soient de droite ou de gauche, du centre ou du milieu, et d'occuper les postes importants. Les goyim qui se croient malins disent qu'il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Nous, nous nous arrangeons pour que tous les paniers soient à nous. Nos amis les milliardaires David et Charles Koch financent les Tea Parties ; notre autre ami George Soros, également milliardaire, finance Occupy Wall Street et les Indignés. Comme ça, il y en a pour tous les goûts...
Quand un mouvement se crée quelque part, nous sommes là dès sa création ou peu de temps après, et nous veillons à ce qu'il évolue dans la bonne direction. Avec ce qu'il convient d'appeler "la gauche", rien de plus facile. Regardez les groupes pour la
vérité sur le 11 septembre,
les Antiguerre, les Attac, les Pirates, les Anonymes, les
Wikileaks,
etc... Ces cons-là s'étonnent que ça tourne à vide, que ça ne fonctionne pas comme ils le voulaient (je ne parle pas des fondateurs mais des militants). Evidemment que ça ne fonctionne pas. Vous ne voudriez tout de même pas qu'on leur permette d'accuser à haute voix Israël et les banquiers juifs de Wall Street, ou encore nos sayanim, nos agents et nos lobbyistes.
Il ne manquerait plus que ça que les gens comprennent comment on déclenche une guerre ou une crise financière au 21ème siècle. S'ils le comprenaient, ils pourraient peut-être même l'empêcher : vous imaginez la catastrophe...
Mes Pirates préférés, ce sont les Pirates allemands :
A la bonne heure...
Les érouvim de Montréal -
Il en existe cinq, dont celui d'Outremont mentionné dans l'article précédent. Un érouv est en réalité un ghetto juif volontaire dans lequel, avec la complicité des autorités locales, les lois normales ne comptent plus. Notre minorité juive "agissante" peut y exercer sa dictature sur le reste de la population : ce n'est pas encore Jérusalem-Est, mais le principe est le même. Je me régale quand je lis cet article :
La bombe intégriste
(sur le site Accommodements Outremont). Au Québec, "l'accommodement raisonnable" consiste, pour les goyim, à faire sans discuter tout ce que nous leur demandons. Ils capitulent devant une poignée de fanatiques que je ne voudrais pas avoir pour voisins. Ces Juifs débarqués de fraîche date sont bien entendu incapables de s'intégrer à la société ambiante ; ils exigent au contraire que cette société s'adapte à leurs caprices. C'est formidable et ça fonctionne...
L'ÉROUV D'OUTREMONT :
Un autre de nos outils en Amérique du Nord :
le rackett de notre Kosher Nostra.
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de dominer l'Union européenne et tous les pays qui la composent, en particulier la France.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous dominons déjà. Regardez...
Ma vidéo identitaire "française" préférée
Shalom !... Vous trouvez que avons l'air de conspirateurs ?...
VOTEZ IZRAEL...
... à moins que vous ne préfériez VOTER ISRAËL
en donnant votre voix à l'un quelconque des autres candidats
(sauf celui du Parti antisioniste, au cas improbable où sa candidature serait acceptée).
Mais le mieux, bien sûr...
... c'est encore d'élire des ÉLUS.
A Paris, le président Sarkozy est des nôtres (maman juive - 100 % casher). A Londres, c'est encore mieux :
David Cameron
descend directement de Moïse ;
et pour le cas où il faudrait le remplacer, nous avons son "rival" David Miliband.
Je pourrais continuer comme ça avec des douzaines d'autres exemples, du Portugal à l'Estonie et de Chypre à l'Irlande, sans parler des pays européens qui ne font pas partie de l'UE. Mais je crois que le temps nous manque.
De toute manière, il n'est pas absolument nécessaire de placer des Juifs à la tête des Etats. L'important, c'est que les dirigeants exécutent nos ordres sans rechigner. Chacun sait qu'Israël est un membre de fait de l'Union européenne, mais sans les charges et obligations qui incombent aux membres de droit.
L'EUROPE, C'EST NOUS :
"Shana Tova" signifie "Bonne année"
ou encore "Laissez-vous entuber"...
Février 2012 :
Vidéo Europe-Israël
Si nous le voulions, nous pourrions aller encore plus loin :
pourquoi ne pas dissoudre le Parlement non-juif,
maintenant qu'il est devenu inutile ?...
Décembre 2012 :
Excellent !
Mais à mon humble avis, le titre correct aurait dû être :
HANOUCACA - UNE FÊTE POUR ENCULUMINER LE MONDE ENTIER
Paris(raël) 2012
Paris(raël) 2013 - Projet
Le premier qui dit que nous conspirons pour judaïser Noël est un gros zantisémite...
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de dominer la Russie, la Chine, l'Inde et quelques autres pays comparables.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous dominons déjà.
En Russie, 80 % des oligarques milliardaires sont des nôtres.
Pour la Chine, c'est plus difficile, mais ça vient :
La télévision chinoise promeut Israël (il suffit de savoir à qui graisser la patte).
Il est vrai qu'en ce qui concerne ce pays, les choses étaient beaucoup plus simples autrefois, au 19ème siècle. Appliquant pour la première fois à grande échelle le principe de la guerre juive par procuration, David Ben Sassoon (1792-1864) amassa alors une gigantesque fortune en poussant les Anglais à mener pour lui deux guerres coloniales contre la Chine, dans le but de légaliser le commerce de l'opium dont il avait le monopole :
Hong Kong and the Sassoon Opium Wars
(par Peter Myers et Israel Shamir).
Au 21ème siècle, la guerre par procura-sion suit un autre scénario :
Helping the Jewish state obliterate its enemies
(une recommandation d'Andrew Adler, Atlanta Jewish Times). Si les Etats-Unis n'anéantissent pas l'Iran pour "aider" Israël, le Mossad devra assassiner Barack Obama pour le remplacer par un président plus docile qui exécutera sans délai les ordres de Tel Aviv. Voilà qui est clair... Entre nous, les Sassoon du 19ème siècle, bien que déjà puissants, n'auraient jamais osé assassiner la reine Victoria sous prétexte qu'elle tardait à leur obéir. Nos contemporains, eux, sont cent fois plus efficaces en termes de richesse, d'influence et - surtout - de chtuzpah...
En Inde, tout est très simple aujourd'hui grâce à notre communauté de sayanim. D'ailleurs, le RAW, que certains appellent la CIA indienne, est en fait "un junior partner du Mossad", pour employer l'expression de Gordon Duff (Veterans Today). Le type est peut-être antisémite comme tout le monde, mais sur ce point il a parfaitement raison. (Entre parenthèses, j'adore l'Inde et ses industries hautement lucratives, comme l'or et les diamants. Si les Indiens sont des experts en la matière, devinez à qui ils le doivent...)
Dans les pays où nous sommes peu implantés, nous utilisons - sans conspiration aucune - le levier de la puissance américaine. Voir l'exemple du Japon, où nous avons fait emprisonner Bobby Fisher, ce Juif honteux qui croyait pouvoir nous tenir tête sous prétexte qu'il avait été champion du monde d'échecs. Il ne suffit pas de prévoir cinq ou six coups d'avance : dans notre partie à nous, nous jouons à 10.000 contre un. Les véritables champions, c'est nous.
Et en cas de besoin, nous pouvons même découvrir des Juifs dans n'importe quel pays du monde, comme récemment en
Papouasie-Nouvelle-Guinée
(ou Papouasionie-Nouvelle-Judée) :
- Cette planète m'appartient.
- Bizarre, t'as pourtant pas l'air juif...
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de dominer les pays arabes et musulmans.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous les dominons déjà (pas tous, mais presque).
Les pays arabes sont les plus faciles à manipuler, qu'il s'agisse de monarchies de droit divin (comme le Maroc, la Jordanie, l'Arabie Saoudite et les dictatures du Golfe) ou de républiques soi-disant parlementaires. En cas de besoin, nous y organisons une petite
révolu-sion,
histoire de leur montrer qui est le patron ; il ne faudrait quand même pas qu'ils croient que tout est éternel... Le cas échéant, nous leur offrons (et nous nous offrons) une petite guerre, soit directe
(Liban)
soit par procura-sion
(Irak,
Syrie,
Soudan, Libye, Yémen).
Les autres pays musulmans sont parfois plus coriaces, mais nous les traitons de la même façon (voir nos guerres en
Afghanistan,
au
Pakistan,
en Somalie). Ailleurs, comme en Indonésie ou en Afrique sub-saharienne, nous semons le désordre par alliés interposés, comme ça il n'y a pas de jaloux... (D'aucuns disent que nous foutons le bordel, c'est une question d'appréciation.)
En 2012, le plat de résistance (c'est le cas de le dire) est représenté par
l'Iran.
Mais ils ne perdent rien pour attendre...
Ce qui dérange le plus les zantisémites, au 21ème siècle, c'est que nous avons enfin remis au goût du jour un grand classique de notre belle littérature juive :
La communauté musulmane de France a beau être nombreuse, elle n'a aucun pouvoir. Et son représentant officiel, Dalil Boubakeur, recteur de la Grande Mosquée de Paris, est "alcoolique et franc-maçon" (Soral). Ce faux musulman est totalement dépendant de nous. En janvier 2009, au moment de notre guerre contre Gaza, il nous a d'ailleurs manifesté son soutien. Un autre de mes larbins arabes préférés est
l'imam juif de Drancy.
Pour en terminer avec la réfuta-sion de ce point particulier concernant le monde arabo-musulman, permettez-moi de vous poser une question... et d'y répondre moi-même. Savez-vous qui a rédigé les récentes constitutions de l'Aghanistan, de l'Irak, de l'Egypte et de la Tunisie ?... Eh bien, c'est notre co-élu israélo-américain Noah Feldman, comme on peut le lire ici sur
JForum.fr,
le portail juif francophone. Le plus drôle, c'est que notre cher Etat d'Israël, lui, n'a pas de constitution...
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue d'imposer notre gouvernance mondiale.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous l'imposons déjà.
J'en veux pour preuve l'interdiction de la seconde flottille de Gaza, en juillet 2011. Notre gouvernement mondial contrôle tous les sous-gouvernements européens (grec, français, allemand, hongrois...) sans même parler des Turcs et de tous les autres. Citez-moi trois pays qui ne soient pas à notre botte... Vous voyez, c'est impossible... Un claquement de doigts, et tout le monde nous obéit...
Comme l'a si bien dit notre ami
Jacob Attali :
"Jérusalem, capitale de la planète unifiée... C'est un joli lieu pour un gouvernement mondial..."
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de dominer le Vatican. Ils disent que nous essayons de dicter la politique de l'Eglise et même - passez-moi l'expression - que nous rêvons de tenir le pape par les couilles.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous dominons et nous dictons déjà. D'ailleurs, comme dit un proverbe de chez moi : "Çui-là qu'il en a pas, tu peux pas les lui tiendre..."
Nous dominons et dictons encore plus quand il s'agit de chrétiens protestants ; ils offrent l'avantage d'être dispersés en d'innombrables sectes faciles à manipuler. Quand je vois un pasteur, je ne peux m'empêcher de penser à un personnage décrit par l'écrivain israélien David Shahar dans son livre de souvenirs Le Palais des vases brisés : un brillant prédicateur calviniste "hollandais", en réalité natif du quartier juif de la Vieille Ville de Jérusalem et fidèle jusqu'au bout à son Talmud. S'il s'y était bien pris, le gars aurait pu épouser la fille d'un riche bourgeois batave. Au lieu de cela, il a jeté l'éponge au premier signe d'antisémitisme - alors qu'il aurait dû savoir que tous les goyim sont antisémites, surtout en Hollande (c'est pour cela que ce pays a été le premier à nous tolérer et à nous accueillir en masse).
Un de nos plus francs succès a consisté à placer un juif soi-disant converti à la tête de l'Eglise catholique française. Et à la mort de ce cher cardinal Lustiger, en 2007, on a pu se permettre de réciter pour lui, sur le parvis de Notre-Dame, la prière du kaddish en hébreu.
Dialogue judéo-juif
pour la réconcilia-sion des religions
Premier tour de scrutin (un second tour n'a pas été nécessaire) :
Inscrits : 1 - Votants : 1 - Suffrages exprimés : 1 - Abstentions : 0 - Bulletins nuls : 0
PEUPLE JUIF : 1 voix (= 100 % - ÉLU) - Goyim : 0 voix (= 0 %)
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de nous approprier l'ensemble de la Palestine.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous nous approprions déjà un peu plus chaque jour.
Vous pouvez vous en convaincre en lisant
tout ce qui se trouve ici.
Mais attention, ça risque d'être long, prenez une semaine de vacances...
Et puis, quand on dit Palestine, encore faut-il préciser de quoi on parle, C'est une question de défini-sion... Ça va d'où à où exactement, la Palestine ?... Le seul dénominateur commun, sur lequel nos experts ont réussi à se mettre d'accord, c'est que la Palestine englobe tous les territoires situés entre le Nil et l'Euphrate. C'est écrit en toutes lettres dans la Bible hébraïque, notre livre d'histoire. Ou, comme l'enseignent nos écoles : d'une bande bleue à l'autre... Mais qui a dit qu'il fallait prendre le chemin le plus court pour aller d'une bande à l'autre ?... Depuis que nous avons découvert que la Terre est ronde, rien ne nous empêche de faire un détour par la Chine, l'Amérique et l'Afrique, sans oublier la Russie, l'Australie et le reste...
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de promouvoir le terrorisme et de provoquer la Troisième Guerre mondiale.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous promouvons et nous provoquons déjà.
Le 11 septembre, c'est nous, n'en déplaise aux conspirationnistes qui croient que nous avons encore besoin de comploter. C'est parfaitement superflu, notre hégémonie rend inutile la conspiration. Al-Mossaïda n'est pas un complot, c'est une réalité incontournable.
Nos chefs n'ont pas peur de dire la vérité :
Bien sûr que le 11/9 a été bon pour Israël.. Qu'est-ce que vous croyez ?...
Faut-il que je vous l'explique en hébreu ?
Quelques-un de nos profiteurs du 11 septembre :
Y a-t-il un non-Juif dans la salle ?... Evidemment, la réponse est NON.
De gauche à droite :
Larry
Silverstein
(promoteur immobilier juif), Michael Bloomberg (maire de Jew York),
Daniel Libeskind (architecte juif de la reconstruc-sion),
Michael Chertoff (patron israélien de la "Homeland Security")
et Ed Koch (maire de Jew York dans les années 1980)
100 % Jewish, c'est aussi bien qu'au Directoire de la
Fed
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de faire croire à l'opinion publique que nous sommes toujours les victimes.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie: nous ne conspirons pas, nous sommes vraiment toujours les victimes et rien d'autre.
Et si, par exception, un des nôtres s'abaissait à attaquer un goy, ce qui n'arrive jamais, aussitôt la meute des antisémites haineux se jetterait à bras raccourcis sur l'ensemble de notre communauté. Mais dans les millions de cas qui se produisent quotidiennement, nous n'avons pas même fourni à nos ennemis le prétexte de nous attaquer. Je n'en veux pour preuve que ces quelques exemples tirés de la "Liste des actes antisémites recensés en France du 27 décembre 2008 au 11 janvier 2009" (source : "Communauté online - La voix de la communauté juive de France"). C'était pendant notre glorieuse campagne de Gaza :
Nous sommes les victimes de la haine palestienne, libanaise, syrienne, iranienne, etc., alors que nous n'avons strictement rien fait à ces gens. Nous ne leur demandons que deux choses : qu'ils nous laissent vivre en paix sur leurs terres et qu'ils fassent ce que nous leur ordonnons de faire. Ce n'est pas difficile à comprendre, mais de toute évidence, ils sont trop stupides pour saisir le message... Au lieu de faire un effort, ces négationnistes (et bien d'autres encore avec eux) passent leur temps à négationner et à nous traiter de
néga-sionistes.
Vous voyez bien que nous sommes les victimes - nous et personne d'autre.
Je pourrais vous fournir des centaines et de centaines d'autres références concrètes, mais il faudrait y consacrer beaucoup trop de temps, et nous ne pourrions plus assister, vous et moi, à toutes les cérémonies dédiées à la commémora-sion de notre souffrance juive. Je vous rappelle d'ailleurs que l'année 2012 comporte une journée commémorative de plus, soit 366 en tout au lieu de 365 habituellement. C'est peu, je sais, mais notre antenne du Vatican s'efforce de mettre en place une réforme du calendrier qui nous permettrait d'améliorer la situa-sion...
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de bénéficier de la plus totale impunité, quoi que nous fassions, partout et toujours.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous bénéficions déjà.
Ou alors, avez-vous déjà vu un militaire ou un homme politique israélien jugé pour crime de guerre ou crime contre l'humanité ?... Avez-vous déjà vu un financier juif de Wall Street condamné pour escroquerie ? (Ne me parlez pas de Madoff, ce salaud qui arnaque aussi d'autres Juifs, au lieu de se conformer à la tradition...) Avez-vous déjà vu une mission de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) inspecter l'arsenal israélien ?... Avez-vous déjà vu les grands médias (nos médias) exiger d'Israël ce qu'ils exigent de tous les autres pays ?...
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue d'interdire toutes les idées non conformes au canon sioniste.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous interdisons déjà.
Essayez de mettre en doute publiquement notre version casher de l'histoire de la Deuxième Guerre mondiale, et vous verrez... Je vous promets que nous n'aurons pas besoin de conspirer pour vous faire jeter en prison... Essayez de critiquer pour de vrai la politique de notre Etat, de dire qu'elle est illégale et criminelle... Vous verrez bien si nos médias - c'est-à-dire les médias tout court - accepteront de vous donner la parole. Je vous garantis qu'ils ne le feront pas et qu'il ne sera pas nécessaire de comploter pour les convaincre.
Et si par exception ils vous donnent la parole (ça permet parfois d'augmenter les ventes), ce sera pour mieux vous couler. Regardez ce qui est arrivé à ce con de
Günter Grass
en avril 2012. Il a cru qu'un goy pouvait répéter publiquement, avec mille précautions, ce que nous crions sans la moindre gêne (et en toute impunité) sur tous les toits depuis des années et des années. Faut-il qu'il soit naïf...
Les antisémites prétendent que nous conspirons en vue de promouvoir l'antisémitisme, sans lequel le sionisme s'effondrerait de lui-même.
C'est absolument faux, c'est une infâme calomnie : nous ne conspirons pas, nous promouvons déjà.
Avec un succès tout relatif, il faut bien le dire, car depuis 1945 personne n'a jamais vu de véritable antisémite.
Mais ce qui compte, ce n'est pas la situation réelle, c'est l'image que nous en donnons, nous et nos médias. Et là, le succès est indéniable. Cet antisémitisme fictif est un poison très efficace. Nos chimistes lui ont donné un nom évocateur : le sionure de mossadium, que certains appellent par erreur
sionate (ils ont l'excuse de ne pas être élus).
Cette substance miracle nous a aidés à mettre en place notre florissante Industrie de l'Holocauste®. Mais elle nous permet aussi d'extorquer quotidiennement à ces pauvres cons de goyim autant de fric que nous le voulons sans même nous référer à notre Sainte Shoah®. Mon exemple préféré, que je cite en modèle à mes étudiants, est celui de
Mel Gibson. Depuis qu'il a fait son film sur la
Passion du Christ,
film le plus zantisémite de l'année 2004, que nous n'avons malheureusement pas réussi à faire interdire (trop de Juifs d'Hollywood auraient perdu de l'argent), Gibson est absolument terrorisé quand il nous voit ou lorsqu'il entend parler de nous. Alors, pour en profiter, nos copains de Corona, en Californie, lui ont gentiment demandé de leur faire un don en espèces pour rembourser un crédit qui leur est resté en travers de la gorge - ne disons pas de mal des banquiers juifs...
Il est probable que Gibson va faire un geste et répondre favorablement à ce S.O.S. (Save Our Synagogue), histoire de prouver, comme il l'a dit un jour, qu'il n'est pas antisémite. D'ailleurs, il a déjà donné cinq millions de dollars à un hôpital juif du coin. Alors quelques millions de plus ou de moins...
Entre nous soit dit, avec des goyim aussi dociles, faudrait être idiot pour s'en priver...
Carte des pays antisémites
Autrefois, mon grand-père aimait à dire : "Si vous voulez comprendre une affaire, cherchez la femme..." (Si, si, c'est de lui...)
Aujourd'hui, ce qu'il faudrait dire, c'est : "Cherchez-NOUS..." Car c'est bien NOUS, le plus souvent, qui fournissons la clé du mystère.
Et puis, cela faciliterait les choses, car tout en haut de la pyramide humaine, nous sommes proportionnellement plus nombreux que les femmes dans la société.
Mais n'allez surtout pas répéter ça en public, on vous accuserait de promouvoir un complot antisémite...